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FY Daily Briefings - 12 septembre 2014 (#12 - 16H45)

Daily Briefings by Finyear. Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 12 septembre 2014 (#12 - 16H45)
#12 - 16H45

Zone euro: l'emploi poste sa plus forte hausse depuis six ans

Oxford Economics vient de publier son dernier Data Insight sur la zone euro. Par Gabriel Stein, Oxford Economics.

« L'activité dans la zone euro n’est pas aussi faible que les données du T2 semblait indiquer. Portés par la baisse de l'euro depuis mars, quelques 360.000 emplois ont été créés entre juin et août, croissance de l'emploi la plus soutenue depuis six ans. De même, après ce qui semble avoir été une faiblesse temporaire au T2, la production industrielle a rebondi de 1% en juillet donnant une assise

solide à l’activité du troisième trimestre. L'activité sera sans doute plus faible cependant à nouveau en août et septembre avec l’impact de la crise en ukrainienne mais, à ce stade, le PIB semble en bonne voie pour une croissance de 0,3% t / t au T3. »

Lien vers le document en anglais

Oxford Economics
www.oxfordeconomics.com


#11 - 14H15

Les indices marquent une pause, le dollar se renforce encore

Newsletter hebdomadaire Saxo Banque.

Marchés actions :

Sur les marchés actions, après une semaine animée avec notamment la conférence du président de la BCE, les marchés ont marqué le pas cette semaine, faute de catalyseurs. Les principales places boursières à travers le monde sont proches de la perte hebdomadaire à l’exception du Nikkei qui a progressé de 1.78% cette semaine.

La fin de semaine dernière aura été marquée par la BCE Jeudi, puis le rapport sur l’emploi aux Etats-Unis le Vendredi qui est ressorti nettement plus faible que prévu avec 142 000 créations d’emplois, soit le plus bas niveau depuis les huit derniers mois. Cette baisse inattendue a été favorable au marché action car cela apaise les craintes des investisseurs de voir la FED avancer ses plans de relèvement de taux lors de sa prochaine réunion mi-septembre.

Les marchés européens marquent le pas après avoir fortement progressé la semaine dernière grâce notamment aux mesures prises par la BCE avec une diminution de son principal taux directeur et la mise en place de deux programmes de rachats d’actifs, l’un sur des ABS, l’autre sur des obligations sécurisées.

Les investisseurs se recentrent sur les risques géopolitiques et particulièrement le conflit russo-ukrainien. Les investisseurs ont bien accueilli le cessez-le-feu entre gouvernement et séparatistes pro-russes mais ce dernier reste toutefois fragile après une recrudescence des violences. L’Union Européenne a mis en place de nouvelles sanctions à l’encontre de la Russie suite à la réunion des ambassadeurs des 28 pays membres en début de semaine. Les nouvelles sanctions prises par l’Union Européenne à l’encontre de la Russie sont entrées en vigueur aujourd’hui. De son côté, Moscou a évoqué la possibilité de limiter les importations de voitures et d’autres biens de consommation. Barack Obama a également annoncé jeudi de nouvelles sanctions américaines, dans les secteurs de la finance, de l'énergie et de la défense.

L’actualité est également rythmée par le référendum en Ecosse. Ce referendum aura lieu le 18 Septembre prochain alors que le « Oui » et le « Non » pour l’indépendance ressortent à tour de rôle dans les derniers sondages.

Du côté asiatique, la Chine a enregistré un nouvel excédent commercial record à 49.8 milliards de dollars, marqué par une seconde baisse mensuelle des importations ce qui appuie la thèse d’un ralentissement de la deuxième puissance économique mondiale. On notera également la progression des exportations qui ont augmenté plus que prévu. Les importations ont ainsi régressé de 2.4% sur un an à 158.6 milliards de dollars après avoir déjà cédé 1.6% au cours du mois de Juillet dernier, tandis que les exportations ont progressé de 9.4% sur la même période à 208.5 milliards de dollars et restent supérieures aux attentes des analystes qui tablaient sur 9.2%. Un certain nombre d’indicateurs confirment l’essoufflement économique de la Chine, et les opérateurs s’attendent à d’éventuelles nouvelles mesures de soutien à l’économie. Rappelons que, suite à la publication au mois d’Avril d’une croissance économique en baisse à 7.4% au premier trimestre, le gouvernement chinois avait mis en place des réductions fiscales et des assouplissements monétaires ciblés. Cette politique semblait porter ses fruits puisque la croissance économique était remontée à 7.5% au deuxième trimestre. Le secteur immobilier souffre particulièrement en Chine, ce qui entraine une baisse de la demande de matière première et plus globalement une diminution des investissements.
La Bourse de Tokyo a clôturé pour la cinquième séance consécutive en territoire positif ce qui permet au Nikkei de terminer à son plus haut niveau au cours des huit derniers mois à 15 948.29 points. La Bourse de Tokyo a progressé de 1.8% cette semaine, portée par les valeurs exportatrices suite au repli du yen face au dollar à son plus bas niveau depuis 6 ans. Le gouverneur de la BoJ a également reprécisé que la politique monétaire du Japon resterait très accommodante.

Les investisseurs sont donc restés sur leur faim dans ce que l’on peut considérer comme une semaine de transition. Après une semaine qui a projeté les indices sur de nouveaux records, les investisseurs attendent donc maintenant de voir l’impact des nouvelles sanctions prises par l’Union Européenne à l’encontre de la Russie, mais également la réponse de Moscou. De plus, les principaux opérateurs se montrent inquiets face à un possible durcissement de la politique monétaire mercredi prochain. La Réserve fédérale américaine, qui réunit son conseil de politique monétaire mardi et mercredi prochain, s’apprête à mettre un terme à son programme d’achat d’actifs en octobre. Il faudra également surveiller le résultat du référendum pour l’indépendance de l’Ecosse.

Forex :

Le marché des devises a traversé une semaine riche en annonces. Suite à la décision du président de la Banque Centrale Européenne, Mario Draghi, de baisser les taux de la BCE à 0,05% et de procéder à des rachats de dettes privés, l'euro a perdu du terrain face au dollar, pour atteindre mardi dernier, son cours le plus bas depuis juillet 2013, à $1,2870. Si entre-temps les rendements en zone euro sont remontés sur les marchés obligataires, rendant la monnaie unique plus attractive, les nouvelles perspectives de sanctions économiques à l’encontre de la Russie maintiennent l’euro sous pression. Outre-Atlantique, les spéculations des cambistes concernant la prochaine réunion du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC) la semaine prochaine ont permis au dollar de se renforcer. Les spéculations quant au rehaussement des taux d’intérêts, ont cependant perdu en intensité après la publication des inscriptions chômages hebdomadaires aux Etats-Unis à 315 000 contre 304 000 le mois précédent. Cette donnée pourrait laisser un peu plus de temps à la FED avant une éventuelle revue des taux. Le cross EURUSD s’échange en cette fin de semaine aux alentours des $1,2930.

Au Royaume-Uni, la livre britannique chutait face aux devises majeures après la publication dimanche dernier d'un sondage indiquant une nette progression des partisans de l'indépendance de l'Écosse à quelques jours du référendum prévu le 18 septembre. La devise britannique a touché l’un de ses plus bas face au dollar américain, non atteint depuis Novembre 2013. On retrouve des investisseurs hésitants face au sterling, en attendant l’issue du vote la semaine prochaine. De nouveaux sondages parus cette semaine indiquent que les deux camps sont au coude à coude en cette fin de semaine. Mardi, le gouverneur de la Banque d'Angleterre, Mark Carney, laissait entendre que la BoE pourrait commencer à relever son taux directeur à partir du printemps prochain. Face à l’Euro, la devise britannique a perdu l’avantage qu’elle avait pris sur la monnaie unique lors de la décision de baisse des taux par la BCE, pour finalement évoluer à la baisse. En cette fin de semaine l’euro s’échange autour de £0,7965.

En Asie, la devise nippone a atteint un plus bas historique depuis Septembre 2008, à 106,33 yens, face un dollar en constant renforcement. Les décevantes publications de l’indice de confiance des consommateurs inférieur au consensus à 41,2 au lieu de 42,3 attendu, ainsi que des chiffres des commandes de machines en net recul, ont fait perdre du terrain à la devise japonaise face à la devise américaine. Le billet vert atteint des seuils qu’il n’avait plus atteint depuis 2008 face au yen. Le dollar se maintenait ainsi au-dessus du seuil des 107 yens, qu'il n'avait plus franchi depuis 2008. La monnaie unique européenne continue elle aussi de gagner du terrain face à la monnaie nippone, s’échangeant aux alentours des 138,60 yens.

Du côté de l’Océanie, malgré des indicateurs d'emploi plutôt bons annonçant une réduction du chômage mais dans le même temps une légère montée de l'inflation, le dollar australien continue de perdre du terrain face au dollar américain s’échangeant en cette fin de semaine aux alentours de $0,9060. La tendance est la même face à la monnaie unique, l’euro s’échangeant aux environs des 1,4270 dollars australiens.

Matières premières :

Le Brent se dirige vers une deuxième baisse hebdomadaire dans un contexte où l’offre de brut ne cesse d’augmenter et la demande mondiale, quant à elle, s'affaiblit. Le Baril a ouvert lundi à $100.95 pour atteindre à son plus bas jeudi les $96.74 et remonter légèrement en début de séance aujourd’hui sur les $98.50.

L'Agence internationale de l'énergie a réduit ses prévisions de demande mondiale de pétrole et l'OPEP a réduit ses objectifs de production. Sur le plan géopolitique, les États-Unis se mettent aux cotés de l'Union européenne et renforcent les sanctions contre la Russie. Les Etats-Unis veulent "approfondir et élargir" les mesures contre les institutions financières de l'énergie et de la défense de la Russie, a déclaré le président Barack Obama dans un communiqué hier, quelques heures après l'annonce par l'Union européenne. La dernière série de sanctions économiques par le bloc des 28 prendra effet aujourd'hui.

Le WTI a quant à lui grimpé légèrement à New York puisque celui-ci ouvre à $93.18 en début de semaine pour se rattraper en fin de semaine sur les $93.34.

Le contrat Octobre sur le WTI était à $93,34 le baril, en hausse de 51 cents, dans les premiers échanges électroniques sur le Nymex. Le contrat a gagné 1,16 $ à $ 92,83 hier. Le volume de tous les contrats à terme négociés était d'environ 3% en dessous de la moyenne de 100 jours. Les prix ont peu changé cette semaine et ont diminué de 5,2% cette année.

L'EIA a réduit ses prévisions pour 2015 et déclaré que l’Arabie Saoudite a exporté le moins en près de trois ans à cause principalement d’une baisse de la demande de la part de la Chine et de l'Europe.

D’après l’institution, la demande devrait augmenter de 1,2 million de barils par jour, soit 1,3%, à 93,8 millions de barils par jour l'année prochaine. Pour le moment, la progression est de 165.000 barils par jour inférieure à ce qu'elle prévoyait il y a un mois.

La production américaine de pétrole a atteint un plus haut de 45 ans. Selon l'Energy Information Administration, le baril de WTI sera en moyenne de $94,67 en 2015 par rapport à la projection Août de $96,08. Le prévisionniste du gouvernement a également dans son étude mensuelle sur les perspectives énergétiques à court terme, réduit son estimation du Brent pour l'année prochaine à $103 au lieu de $105 auparavant.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'attend quant à elle à une perspective de production moyenne de 29,2 millions de barils par jour l'an prochain, 200 000 par jour de moins que prévu il y a un mois. Elle a aussi fait les mêmes estimations pour les livraisons en provenance de pays en dehors de l'OPEP.

Du coté des métaux précieux, l’or a chuté dans un creux de sept mois et l'argent est descendu au plus bas depuis Juin 2013. Le contrat or à échéance octobre a diminué de 0,3% à $1237,74. Il tombe aujourd’hui au plus bas depuis le 23 janvier. L’argent a chuté de 0,5% à $ 18,6148 une once, le prix le plus bas depuis le 28 Juin 2013.

Le prix de l'or sera dicté par la décision de la Fed sur les taux d’intérêt, ce sera sans aucun doute le principal catalyseur avec la géopolitique.

Le contrat octobre sur le platine a diminué de 0,4% à $ 1,364.63 l'once pour tomber à son plus bas depuis 31 décembre. Par ailleurs, le Palladium a reculé aussi de 0,6% à $ 827,55 l'once, au plus bas depuis le 26 Juin.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


#10 - 12H15

What if Scotland Votes Yes?

According to the latest opinion polls in Scotland, the pro independence side has been gaining strength and may now be ahead in the vote set for September 18th. The question on the ballot is very simple: “Should Scotland be an independent country?” But, the implications of a Yes vote are far from simple and treasurers should pay very close attention to the impacts within Scotland and the UK as a whole.

If the Yes side wins, difficult long term issues such as monetary policy, Sterling vs. Euro, new banking regulations, etc. will have to be tackled. However, in the early days, uncertainty could rein supreme causing everyone to act in a hyper risk-averse manner, for which you should be prepared. Expect your CFO to ask some very pointed questions about liquidity on the morning of September 19th or perhaps earlier.

Day 1 Questions:
1. How much cash do we have held with Scottish domiciled banks?
2. What is our risk to investments (direct or through funds) in Scottish and UK corporate paper?
3. What is the maturity schedule and outstanding notional value of derivatives contracts we have with all UK and Scottish banks (FX forwards, interest rate swaps, etc.)?
4. What is the status of our credit agreements with UK and Scottish banks? In the event of a liquidity squeeze in the banking system, do they have the right to unilaterally restrict our access to funds or force early repayment?

Ari Morris
Founding Partner
Global Treasury Partners
www.globaltreasurypartners.com


#9 - 12H00

Le tryptique pétrole, croissance et déflation

Note de Christopher Dembik,économiste chez Saxo Banque.

Tout indique que la dépréciation des prix du baril va se poursuivre dans les prochains mois sous l’effet de la conjonction d’une baisse de la demande mondiale et d’un reflux du risque géopolitique. La prime de risque liée aux évènements de l’été dans le croissant mésopotamien et en Europe de l’Est n’est désormais plus intégrée dans les cours, le marché se tournant maintenant vers les indicateurs macroéconomiques, notamment en Chine et outre-Atlantique.

Bien que la reprise de l’activité soit indéniable, de nombreuses zones de stagnation subsistent, au premier rang desquelles la zone euro. On aurait pu croire que la demande de pétrole soit soutenue dans un premier temps par les bonnes perspectives de croissance américaine pour 2014 et 2015 mais c’est sans compter le fait que les Etats-Unis soient devenus exportateurs nets de pétrole à la faveur de lourds investissements à la fois dans le pétrole conventionnel mais surtout non conventionnel.

Du point de vue de l’OPEP, il parait improbable que l’organisation commence à s’inquiéter du niveau des prix tant qu’ils sont au-dessus des 80 – 85 USD le baril. C’est la zone à ne pas franchir pour ne pas nuire au développement économique des membres du cartel. D’ici là, tout au plus, peut-on s’attendre à un léger ajustement à la baisse de la production dans les prochains mois, en particulier de l’Arabie Saoudite, pour faire face à cette nouvelle donne. Pour l’instant, à en juger par leurs derniers commentaires, les principaux représentants de l’OPEP ne croient pas à un mouvement de reflux durable.

Ce repli des prix du baril constitue en tout cas une véritable opportunité pour renforcer la croissance. Depuis 2011, les économies mondiales se sont habituées à un prix du baril autour des 110 dollars, pénalisant souvent la sortie de crise. Une dépréciation durable de l’ordre de 15% à 20% serait une véritable bouffée d’air frais pour de nombreux pays et permettrait de retrouver une marge de manœuvre significative. En revanche, la baisse des prix de l’énergie, si elle est pérenne, va entretenir les craintes de déflation et souvent mettre en difficulté la politique monétaire, en particulier dans la zone euro, qui est souvent seule apte à lutter contre ce risque. C’est le revers de la médaille.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


#8 - 11H45

Analysis: Eurozone Industrial Output Rebounds Firmly In July

By Martin Baccardax.

Eurozone industrial production advanced more than expected in July, according to data published Friday by Eurostat, suggesting the broader economy could regain some of its lost momentum in the third quarter.

Industrial production expanded at monthly pace of 1%, Eurostat said, reversing a -0.3% decline in June and firmly ahead of the MNI median forecast of a 0.7% gain. On an annual basis, industrial production grew by 2.2%, Eurostat said, well ahead of the MNI median forecast of 1.4%.

Capital goods production led the gains, Eurostat said, rising 2.6% on the month while non-durable consumer goods supported the advance with a 1.2% increase. On the downside, durable goods production fell by -1.2% while energy declined by -1.3%.

On a country basis, Ireland led the Eurozone gains with an 11.3% advance, Eurostat said, while Greece again led member states to the downside as production fell -1.7%.

The figures reflect a positive start to the third quarter after a weak series of industrial output figures in the three months ending in June led to the broad stagnation the Eurozone economy showed in its GDP figures.

Last week, Germany's Federal Statistics Office said industrial output rebounded strongly in July, adding to evidence from the country's manufacturing that suggest Europe's biggest economy may have enough strength to power away from its disappointing second quarter.

Output rose 1.9% on the month from an upwardly revised 0.4% gain in June (0.3% originally). The July gain was well ahead of the MNI median forecast of just a 0.3% advance.

Destatis said gains in the production of capital goods (+5.0%), intermediate goods (+0.8%), cars (+11.8%) and consumer goods (+0.1%) led the July rebound, held back slightly by a -3.7% decline in the energy industry. Construction, however, had a robust +1.7% gain against a downwardly revised June (1.0% from 1.2%), while manufacturing rose 2.6% from June.

The output data for July matches a much better reading for manufacturing orders for the same month that was reported by Destatis on August 4, thanks in a part to a surge in foreign activity.

Factory orders for July rose 4.6% from the previous month on a seasonally and working-day adjusted basis, Destatis said, much better than the 1.6% gain forecast by analysts polled by MNI. The Federal Statistics Office also revised its June reading to -2.7% from the original estimate of -3.2%.

The German gains, however, contrast sharply to the disappointing figures notched in Italy, where the statistics office ITSAT said production fell -1.% on the month and -1.8% on the year, the steepest annual decline since September 2013.

MNI London Bureau
www.mni-news.com


#7 - 11H30

US and EU Announce Further Russia Sanctions, Shanghai Composite Rises on the Back of Positive New Loans Data

The FTSE is up by around 0,2% this morning, as some of Scotland’s biggest companies publicised their plans to move South in the event of a Yes vote in next week’s independence referendum. Companies such as RBS, Lloyds, Clydesdale, Aegon and TSB have announced their intention to move operations to England should Scotland vote to secede from the UK, with insurer Standard Life going as far as to say that it may move even if Scotland chooses to stay in the union, depending on the level of further devolved powers subsequently granted to Scotland. RBS and Lloyds are currently both up by around 0.35%. The latest figures are showing the Better Together Campaign moving marginally ahead in the polls. Alex Salmond, leader of the SNP, claimed that the slump in markets this week was due to the ‘reaction to the panic we saw at Westminster.’

Both the EU and US have announced a further range of sanctions against Russia, aimed in particular at the energy sector; the export of technology aimed at helping Russian oil companies such as Rosneft, Gazprom Neft and Transneft will be blocked. The Rouble reeled in the wake of the new sanctions, hitting a new record low against the Dollar of 1: 37.58, beating the previous low of 37.51 reached on September 1st . BP’s share price is currently down by around 0.3%, with a potential development in the Urals together with Rosneft threatened by the new sanctions.

In the Asian session the Nikkei continued to rise as the Yen continued to fall against the Dollar, reaching a 1:107.20 level on Thursday, strengthening exporters further. The Japanese index closed up by 0.25% at 15,948.29, moving closer to the 16k level. Over in China, the Shanghai Composite closed up by 0.88% after the value of last month’s loans to consumers and businesses came in higher than expected. The index is currently at a level of 2,331.95.

In the US the S&P rose marginally yesterday, up by 0.09%, but the index is still on the wrong side of the 2k level. Markets will be focussed on US Retail Sales figures for August, which are due out later today.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


#6 - 10H15

La croissance du PIB du G20 s’est accélérée au deuxième trimestre de 2014 pour atteindre 0,8%

Le produit intérieur brut trimestriel (PIB) du G20 a augmenté de 0,8% au deuxième trimestre de 2014 contre 0,6% au trimestre précédent, selon des résultats provisoires. Cependant, ces chiffres masquent des divergences entre les pays.

Parmi les pays du G20, la croissance s’est accélérée en Chine (2,0%, contre 1,5% au trimestre précédent), au Mexique (1,0% contre 0,4%) et au Canada (0,8% contre 0,2%).

Après une contraction au trimestre précédent, le PIB a rebondi aux États-Unis (1% au deuxième trimestre contre moins 0,5% au premier trimestre) et en Afrique du Sud (0,2% contre moins 0,2%).

La croissance du PIB est restée stable à 1,2% en Indonésie et à 0,8% au Royaume-Uni et nulle en France pour le deuxième trimestre consécutif.

La croissance du PIB a ralenti à 1,2% en Inde et à 0,5% en Australie et en Corée, contre 1,9%, 1,1% et 0,9% respectivement au trimestre précédent.

Au Japon, la croissance du PIB s’est contractée significativement (de 1,8%), reflétant en partie les effets de la hausse de la taxe à la consommation en avril qui avait conduit à des dépenses anticipées et une hausse du PIB de 1,5% au trimestre précédent. Le PIB s’est aussi contracté en Allemagne, de 0,2%, après une hausse de 0,7% au premier trimestre de 2014.

Le PIB s’est à nouveau contracté au Brésil et en Italie, de 0,6% et 0,2% respectivement, faisant suite à des contractions de 0,2% et 0,1% au trimestre précédent.

En comparaison avec le même trimestre de 2013, la croissance du PIB pour la zone G20 a ralenti à 3,2% au deuxième trimestre de 2014 contre 3,4% au trimestre précédent, la Chine enregistrant le taux de croissance le plus élevé (7,5%) et le Brésil la contraction la plus forte (moins 0,8%).

Lire la suite :
http://www.oecd.org/fr/presse/croissance-trimestrielle-du-pib-du-g20-deuxieme-trimestre-2014-ocde.htm


#5 - 10H00

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading lower this morning after disappointing Chinese lending data and talk out of Russia that new countersanctions imposed by Russia on the EU might be targeting automobile and clothes imports.
Also still making plenty of headlines is the upcoming Scottish referendum on independence with some analysts worried that a ‘Yes’ vote could rock UK markets in the short-term due to the uncertainty resulting for businesses and individuals what taxation etc. are concerned.
While the news out of China and Russia is turning the mood negative for stocks many traders are preferring to stay on the side-lines for now ahead of ECB chief Draghi meeting Euro-zone finance ministers today and Euro-zone industrial production data later this morning.
Many are of the opinion that there is only that much what the ECB can do to restart growth in the Euro-zone especially with interest-rates already at very low levels and that recent measures announced by the ECB need to be combined with a substantial increase in public spending by individual countries in order to have a major effect on the Euro-zone economy.
In the short-term a combination of profit-taking and traders preferring a risk-off approach until matters are getting clearer what new sanctions and countersanctions imposed on and by Russia are concerned are likely to continue to lead markets moderately lower.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


#4 - 9H30

Publications régionales de la Banque de France

« Tendances régionales » synthétise les informations recueillies mensuellement auprès des chefs d'entreprises de la région sur l'évolution de la conjoncture économique dans l'industrie, les services marchands, la construction et le commerce de gros.

Connaître la conjoncture économique de votre région


#3 - 9H15

Comment allez-vous, les grands ?

Par Jean-Paul Betbèze.

« Mieux » répondent les économies développées. « Nous avons plus de croissance, sans inquiétudes inflationnistes ». « Notre chômage baisse » disent même États-Unis, Royaume-Uni et Allemagne. Et celle-ci ajoute : « je suis quasiment en plein-emploi ». Moi, dit le Japon, « je suis une sorte de miraculé : un rebond de croissance et plus encore d’inflation, avec des taux courts et longs réels négatifs et des Japonais qui continuent d’acheter sans broncher mes bons du trésor ! »

« Et vous, France, on ne vous entend pas beaucoup ? » demandent les autres.

« Moi, dit la France… »...

Lire la suite :
http://www.betbezeconseil.com/zoom/comment-allez-vous-les-grands/

#2 - 9H00

Les marchés en légère hausse dans un contexte géopolitique toujours tendu

Marchés actions
Sur les marchés actions, Watt Street a clôturé proche de la neutralité et en ordre dispersé hier. Le Dow Jones a ainsi reculé de 0.12% à 17 049 points, tandis que le S&P500 et le Nasdaq ont grappillé respectivement 0.09% et 0.12% à 1 997.45 points et 4 591.81 points. Le S&P500 a notamment été soutenu par les valeurs pétrolières qui ont effectué un rebond. Wall Street a souffert en début de séance d’une prise de bénéfices suite à l’annonce inattendue d’une hausse des inscriptions chômage.

Les principales bourses européennes sont attendues en légère hausse ce matin à l’ouverture à l’approche du référendum pour l’indépendance de l’Ecosse qui donne le « Oui » gagnant selon les derniers sondages. Les investisseurs ne définissent pas une tendance claire, faute de publications macroéconomiques majeures et en attendant le résultat du référendum et la prochaine réunion de la FED. Les opérateurs de marché devraient également rester attentifs à l’évolution des conflits géopolitiques et notamment le conflit russo-ukrainien. Les nouvelles sanctions prises par l’Union Européenne à l’encontre de la Russie entrent en vigueur ce vendredi. De son côté, Moscou a évoqué la possibilité de limiter les importations de voitures et d’autres biens de consommation. Barack Obama a également annoncé jeudi de nouvelles sanctions américaines, dans les secteurs de la finance, de l'énergie et de la défense. Selon les premières indications disponibles, le CAC et le DAX pourraient prendre jusqu’à 0.1% tout le Footsie britannique avec 0.2%.

La Bourse de Tokyo a clôturé pour la cinquième séance consécutive en territoire positif après avoir engrangé 0.25% ce qui permet au Nikkei de terminer à son plus haut niveau au cours des huit derniers mois à 15 948.29 points. La Bourse de Tokyo a progressé de 1.8% cette semaine, portée par les valeurs exportatrices suite au repli du yen face au dollar à son plus bas niveau depuis 6 ans. Le gouverneur de la BoJ a également reprécisé que la politique monétaire du Japon resterait très accommodante.

Forex
Sur le marché des devises, la monnaie unique a regagné un peu de terrain face à sa principale contrepartie. Le dollar américain, pénalisé par la mauvaise publication des inscriptions chômage hebdomadaires aux Etats-Unis à 315 000 contre 304 000 au mois précédent, s’échange contre la monnaie unique aux alentours des $ 1,2940. Cette donnée pourrait inciter la Réserve Fédérale Américaine à prendre le temps de la réflexion avant de relever ses taux.
Les cambistes attendent maintenant la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) de la Réserve fédérale américaine la semaine prochaine, en quête d'indices sur la future évolution de la politique monétaire aux États-Unis.

Ce vendredi, de nombreuses annonces sont attendues, parmi lesquelles la Balance des paiements pour le mois de juillet en France, la production industrielle en juillet pour la zone Euro et l’emploi du deuxième trimestre dans la zone euro.
Outre-Atlantique, on surveillera la publication des ventes au détail pour le mois d’août ainsi que les prix à l'import-export. L’indice du sentiment des ménages mesuré par l'Université du Michigan sera aussi à surveiller demain.

Au Royaume-Uni, la livre sterling reste toujours sous pression avec la multiplication des sondages concernant le sort de l’Ecosse.
Mercredi, la publication d'un sondage pour le Daily Record annonçait une avance de 6 points pour le camp du « non » à l'indépendance écossaise. Cette donnée a permis à la livre de reprendre un peu de terrain face à l’euro et au dollar sur le marché des devises. La livre s’échange ce matin contre $1,6245. Face à l’euro, la paire oscille aux environs de £0,7950.
La volatilité de la livre sterling devrait tout de même être importante dans les jours à venir, avec les publications de nouveaux sondages sur l’indépendance écossaise.

Enfin, la monnaie russe est tombée jeudi à un nouveau record de faiblesse face au dollar après des informations sur un accord entre Européens en vue de renforcer leurs sanctions contre la Russie, déjà au bord de la récession. Le dollar a dépassé 37,51 roubles, son dernier record qui datait du 1er septembre et est monté jusque 37,57 roubles.

En Asie, l'euro montait face à la monnaie nippone, à 138,26 yens contre 138,29 yens jeudi soir.
Le dollar se stabilisait face à la devise japonaise, à 106,82 yens contre 106,86 yens mercredi.

En Océanie, le dollar australien face au dollar américain a terminé la journée en baisse de 0.57% à $0.9107.
Malgré des indicateurs d'emploi plutôt bons annonçant une réduction du chômage mais avec dans le même temps une légère montée de l'inflation, le dollar australien continue de perdre du terrain face au dollar américain.

Matières premières
Le West Texas Intermediate et le Brent se dirigent vers une deuxième baisse hebdomadaire malgré des signes indiquant que l’offre de brut va continuer à augmenter alors que la demande mondiale s’affaiblit.

Les contrats futures reculent de 0.1% à New York cette semaine et cèdent 2.9% à Londres. Le baril de Brent a clôturé en-dessous de 100$ le baril pour la troisième fois hier après que l’agence internationale de l’énergie ait réduit ses prévisions de la demande mondiale de pétrole et que l’OPEP a ramené à la baisse son objectif de production. Les Etats-Unis devraient se joindre à l’Union Européenne dans le raidissement des sanctions de la Russie envers l’Ukraine, incitant le gouvernement à Moscou à menacer de représailles.

Le WTI à échéance Octobre 2014 cotait aux alentours des 93.06$ le baril dans les échanges électroniques sur le New York Mercantile Exchange, en hausse de 23 centimes. Le contrat a gagné 1.16$ à 92.83$ le baril hier. Le volume de tous les contrats à terme négociés était d’environ 22% inférieur à la moyenne des 100 derniers jours. Par ailleurs, les prix ont diminué de 5.4% cette année. Quant au future Brent à échéance Octobre 2014 a diminué de 13 centimes à 97.95$ le baril sur l’ICE à Londres.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


#1 - 8H45

UBS daily roundup - Scotland, Spain, Stimulus and SUVs

Paul Donovan daily briefing.

• Tartan tracking – Scotland's banks suggested that they had suitcases packed and ready, next to the front door, and would be prepared to move in the event of a Scottish "yes" vote. The latest poll gave a small lead to the "no" vote.

• UBS has two publications related to Scotland today. The Macro Keys looks at Catalonia and Spain, and the UK Economic Perspectives looks at the likely debt burden that an independent Scotland would face (even if it repudiates UK debt, it still has a debt burden).

• Euro area industrial production is due, and might actually be positive. ECB president Draghi was lauding the benefits of the stimulus that the ECB's balance sheet expansion suggests – unfortunately real stimulus still requires the banks to intermediate.

• The US is all about the consumer. Of course it is. The US is always all about the consumer. Retail sales should be robust for August, aided by autos. The lower cost of gasoline (lowering the cost of running the family fleet of SUVs) should boost the Michigan consumer sentiment.

www.ubs.com/investmentbank

6 septembre 2014

Quand la BCE se jette dans la bataille monétaire

Après quelques mois d’hésitation et d’amples discussions en interne, la BCE s’est engagée dans une nouvelle bataille, celle de la lutte contre la déflation. La diminution persistante de l’inflation a conduit la BCE à réagir dès les premiers jours de septembre. Le Conseil des Gouverneurs a décidé de réduire les taux directeurs de 10 points de base. Le taux refi est désormais fixé à 0,05 %, le plus bas niveau de son histoire. Le taux d’intérêt de la facilité de dépôt est de -0,20 % afin d’inciter les banques à moins laisser de liquidités sur les comptes de la BCE. Cette dernière a décidé, en outre, de prendre des mesures dites non conventionnelles visant à assouplir les conditions du crédit. Ces mesures ont été prises à l’unanimité mais les représentants allemands auraient fait de la résistance. La BCE est autorisée à racheter des ABS (Asset-Backed Securities) ou actifs adossés à des titres de créances (dont des RBMS) et lancer un troisième programme d’obligations garanties (Covered Bonds). Les deux programmes seront lancés au mois d’octobre. La baisse des taux n’aura guère d’impact. Il s’agit, avant tout, d’une mesure psychologique. En revanche, l’achat de titres pourrait faciliter le financement des entreprises.
Ces décisions devraient amplifier le mouvement de dépréciation de l’euro qui a perdu près de 5 % depuis le mois de juin. Cette dépréciation pourrait faciliter les exportations en-dehors de la zone euro.
La BCE reste relativement confiante sur l’évolution du taux de croissance qui devrait atteindre, selon l’institution de Francfort, 1,6 % en 2015 et 1,9 % en 2016.
Si la croissance ne revient pas rapidement, la BCE sera contrainte d’engager un programme de rachat d’actifs avec l’acquisition de titres publics malgré l’opposition allemande.
Par ailleurs, il ne faut pas demander à la politique monétaire plus qu’elle ne peut offrir. Sans une politique économique européenne, les actions de la BCE risquent d’être insuffisantes. L’absence de convergence entre les différentes Etats membres est un frein à la poursuite de la construction européenne.

Extrait de "La lettre économique", publication réalisée par Lorello Ecodata, cabinet de conseils en stratégies économiques dirigé par Philippe Crevel avec le concours d’O2P-­‐Conseil.
www.philippecrevel.com

Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Etude KPMG: Financement des entreprises familiales – Les investisseurs privés, clé de leur croissance ? 11/09/2014
- Capitole Angels apporte 174,000 € à Blue Poppies, 1er site de vêtements pour enfants totalement personnalisables 11/09/2014
- Marvell conseil du groupe Le Belier dans le cadre de l’acquisition du groupe asiatique HDPCI 11/09/2014
- Création de CapAgro Innovation, le premier fonds de capital-risque en France dédié à l’agronomie, l’agriculture, l’agro-alimentaire, la nutrition et aux valorisations industrielles et énergétiques de la biomasse 11/09/2014
- Business & Decision renforce ses expertises Cloud avec l’acquisition d’InFact 11/09/2014
- Itancia acquiert la société Isard, spécialisée dans la réparation électronique de TPE, TPV et la sauvegarde magnétique 11/09/2014
- Koolicar reçoit un investissement de 2,6 M€ auprès de la MAIF 11/09/2014
- Geodis cède Ciblex à Eurotranspharma 11/09/2014
- Etude Mercer: Fusions-acquisitions : la moitié des entreprises ne tiennent pas compte des expériences antérieures et 2/3 ne rémunèrent pas les collaborateurs impliqués 10/09/2014
- Cogniteev conclut un premier tour de table de 500.000 € avec Aquiti Gestion 10/09/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR

Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

4 septembre 2014

Le taux de chômage au sens du BIT est quasiment stable au deuxième trimestre 2014

En moyenne sur le deuxième trimestre 2014, le taux de chômage au sens du BIT s’élève à 10,2 % de la population active en France, après 10,1 % au premier trimestre 2014.
En France métropolitaine, avec 2,8 millions de personnes au chômage, le taux de chômage atteint 9,7 % et est stable par rapport au trimestre précédent.
Sur un an, le taux de chômage baisse de 0,1 point en France et de 0,2 point en France métropolitaine.

Plus de détails : http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=14&date=20140904




DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 12 Septembre 2014




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