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Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 5, 12 (3rd update)

Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 5, 12.


Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 5, 12 (3rd update)





















MARKETS and RATINGS

09:00 AM

Morning Call: European Stocks Open In Subdued Manner; Eyes On Data

European equity markets are trading little changed this morning so far being unable to stage a rebound after yesterday’s hefty losses caused by weak US data and overall worries that major central banks around the world are too slow to act and not decisive enough.

Overnight the Chinese stock markets reached a new three year low as once again tumbling corporate profits and sharply slowing economic growth are the main culprits for the losses incurred. In regard to Europe, weak Chinese markets are expected to continue to exert pressure especially on carmakers as consumers continue to scale back or delaying major purchases due to uncertainty what the economy concerns.

Also during the last few years the Chinese car market has gained on importance in a major way, having boomed while markets in Europe have been faltering allowing car makers to continue to post decent profits despite an ever worsening European financial crisis.

While the economic data schedule is rather on the light side in the US today, in Europe main focus will be on Euro-zone retail sales and services PMI data with both expected to stabilise at very low levels as weak growth and austerity measures are continuing to bite. As the day trading day progresses tomorrow’s all important ECB meeting will increasingly influence trading behaviour with traders most likely feeling propelled to take money off the table ahead of Draghi providing more details of the bond purchasing plans tomorrow afternoon.

Markus Huber - ETX Capital - www.etxcapital.com

02:00 PM

European equities are on the back foot today, with grim PMI services data adding to nerves before tomorrow’s ECB policy meeting. PMI services declined, not a huge surprise on the whole but the report did show the pressure of the debt crisis hitting core nations like Germany. A weak German bund auction together with downbeat euro zone retail sales also combine to add further pressure on sentiment, however price-action has seen a slight uptick from early session lows.

The poor showing on the euro zone data front plays into the hands of the bulls who think the ECB now has no choice but to respond with stimulus. The PMI reading raises the hopes for stimulus response by the ECB at this point, as only bold measures such as buying distressed government bonds appear to be the most likely way to ease the tensions in the debt markets and go some way into stopping the crisis from spreading to the core region.

As such, we are seeing bullish traders enter the market in anticipation of a debt-busting plan from the ECB tomorrow – the pressure now is on Mr Draghi and Co to deliver – any failure to meet or exceed expectations would result in a massive correction across global equities. Overall, today’s theme seems to be one of adopting caution until we have further clarity by policy makers. No major corporate euro zone stories to inject life into markets and the US ISM manufacturing report yesterday only added to current concerns about slowing global growth. In London however, oil giant BP shares slumped on news that the US DOJ has filed a brief accusing the company of gross negligence and wilful misconduct over the Gulf of Mexico Macondo incident.

Looking ahead, there are no major data releases and we expect Wall Street to open mildly lower, tracking the losses here in Europe – ETX Capital sees the DJIA down around 21 points and the S&P 500 down around 3 points.

Ishaq Siddiqi - ETX Capital - www.etxcapital.com

ECONOMY

La prudence est de mise sur le marché des obligations souveraines : l’exemple de la France

Par Miles Geldard et Lee Manzi, gérants du fonds Jupiter Strategic Total Return Sicav chez Jupiter Asset Management

L’exception française toucherait-elle à sa fin ? En novembre dernier, Paris feignait l’indignation après la publication en ligne par S&P d’une note signalant une dégradation du triple A français. La note, par la suite décrite comme étant une erreur technique, a été rapidement retirée. Néanmoins, en janvier, S&P abaissait la note de la France à AA+ et en février, l’agence de notation plaçait la France sous perspective négative, impliquant une chance sur trois d’une dégradation supplémentaire dans les deux années à venir.

Depuis, le parti socialiste du président François Hollande a remporté la majorité parlementaire avec un programme axé sur l’anti-austérité et la croissance, ce qu’on pourrait traduire par emprunter plus pour dépenser plus. Ceci pourrait affecter plus profondément les marchés obligataires européens qui sont déjà fragiles et créera indéniablement des tensions au sein du primordial axe Franco-Allemand. A titre d’exemple, on peut citer la décision symbolique de revenir sur la mesure prise par Nicolas Sarkozy d’augmenter l’âge de la retraite de 60 à 62 ans. Cette décision sera nécessairement perçue comme une provocation dans un contexte où l’Allemagne, ayant augmenté l’âge de la retraite de 65 à 67 ans en 2007, propose de l’augmenter à 69 ans.

Un contrat à terme sur les OAT a été lancé mi-avril, sur lequel nous avions établi une position courte. En effet, nous anticipions une détérioration sur ce marché obligataire car nous pensions que la crise de l’euro allait continuer.

Les obligations souveraines françaises se sont échangées avec un rendement seulement supérieur de 100 points de base à celui des obligations allemandes, elles-mêmes échangées à des records extrêmement bas. Mais la France reste un maillon faible. Nous partageons le point de vue du précédent ministre des finances Allemand, Peer Steinbruck, selon lequel les obligations françaises pourraient à terme ne plus être considérées comme une valeur refuge car :
a) Les fonds propres de ses banques se sont amenuisés et elles sont fortement exposées à l’Europe du Sud
b) Le nouveau gouvernement a l’intention de taxer et de dépenser, mais il devra refinancer une large partie de la dette alors que son déficit budgétaire augmente
c) La France va avoir du mal à prospérer et a des problèmes domestiques structurels de dette
d) La France ne dispose pas du levier que représente une politique monétaire indépendante pour améliorer cette situation

L’euro avait été mis en place pour encourager la convergence et créer une union toujours plus forte. A la place, la monnaie unique a amplifié les divergences entre les économies et entre les visions de politique nationale. Il y a des signes démontrant que les politiques ont pris conscience de la nécessité de briser le cercle vicieux entre des banques faibles et des dettes de gouvernements élevées mais il reste beaucoup à faire et le temps presse. Ainsi, le sentiment des marchés mondiaux semble être guidé par les informations qui vont et viennent en provenance de la zone euro.

Notre plus grande exposition reste notre position courte sur les obligations souveraines. La pénurie de valeurs refuge, combinée à une aversion au risque intense, a conduit à des rendements réels négatifs sur la plupart des marchés obligataires occidentaux, voire des rendements nominaux à court terme négatifs en Suisse, au Danemark, en Allemagne et en Finlande avec des investisseurs prêts à payer pour avoir le privilège de prêter leur argent.

A leurs niveaux actuels, les rendements obligataires vont générer une situation profondément déflationniste, que nous pensons inacceptable pour les gouvernements occidentaux.

L’échelle de la crise de la dette est telle que l’occident ne peut pas risquer la déflation. Au contraire, les gouvernements ont besoin de l’inflation pour amoindrir la valeur des obligations, à un moment où les investisseurs y sont fortement exposés. Pour nous, la surévaluation de certains marchés de dettes souveraines est telle que nous avons décidé de maintenir une duration faible (a priori moins volatile) parce que l’inéluctable fin de la partie provoquera une augmentation des taux d’intérêt, que la crise ait une issue favorable ou non.

STATISTICS of the day

09:00
EUROPA

Les prix à la production industrielle en hausse de 0,4% dans la zone euro et dans l'UE27.
Industrial producer prices up by 0.4% in both euro area and EU27.
Erzeugerpreise der Industrie im Euroraum und in der EU27 um 0,4% gestiegen.

10:30

SWITZERLAND

L'indice suisse des prix à la consommation en août 2012
Stabilité du niveau de l'indice
Selon les calculs de l'Office fédéral de la statistique (OFS), l'indice suisse des prix à la consommation est resté stable en août 2012 par rapport au mois précédent et se situe toujours à 99,0 points (décembre 2010 = 100). En rythme annuel, le renchérissement a atteint -0,5%, contre -0,7% en juillet 2012 et +0,2% en août 2011.

Swiss Consumer Price Index in August 2012
Index unchanged
The Swiss Consumer Price Index calculated by the Federal Statistical Office (FSO) remained unchanged in August 2012 compared with the previous month at 99.0 points (December 2010=100). Year-on-year inflation was -0.5%, compared with annualised rates of -0.7% in July 2012 and +0.2% in August 2011.

Landesindex der Konsumentenpreise im August 2012
Unveränderter Indexstand
Der vom Bundesamt für Statistik (BFS) berechnete Landesindex der Konsumentenpreise (LIK) blieb im August 2012 gegenüber dem Vormonat unverändert auf dem Stand von 99,0 Punkten (Dezember 2010=100). Innert Jahresfrist betrug die Teuerung
-0,5 Prozent, verglichen mit Jahresraten von -0,7 Prozent im Juli 2012 und von +0,2 Prozent im August 2011.
Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 5, 12 (3rd update)


Mercredi 5 Septembre 2012




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