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FY Daily Briefings - 27 août 2014 (#12 - 19H00)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 27 août 2014 (#12 - 19H00)
#12 - 19H00

Pas de répit pour le chômage au mois de juillet

Analyse économique de Philippe Crevel.

Pour le neuvième mois consécutif, le chômage poursuit sa progression et se rapproche de la barre des 3,5 millions de demandeurs d'emploi (catégorie A).

En effet, au mois de juillet, le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A a atteint 3 424 400 en France métropolitaine. La hausse est de 0,8 % en un mois et de 4,3 % en un an.

Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi, toutes catégories confondues, s'élève à 5 083 800 en France métropolitaine à la fin du mois de juillet (5 386 600 en France y compris Dom). La progression est de 0,8 % (+40 600) au mois de juillet et de 5 % sur un an. Au total, c'est 17 % de la population qui est à la recherche d'un emploi, 10,2 % en ne retenant que la catégorie A. En rapprochant le nombre de demandeurs d'emploi, de la population salariée dans le secteur privé, le taux atteint 24 %.

Si en 2013, la situation des jeunes de moins de 25 ans avait pu s'améliorer avec la montée en puissance des contrats aidés, ce n'est plus le cas actuellement.

Le nombre de demandeurs d'emploi en catégorie A de moins de 25 ans a augmenté de 0,7 % en juillet. Néanmoins, sur un an, l'orientation est toujours à la baisse, -1,8 %. En revanche, les seniors paient très chers la crise avec une montée du nombre de demandeurs d'emploi de 11,6 % sur un an et de 0,7 % en juillet. Les 25-49 ans ont enregistré une hausse de 0,8 % en juillet et de 3,4 % sur un an.

La durée du chômage s'allonge de 3 jours au mois de juillet. En un an, la durée moyenne du chômage s'est accru de plus d'un mois (32 jours). Elle atteint, en moyenne, 529 jours. Près de 43 % des chômeurs sont inscrits à Pôle Emploi depuis plus d'un an. Pour les plus de 50 ans, la durée moyenne s'élève à 496 jours en progression de 39 jours en un an. La France duale se construit de jour en jour avec un éloignement croissant d'une part non négligeable de la population active du monde du travail.

La Corse sinistrée...

La région Corse est celle dont la progression du nombre de demandeurs d'emploi est la plus élevée, + 11 % contre une moyenne nationale de 4,5 %. Dans les mauvais résultats figurent la région Ile-de-France avec une progression de 6,3 % et Champagne Ardennes avec une hausse de 6,7 %.Parmi les plus faibles augmentations se trouvent la Picardie, la Haute Normandie, Nord-Pas-de-Calais et la Lorraine. Il s'agit de régions qui dans le passé ont été confrontées à de vastes mouvements de désindustrialisation.

La Corse souffre de l'effondrement du secteur du bâtiment et d'une saison touristique moyenne au niveau de l'hôtellerie et de la restauration.

Compte tenu des prévisions de croissance et du climat des affaires en baisse comme l'INSEE vient de le révéler, aucune amélioration n'est à attendre dans les prochains mois. Les mesures d'exonération de charges sociales ne se feront ressentir qu'en 2015. Le Crédit d'Impôt Compétitivité pour l'Emploi n'a pas d'effet réel. Sa complexité et les versements différés par l'administration n'incitent pas pour le moment les entreprises à embaucher.

L'absence de visibilité pèse sur les décisions des entreprises qui reportent leurs décisions d'investissement et donc les créations éventuelles de postes. Malgré d'importants départs à la retraite, plus de 600 000 cette année, il n'y a pas de possible inflexion du chômage pour les trois prochains mois.

Philippe Crevel
Economiste


#11 - 18H30

Le chômage n’en finit plus d’augmenter

Face à cette situation, il convient tout d’abord de rappeler que l’emploi dépend avant tout du carnet de commandes des entreprises. L’inversion de la courbe du chômage passera, n’en déplaise à certains, par la reprise de l’investissement lequel est directement lié à l’amélioration du taux de marge des entreprises qui flirte avec ses plus bas niveaux historiques. A cela viennent s’ajouter les obstacles que sont le coût du travail, la lourdeur, la volatilité des règles administratives, et la complexité du droit social.

Au-delà du Pacte de Responsabilité et face à l’urgence de la situation actuelle il faut donc maintenant engager une véritable réforme du code du travail allant plus loin que la simplification évoquée par Manuel Valls. Mais, dans l’immédiat, la CGPME réclame des mesures d’exception pour l’emploi : allègement des seuils sociaux, allongement de la durée maximale des CDD, accompagnement de la mobilité professionnelle…

Si "la France a besoin de ses entreprises", comme l’a rappelé le Premier Ministre, cet après midi, les entreprises ont besoin, elles, qu’on leur donne les moyens de répondre à cet appel. La ligne est tracée ; reste à s’y tenir.
www.cgpme.fr


#10 - 17H00

Zone euro – La France reste à la traîne; 0,4% de croissance prévue en 2014

Par Gabriel Stein, Oxford Economics.

« La France continue de sous-performer en zone euro, à la suite de sa stagnation du premier semestre 2014.

Les indicateurs PMI ces derniers mois suggèrent que les entreprises manufacturières continuent de souffrir tandis que le secteur des services semble avoir touché le fond. Néanmoins, à cause de la contraction du secteur de la construction, en partie du fait des politiques menées, nous prévoyons une croissance modeste pour 2014, de l’ordre de 0,4%.

Pour 2015, la reprise devrait accélérer légèrement mais pas plus. Si la reprise du commerce extérieur de la zone euro continue, la croissance des exportations devrait accélérer à 3,3%, soutenant un rebond modeste de l'investissement. Cependant, avec un chômage encore élevé, nous nous attendons à une croissance des salaires réels faible l’an prochain, la consommation ne progressant par conséquent que d'environ 1,3%. Du fait des mesures d'austérité, nous nous attendons au total à une croissance de seulement 1% en 2015.

A plus long terme, la croissance devrait rester faible, la France ayant perdu en compétitivité par rapport à ses voisins de la zone euro depuis 2008, ses exportations et l'investissement ne retrouveront pas leur niveau antérieurs. Avec 50 milliards d’euros de dépenses publiques à trouver d’ici 2017, le chômage ne devrait reculer que faiblement sous la pression de l’austérité, limitant la croissance de la consommation à 1,5% par an, et la croissance économique aux alentours de 1,6-1,7% par an, soit 0.5% en dessous des taux d'avant la crise.

Néanmoins, la France semble être maintenant engagée sur la voie des réformes, comme en témoigne le dernier remaniement ministériel, qui pourraient changer la donne et relancer la compétitivité et la croissance sur le long terme, sauf si ce remaniement entrainait des blocages politiques de court terme. »

Oxford Economics
www.oxfordeconomics.com


#9 - 11H45

Commerce extérieur : hausse du nombre des exportateurs français en 2013 (Douanes)

Selon une étude des Douanes publiée en août, malgré la baisse des exportations (- 1,4 %) enregistrée en 2013, la hausse du nombre d’exportateurs s'est poursuivie l'an dernier pour atteindre 121 500 (contre 119 500 en 2012), soit une croissance annuelle de + 1,7 %.

Ce résultat, expliquent les Douanes, reflète « le surcroît d’exportateurs de taille modeste ». Le nombre d' exportateurs de moins de 20 salariés a progressé de 3 % en 2013 par rapport à l'année précédente.

Le retour des "primo exportateurs" explique aussi la tendance : les nouvelles entreprises « entrantes » qui étaient 30 300 l'an dernier contre 29 800 en 2012, dont les deux tiers exportaient pour la première fois. Et cette hausse correspond principalement à un afflux de petites entreprises tournées vers l’Amérique, notamment les États-Unis, où les ventes sont bien orientées, et vers les pays hors Union européenne.

Bémol à cette tendance positive : dans un contexte d’incertitudes quant à la croissance mondiale, le nombre d’exportateurs employant plus de 20 salariés est resté quasiment stable (- 0,3 %). Si les PME (- de 250 salariés) et les micro-entreprises (- de 10 salariés) représentent 88 % de l'ensemble des sociétés exportatrices (121 500), les grandes entreprises (5 000 salariés et plus), elles, ne représentent que 2,6 % du total des entreprises exportatrices, soulèvent les douanes.

Autrement dit, la concentration du commerce extérieur par un petit nombre de grands opérateurs reste entière : les entreprises de moins de 20 salariés, majoritaires dans l'effectif (76 %), ne génèrent qu'un cinquième des flux (23 %). En outre, il faudra voir si les "primo-exportateurs" se transformeront en exportateurs durables : selon des études faites par le passé par les Douanes, un tiers disparaît des statistiques au bout d'un an...

Source : LE MOCI (extrait)


#8 - 11H40

IMF's Lagarde placed under formal investigation

Christine Lagarde, the head of the International Monetary Fund, has been placed under formal investigation on suspicion of negligence by a French court in connection with a political scandal dating back to her time as finance minister under former president Nicolas Sarkozy.

The case stems from allegations that an arbitration process that awarded €400m in 2008 to controversial businessman Bernard Tapie to settle a commercial dispute with the state was rigged because of his support for Mr Sarkozy in the 2007 presidential election.

Source: Financial Times

#7 - 11H15

S&P Closes Above 2,000 and Dow Hits New Intraday High After Record Durable Goods Orders

The S&P 500 closed above the 2,000 level for the first time yesterday, after strong data releases helped the Index to consolidate recent gains. August Consumer Confidence figures beat expectations, coming in at 92.4 instead of the predicted 89. However, the really stellar news was in the field of US Durable Goods Orders; July saw an incredible 22.6% increase, a new record and far beyond the 7.5% expected growth, with a high volume of aircraft orders contributing to the surge. Affected by this news. the Dow also reached a record intraday high yesterday at 17, 153.80. It closed at 17,106.70. moving nearer to the current record closing high of 17,138.20, which was reached 6 weeks ago.

RBS has been fined £14.5 million by the FCA over mis-selling mortgages. The sum is a drop in the ocean compared to previous multi-billion pound fines the bank has had to pay, but it is another unwelcome reminder of past failures at the bank, at a time when RBS is looking to move forward.

Meanwhile, mainland Europe is seeing the Euro at an 11-month low against USD. With Euro zone confidence figures out tomorrow, there is the possibility that sufficiently negative numbers could result in the ECB initiating quantitative easing measures, especially after Mario Draghi’s dovish comments at Jackson Hole over the weekend. The FTSE is currently trading roughly level, but the DAX and CAC are both down slightly, with peace negotiations between Russia and Ukraine somewhat soured by the capture of serving Russian troops on Ukrainian territory.

Today is a quieter day on the macroeconomic front, with markets looking towards tomorrow’s European confidence numbers and unemployment rate figures to provide further direction.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital
www.etxcapital.com


#6 - 11H00

Good Morning Finyear Readers!

European markets are trading little changed this morning taking a bit of a breather after the impressive run-up of the past couple of days.
Overall sentiment has turned to neutral from negative with several indices taking out important moving averages and levels of resistance as of late.
While the situation in Eastern Ukraine hasn’t necessarily escalated in a major way during the past few days, economic data out of the US is continue to come in better than expected stirring hope especially for mainly export oriented economies like Germany that some of the negative impact deriving from the events unfolding in the Ukraine might be neutralised by a powering ahead US economy.
Furthermore with inflation still falling in the Euro-zone optimism is growing again that the ECB will take further measures soon to counteract this worrying trend.
Traders are not necessarily expecting any big moves today as there is very little fresh economic data scheduled for release.
Technically with markets being short-term in overbought territory many preferring to buy dips with markets overall likely to settle into range trading for most of the day.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


#5 - 9H15

Un sentiment positif s'empare des marchés avec un S&P au-dessus des 2000 points

Marchés actions
L’indice phare parisien a une nouvelle fois profité de la tendance haussière qui domine depuis lundi sur les marchés et a clôturé en territoire positif. En s’adjugeant à la fin de la séance à 4 394 points, le Cac 40 gagne +1,2% sur la séance. Les investisseurs gardent en mémoire le discours du président de la BCE, Mario Draghi, qui a évoqué la possibilité de prendre de nouvelles mesures pour soutenir l’économie. Le marché français a également profité des annoncés économiques américaines qui se sont révélées positives. Ce matin, le Cac 40 pourrait marquer une pause dans son ascension et devrait reculer dans les premiers échanges.

A l’instar des marchés européens, pour la deuxième séance consécutive, les marchés américains ont terminé dans le vert. Les investisseurs ont notamment salué la confiance du consommateur américain qui a été publié à 92,4 points soit, son niveau le plus haut depuis le mois d’octobre 2007. L’autre bonne statistique provient des commandes de biens durables qui affichent un mieux de 22,6% pour le mois de juillet. Ce chiffre dépasse largement le consensus établi par les analystes qui était à +7,5%.

Sur le plan international, la rencontre entre le président russe et son homologue ukrainien a rassuré les marchés. En effet, même si de nombreux désaccords persistent, les deux partis semblent vouloir apaiser le conflit. Ainsi, le Dow Jones affiche à sa clôture 17 106,70 points, soit un mieux de 0,17% par rapport à son cours de la veille et le Nasdaq a terminé la séance à 4 570,64 points (+0,29%). Avec l’appétit pour le risque des investisseurs, le S&P 500 a terminé pour la première fois au-dessus des 2 000 points symboliques.

Forex
Sur le marché des devises, la parité phare EURUSD a montré une grande volatilité hier, suite aux résultats plutôt encourageants des commandes de biens de consommation aux Etats-Unis évaluées en hausse de 22% pour le mois de juillet et du sentiment des consommateurs évalué à 92,4 contre 90,3 au mois précédent. Cependant la monnaie unique continue de s’affaiblir face à la devise américaine. En effet, suite au discours de Mario Draghi, président de la BCE, les cambistes anticipent une hausse des taux directeurs de la banque centrale européenne, qui pourrait être effective le 4 septembre, date de la prochaine intervention publique de Mario Draghi. La paire évoluait hier dans un range compris entre 1,3175 et $1,3210. La journée de mercredi s’annonce plus calme, avec des annonces de moindre importance.

Du côté européen, on observera tout de même la publication de l’indice GFK du climat des consommateurs allemands et en Océanie, on surveillera l’indice HIA australien des ventes de nouveaux logements.

Du côté britannique, si la livre n’a que peu évolué depuis la fin de semaine dernière face au dollar, se stabilisant aux alentours des $1,6560, la tendance est toute autre face à la monnaie unique. Les perspectives d’une remontée des taux directeurs dans la zone euro ont incité les cambistes à préférer la livre à la monnaie unique. L’euro s’échangeait aux alentours des £0,8000 en fin de semaine dernière, chutant à £0,7950 ce mercredi matin.

On observe une tendance quasi similaire avec le yuan japonais, qui pour rappel, malgré le maintien du Quantitative Easing décidé par le gouverneur de la banque centrale japonaise pour endiguer la déflation, voit sa monnaie se déprécier face à l’euro. La monnaie unique s’échange aux environs de 136,90 yuans ce matin et le billet vert autour des 104 yuans.

Matières premières
Les Futures de pétrole ont peu changé à New York après avoir progressé de 0,6 pour cent, hier. Le WTI pour livraison Octobre se négocie à $ 93,91 le baril dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, et progresse de 5 centimes ce matin. De son côté le Brent pour le règlement Octobre gagne 24 centimes à $ 102,74 le baril sur l’ICE. Le brut de référence s'échange donc avec une prime de 8,83 $ sur le WTI contre $ 8,64 hier. Le contexte géopolitique n’a pour l’instant pas ou peu changé, puisque le conflit en Irak, le deuxième plus grand producteur de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, a en grande partie épargné le sud, qui abrite environ les trois quarts de sa production de brut.

Quant aux métaux précieux, ils progressent ce matin dans de belles proportions. Ils profitent essentiellement de politiques monétaires toujours très accommodantes à la fois en Europe, au Japon et Outre-Atlantique. L’or se négocie à 1285.61$ (+0.38%) mais reste toujours sous la barre symbolique des 1300$, un niveau qui sera difficile à franchir. L’argent gagne 0.58% à 19.466$ et le palladium se traite à 1421.04$ (+0.39%).

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


#4 - 9H00

UBS daily roundup - 2000.02, an equity odyssey

Paul Donovan daily briefing

• All is for the best in this best of all possible worlds, as the US S&P equity index breaches 2,000 for the first time. True, the breach is only by 0.02, which might suggest equity markets care more about round numbers than economic fundamentals.

• US economic fundamentals have been surprising positively recently – yesterday's consumer confidence data showed further positive sentiment regarding the labour market. However global fundamentals (which matter to large companies) are lagging the US performance.

• Assorted sentiment data is due from the Euro area today – consumer confidence in Germany and Italy, and business confidence in France. It is the Italian and French data that is probably most pertinent to expectations about the ECB's future policy path.

• Geopolitical tensions may be lessening, with positive noise from Russo- Ukrainian talks (although fighting continues in Eastern Ukraine) and a long term cease fire in Gaza. However, market reaction to these risks was limited, so reaction to the abatement of risks should also be muted.

www.ubs.com/investmentbank

#3 - 8H00

Jacques Attali préconise une union économique francophone

La Francophonie présente un "potentiel économique énorme" qu'il convient d'exploiter. Il faudrait notamment réfléchir à une union économique, a conseillé l'économiste Jacques Attali dans un rapport remis au président français François Hollande.

Cette union devrait être "potentiellement aussi forte et intégrée que l'Union européenne afin de renforcer la coopération sur des secteurs économiques essentiels", a-t-il expliqué en présentant à la presse sa recherche consacrée à "la dimension économique de la Francophonie".

Recherche, santé, culture, enseignement, nouvelles technologies : les secteurs sur lesquels pourrait se concentrer cette union sont nombreux, selon Jacques Attali, qui a annoncé la création d'un groupe de travail pour examiner les propositions de son rapport.

770 millions de personnes en 2050
Car, selon l'économiste, le potentiel est énorme, si le nombre de francophones dans le monde, qui pourrait atteindre 770 millions de personnes en 2050, augmente bel et bien.

"Nous pouvons perdre beaucoup mais également beaucoup y gagner. L'impact de la Francophonie peut représenter jusqu'à un million d'emplois et 50 milliards de dollars (46 milliards de francs) au niveau de la balance des paiements", a-t-il estimé.

Pour Jacques Attali, "l'enjeu est considérable mais trop souvent considéré comme anecdotique", en limitant la coopération dans le domaine de la Francophonie aux seules questions culturelles.

Parmi les propositions, figure également la création d'un groupe privé de lycées français de l'étranger "aux côtés du réseau existant", afin de "répondre à la demande très importante d'enseignement en français" dans le monde entier.

"Nécessité à en faire une priorité"
Pour autant, cet enseignement ne doit pas uniquement s'adresser aux élites, a estimé M. Attali, pour qui "l'enseignement de base en langue française est l'une des clés de la réussite pour le développement de ce potentiel économique".

"Si rien n'est fait, le français peut disparaître mais avec des efforts, les francophones peuvent être jusqu'à 770 millions en 2050. C'est un potentiel de croissance économique considérable. Il faut considérer que c'est un moteur majeur de croissance, il y a une nécessité à en faire une priorité", a conclu Jacques Attali.


#2 - 7H45

France Hollande Signals Econ Reforms To Proceed With New Govt

By Jack Duffy and Simon Marks.
--Confirms Michel Sapin Finance Minister
--Emmanuel Macron Named Economy, Industry Minister

French President Francois Hollande signalled on Tuesday that he would stick to his promised reforms, announcing a new cabinet purged of left-wing radicals with economic policy consolidated in the hands of a long-time political colleague and a young former banker.

Hollande's office confirmed Tuesday that Michel Sapin would remain Minister of Finance and Public Accounts in the new government while Emmanuel Macron, a former Rothschild banker, would become Economy Minister.

The appointment of Macron, 37, came as a surprise as Sapin was expected to take over both the finance and economy portfolios. Marcon is widely known for his pro-business views and, before stepping down in June, was one of Hollande's closest economic advisers.

The new ministerial line-up is intended to give France a more coherent voice in European affairs, where Hollande intends to work with Italian Prime Minister Matteo Renzi to obtain more flexibility for budget-deficit reduction efforts but without alienating German Chancellor Angela Merkel.

Barclays analyst Philippe Gudin said in a client note before the new government was named that the reshuffle represented a "welcome clarification" of France's economic strategy.

Hollande's decision is "a way of showing his commitment to European policies," Gudin said. "He will not suspend fiscal consolidation, as Montebourg and the 'rebels' are calling for, but he will also resist calls from Germany to tighten fiscal policy further to meet nominal deficit targets."

Hollande's main problem at home will be to maintain parliamentary support to push through key legislation, like the 2015 budget, which will include E21 billion of the E50 billion in spending cuts he has promised from 2015 to 2017.

With many Socialist legislators rebelling against Hollande's supply-side remedy of business tax cuts and public spending reductions, he will have to rely on support from the opposition centre-right UMP party and smaller parities like the Ecologists to get his reforms approved.

"It's going to be very difficult," said Eoin Drea, an economist at the Center for European Studies in Brussels. "Even with a cabinet reshuffle [Hollande] will still face left-wing pressures within the Socialist party."

Drea said that France's credibility is on the line both in financial markets and in Brussels, where progress on structural economic reforms will be necessary if Paris hopes to win the European Commission's approval to slow its deficit reduction efforts because of weakness in its economy.

"France still has world class companies in important industries, but there is this sense of aimless drift," Drea said.

MNI Paris Bureau
mni-news.com


#1 - 7H00

Où va donc le bi-cycle mondial ?

Written by Jean-Paul Betbèze.

Où va donc le bi-cycle mondial ?

L’économie mondiale va sur un bi-cycle : le cycle des affaires, le business cycle bien connu, le cycle de la finance, financial cycle. Le cycle des affaires se produit en moyenne tous les 5/7 ans, en liaison avec des phases d’excès d’investissement et d’euphorie boursière. Le cycle de la finance apparaît tous les 10/15 ans, en liaison avec des innovations financières et il est 4 à 5 fois plus violent. Voilà donc pourquoi il faut être bien plus attentif à la finance qu’à l’investissement, parce que c’est plus violent. Voilà aussi pourquoi on l’est moins : parce que c’est moins souvent. C’est dommage, parce qu’il devient de plus en plus violent ! On le voit tous les jours.

Source : http://www.betbezeconseil.com/zoom/ou-va-donc-le-bi-cycle-mondial/

25 août 2014

Bilan de rentrée avant l’heure - note de Christopher Dembik, économiste chez Saxo Banque

Bilan de rentrée avant l’heure

- Quand les marchés cèdent à la psychose
- Jackson Hole : Le banquet des banquiers centraux
- Bulles spéculatives : L’éternel retour
- Nos deux paris boursiers pour le deuxième semestre 2014

Juste avant la rentrée de septembre, il est temps de faire un bilan des huit premiers mois écoulés sur les marchés financiers et de revenir sur nos prévisions.

Quand les marchés cèdent à la psychose…

L’été ne fut pas si calme que cela sur les marchés boursiers mais ce serait avoir une lecture erronée des dernières semaines que d’affirmer que la tendance de fond dominante depuis le début d’année est définitivement derrière nous. Tant que le S&P 500 maintient le cap au-dessus des 1900 points, on peut être prudemment optimiste pour le deuxième semestre boursier des deux côtés de l’Atlantique.

Nous anticipions une correction de l’ordre de 5% à 10%. Elle est d’environ 8% pour le CAC 40 par rapport à son point haut annuel. Ce mouvement de baisse généralisée est survenu plus tôt que prévu mais il semblait inévitable car, le marché manquant de catalyseurs, il avait besoin de reprendre son souffle après quasiment six mois de hausse ininterrompue. Peu ou prou le même bilan peut être dressé pour les autres indices européens et pour les indices américains.

Il semble indéniable que le risque géopolitique, comme très souvent en période estivale, a constitué l’excuse idéale pour corriger. Si on effectue un rapide retour en arrière, la situation actuelle en Europe de l’Est n’est guère plus préoccupante du point de vue des places boursières qu’en juin ou en mars derniers. La psychose actuelle à propos des craintes d’invasion de l’Ukraine par la Russie sont largement infondées, ne reflètent pas la realpolitik russe et devraient rapidement s’estomper à la rentrée.

D’ici la fin du mois, on peut anticiper sans trop de risques un maintien des ranges opérationnels depuis août sur les indices européens. Les points bas atteints le 8 août dernier, à savoir les 4100 points pour le CAC 40, les 8900 points pour le DAX 30 et les 387 points pour l’AEX 25, devraient limiter l’amplitude d’un nouveau repli. A la hausse, on prendra en compte les 4260-4300 points pour le CAC 40, les 9400 points pour le DAX 30 et enfin les 410 points pour l’AEX 25.

A l’inverse des indices boursiers, le marché des changes semble comme immunisé par les remous géopolitiques. Le Dollar Index a bien connu un sursaut cet été pour atteindre un plus haut annuel mais, en ce qui concerne les principales paires Forex, les tendances de long terme demeurent. En toile de fond, une volatilité qui est toujours préoccupante et qui risque de s’imposer durablement comme la norme sur le marché, rendant l’intérêt du trading intraday faible.

L’EURUSD suit paisiblement sa pente descendante en direction de notre objectif énoncé au printemps dernier à 1.3225/50. L’AUDUSD, récemment pénalisé par de mauvais chiffres australiens, a encore un potentiel de rebond à court terme mais, à moyen terme, un repli vers les 0.91 reste d’actualité. Enfin, tout porte à croire qu’une sortie du range établi depuis février pour l’USDJPY n’est pas pour demain mais, contrairement au consensus de marché, nous maintenons notre vision baissière à moyen terme vers les 99 puis les 98.

Jackson Hole : Le banquet des banquiers centraux

Cette deuxième partie d’août est habituellement calme, au moins au niveau des grandes annonces. C’est souvent l’occasion pour les investisseurs de revenir sur les bancs de l’université et d’apprendre des banquiers centraux. Ces derniers vont faire leur rentrée à Jackson Hole.

On peut anticiper une piqûre de rappel salutaire à l’intention des opérateurs de marché et des politiques pour rappeler, une énième fois, qu’on attend beaucoup trop de la politique monétaire qui ne peut, en aucune façon, se substituer à la politique budgétaire. Un message qui ferait tout à fait sens en France…

A part cela, rien de nouveau. Vu la psychose actuelle sur les marchés financiers, il y a fort à parier que Mario Draghi et Janet Yellen vont chercher à ne pas faire de vagues. Devant les caméras du monde entier, ils vont sûrement se contenter de se féliciter du travail accompli et ils auront, ensuite, tout loisir de s’inquiéter en coulisse de la nouvelle crise qu’ils alimentent en essayant de sortir de celle de 2007-2008.

Bulles spéculatives : L’éternel retour…

Les risques sur les marchés sont, en effet, élevés. La politique monétaire occidentale de taux d’intérêt très bas a attisé les phénomènes de bulle spéculative qu’il n’est plus question de nier. Les bulles sont présentes sur le marché des obligations d’entreprises à haut rendement aux Etats-Unis, où on a constaté depuis début août d’importants mouvements de sortie de capitaux, sur certaines valeurs internet et des réseaux sociaux, ou encore sur la dette souveraine. Les taux d’emprunt historiquement bas dans la zone euro reflètent, à maints égards, une bulle qui est la conséquence de la politique monétaire de la BCE et de son programme OMT. La déconnection entre la sphère réelle et la sphère financière n’a jamais été aussi patente depuis la bulle internet des années 2000.

Pour autant, les risques à court et moyen terme sont faibles. Souvenons-nous qu’Alan Greenspan mettait en garde en 1996 les investisseurs à propos de l’évolution des indices et qu’il aura fallu quatre ans de plus pour que la bulle éclate. Surtout, soyons optimistes puisque le simple fait de parler depuis le début d’année des risques de bulle montre que les opérateurs sont plus vigilants, peut-être mieux informés si on se raccroche à la théorie des marchés efficients.

Nos deux paris boursiers pour le deuxième semestre 2014

Pas d’éclatement de la bulle pour demain ni de krach obligataire comme en 1994, mais il n’en demeure pas moins qu’au regard du niveau de valorisation des indices majeurs, investir sur le marché boursier américain, voire même sur le marché européen, parait problématique.

Plusieurs outils permettent d’en juger, à l’instar du ratio cours sur bénéfices ajusté cycliquement (ratio CAPE) dont le niveau actuel incite à la prudence. Le potentiel de hausse à moyen terme est assez limité et on ne peut en aucun cas nier un phénomène d’exubérance irrationnel qui fausse les cours. Dans cette perspective, suivre le flot d’investisseurs se plaçant sur le S&P 500 ou le Dow Jones ne semble pas très opportun.

Pour le deuxième semestre, nous privilégions plutôt des marchés exotiques à plus fort potentiel. Nonobstant le risque géopolitique indéniable, nous maintenons notre vision positive pour le MICEX russe et ses principales composantes bancaires et énergétiques qui ont montré leur forte résilience au cours de la première partie de l’année. L’indice principal de la Bourse de Moscou affiche un repli de 6% depuis janvier et certains titres sont même sous-évalués à hauteur de 50%. Tout porte à croire qu’à moyen terme le rebond est assuré. N’oublions pas que le MICEX avait regagné en l’espace d’environ cinq mois tout le terrain perdu suite à l’annexion de la Crimée. On peut anticiper que ce scénario se reproduise dans les prochains mois, une fois la tragédie de la Malaysia Airlines moins présente dans les esprits et la détente entre Moscou et l’Ouest actée.

Notre deuxième pari pour le semestre commencé est le marché boursier israélien qui est intégré depuis 2010 à l’indice MSCI Pays Développés. Le point commun avec le marché boursier russe, c’est bien sûr la présence d’un risque géopolitique. Cependant, là encore, nous considérons que l’impact à moyen terme est minime sur les valorisations. Notre intérêt porte notamment sur le TA-100, qui est plus large que le TA-25 de référence, et comporte de nombreuses entreprises innovantes des secteurs énergétiques et des NTIC susceptibles d’être cotées également au Nasdaq. Notre biais positif s’appuie sur une analyse historique, puisqu’au cours des 25 dernières années, le TA-100 a connu une meilleure performance que le S&P 500, mais également sur des anticipations favorables pour plusieurs titres de la cotation. Il s’agit notamment d’Elbit Systems et de Delek Israel Fuel qui, via Alvner Oil Exploration et Delek Drilling, est engagé dans l’exploitation du champ gazier Leviathan.

Les opportunités d’investissement n’ont jamais été aussi présentes, en dépit du climat d’incertitude économique et financière en Occident. Il suffit simplement d’oser détourner son regard de Paris et de New York.

Corporate Finance : commentaires du jour

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Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

Juillet 2014 : Le taux d’inflation annuel de la zone euro en baisse à 0,4%

Celui de l'UE en baisse à 0,6%.

Le taux d’inflation annuel de la zone euro1 s’est établi à 0,4% en juillet 20142, contre 0,5% en juin. Il s’agit du taux d’inflation annuel le plus faible depuis octobre 2009. En juillet 2013, il était de 1,6%. Le taux d’inflation mensuel a été de -0,7% en juillet 2014.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 27 Août 2014




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