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FY Daily Briefings - 8 septembre 2014 (#10 - 18H00)

Daily Briefings by Finyear. Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 8 septembre 2014 (#10 - 18H00)
#10 - 18H00

Royaume-Uni - Les implications commerciales de l'indépendance écossaise

Oxford Economics vient de publier son dernier Research Brief sur le Royaume-Uni. Celui-ci se concentre sur les conséquences commerciales qu’aurait l’indépendance écossaise.

Vous trouverez le document PDF (5 pages en anglais) pour plus de détails.

Vous trouverez également ci-dessous un lien vers une étude d’impact qu’Oxford Economics a publié à la demande du groupe Weir sur les conséquences potentielles qu’aurait une indépendance sur les entreprises écossaises.
http://www.weir.co.uk/media/85604/INDEPENDENCE-REPORT.pdf

Par Martin Beck, Senior Economist, Oxford Economics.

« Le 18 Septembre, l’Écosse va organiser un référendum sur son indépendance par rapport au Royaume-Uni. Oxford Economics a été chargé par le Groupe Weir d’étudier l’impact qu’aurait l'indépendance sur les entreprises en Écosse. Nous pensons que l'indépendance aurait des conséquences importantes sur les entreprises même s’il y a encore beaucoup d'inconnues sur le fonctionnement d'une Écosse indépendante. L'économie de l’Écosse pourrait réussir après l'indépendance, et il serait dans l'intérêt du Royaume-Uni de faciliter cela autant que possible. Mais la fin de l'Union créerait un certain nombre de coûts et d’incertitudes dans le secteur privé, qui devront être dépassés pour maintenir la prospérité de l’Écosse à l’avenir. »

www.oxfordeconomics.com


#9 - 16H45

Europe Economic Weekly View: A (still) weak economy

Euro-area GDP growth was confirmed at 0.0% QoQ, with the weakness driven by continuously lagging investment and external demand that failed to contribute as much as we had expected at the beginning of H1. Soft data still points to further weakness in Q3, which could surprise again on the downside. Beyond Q3, strengthening global demand, together with a slowly improving investment outlook makes us more comfortable on the risks surrounding our expectation of 0.3% QoQ growth.

A flat quarter

Euro-area GDP was flat in Q2, with private consumption expanding moderately (0.3% QoQ), investment disappointing again (-0.3% QoQ) and net exports contributing only 0.1ppt to growth on the back of weaker-than-expected exports. We have argued that part of the weakness in investment was due to one-offs and pay-back from a very strong Q1, particularly in Germany due to the impact of the mild winter on investment in construction. Hence we would expect this to slowly fade away. Also, the weaker-than-forecast evolution of global demand, which we had expected to correct in H2, certainly did not help the evolution of exports.

Recent data points to further weakness in Q3

The euro area composite PMI was revised down from 52.8 to 52.5: the weakest level since December last year. The flash estimates for Germany and France were downgraded, while Italy weakened notably over the month. But the bright spot was a strengthening in Spain. At these levels, the PMIs are consistent with the euro area growing at an annualised pace of c.1% most recently (down from around 1.5% previously) and we are still wary that the PMIs have over-estimated actual GDP growth of only slightly above zero so far this year. Our GDP tracker, that combines soft and hard data, indicates QoQ growth rates of 0.1-0.2% in Q3, although at this point it mostly contains news on soft data for Q3. But in any case, this suggests that risks to our 0.3% QoQ forecasts for Q3 GDP growth are clearly biased on the downside.

But some (small) good news too for the near future

Geopolitical risks have been weighing on confidence, particularly in Germany in Q3. Policy uncertainty is playing a role in France and Italy. However, the global economy seems to be gaining traction slowly. New orders and industrial production in Germany, and import data from Asian countries in the first months of Q3 point to renewed momentum for euro-area exports. Our Globalcycle indicator kept up pace in August and suggests that a short-term growth rotation is helping the global economy cope with an inventory correction. Hence, while we see more weakness in Q3 relative to expectations, we are more comfortable with our expectation of 0.3%QoQ growth for Q4. We would expect external demand to contribute in line with our expectations, in the absence of intensifying geopolitical risks in Q4. This should also contribute to the slow improvement in the investment outlook in the euro area. Finally, while we remain skeptical on the impact of the new ECB package in the economy, particularly in the next two quarters, it could certainly improve confidence in the short run, contributing to more balanced risks.

Bank of America Merrill Lynch Research personnel (including the analyst(s) responsible for this report) receive compensation based upon, among other factors, the overall profitability of Bank of America Corporation, including profits derived from investment banking revenues.


#8 - 14H15

L’Espagne est sur le chemin de la reprise...

... mais il subsiste des obstacles à l’instauration d’une croissance durable et inclusive dans le pays, selon l’OCDE.

L’Espagne sort d’une période de récession prolongée pour renouer avec une croissance modérée s’accompagnant d’un regain de compétitivité internationale. Des réformes bancaires et fiscales décisives, conjuguées à une politique monétaire propice à la croissance menée par la Banque centrale européenne, ont apaisé les tensions financières et contribué au redressement des finances publiques, d’après la dernière Étude économique de l’Espagne publiée par l’OCDE. Mais la mise en œuvre complète du programme actuel de réformes structurelles et de nouvelles mesures pour améliorer la productivité et la compétitivité de l’Espagne sont désormais nécessaires.

Cette étude, présentée à Madrid par le Secrétaire général de l’OCDE, M. Angel Gurría, et le ministre espagnol de l’Économie et de la Compétitivité, M. Luis de Guindos, insiste sur l’amélioration constante des résultats macroéconomiques de l’Espagne. Elle prévoie un affermissement progressif de la croissance du PIB au cours des deux prochaines années, un assainissement des finances publiques, mais invite le gouvernement espagnol à ne pas renoncer à ses projets de réduction de la dette publique et privée.

Selon M. Gurría : « les réformes courageuses engagées depuis deux ans portent leurs fruits. L’économie espagnole renoue avec la croissance, l’emploi se redresse, le secteur bancaire s’est stabilisé et les marchés financiers font davantage confiance à l’Espagne. Il est à présent essentiel de s’appuyer sur ce qui a été réalisé et d’engager d’autres actions pour stimuler la croissance, dynamiser la productivité, améliorer encore la compétitivité et offrir aux citoyens des possibilités de retour à l’emploi. Nous devons également veiller à ce que la reprise soit inclusive et que tout le monde en profite : trop de personnes sont encore confrontées à de grandes difficultés et aucune ne devrait être laissée derrière alors que la situation s’améliore. »

Pour l’OCDE, le chômage est le défi économique et social le plus urgent que l’Espagne doit relever : le niveau exceptionnellement élevé du chômage pèse sur les revenus et concourt également à l’aggravation de la pauvreté et des inégalités. C’est en améliorant l’aide à la recherche d’emploi et la formation que l’on aidera les chômeurs à retrouver du travail.

Les mesures adoptées récemment, notamment l’établissement de profils de chômeurs, permettant de déterminer le niveau d’aide requis en fonction de ces profils, et le partage de pratiques exemplaires entre régions, ont été concluantes et devraient être généralisées. L’accent devrait être mis sur des politiques d’activation efficaces.

L’amélioration de la formation professionnelle et des résultats scolaires sera primordiale pour préparer les travailleurs espagnols aux emplois de demain. À cet égard, l’OCDE travaille avec le gouvernement sur une stratégie des compétences afin d’améliorer la pertinence de ces dernières et l’usage des talents. Selon l’OCDE, la création d’emplois de qualité, bien rémunérés et de longue durée exige également une dynamisation de la croissance appelant le passage à un modèle économique fondé sur la création et l’exploitation du savoir.

Le rapport indique également que le programme de réforme du gouvernement visant à accroître les performances des entreprises est en bonne voie : une simplification des procédures de faillite est en cours, des formules de financement non bancaire sont sur le point de voir le jour et l’application de la Loi sur l’assouplissement du marché du travail (Ley de Garantía de la Unidad de Mercado) devrait aider à réduire la segmentation de la réglementation du travail.

Cependant, il reste de la place pour plus d’efforts. Prenant appui sur ces réformes, l’Espagne pourrait abaisser les cotisations sociales patronales pour les travailleurs peu qualifiés, ce qui doperait la création d’emplois et la compétitivité internationale du pays. Une refonte des règles applicables dans les domaines de l’entrepreneuriat et de l’investissement – principaux piliers de l’économie du savoir – est également nécessaire pour lever les obstacles qui empêchent les entreprises de naître, de conquérir des marchés et de se développer. Des mesures pour éliminer les obstacles à la concurrence sont également nécessaires dans le secteur des services professionnels ainsi que sur certains marchés comme, par exemple, l’électricité.

Une Synthèse de l’Étude économique de l’Espagne est consultable à l’adresse suivante : http://www.oecd.org/fr/eco/etudes/espagne.htm


#7 - 14H00

Indicateurs composites avancés de l'OCDE - Mise à jour : septembre 2014

Les indicateurs composites avancés continuent de signaler une dynamique de croissance stable dans la plupart des grandes économies

Les indicateurs composites avancés (ICA) de l’OCDE, conçus pour anticiper les points de retournement de l’activité par rapport à sa tendance, continuent de signaler une dynamique de croissance stable dans la plupart des grandes économies.

Les ICA pour la zone OCDE dans son ensemble ainsi que pour les États-Unis, le Canada et le Royaume-Uni continuent designaler une dynamique de croissance stable. L’ICA pour le Japon signale un infléchissement de la croissance, sans doute lié à des facteurs temporaires.

Dans la zone euro dans son ensemble et en France, les ICA restent stables. En Allemagne l’ICA continue d’indiquer un infléchissement de la croissance. En Italie, l’ICA suggère également un possible infléchissement de la croissance.

L’ICA continue de signaler une inflexion positive de la croissance en Inde. Une inflexion positive de la croissance est également possible au Brésil. En Chine et en Russie, les ICA signalent une stabilisation de la croissance.

Lire la suite
OCDE

#6 - 12H00

FTSE Slumps as Scottish Independence Campaign Gains in Polls, Alibaba IPO Draws Near, Brent Crude below $100 per Barrel

The FTSE is down by almost 0.5% this morning, weighted down by Scottish companies feeling the impact of a weekend poll showing the ‘Yes’ campaign in Scotland’s Independence referendum leading for the first time. RBS, Lloyds and Standard Life were all down by over 2%, with the future plans of these Scottish-based companies in jeopardy should the Yes campaign triumph over the ‘Better Together’ campaign. Sterling is also down across the board this morning, with GBP currently at 1:1.6156 against USD and 1:1.2480 against the Euro, with serious questions mooted as to the feasibility of an independent Scotland keeping the pound. The referendum is due to take place in 10 days time, on Thursday 18th September.

Further news has emerged regarding the Alibaba IPO due to take place later this month, with Friday’s regulatory filing by the firm indicating an intent to price shares between $60 and $66, which could bring in between $22.1 and $24.3 billion, should all underwriters claim their shares. As well as making that the biggest IPO in history, it would value the firm at between $148 billion and $163 billion. One company set to rake in the rewards is Yahoo; it currently owns 22.4% of the company and according to the filing will be selling off around a quarter of that in the IPO. After a shaky few days last week Yahoo stock continued its upward trend on Friday, closing up 1.02% at 39.59 – the firm is currently up by 3.06% in pre-market trading.

Brent Crude is below $100 a barrel for the first time in over a year as Chinese demands slows further, with August purchases falling by 2.4% after a 1.6% fall in July. Recent price decline in the commodity has also been attributed to, amongst other things, recently downgraded tension regarding potential supply interference from Iraq, Libya and Syria.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital
www.etxcapital.com


#5 - 11H30

Bank of France Leaves Q3 Growth Forecast Unchanged At +0.2%

By Jack Duffy.

Aug Sentiment Edges Higher For Both Industry and Services.

The Bank of France on Monday left its forecast for third-quarter growth in the French economy unchanged at 0.2% and said activity in manufacturing and services strengthened in August.

In its monthly business survey, the French central bank said its business sentiment indicator for manufacturing rose to 97 in August from 96 in July, while the sentiment indicator for services rose to 94 from 93.

In industry, the BOF said August production grew, particularly in the machinery, equipment and automobile sectors and that deliveries increased.

However, its said "order books were deemed too thin (and insufficient in the automobile sector) despite slightly stronger foreign demand." Inventories increased, while employment fell slightly, the BOF said.

In services, the BOF said the August rise in activity was led by the hotel and catering and IT sectors, and that employment increased during the month. In both industry and services, business managers expected slight or moderate gains in activity in September, the BOF said.

Construction, which has been the weak link in the French economy, contracted in August, with employment falling amid insufficient orders. Activity is expected to stagnate in September, the BOF said

The BOF survey data were broadly in line with Markit PMIs for August, which showed industry contracting slightly at 49.6 and services growing modestly at 50.3.

Jack Kennedy, an economist at Markit, said last week that PMI data suggested that the French economy "looks to be extending its weak performance into the third quarter" after showing no growth in the first half of the year.

Data on business expectations, Kennedy said, suggest that "companies do not see any real improvement in the offing. This sense is reinforced by the fact that staffing levels were cut at an accelerated rate in the latest month."

MNI Paris Bureau
www.mni-news.com


#4 - 10H30

DRAGHINOMICS

Décidément, Mario Draghi nous donne l’impression d’être le vrai pilote du vaisseau européen, le seul capable de « faire bouger les lignes ». A défaut, pour l’instant, d’avoir un impact sur la sphère réelle, ses seules paroles ont un impact certain sur la sphère financière. Ses propos lucides et ses propositions nouvelles, qui datent de Jackson Hole, nous amènent même à imaginer le mot « DRAGHINOMICS », ce « policy mix » qui vise à faire reculer la déflation, et surtout ramener un minimum de croissance nominale. Les nouvelles mesures annoncées par la BCE hier et pendant la conférence de presse de son Président appellent plusieurs remarques de notre part :

1/ Les marchés ne voient que le bon côté des choses, mais il ne faudrait peut-être pas oublier d’intégrer ce qui motive les nouvelles mesures annoncées par la Banque Centrale

En d’autres termes, si M. Draghi a réussi à imposer des mesures aussi spectaculaires et inattendues, c’est parce que la conjoncture économique est calamiteuse. M. Draghi a été très clair et très inquiétant dans ses propos à ce sujet, pendant la conférence de presse. La déflation n’est plus un risque, c’est désormais la réalité quotidienne de l’Europe. De ce point de vue, la situation est très grave. L’actualité économique risque d’être détestable dans un futur très proche, ce qui pourrait peser sur les marchés.

2/ La politique monétaire ne peut pas tout : nous le savons tous, les banques centrales peuvent amplifier une reprise économique existante, ou ralentir une croissance trop forte, mais elles sont incapables d’inverser le cycle économique, de produire une inflexion qui change le sens d’une tendance

L’annonce d’achats directs d’ABS dès octobre, couplée à la baisse des taux, suppose que les banques vont effectivement relancer des propositions de crédit auprès de leurs clients, et que ceux-ci (ménages comme entreprises) vont accepter de s’endetter à nouveau… Tout le monde le sait, et pourtant les marchés ont salué hier les annonces de M. Draghi. Cela nous inquiète, et confirme que la seule amélioration probable concerne la sphère financière, et pas la sphère réelle, en tous cas d’une manière bien plus incertaine…

3/ Les « DRAGHINOMICS », à l’image des « ABENOMICS », doivent engager aussi les politiques budgétaires, les réformes de structure et la politique de change

C’est bien ce que nous a dit M. Draghi hier, ainsi qu’à Jackson Hole : les politiques budgétaires doivent désormais favoriser la demande, et il serait bon que l’Europe mette sur pied un vrai programme d’investissement dans les infrastructures. En d’autres termes, pour bouter hors d’Europe l’ogre déflationniste, il faut mobiliser l’armée monétaire, l’armée budgétaire, et l’armée du change, tout en menant des réformes de fond. L’effet de ces actions multiples et conjointes doit se combiner, pour réussir à faire reculer la déflation, et ramener la croissance sur le vieux continent, en 2015…

4/ Le « timing » de ces opérations est évidemment délicat

L’effet favorable des mesures monétaires et budgétaires pourrait se faire sentir dès le premier semestre 2015. Par ailleurs, nous appelons de nos vœux une baisse rapide du « stress géopolitique », à l’occasion d’une solution négociée en Ukraine. C’est manifestement ce qu’anticipe le marché. Mais il nous faut aussi imaginer un échec total des « DRAGHINOMICS », qui susciterait une violente baisse du cours des actions. D’autre part, la baisse de l’€ contre le $ est une vraie bonne nouvelle. Notre monnaie a perdu 9 cents contre le $, soit près de 7 % depuis mai. Néanmoins, la gravité de la situation économique, que reflète la chute des taux de marché, nous incite à la prudence. Conformément à notre méthodologie de l’allocation par scénario, et comme, de plus, la saisonnalité annuelle des actions est défavorable, nous proposons de réduire les positions en actions et de les sous-pondérer, pour un CAC 40 au-delà de 4400 points.

Lettre hebdo du 5 septembre 2014
Par Eric Galiègue
www.valquant.fr


#3 - 10H00

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading lower this morning seeing some early profit-taking in the aftermath of last week’s ECB action and the Ukrainian government and pro-Russian rebels agreeing to a ceasefire. For now the ceasefire seems to hold despite reports that some sporadic fighting has taken place throughout the weekend. Much better than expected trade data out of Germany for July reported earlier this morning should provide German stocks and especially exporters with some optimism indicating that despite the continuing escalation in Eastern Ukraine other parts of the world like the US and China more than compensate for the negative fall-out from sanctions imposed on Russia. With very little data out today stocks are expected to remain mainly range-bound with the occasional round of profit-taking likely to take place similar to earlier this morning. Overall sentiment however remains positive with traders seeing any sell-offs as buying opportunities. Even with the ceasefire still holding in Easter Ukraine, traders will continue to keep a close eye on the situation. No doubt progress has been made in the past week but any permanent solution still seems to be far out of reach for now.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


#2 - 9H30

UBS daily roundup - Why Scotland may only be for the brave

Paul Donovan daily briefing.

• One poll in Scotland put the pro-independence vote ahead (for the first time this year). A second poll continued to show the pro-union view leading. Sterling has already reacted to the former, weakening in Asian trading.

• A risk in Scotland, in our view, is that there is a Québécois scenario – a narrow rejection of independence that leaves open a risk of a further vote. We believe this would have implications for banking, gilts, direct investment into Scotland (from overseas and the rest of the United Kingdom), and sterling.

• The IMF's Lagarde has declared that the Euro is not overvalued (comments that will not win her much support amongst Euro area politicians, who prefer blaming the currency to blaming themselves). China's trade data showed reasonable levels of international demand for Chinese exports, but weaker Chinese imports.

• The US is only offering consumer credit data – interesting but not a major release. Friday's labour market data should be viewed as a correction to bring the payrolls figures back in line with the trend, but the details do at least hint at the idea of a tight labour market.

www.ubs.com/investmentbank


#1 - 9H00

Les marchés pourraient reprendre leur souffle avant une semaine peu chargée en annonces

Marchés actions

Sur les marchés actions, la fin de semaine dernière aura été marquée par la BCE Jeudi, puis le rapport sur l’emploi aux États-Unis le Vendredi qui est ressorti nettement plus faible que prévu avec 142 000 créations d’emplois, soit le plus bas niveau depuis les huit derniers mois. Cette baisse inattendue a été favorable au marché action car cela apaise les craintes des investisseurs de voir la FED envisager d’avancer ses plans de relèvement de taux lors de sa prochaine réunion mi-septembre. En effet, de nombreux autres indicateurs montrent la force de la reprise économique américaine. Le Dow Jones a ainsi engrangé 0.4% vendredi, le S&P500 0.50% et le Nasdaq 0.45% ce qui permet à Wall Street de clôturer pour une cinquième semaine consécutive en territoire positif. Le Dow Jones et le S&P500 progressent de 0.2% sur la semaine, tandis que le Nasdaq reste presque inchangé en s’adjugeant 0.06%. Du côté de la Bourse de Paris, cette dernière a affiché un nouveau gain hebdomadaire de 2.4% la semaine dernière, après 3% la précédente soit une progression de près de 8% depuis la mi-Août ce qui constitue désormais le plus fort mouvement haussier de l’année 2014.

Dans le sillage de Wall Street Vendredi, le CAC et le Dax sont attendus en hausse ce matin à l’ouverture, pouvant progresser de respectivement 0.1% et 0.4% tandis que le Footsie Britannique est attendu en baisse suite au sondage favorable à l’indépendance de l’Écosse et pourrait céder 0.2% selon les dernières indications disponibles.

Du côté asiatique, la Chine a enregistré un nouvel excédent commercial record à 49.8 milliards de dollars, marqué par une seconde baisse mensuelle des importations ce qui appuie la thèse d’un ralentissement de la deuxième puissance économique mondiale. On notera également la progression des exportations qui ont augmenté plus que prévu. Les importations ont ainsi régressé de 2.4% sur un an à 158.6 milliards de dollars après avoir déjà cédé 1.6% au cours du mois de Juillet dernier, tandis que les exportations ont progressé de 9.4% sur la même période à 208.5 milliards de dollars et restent supérieures aux attentes des analystes qui tablaient sur 9.2%. Un certain nombre d’indicateurs confirment l’essoufflement économique de la Chine, et les opérateurs s’attendent à d’éventuelles nouvelles mesures de soutien à l’économie. Rappelons que, suite à la publication au mois d’Avril d’une croissance économique en baisse à 7.4% au premier trimestre, le gouvernement chinois avait mis en place des réductions fiscales et des assouplissements monétaires ciblés. Cette politique semblait porter ses fruits puisque la croissance économique était remontée à 7.5% au deuxième trimestre. Le secteur immobilier souffre particulièrement en Chine, ce qui entraine une baisse de la demande de matière première et plus globalement une diminution des investissements.

La Bourse de Tokyo a clôturé il y a quelques minutes en hausse de 0.23%. Les investisseurs ont préféré rester prudents face à des indicateurs macroéconomiques peu séduisants en Chine et au Japon. Le Nikkei clôture à 15 705.11 points, profitant de la bonne tendance des marchés américains vendredi dernier. Du côté du Japon, l’économie a reculé de 7.1% contre 6.8% précédemment et 7.0% attendu par les analystes, dû à une diminution plus forte que prévu des dépenses à la consommation et des investissements.

Forex

Sur le marché des devises, après les décisions du président de la Banque Centrale Européenne de baisser les taux de la BCE à 0,05% Mario Draghi a ajouté que l’institution européenne continuerait d’acheter massivement des actifs. Pour rappel, la BCE compte acheter également un large portefeuille de titres adossés à des titres de créances (ABS), ainsi que des obligations sécurisées libellées en euro et émises par des institutions financières de la zone euro.

Suite à ces annonces, l'euro baissait lundi face au dollar, s’échangeant aux environs des $1,2936 . Les mauvaises données concernant l’emploi américain ne semblent pas avoir pesé outre-mesure sur le billet vert. Vendredi les Nonfarm Payrolls ont été publiées à 142 000 pour le mois d’août, tandis que 212 000 emplois avaient été créés le mois précédent.

Au Royaume-Uni, la livre britannique chutait face aux principales monnaies après la publication d'un sondage indiquant une nette progression des partisans de l'indépendance de l'Écosse à quelques jours du référendum prévu le 18 septembre. Ce matin, la livre britannique chutait face à l'euro s’échangeant à £ 0,8008 pour un euro. La tendance est sensiblement la même face au billet vert, à $1,6152 pour une livre.

En Asie, les exportations chinoises ont augmenté plus que prévu en août, l'excédent du commerce extérieur s'est établi à 49,8 milliards de dollars contre 40 milliards attendus par le consensus, selon les chiffres des douanes publiés lundi. Les exportations ont crû de 9,4% au mois d’août, alors que le marché anticipait une hausse de 8%. En juillet, elles avaient bondi de 14,5%. En revanche, les importations ont reculé de 2,4%, alors que les économistes anticipaient une hausse de 1,7%.

Enfin, l'euro continue de baisser face à la monnaie nippone, s’échangeant aux environs des 136 yens ce lundi matin. De son côté, le dollar progressait face à la devise japonaise, à 105,12 yens.

Matières premières

Au chapitre des matières premières, le pétrole accuse le coup après le rapport sur l’emploi décevant de vendredi dernier. Malgré une série d’indicateurs très encourageants ces dernières semaines, le rapport sur l’emploi a jeté un léger froid sur le marché. Par ailleurs, les chiffres chinois n’ont pas contribué à rassurer les investisseurs. En effet, le deuxième plus gros consommateur mondial fait état d’une baisse de ses importations de -2,4%. Dans un contexte où la demande en or noir reste une source d’inquiétude pour les opérateurs, ce chiffre ne rassure pas. Enfin, suite à l’arsenal de mesures annoncées par la BCE, l’euro continue de plier face au dollar ce qui pèse également sur l’or noir.

Dans ce contexte, sur le Nymex, le baril Light Sweet Crude évolue autour des 93,5 dollars. De son côté, le Brent de la Mer du Nord s’échange, ce matin, contre 100,95 dollars.

Sur le front des métaux précieux, l’or tentait de reprendre de la hauteur après des chiffres sur l’emploi américain décevants vendredi dernier. Les investisseurs restent à l’affût de signaux qui pourraient inciter la FED à relever ses taux plus tôt que prévu. Dans cette logique, le dernier rapport sur l’emploi pourrait offrir du répit. La tendance reste cependant fragile sur le métal jaune où les positions longues sur les contrats futures et les options sont à leur plus bas en onze semaines. Ce matin, l’once d’or se traitait autour des 1 268 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Primo1D boucle un tour de table de 3 M€ 05/09/2014
- Gerard Perrier rachète Idem Industrie et s’implante en Lorraine 05/09/2014
- Le Groupe Exotismes renforce ses positions dans le secteur du voyage sportif en prenant le contrôle de TO Sport 05/09/2014
- Eolane met la main sur Bengale 05/09/2014
- Le département corporate de Norton Rose Fulbright à Paris accueille Karine Montagut en tant qu’associée 05/09/2014
- Le Groupe APICIL en voie d’acquérir les activités de Skandia en France et au Luxembourg auprès d’Old Mutual 05/09/2014
- Delsol Avocats accompagne le fondateur du groupe d’enseignement supérieur GEDH dans la cession de sa participation majoritaire 05/09/2014
- SPIE annonce l’acquisition de VISCOM System SA et de Vista Concept SA en Suisse romande 05/09/2014
- Universal System Group : Introduction du Groupe sur le Marché Libre d’Euronext Paris 04/09/2014
- ACQ’CESS Conseils accompagne la transmission de Silix 04/09/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR

Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

2 septembre 2014

Les prix à la production industrielle en baisse de 0,1% dans la zone euro
Baisse de 0,2% dans l’UE28.

En juillet 2014 par rapport à juin 2014, les prix à la production industrielle ont reculé de 0,1% dans la zone euro (ZE18) et de 0,2% dans l'UE28, selon les estimations d’Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En juin, les prix avaient progressé de 0,2% dans la zone euro et de 0,1% dans l’UE28.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Lundi 8 Septembre 2014




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