On y apprend notamment que les motivations de repreneurs ont évolué depuis 2003. Ils sont de plus en plus nombreux (39% contre 30% en 2003) à déclarer avoir repris une entreprise « pour le plaisir d’entreprendre, d’être dirigeant d’entreprise » ou « pour travailler dans un secteur d’activité qui (leur) tient à cœur » (34% contre 25% il y a 4 ans). En revanche, on observe une baisse assez spectaculaire de la motivation financière. « Pour investir, gagner de l’argent » n’est plus cité que par 15% des sondés contre 29% 4 ans plus tôt. Alors, philanthropes les repreneurs français ?
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