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FY Daily Briefings - 26 septembre 2014 (n°9 - 15H00) | La volatilité reprend sur les marchés, le dollar en sort grand gagnant

Daily Briefings by Finyear. Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 26 septembre 2014 (n°9 - 15H00) | La volatilité reprend sur les marchés, le dollar en sort grand gagnant
N°9 - 15H00

La volatilité reprend sur les marchés, le dollar en sort grand gagnant

Marchés actions :

Sur les marchés actions, les principales bourses européennes et américaines ont marqué le pas et se dirigent tout droit vers une perte hebdomadaire. La semaine a été faible en annonces macroéconomiques et l’aversion pour le risque est devenue le sentiment dominant pour les investisseurs après avoir pourtant été rassurés la semaine dernière. Les investisseurs en ont profité pour prendre des bénéfices avant le début de la saison des résultats d’entreprises du troisième trimestre.

Faute de catalyseurs majeurs cette semaine, les investisseurs se sont tout d’abord tournés vers les indices de PMI Manufacturier et Service de la Chine, de la France, de l’Allemagne, des Etats-Unis et de la zone euro mardi dernier. Tout d’abord, ils ont scruté le PMI chinois qui était attendu à la baisse, confirmant le ralentissement économique de la deuxième puissance économique mondiale, mais qui est sorti à 50.5 contre 50.2 pour le mois précédent. L’activité manufacturière est donc en expansion. Dimanche dernier, la Chine avait indiqué ne pas vouloir mettre en place de nouvelles mesures complémentaires de soutien à l’économie.

La semaine avait mal continué suite à la publication de l’indice IFO allemand qui est sorti en berne. Les investisseurs continuent de se montrer globalement inquiets de la situation en zone euro. Le président de la BCE, Mario Draghi, a déclaré, à nouveau, vouloir maintenir une politique ultra-accommodante pour redresser l’économie de la zone euro à l’instar des Etats-Unis, dans le but de relancer notamment l’inflation.

Les investisseurs se montrent également inquiets de la force du dollar qui a très fortement progressé au cours du dernier trimestre face à ses principales devises de contreparties avec une hausse proche de 6.3% contre l’euro. La monnaie unique s’échange ainsi proche de son plus bas niveau au cours des deux dernières années. Cette baisse brutale pourrait impacter les sociétés américaines tournées vers les exportations.

La Bourse de Tokyo a progressé à contre-courant par rapport à l’ensemble des bourses mondiales, affichant une progression hebdomadaire de 1.01%, en dépit du discours du premier ministre japonais Shinzo Abe. En effet, ce dernier a annoncé que la faiblesse du Yen face à sa principale devise de contrepartie, à savoir le dollar, pouvait être inquiétant pour l’économie de son pays. Néanmoins, les valeurs exportatrices ont continué de profiter de la hausse du Dollar face au Yen. A noter que le PMI manufacturier japonais est sorti légèrement en dessous du précédent à 51.7 contre 52.2 précédemment.

Les investisseurs attendront cet après-midi la dernière estimation du PIB américain du deuxième trimestre, alors que les faibles volumes d’échanges traduisent les inquiétudes des investisseurs et leur aversion pour le risque. Aucune tendance claire ne se dégage avant l’ouverture des marchés américains dans quelques minutes. Avant leur ouverture, le S&P500 et le Nasdaq cèdent respectivement 2.26% et 2.76% sur la semaine tandis que le Dow Jones recule de « seulement » 1.85%. De leur côté, à mi-séance, le CAC 40 grappille 0.69% depuis ce matin, ce qui donne un recul hebdomadaire de 1.72%. Le Dax et le Footsie britannique abandonne plus de 2% sur la semaine.

Forex :

Cette semaine sur le marché des devises, la monnaie unique est en net recul face au billet vert. La monnaie américaine a été dopée par le message de Janet Yellen, présidente de la Réserve fédérale, qui laissait entrevoir une hausse de taux plus forte qu'anticipée en 2015. Le billet vert a également été porté par les excellentes annonces des ventes de maisons neuves aux États-Unis pour le mois d’août, évaluées à 504 000. Aujourd’hui, outre-Atlantique, seront publiés les résultats du PIB pour le deuxième trimestre.

La monnaie unique européenne est tombée sous le seuil de $1,28, une première depuis Juillet 2013. L'euro, une nouvelle fois pénalisé par un indice Ifo du moral des entrepreneurs allemands paru en dessous du consensus, à 104,7 points en septembre, contre 106,3 points en août, continue d’illustrer une reprise économique plus que laborieuse sur le vieux continent.

Les secteurs manufacturiers et des services n’étaient guère plus satisfaisant. Mardi, l'indice PMI composite de la zone euro s'est établi à 52,3 points, contre 52,5 points en août. En Allemagne, comme en France, les deux moteurs économiques de la zone Euro, les indices étaient également mitigés, à 50,3 outre-Rhin contre 51,2 espéré et 49,4 dans l’hexagone contre 50,1 attendu. Les mauvais chiffres en zone euro étaient de nature à alimenter des spéculations sur la nécessité de nouvelles actions de la Banque centrale européenne (BCE) pour tenter de soutenir l'activité dans la région. La paire principale du Forex s’échange aux environs des $1,2743 en cette fin de semaine.

Outre-Manche, le résultat négatif du référendum écossais sur l’indépendance du pays, a rassuré les cambistes et les agences de notations. Moody's a confirmé la note de solvabilité financière de la Grande-Bretagne ("Aa1"), estimant que la victoire du "non" au référendum écossais permettait de "préserver" le cadre institutionnel et budgétaire du pays. Par ailleurs, le discours du gouverneur de la Bank of England, Mark Carney, laisse entrevoir un prochain relèvement des taux mais le calendrier exact dépendra de la conjoncture économique. Les perspectives de l'économie britannique se sont nettement améliorées et la décision de relever les taux directeurs n'est qu'une question de mois. L'économie britannique devrait connaître une croissance de plus de 3% cette année, plus forte qu'aucun autre grand pays industrialisé, et son taux de chômage est au plus bas depuis 2008. La livre sterling a ainsi grimpé à un pic vieux de plus de deux ans face à l'euro. La paire EURGBP se traitant à £0,7806 pour un euro en cette fin de semaine.

Du coté asiatique, la monnaie unique reculait cette semaine face à la monnaie nippone, alors que le dollar restait plutôt stable. La publication de l’indice des prix, cette nuit, légèrement inférieure aux attentes du consensus au Japon, a permis aux valeurs occidentales de reprendre un peu de terrain face au yen. Il est à noter qu’avec le regain de tension et la décision américaine d’intensifier les frappes en Syrie contre l’Etat Islamique, le yen se retrouve une nouvelle fois dynamisé par son statut de valeur refuge. L’euro s’échange aux environs des 138,91 yens et le billet vert aux alentours des 109,05 yens en cette fin de semaine.

Dans la zone Océanie, le dollar australien a enregistré cette semaine son plus bas niveau face à l'euro depuis plus de deux mois en raison des perspectives négatives concernant l'activité en Chine. L'Aussie parvenait toutefois à reprendre de la hauteur en cette fin de semaine, après la publication d'un indice des directeurs d'achat (PMI) du secteur manufacturier supérieur au consensus à 50,5 points pour le mois de septembre. Sur les marchés, la devise européenne s’échangeait à 1,4487 dollars australien en cette fin de semaine et le billet vert à 1,1370 dollars australien. En Nouvelle-Zélande, la devise reculait nettement en cette fin de mois face à ses principales contreparties, après le discours du gouverneur de la Banque centrale du pays, Graeme Wheeler qui estime le niveau du kiwi injustement bas depuis plusieurs mois.

Matières premières :

Le contrat sur le Brent est parti pour une troisième semaine de baisse consécutive alors que les spéculations sont abondantes sur l’approvisionnement en pétrole dans les pays du moyen orient. La plus large coalition arabo-américaine depuis la dernière guerre du golfe a frappé les principaux objectifs ciblés de l’Etat islamique en Irak et en Syrie. Des avions de L’US Air Force avec notamment les nouveaux F-22 ont détruit hier plusieurs raffineries de pétrole dans l’est de la Syrie, la partie contrôlée par l’Etat Islamique. Après les premières frappes contre des forces terrestres, la coalition cherche maintenant à détruire toutes les sources de revenus du groupe terroriste. A noter que la situation est très regardée puisque l’Irak est rappelons le deuxième plus grand producteur de brut de l’OPEP. Il faut toutefois noter que même si le problème est encore loin d’être résolu il semblerait y avoir de moins en moins d’impact sur le brut. L’abondance des approvisionnements garde les prix des barils à des prix relativement bas sur la dernière période.

En Libye, la production a pu augmenter de 925 000 barils par jour ce qui va dans le sens de la baisse du brut. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole cherche à soutenir déjà depuis plusieurs mois une reprise de la production après une année de troubles.

Le contrat novembre sur le Brent se traite à $97.01 le baril sur l’ICE. Le volume de tous les contrats à terme négociés était d’environ 48% inférieur à la moyenne des 100 jours. Cette année on reste sur une baisse de 13%. De l’autre côté de l’Atlantique, le contrat WTI échéance novembre à également légèrement progressé à $92.54 le baril sur le Nymex. Il est tombé de 27 centimes à $92.53 hier. Le brut de référence américain s’échange avec une prime de $4.53 par rapport à l’européen.

Du côté des métaux précieux, l’once d’or coté en dollars a subi une importante volatilité cette semaine. Tout d’abord en chute libre an début de semaine, le métal jaune s’est vite repris hier sur fond de reprises de tensions géopolitiques après avoir touché un nouveau plus bas sur les $1205. Il a été jusqu’à même passer la tête au-dessus des $1230 tôt ce matin. L’or a été aidé par la géopolitique mais aussi par la fébrilité des marchés boursiers actions.

Sur la livraison immédiate l’once se stabilise au-dessus des $1221 ce matin. Il se dirige donc malgré toute attente sur une hausse sur la semaine d’environ 0.8%. Un rebond essaye de se faire sur les niveaux supports de janvier.

L’argent a augmenté aussi de 0.8% cette semaine à $17.6619 l’once mettant fin à deux jours de baisse et coupe l’herbe sous le pied à un quatrième recul hebdomadaire. Si l’on regarde cette fois ci la prime de l’or contre l’argent sur le XAUAG on remarque que celle-ci s’est appréciée tout au long de la semaine. Les investisseurs ont clairement préféré le jaune en faisant fuser la prime.

Le platine au spot s'échangeait à $1317 l'once contre $1314 hier. Les prix ont même chuté sur le niveau symbolique des $1300 avant de se reprendre. Le métal précieux s’est lui, contrairement aux autres adjugé une quatrième semaine de baisse.

Sur l’agriculture, la longue baisse continue, le contrat sur le blé cogne les niveaux supports de 2010 et se dirige encore pour une semaine de baisse. Les couvertures sont donc toujours appréciables.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°8 - 14H30

Les paradoxes de l’euro

par Eric Galiègue - Valquant.

La baisse du taux de change de l’€ a continué cette semaine. A moins de 1,27 hier contre le $, l’€ est au plus bas depuis un an. La baisse est proche de 9 % depuis fin avril.

Comme nous l’avions écrit à plusieurs reprises, la meilleure façon de sauver l’€ est qu’il se déprécie. C’est un des paradoxes de l’€, mais il est évident que, aujourd’hui, l’ajustement à la baisse de la parité de notre monnaie peut contribuer à la relance économique, si nécessaire pour 2015. En favorisant le retour de la croissance, la baisse de l’€ renforce l’Europe et pérennise sa propre existence. Comme l’a dit M. Draghi en juillet 2012, il fera tout pour sauver l’€, et manifestement mieux vaut un € faible mais vivant et contribuant à la croissance, qu’un € fort et mettant en danger la construction européenne elle-même.
Le second paradoxe de l’€ est sa corrélation avec les indices boursiers. En effet, alors qu’investisseurs et analystes appellent la baisse de l’€ de leurs vœux, il se trouve que plus l’€ baisse, plus la Bourse baisse ! Nous avons analysé depuis très longtemps les relations entre l’évolution du taux de change externe et les cours des actions. Il apparait qu’actuellement, et ceci depuis une quinzaine d’années, la corrélation est positive entre l’€ et l’indice CAC40 (ou tout indice européen). Plus l’€ baisse, (plus le $ monte), et plus le cours des actions européennes se déprécie. Il en est de même en ce qui concerne la corrélation avec le niveau des taux obligataires : depuis une quinzaine d’années, plus les taux baissent, plus la bourse baisse, et inversement.

Du point de vue de la sphère réelle, la hausse du $ est indéniablement une bonne nouvelle pour les entreprises européennes. Elle leur offre un gain de compétitivité monétaire précieux en ces temps de stabilité des prix, voire de déflation. Toutes choses égales par ailleurs, on peut considérer que la baisse de l’€ devrait catalyser des révisions en hausse des prévisions de bénéfices des entreprises. C’est une bonne nouvelle, de nature à faire monter le cours des actions. A cet argument fondamental, on peut ajouter un argument plutôt financier. En effet, la baisse de l’€ augmente le pouvoir d’achat des investisseurs américains : avec le même nombre de $, ils peuvent acheter 9 % d’actions européennes supplémentaires, par rapport à la situation de fin avril… Un fonds américain qui programmerait systématiquement l’achat mensuel de 10 millions de $ d’actions européennes, exercerait une demande d’actions 9 % supérieure en septembre, par rapport à avril…

Pourtant, malgré ces deux arguments, la hausse du dollar fait plutôt baisser le cours des actions européennes. En fait, il faut invoquer le cycle de la sphère financière, pour lever ce deuxième paradoxe. En effet, le dollar peut être aussi considéré, dans une certaine mesure, comme le thermomètre de l’aversion au risque. Dans les phases de stress, les investisseurs achètent des obligations d’Etat (ce qui fait baisser les taux), des dollars (ultime devise refuge), vendent les matières premières et les actions (notamment européennes). C’est bien ce que l’on a observé depuis le printemps dernier. Ainsi, la hausse du dollar est concomitante et corrélée avec la baisse des taux souverains et la baisse des cours des actions européennes. Elle reflète souvent un stress financier.

C’est pour cela que, de ce point de vue, la hausse du dollar est inquiétante. Même si, du côté des entreprises et de la sphère réelle, elle doit faciliter le retour de la croissance en 2015, elle porte un risque de correction à court terme. Comme l’argument financier de court terme l’emporte, jusqu’à preuve du contraire, sur l’argument réel à plus long terme, nous restons prudents… à court terme.
Investisseurs : nous sommes neutres sur les actions pour un CAC 40 en dessous de 4 400, nous sous pondérons les actions au-delà de ce seuil.

www.valquant.fr


N°7 - 12H00

- Yellen is walking on eggs; the difficult exercise of changing forward guidance
- Bad Chinese data

Yellen is walking on eggs

The big bazooka versus the precision instrument

After 2008 the US natural real rate (i.e. the one that equates savings and investment intentions at the point of full employment fell deeply into negative territory. This is the reason why conventional monetary policy could not kick start the economy and the Fed had to resort to QE and forward guidance to gain traction. Both instruments more or less mimic the effect of conventional rate cuts, albeit in a more imprecise way.

In this respect, one should note that the effect of a rate cut is twofold: First of all, rate cuts breed expectations of future rate cuts and thus lower the entire yield curve. This then causes the private sector to substitute towards more risky assets. Secondly, the private sector knows the central bank will continue to ease until the economy recovers because of which nominal growth expectations will rise. Both QE as well as forward guidance aim to lower the entire yield curve and to generate the associated positive effect on nominal growth expectations. The big difference is that QE suppresses term premiums while forward guidance works through lowering the path of future expected policy rates.

As the recovery progresses and slack is being eroded, the (unobservable) neutral real rate will rise. After all, a recovery in private demand by definition means less saving and more investment appetite. If the central bank does not change the actual real interest rate than monetary policy automatically becomes more stimulative over time. Given the deep hole the US economy fell in after 2008 this “endogenous monetary policy loosening” is probably seen as desirable by the Fed. However, once the recovery is firmly established it is prudent to gradually start removing some of that accommodation, also because “lower for longer” creates risks of stretched valuations in asset markets if maintained for too long. It is clear that the Fed is currently closing in on that point and all this makes life a lot more difficult for the FOMC.

In this respect, we recall that over past few years the Fed clearly changed its relative preference for the two instruments mentioned: The importance of QE was downgraded while more emphasis was put on forward guidance. QE is obviously the “big bazooka” instrument which has unlimited firing power but which also lacks precision in the sense that it is hard to calibrate the precise degree of easing delivered by x bn worth of asset purchases. Also, because QE operates through lowering the term premium it tends to depress the risk premiums of other financial assets as well. The latter is desirable in a situation where an exploding degree of risk aversion is threating to create its own reality (the late 2008/early 2009 situation).

However, in a more normalized financial market environment such a compression of risk premiums could increase financial stability risks if maintained for too long. By contrast, forward guidance is a tool which operates on what is very familiar ground for the central bank, i.e. the management of expectations of future policy rates. In this sense it is a much more precise instrument but it also lacks the “big bazooka” element inherent in QE. In view of all this the relative preference change in favour of forward guidance makes a lot of sense when the economy travels further along the road of recovery.

The difficult exercise of changing forward guidance

The fact that QE has been put on the back burner by the Fed is pretty clear from the very predictable, almost mechanical, way in which the taper has proceeded and also from the fact in which the Fed intends to deal with its bloated balance sheet in future. The size will be maintained for some time after the start of rate hikes and at some point the balance sheet will be allowed to shrink automatically as the Fed will cease its policy of reinvesting maturing assets. By the end of the decade Yellen then expects that excess reserves will have fallen back to zero.

Hence, the real action in the next few months will take place in the realm of changing the nature of forward guidance. The essential switch the Fed has to make here is to gradually reduce the commitment content of its guidance and tie it more to the outlook for the real economy. For the market this implies a considerable increase in the degree of uncertainty about future policy rates which is why gradualism is of the essence here if the Fed wants to avoid a repeat of the taper tantrum.

There is little need to envy Yellen and her colleagues in this respect. This is an exercise in walking on eggs if ever there was one. Nevertheless, so far the FOMC is doing a pretty good job. In the run up to the September FOMC meeting the big question was whether or not the statement would drop the “considerable time” code word. It is instructive to recall that this exact same term was also used to signal policy intentions between August 2003 and January 2004.

Nevertheless, there is an important difference now. Some 10 years ago “considerable period” was sort of a rolling commitment which could easily be changed at every meeting without the Fed being accused of reneging on earlier promises. This time around the commitment is explicitly tied to the period of time which occurs after the end of asset purchases. Of course, this commitment is a conditional one, i.e. it holds only as long as maintaining this promise is consistent with the Fed’s price stability and full employment mandate. Hence, one of the conditions under which the Fed will deviate from this commitment is if slack erodes so fast that it puts the stability of inflation expectations at risk. Nevertheless, in view of the latest inflation and labour market trends it is very hard to make the case that the Fed should renege on this promise. If it had done so anyway, this could have damaged its credibility.

Well in the end the Fed did not do so and by next month this issue will have become an academic one. After all, the taper will end in October which will put the Fed in the 2003 situation where “considerable period” becomes a rolling commitment that can be changed without much credibility loss. The reason the market had been toying with the idea is simply that some Fed members, including the more dovish Rosengren, had stated they wanted to move away from calendar base guidance towards guidance based on the state of the economy. It seems pretty certain that the majority of the FOMC agrees with this but decided that this was not yet the time to do so.

What’s more, given the conditionality attached to it, one can question whether the “considerable period” phrase really constitutes calendar guidance. However, in the perception of the market this is clearly the case as it is thought to mean “6 months”. This is both because the time period between removing the phrase in January 2004 and the first rate hike was 6 months and because Yellen mentioned this number in the March press conference (even though that was probably a slip of the tongue).

The big question thus remains how the Fed will reduce the commitment content of its forward guidance. Perhaps also here the 2003-2004 example is instructive. After “considerable period” was dropped back then, the FOMC moved to “patient” in removing policy accommodation. Once the point of lift-off is determined forward guidance is likely to focus on telegraphing to the market that the pace of hiking will be gradual.

In fact, the case for gradualism is clearly supported by two other features of the September FOMC statement. First of all, the notion that there is still “significant underutilization” of labour resource was maintained. Hence, all those who expected the Fed to become less optimistic on its ability to reverse part of the supply side damage have been disappointed for now. In the press conference Yellen established her credentials as a dove on these labour market issues once again. She said that she still viewed low wage inflation as a sign of significant labour market slack and remains of the view that there is a “meaningful cyclical shortfall” in the participation rate. Secondly, the characterization of inflation in the statement also became decisively more dovish. In July inflation was deemed to have “moved somewhat closer” to the target. This time around it was seen as “running below” this target.

Dot plot difficult to interpret

Yet, not everything in the September version of the FOMC show had a dovish flavour to it. One can always count on the infamous “dot plot” to put a bit of a spanner in the works. The market focused a lot on the fact that the year-end median forecast for the policy rate moved up by 25 bps for 2015 and 37.5 bps for 2016 (while being roughly in line with the estimate of the long run neutral policy rate at the end of 2017). In fact since the start of the year the Fed own policy rate forecasts have increased significantly. For instance, the median forecast for 2016 has increased from 1.75 in December 2013 to 2.88 now while the increase in the mean forecast over that period was from 2.18 to 2.68. But then of course this is only to be expected given the fact that it has now become more likely that US private demand is on a sustainable above trend growth pace. The fact that the median has risen more than mean underscores the fact that the risk distribution has tilted in the direction of a continued closing of the output gap.

What the dot plot thus tells us that the FOMC has taken the improvement in the economy on board and now feels more comfortable with the prospect of embarking on a hiking path next year. However, we are not sure it tells us much else. The dot plot’s ease of exposition gives the impression that it allows for straightforward conclusions about the Fed’s policy intention but this is really misleading. Rather, it is an imprecise and tricky communication device.

First of all, the plot contains the dots of both voting and non-voting members and gives no information on who is a voter or not. What’s more, voting rights rotate each year between the regional Fed Presidents. What really matters for the final decision are usually the views of the core of the FOMC. These dots are almost certainly more dovish than the first moments of the dot plot distribution suggest.

Secondly, each member is asked to submit his modal (i.e. most likely) forecast so the dot plot does not take the skew in the risk distribution individual members attach to their forecast into account. Yet, risks and the skewness of risks are in practice very important elements in the decision to vote for a change in the policy rate or not. In view of all this we are not too concerned that there is a gap between the first moments of the dot plot and more dovish market pricing. In fact, Yellen herself stated it is not “completely clear there is a gap”.

All in all we retain our view of a first rate hike in Q3 with the risks clearly tilted towards an earlier rate hike. We expect the Fed to gradually start tweaking its forward guidance as of October when the taper is finished. This could be a recipe for some market volatility even though that is not a certainty.

China: real estate worries and export hopes

Pressure on Chinese growth continues to increase. The main problem is the rapid growth in leverage of the past six years, that has made the financial system more vulnerable. The authorities understand that they cannot rely as much on new credit growth as they have done since the 2008 global crisis. At the G20 meeting last weekend, the Chinese Finance Minister said that there will not be any major policy changes because of more pressure on growth. This is the first time that the Chinese government is implicitly admitting that the official growth targets are not set in stone. More tolerance to lower growth should mean that growth will be substantially lower in the coming years. We keep our GDP growth forecasts at 6.2% and 5.3% for 2015 and 2016, respectively.

Chinese house prices fell by 1.1% month-on-month in August, which was the worst monthly result since 2005, when nation-wide house price data became available. On a year-on-year basis, price growth has declined to only 0.5% now. Despite the negative sales and price dynamics, big accidents have not happened yet. Perhaps we are now seeing the first major local problem in Chinese real estate. In Handan, a 1.5 million third-tier city, 32 real estate developers have acute funding problems. The government has stepped in to protect home buyers, but several projects have stopped construction. Some Chinese-language newspapers write about “a full-scale housing collapse.”

We can expect more of these local real estate crises in the tier-3 and tier-4 cities, where supply has been far above demand for several years already, and where shadow-banking practices have been most aggressive.

While the real estate, construction and heavy industry sectors are slowing rapidly, the export sector is doing relatively well. Growth has been in single-digit territory for several years now, but at least it is not coming down further. The 2 points rise in the new export component in the September flash PMI (from 52 to 54) can be called encouraging. Also positive was the acceleration in Korean export growth in the first twenty days of September, to 10%.

Willem Verhagen, Senior Economist
Maarten-Jan Bakkum, Senior Strategist Emerging Markets
ING IM


N°6 - 11H30

En septembre 2014, la confiance des ménages reste stable

En septembre 2014, la confiance des ménages reste stable. L’indicateur qui la synthétise est au même niveau depuis le mois de juillet. Il reste sensiblement en dessous de sa moyenne de longue période.

Situation personnelle

Situation financière : quasi-stabilité
En septembre, l’opinion des ménages sur leur situation financière personnelle future est quasi stable (–1 point). Celle sur leur situation financière personnelle passée s’améliore légèrement (+2 points).
La proportion de ménages considérant comme opportun de faire des achats importants est quasi stable (–1 point).
Ces trois soldes demeurent nettement en dessous de leur moyenne de longue période.

Capacité d’épargne future : en baisse
En septembre, l’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne future s’altère (–3 points). Leur opinion concernant leur capacité d’épargne actuelle est quasi stable (–1 point). Ces deux soldes se maintiennent au-dessus de leur moyenne de long terme.
La proportion de ménages considérant qu’il est opportun d’épargner est stable en septembre. Elle reste légèrement inférieure à sa moyenne de long terme.

Contexte économique en France

Niveau de vie en France : léger recul
En septembre, l’opinion des ménages sur le niveau de vie futur en France et celle sur le niveau de vie passé se dégradent légèrement : les deux soldes perdent 2 points. Ils demeurent nettement inférieurs à leur moyenne de longue période.

Chômage : craintes en hausse
Les ménages sont un peu plus nombreux à considérer que le chômage va augmenter : le solde correspondant s’élève de 3 points. Il reste donc au-dessus de sa moyenne de long terme.

Inflation passée : de nouveau en recul
Les ménages sont de nouveau moins nombreux à considérer que les prix ont augmenté. Le solde correspondant baisse de 5 points supplémentaires en septembre, dans le prolongement du recul amorcé en octobre 2013. Il reste par conséquent largement en dessous de sa moyenne de long terme, à son plus bas niveau depuis décembre 1999.
En revanche, après la baisse en août (-5 points), les ménages sont en septembre plus nombreux à anticiper une augmentation des prix (+3 points). Le solde correspondant repasse au-dessus de sa moyenne de long terme mais se maintient néanmoins en deçà des niveaux constatés entre juillet 2012 et juillet 2014.

Graphiques :
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=20&date=20140926


N°5 - 10H30

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading lower this morning seeing early follow-through selling as Asia and the US followed suit overnight ending their trading sessions on a very sour note.
Worries that overall global economic growth is weakening again especially with Europe and China struggling of late and some stock valuations having become excessive with corporate profits lagging behind is making investors feel a bit uncomfortable at the moment what stocks are concerned.
However despite yesterday’s substantial move to the downside technically markets are still well within the trading range seen during the past few weeks, consequently while short-term sentiment is negative, mid-term markets are still neutral.
The problem many investors are facing is that besides weaker economic growth there is also a lack of new impulses in general which would cause stocks to break through to the upside and post new high, strongly rebounding economic growth or better than expected corporate profits would be needed as potential catalysts to draw new money into the markets.
Technically there is still plenty of room left to the downside, however with today being the last trading day of the week it wouldn’t come as too much of a surprise if markets would try to stage a bounce especially if some shorts would decide to lock in some profit at some point today furthermore with prices having come off substantially over the past few days current levels are certainly much more attractive than they have been for a while now.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N° 4 - 9H30

L’envergure du nouveau cycle monétaire américain est encore mal évaluée par les marchés

Alors que les cycles monétaires sont en voie de divergence de part et d’autre de l’Atlantique, les facteurs d’incertitude sont nombreux sur les marchés obligataires. Le consensus des analystes de marché évalue encore mal l’impact du resserrement monétaire à l’œuvre aux États-Unis.

Selon Thibault Prébay, Directeur de la gestion Taux chez Quilvest Gestion, « si l’ensemble des investisseurs commencent à intégrer une première hausse des taux directeurs de la Fed au premier semestre 2015, ils anticipent surtout une remontée très graduelle. Le consensus table sur un objectif à long terme de 2,5% pour les taux Fed Funds. C’est sous-estimer l’ampleur du resserrement, qui se justifie désormais par la robustesse des indicateurs économiques américains. Nous pensons plutôt que les taux directeurs atteindront assez rapidement 4%, selon une progression par palier de 0,25% lors de chaque réunion monétaire à compter d’avril 2015 ».

Plusieurs anomalies de marché sont aujourd’hui préoccupantes, c’est le cas sur les taux à deux ans américains. Thibault Prébay constate que « l’emprunt d’Etat à deux ans procure encore une rémunération excessivement faible au regard de l’avancée du cycle monétaire et des composantes économiques américaines. Alors que la Fed est assez claire quant au calendrier du resserrement monétaire, le niveau du taux à deux ans U.S. devrait théoriquement se situer entre 1,30% et 1,50% aujourd’hui. Or, celui-ci plafonne encore à 0,55%. Cet écart de valorisation pourrait susciter d’importantes corrections, avec une hausse brutale des taux obligataires d’ici la fin d’année ».

Concernant zone euro, la fébrilité de la reprise économique a incité la Banque Centrale Européenne à redoubler d’efforts. Le niveau d’inflation risque de se maintenir à un niveau durablement faible, autour de 0,5%. « Les raisons sont structurelles. Les tendances démographiques, en particulier le faible taux de natalité constaté dans bon nombre de pays européens, contribuent à freiner la consommation et les dépenses des populations. Cela va peser sur la croissance économique européenne dans les années à venir » explique Thibault Prébay.

L’assouplissement monétaire de la BCE a permis à réduire significativement les écarts entre les taux de financement des différents Etats au cours des dernières années. « Nous observons un resserrement global des spreads et donc une re-corrélation des taux souverains vers des niveaux planchers. Ce mouvement a réduit les opportunités d’arbitrage géographique, puisqu’en relatif, les taux souverains des pays périphériques ne procurent quasiment plus de surprime de risque par rapport aux taux core, historiquement bas ».

Dans ce contexte, l’équipe de Quilvest Gestion continue de privilégier une stratégie d’investissement prudente. « Nous restons à l’écart des emprunts d’Etat, dont l’essentiel de la convergence a été réalisée. Leurs niveaux de valorisation ne sont plus attrayants. Sur le marché du crédit corporate européen, nous limitons notre exposition au segment High Yield de notation ‘B’, souvent dépendant de la croissance économique.

En revanche, nous privilégions les maturités courtes et couvrons les obligations longues (celles dont la maturité est supérieure à 5 ans) via des futures, pour réduire le risque de taux. Les obligations ‘short duration’ libellées en euros sont intéressantes. Nous apprécions également les obligations convertibles. Ces titres apparaissaient relativement ‘chers’ en début d’année. Leurs contreperformances récentes offrent désormais des points d’entrée à nouveau attrayants » conclut Thibault Prébay.

À propos de Quilvest Gestion :
Quilvest Gestion est la société de gestion de Quilvest Wealth Management, Groupe Quilvest. Dédiée aux investisseurs institutionnels, Quilvest Gestion dispose d’une forte expertise de gestion sur les taux obligataires depuis 1993, sous formes de mandats et d’OPCVM. Quilvest Gestion compte aujourd’hui près de 3 milliards d’euros d’actifs sous gestion.


N°3 - 9H15

Les marchés restent hésitants en cette fin de semaine

Marchés actions
Les principaux indices européens ont souffert des mauvaises nouvelles en provenance des Etats Unis et n’ont pas réussi à terminer la séance dans le vert. Dans un contexte où l’aversion pour le risque était dominante, l’indice phare parisien décroche de 1,32% à 4 355,28 points pour un volume d’échanges de 3,7 milliards d’euros. A l’instar du Cac 40, Francfort recule de 1,57% et Londres de 0,99%. Le manque d’annonces économiques en Europe et les tensions géopolitiques pèsent également sur le moral des investisseurs.

Du côté des actions on note la belle performance de Airbus qui a terminé la séance à 48,58€ soit un mieux de +2,19% par rapport à son cours de la veille. Les investisseurs ont salué le premier vol d’essai de l’A320Neo qui s’est déroulé avec succès.
Après la tendance baissière de la dernière séance, les indices européens devraient ouvrir en hausse ce matin.

Hier les opérateurs de marché ont pris connaissance d’une batterie de statistiques américaines qui n’ont pas été à la hauteur des espérances. Tout d’abord, les commandes de biens durables affichent un recul de 18,2% alors que le consensus des analystes était à 16,3%. Ce recul important représente un niveau non franchi depuis 1992. L’indice PMI est sorti également en dessous des attentes à 58,5 points, alors que la prévision était à 59,5 points. La seule statistique publiée meilleure que prévue est celle relative aux nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage. Celles-ci ont été publiées à 293 000 au lieu des 300 000 attendus.

Les investisseurs ont sanctionné ces mauvais résultats et ont conduit les principaux indices américains en territoire négatif. Ainsi, le Dow Jones recule de 1,54% à 16 945,80 points et le Nasdaq affiche un recul de 1,94% à 4 466,75 points.

Les marchés asiatiques ont également souffert du manque d’entrain des investisseurs. L’indice Nikkei et le Topix ont clôturé la séance respectivement à 16 229,86 points et 1 331,95 points.

Forex
Sur le marché des devises, la monnaie unique européenne continue de reculer face au billet vert. La baisse s’est même accélérée hier, l’euro touchant un plus bas à $1,2697, niveau qu’il n’avait pas atteint depuis plus de 14 mois. Ce matin, l'euro recule de 0,44% contre le dollar à 1,2730.

L'euro a plongé à son plus bas depuis novembre 2012, après les propos tenus en début de mois par le président de la BCE Mario Draghi, victime des doutes des investisseurs concernant une éventuelle reprise économique dans la zone euro. En effet, d'un point de vue économique les indices PMI de l'union monétaire avant-hier et l'indice Ifo allemand de septembre, ont tous deux été annoncés en deçà des attentes.

A l'inverse, la Fed américaine, devrait le mois prochain annoncer la fin de ses opérations de “quantitative easing” (QE), selon le consensus. Puis elle devrait entamer le relèvement de ses taux directeurs aux environs de début 2015, à mesure que la conjoncture américaine prendra de la vitesse.

Seules statistiques significatives du jour, le PIB américain et la consommation des ménages à 14h30 et pour finir l'indice de confiance du Michigan à 15h55.

Au Royaume-Uni, le discours du gouverneur de la Bank of England, Mark Carney laisse entrevoir un prochain relèvement des taux mais le calendrier exact dépendra de la conjoncture économique. Les perspectives de l'économie britannique se sont nettement améliorées et la décision de relever les taux directeurs n'est qu'une question de temps, a-t-il déclaré dans un discours. Pour rappel, deux membres de la BoE avaient voté en faveur d'une hausse lors de la dernière réunion de politique monétaire, au début du mois. L'économie britannique devrait connaître une croissance de plus de 3% cette année, plus forte qu'aucun autre grand pays avancé, et son taux de chômage est au plus bas depuis 2008. Toutefois, l'inflation dans le pays n'est que de 1,5%, nettement inférieure à l'objectif de 2% que s'est fixé la BoE, et les salaires augmentent à un rythme encore plus lent. La livre sterling a ainsi grimpé à un pic vieux de plus de deux ans face à l'euro. La paire EURGBP se traitant à £0,78813 pour un euro ce matin.

Ce matin, après la publication de l’indice des prix légèrement inférieure aux attentes du consensus au Japon, le yen cède du terrain face au dollar et à l’euro. Si hier la devise japonaise a bien progressé face aux devises occidentales, tirant profit de son statut de valeur refuge, l’annonce quelque peu mitigée de cet indicateur économique maintient le yen sous pression. Le cross EURJPY est évalué aux environs de 138,92 yens et un dollar vaut environ 109,11.

Dans la zone Océanie, le dollar néo-zélandais, recule nettement face au dollar américain, après le discours du gouverneur de la Banque centrale du pays, Graeme Wheeler. Ce dernier estime que le bas niveau du « Kiwi » sur le marché des changes est injustifié. Le dollar américain gagne ainsi 1,59% à 1,2578 dollar néo-zélandais en fin de journée jeudi.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, le pétrole tentait de se stabiliser après la hausse inscrite suite au rapport du Département américain de l’Energie. En effet, la baisse surprise des stocks a soutenu le marché. Néanmoins la nouvelle accélération à la hausse du dollar hier a pesé sur l’or noir. L’euro a en effet reculé à 1,2695 au plus bas de la journée. Les investisseurs se trouvaient donc tirailler entre plusieurs catalyseurs. A l’annonce des stocks et au renforcement du dollar, il faut également ajouter le risque géopolitique. En effet, les américains ont lancé les premières frappes contre des raffineries contrôlées par l’état islamique en Syrie. Par ailleurs, les bombardements se poursuivent en Irak. Il convient néanmoins de relativiser car malgré ces frappes, l’offre de ces pays n’est pour le moment pas perturbée.

Dans ce contexte, sur le Nymex, le baril Light Sweet Crude évolue autour des 92,5. De son côté, le Brent de la Mer du Nord s’échange, ce matin, contre 96,9 dollars.

Sur le front des métaux précieux, les tensions géopolitiques et la nervosité des marchés actions profitent à l’or. Le métal jaune parvient à nouveau à s’éloigner de la zone des 1200 dollars. Toutefois, le rebond apparait fragile alors que la tendance de fond semble privilégier un renforcement de l’économie américaine et par conséquent du dollar. Ce matin, l’once d’or se traitait contre 1 223 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 9H00

UBS daily roundup - Action from central banks

Paul Donovan daily briefing.

• The illusion of Abenomics seems to be wearing ever thinner. Consumer price data was a) decelerating, b) weaker than expected and c) some way away from the 2% inflation target that Mr Abe promised would be hit. It raises speculation of more Bank of Japan action.

• Discussion of US Federal Reserve action continues with hawkish Dallas Fed President Fisher sounding, well, hawkish. He suggested that rates could rise sooner rather than later, and was rather generous in assuming that the market expected an increase as early as next spring.

• US final Q2 GDP is due today (it is nothing like final, as the data will be revised for years to come). We expect a positive revision to 4.7% annualised on the back of healthcare spending normalising and better inventory numbers. Final Michigan consumer sentiment is also due.

• German GfK consumer sentiment was a little weaker than expected. From the UK Hometrack house prices rose 5% yoy – broadly in line with nominal GDP and nominal income growth. A normal housing market does not really need an abnormally accommodative monetary policy.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 8H00

Market Open: Investors take a breather; German sentiment in view

By TradingFloor Team / Saxo Bank Denmark.

- Fed's Lockhart says refrain from hiking interest rates until late 2015.
- Apple slipped 3.8% as the company pulled software update, iOS 8.0.1
- Japan's CPI climbs 3.3% in August in wake of July rise of 3.4%

Forex Overnight: USD trading firmer

The USD is trading higher against its major counterparts this morning. In a noteworthy event yesterday, a Federal Reserve Bank official, Dennis Lockhart, urged the central bank to refrain from hiking interest rates until late 2015. Meanwhile, another Fed official, Richard Fisher, hinted that the Fed might start raising interest rates “sooner rather than later”.

Looking ahead, traders keenly await the revised US second-quarter Gross Domestic Product data and the final Reuters/Michigan consumer sentiment figures for further direction. In the Eurozone, German GfK consumer confidence data will be tracked for further cues and is expected to show a marginal deterioration for October. At 05:00 GMT, the EUR and the GBP have declined marginally against the USD to trade at $1.2747 and $1.6309, respectively.
The JPY has declined 0.2% and 0.1% against the USD and the EUR, respectively. Earlier today, data showed that consumer price inflation in Japan eased in August.
UK Stocks: Expected to open steady.

FTSE 100

The FTSE 100 is likely to open flat.
There are no key economic indicators scheduled for release today.
Digital Globe Services (DGS), EU Supply (EUSP), Produce Investments (PIL) and Public Service Properties Investments (PSPI) are scheduled to report results today.
The Financial Times has reported that Lloyds Banking Group (LLOY) sold an 11.5% stake in TSB Banking Group (TSB) through an accelerated book building process for about GBP 161 million.
According to the Times, Andrew Tyrie, the chairman of the Treasury Select Committee and the Parliamentary Banking Standards Commission, has urged all politicians to refrain from interfering in Royal Bank of Scotland Group’s (RBS) decision on its next chairman.

Asia: Trading mostly weaker

Asian markets are trading mostly lower this morning tracking overnight losses on Wall Street.

In Japan, Japan Display (6740) tumbled, hurt by a broker rating-downgrade. Suntory Beverage & Food (2587) declined amid news that the company might split its spirits and beer businesses from Suntory Liquors. Among other notable decliners, ANA Holdings (9202) and Toyota Motor (7203) lost value. On the upside, Nitori Holdings (9843) rallied on the back of upbeat first-half year profit. Fanuc Corporation (6954) gained after it raised its annual profit estimate. At 05:00 GMT, the Nikkei 225 index has declined 1% percent to trade at 16,206.1.

In South Korea, LG Electronics (066570) and Hyundai Motor (005380) declined. In China, property sector stocks are under pressure after Moody's warned that home sales in China might drop up to 10.0% in 2014. The nation’s biggest lender, Industrial & Commercial Bank of China (601398) shed value. In Hong Kong, index heavyweight, Tencent Holdings (700) fell, while Want Want China Holdings (151) declined, leading losses among consumer staple sector stocks.

US Stocks: Futures trading in the green

At 05:00 GMT, S&P 500 futures are trading 1.9 points stronger.

Key economic indicators scheduled for release today include Gross Domestic Product, Personal Consumption and Reuters/Michigan Consumer Sentiment Index.

Finish Line (FINL) and Biota Pharmaceuticals (BOTA) are scheduled to announce results today.

In the after-hours trading session yesterday, Nike (NKE) jumped 7.3% on the back of upbeat first-quarter earnings. General Motors (GM) added 0.5% after Standard & Poor’s upgraded the company’s credit rating back to investment grade. Micron Technology (MU) gained 3.8% following better-than-expected fourth-quarter results. Symantec (SYMC) advanced 1.5% after it named Michael A. Brown as the company’s permanent chief executive officer. On the flipside, Valeant Pharmaceuticals International (VRX) slipped 5.9%, paring its regular session’s gains.

Yesterday, the S&P 500 index slid 1.6% in the regular trading session, hurt by a sharp drop in shares of Apple (AAPL) and as upbeat economic data in the US bolstered speculation of a sooner than expected hike in interest rates. Additionally, market sentiment was hurt amid concerns over unrest in Syria and after a report revealed that Russian lawmakers have drafted a law that would allow the government to seize foreign property on Russian soil.

Apple slipped 3.8% as the company pulled its new mobile-software update, iOS 8.0.1, following numerous complaints that it caused problems in cellular service. Mining sector stock, Allegheny Technologies (ATI) tumbled 4.8% and emerged as the biggest loser on the index, tracking a drop in commodity prices. Morgan Stanley (MS) fell 2.2% amid reports that Russia’s Rosneft might shun a deal to acquire the company’s oil trading unit. Yahoo! (YHOO) declined 2.3% after a broker downgraded its rating on the stock from 'outperform'to “sector perform.

EMC Corporation (EMC) shed 3.1% after John Chambers, the CEO of Cisco Systems (CSCO), indicated that his company was not interested in acquiring EMC. Cisco Systems lost 1.8%. US Bancorp (USB) slid 1.6% on news that US regulators have imposed a $57 million fine on the company’s subsidiary, US Bank. On the upside, Motorola Solutions (MSI), Broadcom (BRCM) and Newmont Mining (NEM) added 0.7%, 0.4% and 0.3%, respectively.

Europe Stocks: Likely to open mostly unchanged

The DAX is expected to open between nine points lower and nine points higher while the CAC is likely to gain four to five points.

Key economic indicators scheduled for release today include German GfK Consumer Confidence and Import Price Index, French Consumer Confidence and Italian Business Confidence.

Borussia Dortmund GmbH & Co KGaA (BVB), Afone SA (AFO), VRWay Communication SA (VRW), Riber SA (RIB), Airopack Technology Group AG (AIRN), Heliocentris Energy Solutions AG (H2FA), HWA AG (H9W) and Mondo TV France SA (MTF) are scheduled to report results today.

Telecom Italia SpA (TIT) has indicated that it received a proposal from Fintech to extend an agreement to acquire the company’s 22.7% stake in Telecom Argentina.

KUKA AG (KU2) has announced that it plans to buy Swisslog Holding AG (SLOG) in a deal worth around CHF 339 million.

Macro Update

UK house prices remain flat, indicates Hometrack
According to the Hometrack Housing Survey, on a monthly basis, house prices in the UK remained steady in September compared to a 0.1% advance posted in the previous month.
Atlanta Fed chief does not expect rate hikes until mid-2015 or later
The Federal Reserve Bank of Atlanta president, Dennis Lockhart, indicated that improving conditions in the jobs market and accelerating inflation are likely to create conditions for a hike in interest rates in the middle of 2015 or later.

Consumer price inflation in Japan eases
On an annual basis, the consumer price index in Japan climbed 3.3% in August following a rise of 3.4% recorded in the prior month.

Chinese leading economic index rises
On a month-on-month basis, the leading economic index in China climbed 0.7% in August following a revised 1.2% rise posted in July.

Edited by Adam Courtenay


Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Elaïs Capital annonce son entrée au capital de France Elévateur aux côtés d’Argos Expansion et Capital Export 25/09/2014
- Gfi Informatique reprend les activités Oracle-JDE de iORGA Group 25/09/2014
- Acquisition par Somfy Participations de la nue-propriété des titres de Pellenc SA détenus par son fondateur Roger Pellenc 25/09/2014
- AB Courtage passe dans le giron du Groupe ASSU 2000 25/09/2014
- Amundi Private Equity Funds, Sofipaca et PACA Investissement investissent dans le groupe de sociétés Beauté Resort & Bloomup 25/09/2014
- Le management du groupe CTN orchestre son OBO 25/09/2014
- Omnes Capital cède sa participation dans le groupe Legoupil Industrie à Bpifrance et Capitem 25/09/2014
- Le Groupe Foncia rachète Primaliance 25/09/2014
- Le Groupe PGS et Romuald Uzan reprennent Techval et Prodeas 25/09/2014
- Neotys lève des fonds auprès d’Ardian et de Bpifrance pour soutenir son développement international 24/09/2014

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Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

24 septembre 2014

Sommet UE – Canada : Excédent du commerce de biens de l’UE28 avec le Canada de 4 mrds d'euros en 2013


Excédent de 7 mrds des échanges de services.

Après une forte baisse en 2009, la valeur du commerce de biens de l’UE28 avec le Canada s'est redressée au cours des années suivantes, les exportations culminant en 2013 à 31,6 milliards d’euros.
Les importations ont également retrouvé des sommets, à 30,7 mrds d’euros en 2011, avant de retomber à 30,3 mrds en 2012 et à 27,3 mrds en 2013.
En conséquence, l'excédent commercial de 4,3 mrds d’euros de UE28 avec le Canada en 2013 est le plus élevé enregistré depuis 2006.
En 2013, le Canada constituait le douzième partenaire commercial de l'UE28.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 26 Septembre 2014




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