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FY Daily Briefings - 4 juillet 2014 (#8 - 16H30)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 4 juillet 2014 (#8 - 16H30)
16H30

Gold Bounces Back, Oil Prices Continue to Fall

European stock markets are trading broadly flat this afternoon, with the absence of a US session due to markets across the Atlantic being closed for a public holiday, Europe’s stock indices are lacking direction as well as volume. Overnight, Asian markets rose on the back of a strong session on Wall Street which saw the S&P 500 and Dow Jones Industrial Average closing at record levels.

Impressive US Non-Farm Payroll numbers for June and a lower unemployment rate saw the US dollar strengthen in response and investors dumping traditional safe-havens such as government bonds and gold. However, we’re seeing some reveral of that in Friday’s session as the rally inspired by the strong US jobs data starts to fade and people resume buying risk assets – as such, gold recovered from previous session lows and is currently up 0.1% at around $1,321.72 an ounce.

Elsewhere, oil prices are falling as supply disruption fears ease in both Libya and Iraq. Brent crude dropped 0.3% to $110.65 a barrel, extending this week’s slide to 2.2%. In FX markets the USD is easing from its sharp rally on Thursday but still slightly higher against the Euro and Pound. The yen rose against its major rivals, up 0.1% at 102.06 versus the USD and up 0.3% versus the Euro. Meanwhile, the Swedish Krona slid 0.5% to 6.8554 versus the US dollar after the Swedish Riksbank cut interest rates by a larger amount than expected.

Elsewhere, markets are still digesting the European Central Bank policy meeting that took place on Thursday. The ECB left policies unchanged a month after launching a stimulus package which included a rate cut to new record lows and the first move into negative deposit rates in its history. On Thursday, markets welcomed comments by ECB President Mario Draghi who offered details of a targeted loans program, saying take-up may reach €1 trillion.

Looking to next week’s session, it’s the Bank of England’s turn to meet to decide on policies, though no change to the status-quo is expected. We also have a number of key Chinese data releases such as CPI, retail sales and industrial production, with Germany and the UK also due to release industrial production reports.

Ishaq Siddiqi
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk

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14H30

L'actualité macroéconomique américaine pousse les marchés vers de nouveaux sommets

Marchés actions :

Sur les marchés actions, la semaine qui s’écoule a été caractérisée par des prises de bénéfices et un recul global des principaux indices boursiers. En France, le CAC 40 frôlait la barre des 4 600 points il y a 15 jours. Cette semaine, il a touché un plus bas de 4 412,18 points et accuse une perte de 2,02% sur l’ensemble de la semaine et avant la fermeture de Vendredi. Une tendance similaire a été observée sur les autres marchés européens. Le DAX de Francfort, qui naviguait au-delà des 10 000 points la semaine précédente, a chuté de 1,71% sur l’ensemble de la semaine et repasse sous le cap des 9 900 points, avant la fin de la dernière séance. Le FTSE londonien cède quant à lui 1,20% sur les 5 dernières séances et recule de 1,05% sur l’ensemble du mois.

Cela se justifie avant tout par une conjoncture qui démontre que l’Europe est encore loin d’achever son redressement économique. En France, les investisseurs ont appris que la contraction de l'activité s’est accélérée. En effet, l'indice PMI manufacturier de juin est ressorti à 47,8 points, contre 49,4 points en mai. Pour le deuxième mois d’affilée, il se situe sous les 50 points qui sépare les phases de croissance des phases de contraction. Un rapport de l’INSEE a par ailleurs dévoilé que le PIB français ne devrait progresser que de 0,7% cette année, contrairement aux projections de 1% diffusées par le gouvernement. Cela se produit à l’heure même que le nombre de chômeurs en France dépasse les 5 millions et vient encore souligner le manque de dynamisme d’une économie qui peine à se relever.

Outre-Rhin, l’activité a été également décevante, avec un indice PMI composite passant de 55,6 en mai à 54,2. Aussi, le sentiment des entreprises s'est dégradé, en laissant entrevoir une préoccupation du milieu des affaires liée au contexte géopolitique mondial et à la faible croissance économique européenne. Ces données mettent en évidence le ralentissement de la locomotive économique allemande, en pénalisant l’ensemble de la zone euro. D’ailleurs, pour le deuxième mois consécutif l’activité économique sur les autres pays de la zone est ressortie en contraction d’après les données de Markit, témoignant d’un essoufflement de la reprise économique. La Confiance des Consommateurs de la zone euro, mesurant le niveau de confiance des consommateurs en l'activité économique, est ainsi passé de -7,10 à -8,0.

Enfin, le Royaume-Uni qui semblait afficher une croissance économique plus solide que les autres pays européens, n’a pas échappé aux annonces économiques décevantes. Effectivement, on a noté une baisse de 0,5% des ventes au détail en mai, tandis que l'inflation est tombée à un plus bas de 4 ans et demi, influencée par la baisse des prix alimentaires. L'inflation annuelle mesurée par les prix de détail a été de 1,5% en mai contre 1,8% en avril, au plus bas depuis octobre 2009.

Cependant, le principal élément qui a déclenché la chute des indices a été la révision de l’évolution du PIB étasunien. D’après les dernières données, celui-ci s’est contracté de 2,9% au cours des trois premiers mois de l’année. Les investisseurs étasuniens s’étaient d’abord montrés peu susceptibles face à cette actualisation, mais de nouvelles données ont modifié la tendance. En effet, la consommation des ménages aux Etats Unis a également déçu les acteurs économiques. Le consensus tablait sur une augmentation de 0,4%, mais le chiffre ressorti était de 0,2%, valeur qui, ajustée de l’inflation, témoigne d’une nouvelle contraction de la consommation. Il s’agit de la deuxième d’affilée, et laisse entrevoir une croissance moins importante que prévue pour le deuxième trimestre, puisque la consommation représente environ 75% du PIB. Par ailleurs, les commandes de biens durables ont subi une baisse de 1% en mai, alors qu’on les attendait à la hausse.

Néanmoins, l’économie étasunienne est loin d’être en situation préoccupante. Malgré tout, la confiance des consommateurs étasuniens s’est améliorée en juin, l’indice établi par le Conference Board ayant augmenté de 3 points, à 85,2. De façon tout aussi encourageante, l’indice PMI manufacturier est ressorti à 57,5 points, au-delà des expectatives des économistes et du précédent de mai qui était de 56,4 points. De plus, les ventes de logements existants ont bondit de 4,9% sur le dernier mois tandis que les ventes de logements neufs ont progressé de 18,6 % le mois dernier, une valeur qui n’avait pas été observée depuis janvier 1992.

Dans ce contexte, les indices de Wall Street ont effectué des progressions hétérogènes cette semaine. Après la suite de sommets historiques obtenus récemment, les investisseurs ont consolidé cette semaine et le Dow Jones cède 0,6% avant l’ouverture de Vendredi. Le Standard & Poor’s a observé un mouvement similaire et abandonne 0,27% sur l’ensemble de la semaine. Enfin, l’indice à forte composante technologique, le Nasdaq Composite, réussit à rester sur un territoire positif, avec une appréciation de 0,25%. Il faut noter que les valeurs présentées ci-dessus sont naturellement susceptibles d’évoluer lors de la dernière séance de la semaine, sous l’influence de l’indice de Confiance de l’Université du Michigan.

Enfin, en Asie, les marchés ont également été touchés par les craintes sur l'état de l'économie américaine après la révision en nette baisse du PIB de la première économie mondiale. Pourtant, les données sur le secteur manufacturier chinois avaient de quoi encourager les investisseurs. En effet, l’indice PMI des directeurs d’achat HSBC pour la Chine a témoigné de la première expansion de l’activité industrielle en six mois. Au Japon, les prix à la consommation ont augmenté de 0,4% par rapport au mois précédent et de 3,7% en base annuelle, selon des données officielles du gouvernement. Cela se justifie en grande partie par l'entrée en vigueur de la hausse de la TVA, au 1er avril dernier. Par ailleurs, le taux de chômage dans l’Archipel a encore reculé de 0,1 point à 3,5% de la population active, soit un repli de 13,3% (-370.000) par rapport à la même date un an auparavant. Malgré ces données, les investisseurs ont préféré consolider leurs gains, en gardant un œil ouvert sur l’activité économique des Etats Unis. Ainsi, sur l'ensemble de la semaine, l'indice Nikkei accuse un repli de 1,66% sur l’ensemble de la semaine.

Forex :

Sur le marché des changes, la parité EUR/USD met fin à deux semaines consécutives dans le vert. En effet, les données macroéconomiques positives outre-Atlantique ont dopé le billet vert. Après avoir frôlé le niveau des 1,37$ mardi, la paire phare du Forex s’est écroulée en dessous des 1,3610$ ce vendredi matin et évolue à présent dans un range de plus en plus restreint.

Les cambistes qui avaient les yeux rivés sur le Vieux Continent depuis plus d’un mois ont finalement changé d’optique cette semaine. Même l’intervention de Mario Draghi ce jeudi n’aura pas eu l’effet escompté : peu d’émules autour de son compte rendu qui n’a pas laissé entrevoir de nouvelles mesures symboliques. Ce dernier a confirmé sa volonté de mettre en place une politique monétaire accommodante afin de soutenir la hausse des prix et relancer la croissance économique. Sans véritable surprise l’institution maintient également son statu quo autour de son taux de refinancement à 0,15% et de son taux de dépôt à -0,1%. Seul changement annoncé, le conseil des gouverneurs se réunira toutes les six semaines à compter de janvier 2015 afin de mieux gérer les effets d’annonce sur les marchés.

Au même moment outre-Atlantique, le rapport mensuel sur l’emploi américain a littéralement éclipsé les propos de Mario Draghi. Les Etats-Unis ont créé 288 000 nouveaux emplois en juin contre 224 000 en mai, et le taux de chômage a atteint un plus bas de six ans à 6,1%. Ces résultats nettement au-dessus du consensus établi se sont conjugués à la publication la veille de l’enquête ADP qui a été plus qu’encourageante. Dans le secteur privé, les Etats-Unis ont en effet créé 281 000 nouveaux postes en juin contre 179 000 sur l’exercice précédent. Ces résultats qui confirment la reprise économique de la première puissance mondiale devraient encourager la Fed à remonter ses taux d’intérêt plus tôt que prévu. Cette première hausse pour le moment espéré à mi-2015, amène néanmoins de nombreuses suspicions autour du billet vert qui, dans ce contexte, a de fortes chances de devenir plus rémunérateur à terme.

Cet élan haussier autour du dollar n’était pourtant pas gagné en début de semaine. Le billet vert est resté sous pression sur les premières séances après la révision à la baisse des perspectives de croissance aux États-Unis. Certains indicateurs ont également arbitré en faveur de la monnaie unique sur les premiers échanges : nous retiendrons principalement la baisse du nombre de chômeurs en zone euro ainsi qu’une nouvelle hausse du PMI dans le secteur manufacturier pour le 12ème mois consécutif en juin. Ces catalyseurs n’ont néanmoins pas eu assez de poids face au célèbre rapport américain qui a modifié la tendance à court terme.

En cette fin de semaine, le cross EUR/USD se négocie à 1,3605$ entre sa résistance des 1,3610$ et son support des 1,3602$. Pour rappel, Wall Street s’effacera de l’actualité ce vendredi à l’occasion de l’Independence Day, un jour férié aux États-Unis. De ce fait, nous n’attendons aucune publication majeure au cours de cette séance sur le sol américain. Seul indicateur qui pourrait influer sur la paire, les commandes à l’industrie pour mai en Allemagne sont attendues aujourd’hui.

Du côté des paires en yens, la devise nippone cède du terrain cette semaine face à ses principales contreparties. Nous retiendrons principalement le canal haussier dans lequel la paire USD/JPY s’est inscrite sur les dernières séances. En effet, après avoir débuté la semaine aux encablures des 101,37 yens, le cross s’est propulsé sur les 102,05 yens ce vendredi matin, après avoir touché un plus haut à 102,25 yens jeudi. En l’absence de nouveaux catalyseurs sur le sol japonais, la paire a évolué au gré des publications américaines, ce qui explique en partie la forte hausse entamée par le cross. Toutefois le mouvement s’essouffle un peu ce vendredi matin : si la paire venait à casser son support des 101,95 yens, on peut s’attendre à un retour vers les 101,80 yens à court terme.

En parallèle, la tendance a été beaucoup plus calme et mitigée sur la paire EUR/JPY. Nous avons observé peu de mouvements sur la parité, puisque le dollar a occupé le devant de la scène cette semaine. Dans ce contexte, le cross EUR/JPY continue d’osciller entre sa résistance des 138,97 yens et son support des 138,81 yens. Néanmoins pour rebondir, les cours auraient besoin de catalyseurs influents, ce qui n’est pas réellement à l’ordre du jour en cette fin de semaine. Dans ce contexte, la paire évolue aux encablures des 138,68 yens et pourrait revenir facilement sur les 138,60 yens au cours de cette séance.

Matières premières :

Cette semaine, les principales matières premières confirment leur tendance amorcée la semaine dernière. Ainsi les deux pétroles de référence dans le monde se dirigent vers une nouvelle semaine en territoire négatif tandis que les métaux précieux devraient enchainer une nouvelle semaine de gain.

L’actualité pétrolière a notamment été marquée cette semaine par les évènements en Libye et en Irak. Les spéculations sur le fait que l'escalade de la violence en Irak ne perturbera pas ou peu, l'approvisionnement du deuxième plus grand producteur de pétrole de l'OPEP. En effet, le sud de l'Irak, qui abrite plus des trois quarts de sa production de brut, continue d'être épargné par les militants. L’Irak a pompé le mois dernier près de 3,3 millions de barils par jour, ce qui en fait le deuxième pays producteur membre de l’OPEP, derrière l’Arabie Saoudite. Le ministre du pétrole en Irak, Abdul Kareem Al-Luaibi, a déclaré que les exportations de brut devraient augmenter le mois prochain car les combats se maintiennent dans la région Nord du pays, donc sans incidence pour le moment pour la région Sud. Selon les premières estimations, le pays serait en mesure de délivrer 2,8 millions de barils par jour.

L’armée russe aide à la préparation de l’armée de l’air irakienne pour reprendre des zones dans le Nord du pays détenus par des militants islamistes. Les forces gouvernementales ont déjà repris le village d’Ouja, le lieu de naissance de Saddam Hussein le weekend dernier. Le Général de l’armée des Etats-Unis, Martin Dempsey, a déclaré lors d’une conférence au Pentagone hier, que les forces armées du pays ne seront probablement pas en mesure de reprendre les territoires perdus et donc qu’une aide extérieure était à envisager. Le rôle des conseillers militaires, présents sur le terrain, pourrait par conséquent se voir élargi.

La Libye est devenue le plus petit producteur de l’OPEP depuis l’année dernière suite aux actions menées par des rebelles qui ont fermé les ports d’exportation de pétrole. Rappelons que la Lybie détient les plus grandes réserves de pétrole d’Afrique. La Libye a annoncé en début de semaine la réouverture des terminaux d’Es Sider et de Ras Lanouf, qui font partis des trois plus gros ports libyens, après avoir trouvé un accord cette semaine avec les rebelles. Ces deux ports peuvent permettre la production de 560 000 barils supplémentaires par jour, ce qui pourrait presque quintupler la production journalière du pays. Selon la National Oil Corp, la Libye va donc reprendre dès que possible sa production depuis les terminaux d’Es Sider et de Ras Lanouf, respectivement premier et troisième plus gros terminaux d’exploitation du pays. Les négociations sur les ventes de brut ont d’ores et déjà commencé.

En raison de cette actualité, le Brent se dirige vers sa plus forte baisse hebdomadaire au cours des six derniers mois tandis que le WTI enchaine une troisième semaine en territoire négatif.

Du côté des Etats-Unis, l’ouragan Arthur, le premier de la saison, a frappé la côte Est des Etats-Unis en Caroline du Nord après avoir atteint la catégorie 2 avec des vents de près de 161 km/h, ce qui pourrait entrainer une diminution du trafic routier au cours du mois de Juillet, pendant le pic de la saison de conduite. Les stocks de brut ont diminué de 3,2 millions de barils à 384,9 millions la semaine dernière selon l’Energy Information Administration. Les stocks d’essence, quant à eux, ont glissé de 1,24 millions, soit la première baisse depuis cinq semaines, toujours selon l’EIA.

Du côté des métaux précieux, c’est une nouvelle semaine de gains, le métal jaune et l’argent enchainant une cinquième semaine de hausse hebdomadaire, tandis que le platine et le palladium progressent pour la troisième semaine d’affilée. Le contexte géopolitique étouffant en Irak et en Ukraine soutient le métal jaune qui évolue légèrement en dessous de son plus haut niveau au cours des trois derniers mois. De plus, devant le manque de volatilité des actions, les investisseurs tendent à se tourner vers des investissements alternatifs comme l’or.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

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11H00

Saxo Banque : Market call du vendredi 4 juillet 2014

Le marché parisien essuie un léger repli après la belle progression d’hier dans la foulée des chiffres du chômage américain. Bien que le taux de participation reste, outre-Atlantique, proche de ses points bas historiques, ce qui reflète donc une reprise insuffisante, le marché ne semble pas faire attention à cet aspect. Comme c’est le cas depuis plusieurs mois, les investisseurs se focalisent uniquement sur les annonces qui corroborent leurs attentes en termes de hausse des indices.

C’est donc, sans surprise, qu’aujourd’hui encore, les deux seuls chiffres économiques du jour, ayant trait au PMI construction et aux commandes d’usines outre-Rhin, n’ont eu aucun impact réel sur la tendance alors qu’ils ont confirmé le ralentissement économique de l’Allemagne.

Le marché reste confiant mais, confronté à l’absence des investisseurs américains du fait de la fête nationale, on peut anticiper des volumes anémiques et des prises de bénéfices à l’approche du week-end. La saison des résultats d’entreprises, qui se profile, devrait rapidement étoffer davantage les échanges.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

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10H45

Positive US Jobs Data Sends Fear Gauge to 7-Year Low, German Factory Orders Fall

European stock markets slowed slightly on Friday morning following three-days of straight gains, with investors on Thursday cheering the stellar jobs data out of the US. The Stoxx Europe 600 fell 0.1% while London’s FTSE 100 was down 0.2% and the Dax in Frankfurt was off 0.1%.

The S&P 500 and Dow Jones Industrial Average closed at record levels on Thursday in a holiday-shortened week after non-farm payrolls rose by 288,000 in June, smashing forecasts for a gain of 215,000 and up from 224,000 in May. The unemployment rate was also down, to 6.1% in June from 6.3% in May. As a reflection of the improved sentiment, the fear gauge known as the CBOE Vix volatility index fell 4.6% to a seven-year low of 10.32. The US jobs report was released a day earlier than usual because of the July 4 Independence Day holiday – there is no US session later on Friday so markets will lack direction without a firm lead.

In Asian markets overnight stocks extended this week's gains after the US jobs data fuelled confidence in the world’s largest economy. The Nikkei 225 in Tokyo is up 0.5% while the S&P/ASX 200 in Sydney is 0.6% and the Kospi in Seoul traded flat. The Hang Seng Index in Hong Kong is up 0.3% but the Shanghai Composite is down 0.1%.

In other asset classes, the US dollar strengthened while the euro was little changed at $1.3601.The Japanese yen weakened to Y102.26 against the dollar, its lowest point against the currency since June 10, before heading to Y102.11. Elsewhere, gold was steady at $1,319 per ounce after falling 0.5% as investors dumped the haven for riskier assets such as equities. Economic data in Europe is thin on the ground Friday, while there are no reports out of the US due the public holiday there.

Data of Germany this morning showed factory orders fell 1.7% in May, following a revised 3.4 percent increase the previous month. That’s more than the 1.1% figure expected by as geopolitical risks hit confidence in the country.

In the Euro zone, traders this morning are reviewing the European Central Bank’s policy meeting in the previous session which saw the bank stick with the policies it introduced a month ago, which so far haven’t helped to tackle the low-inflation in the region.

Ishaq Siddiqi
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk

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10H30

UBS daily roundup - Jobs are being created

Paul Donovan daily briefing.

• Yesterday's US employment data was strong, clearly – even if a majority of jobs being created are part time jobs. This is consistent with an expanding small business sector, cautiously seeking to increase capacity..

• The US services ISM seemed to confirm the trend towards stronger employment. There were some comments about late payments damaging the healthcare sector, which is of interest in the wake of the Q1 GDP weakness.

• The ECB has graciously condescended to allow mere mortals some kind of insight into its "thinking" about monetary policy, and will start publishing minutes from next year (sixteen years too late, but better late than never).

• ECB meetings will reduce in frequency. Given the cumbersome nature of a committee of 25 people (from next year) it is to be hoped they are somewhat longer. German manufacturing orders make their appearance today. It is hard to be too enthused by that.

www.ubs.com/investmentbank

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9H50

ECB Coeure: Low Rates, Liquidity In Best Interest Of EZ Savers

BERLIN (MNI) - European Central Bank Executive Board member Benoit Coeure Thursday defended the Bank's policies of low interest rates and ongoing liquidity support against concerns the strategy could fuel an asset price bubble and erode the value of savings in the Eurozone.

In prepared remarks on the topic of "Price Stability As the Basis of a Sustained Recovery" delivered to the Wirtschaftstag 2014 economic conference organized by Germany's Christian Democratic Union political party in Berlin, Coeure said that the Bank's policy decisions were both necessary to guide the currency area towards sustainable growth.

"The purpose of our measures is to help steer the economy back on to a sustainable, long-term path," said Coeure, who stepped in to replace the originally scheduled Mario Draghi. "This is not only in line with our mandate under the Treaty. It is also in the best interest of savers."

"A stagnating economy does not generate returns for savers. Indeed, paradoxically, in a stagnating economy, savers complain about low returns, while borrowers complain about too restrictive credit conditions," he added. "In a chronically stagnant economy, this imbalance between the two sides of the credit market is bound to last and become entrenched."

Coeure stressed, however, that monetary policy alone cannot deliver the kind of sustainable growth needed to lift interest rates from their record lows.

"The only way to move on from the current low interest rate environment is to reinvigorate the productive potential of the euro area economy," he argued. "Much like Ludwig Erhard put Germany back on its feet by establishing a social market economy, euro area governments today need to persevere with their fiscal, structural and institutional reform efforts to revive the area's productive potential and, together with the social partners, trigger a virtuous circle in which price stability and economic dynamism reinforce each other."

Should asset prices continue to rise even if there are no real improvements in the economy or reductions in public and private debt levels, Coeure promised, the ECB could deploy protective macroprudential policy tools.

He also pressed currency area members to continue with the efforts towards much-needed structural reforms.

"The crisis has shown that fiscal credibility needs to be earned ... Delivering on past commitments under the EU framework is essential for this," he said. "Governments should not view the current period of low interest rates and favourable market sentiment as an invitation to abandon the path of fiscal prudence, but rather to accelerate reforms aimed at freeing up growth opportunities."

"In the long term, there is no trade-off between growth and sound public finances. Lower levels of public debt are needed to support a sustainable recovery," he noted.

By Martin Baccardax
MNI London Bureau
Deutsche Boerse Group
www.mni-news.com

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9H45

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading little changed this morning managing to hold on to yesterday’s impressive gains on the back of a well-received US job report.

Recently improving economic fundamentals especially in China and the US have generated renewed optimism that the global recovery is not only continuing but also likely to accelerate in the months ahead, furthermore it has managed to overshadow escalating events taking place in Iraq and the Ukraine.

Trading activity is expected to be rather subdued today with very little data out in Europe and US markets closed for Independence Day. While sentiment remains positive it wouldn’t come as too much of a surprise if a little bit of profit-taking would take place at some stage today.

Stocks after all had a good week so far and taking a bit of money off the table might not be a bad idea even it is more than likely that the same money will be flowing back into stock early next week.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst

Peregrine & Black
www.peregrineblack.com

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9H30

Après les gains de la veille, les indices reprennent leur souffle

Marchés Actions : Marquée par des annonces macroéconomiques de premier niveau, la séance de jeudi a été très mouvementée. En Europe, après un début de séance hésitant, les indices ont effectué des progressions significatives suite aux annonces de la BCE et le rapport sur l’emploi aux États-Unis. Le rapport de la BCE constitue un non-événement, puisque l’institution présidée par Mario Draghi a maintenu le statu quo sur ses taux. Le taux de refinancement reste donc à 0,15 %, son plus bas niveau historique, et le taux de dépôt reste négatif, à - 0,10 %. Par ailleurs, la BCE a annoncé que les TLTRO auront lieu tous les trois mois entre septembre 2014 et juin 2016, avec une maturité de deux ans à chaque fois. Cependant, les regards des investisseurs se sont principalement posés sur le rapport sur le marché du travail aux États-Unis. Le marché s’attendait à ce que le rapport officiel du département du Travail soit encourageant, et il n’a pas déçu. Il a même dépassé le consensus. En effet, les chiffres officiels ont démontré la création de 288 000 emplois nets non agricoles en juin, contre les 215 000 attendus. Avec cette bonne nouvelle, le taux de chômage est tombé à 6,1 % de la population active, son plus bas depuis septembre 2008. Si le nombre deux chômeurs de longue durée reste élevé, ces données permettent d’espérer une croissance plus importante que prévue de l’économie étasunienne au deuxième trimestre.

Avec cet optimisme, les indices se sont vus dopés et ont clôturé dans le vert. Le Cac a pris 1,02 %, à 4 489,88 points. A Londres, le FTSE prend 0,72 %, le DAX de Francfort avance de 1,19 % et l’Euro Stoxx gagne 1,13 %.

A Wall Street Le Dow Jones a franchi la barre des 17 000 points, en grimpant de 0,54% à 17 068,26 points. Le S&P 500 a pris 10,82 points, soit 0,55%, à 1.985,44 points et s’est rapproché d’avantage de la barre des 2000. Enfin, le Nasdaq Composite s’est adjugé 28,19 points, soit 0,63%, à 4485,925 points.

Aujourd’hui, la séance s’annonce moins chargée, alors que les marchés intégreront les annonces de l’emploi américain et de la BCE. Les bourses de Wall Street étant fermées, les volumes d’échange seront limités. Cela porte donc à croire que les bourses européennes devraient marquer une pause après les gains de la veille. A quelques minutes de l’ouverture, le CAC 40 pourrait perdre jusqu'à 0,2%, tandis que le Dax et le FTSE pourraient rester proches de l’équilibre.

Forex : Le dollar poursuit son appréciation face au dollar après la publication des excellents chiffres du chômage américain hier. Les américains ont créé plus 20% d’emplois en plus au mois de juin avec un chômage presque à 6%, un nouveau niveau record. On passe de 224k pour le mois de mai à 288k en juin. Alors certes ce sont majoritairement des contrats de travail temporaires mais cela permet tout de même de valider pour de bon cette fois ci la reprise de croissance. Les opérateurs sont rassurés et le font savoir rapidement en achetant la devise américaine, d’ailleurs la paire EUR-USD retombe sur les 1.36 à la mi-journée d’hier alors que le niveau des 1.3650 était maintenu sur le début de semaine.

Le dollar s’est apprécié également par rapport au Yen en passant de 101.2 à 102. L’euro quant à lui s’est encore davantage déprécié puisque ce matin la parité avec la monnaie Nippone n’était plus qu’à 138.82.

Seule la livre sterling s’en sort face au dollar qui cote maintenant 1.7159 un niveau jamais atteint depuis 2009. Cela confirme d’ailleurs la tendance qui a débuté depuis mi-2013.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, les deux pétroles de référence dans le monde se dirigent tout droit vers une deuxième baisse hebdomadaire alors que la Libye se prépare à reprendre les exportations dans deux de ses terminaux d’exploitations et que les violences en Irak continuent à se maintenir dans la région Nord du pays.

Selon la National Oil Corp, la Libye va donc reprendre dès que possible sa production depuis les terminaux d’Es Sider et de Ras Lanouf, respectivement premier et troisième plus gros terminaux d’exploitations du pays. Les négociations sur les ventes de brut ont d’ores et déjà commencé. Rappelons que le pays était devenu le plus petit producteur de l’OPEP alors qu’il détient les plus grandes réserves pétrolière d’Afrique.

En Irak, la région Sud du pays qui permet 75% de la production journalière n’a pas encore été touchée par les combats entre l’armée gouvernementale et les rebelles islamistes. Ce pays, deuxième plus gros producteur de pétrole membre de l’OPEP devrait exporter 2,8 millions de barils par jour ce mois contre 3,3 millions avant le début des violences. Le Général de l’armée des États-Unis, Martin Dempsey, a déclaré lors d’une conférence au Pentagone hier, que les forces armées du pays ne seront probablement pas en mesure de reprendre les territoires perdus et donc qu’une aide extérieure était à envisager. Le rôle des conseillers militaires, présents sur le terrain, pourrait par conséquent se voir élargi.

L’ouragan Arthur, le premier majeur de la saison, a frappé la côte Est des États-Unis en Caroline du Nord après avoir atteint la catégorie 2 avec des vents de près de 161 km/h, ce qui pourrait entrainer une diminution du trafic routier au cours du mois de Juillet, pendant le pic de la saison de conduite.

Ce matin, le WTI et le Brent évoluent en ordre dispersé, le premier cédant 0.12% à 103.94$ tandis que le brut de référence européen s’échange aux encablures des 111.10$ soit un gain de 0.09%.

Du côté des métaux précieux, c’est une journée dans le vert qui commence. L’or engrange 0.15% à 1 320.76$, tout comme l’argent qui progresse également de 0.15% à 21.17$. Le métal jaune se maintient en dessous de son plus haut niveau en près de trois mois, mais devrait enchainer une cinquième semaine de progression.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

30 juin 2014

États-Unis : des signaux conjoncturels incohérents

Au-delà de la réaction épidermique du T-Note, la forte révision du PIB du 1T14 (-2,9%Ta), pose la question de la réalité de la reprise américaine. La révision de la consommation de services en mars a totalement bouleversé la lecture qui pouvait être faite de l'activité entre janvier et mars. La consommation privée en termes réels a diminué en mai. L'acquis de croissance des dépenses des ménages atteint à peine 1,2%Ta au 2T14. Compte tenu de la faiblesse du commerce extérieur, du rebond timide de l'investissement et des restrictions budgétaires, aucun indicateur de demande ne parait porteur.

A l'inverse, du côté de l’offre, les ISM sont au-delà de 55, l'emploi se renforce (NFP ~200-250k, chômage à 6,3%) avec des inscriptions au chômage autour de 300k et des créations de poste en hausse forte en mai (4,5mn d'emplois vacants). Les heures travaillées affichent un acquis de croissance de 4%Ta au 2T14 après deux mois. L'indice de la Fed de Chicago qui compile 85 indicateurs suggérait une croissance supérieure au potentiel dès février-mars. L'atonie de la consommation tranche donc avec la dynamisme apparent du marché du travail. Par ailleurs, le crédit à la consommation accélérait en avril (+26mds $, plus fort gain mensuel depuis décembre 2010). Les mises en chantier semblent reprendre le chemin de la hausse (autour d'1mn d'unités) et le NAHB gagne 2 points en juin à 49.

Si l'offre paraît dynamique et la demande faible, il peut s'agir d'un fort effet de restockage. Cependant, les chiffres d'inventaires d'avril suggèrent un ralentissement de l'accumulation de stocks. L'autre façon de réconcilier le niveau des heures travaillées et le niveau de la demande serait un effondrement de la productivité. Bref, le plus probable reste un rebond de la croissance après la forte contraction du 1T… mais l'incompatibilité entre les indicateurs d'offre et de demande rendra la séquence à venir très difficilement prévisible.

Extrait de "Stratégie obligataire hebdo" de Natixis AM


Corporate Finance : commentaires du jour

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

- Techniwood lève 5 M€ auprès d’Electranova Capital 03/07/2014
- Laurent-Perrier annonce l’acquisition de la société de négoce François Daumale 03/07/2014
- Zoomici lève 1,3 M€ auprès d’Esfin Gestion et Rhône-Alpes Création 03/07/2014
- Viadeo renforce ses fonds propres à hauteur de 32,7 M€ lors de son introduction en Bourse 03/07/2014
- Neopack Solutions accueille Rhône-Alpes PME Gestion, Créinvest et Bourgogne Franche-Comté Croissance à son capital 03/07/2014
- Fabien Billet conseille Quintessence dans le cadre de sa levée de plus de 800,000 € auprès d’Audacia 03/07/2014
- Hogan Lovells conseille Terwingo dans le cadre de la reprise des activités de Sodetal 03/07/2014
- Groupe Crit s’empare de la société américaine Actium Consulting 03/07/2014
- Publicis Groupe annonce l’acquisition de Salterbaxter au Royaume-Uni 03/07/2014
- Sabella finalise un tour de table de 4,3 M€

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Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

24 juin 2014

INSSEE - Note de conjoncture : La croissance revient mais ne décolle pas

La reprise de l'activité serait modérée au deuxième trimestre (+0,3 %), en France comme dans la zone euro. Au second semestre 2014, la croissance en France se consoliderait, mais elle resterait modeste (+0,3 % par trimestre).

www.insee.fr/fr/indicateur/analys_conj/conj_resume.htm

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 4 Juillet 2014




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