Alors que 9 responsables financiers interrogés sur 10 affirment rencontrer des difficultés durant cette période, Robert Half livre les bonnes pratiques pour assurer le bon déroulement de cette opération et faire face au manque de temps et de motivation des équipes.

Recours au personnel temporaire pour plus d’efficacité
La clôture des comptes annuels représente un surcroît de travail, comme le confirme l’enquête : selon 96,5% des directeurs financiers, les membres de leurs équipes font des heures supplémentaires durant cette période.
Pour faire face au manque de temps du personnel (37 %) et absorber la surcharge de travail, plus de la moitié des directeurs financiers interrogés (57%) envisagent d’engager des intérimaires pour les aider à gérer la clôture de l’exercice 2013.

Récompenses à la clé, gage de motivation
La très grande majorité des directeurs financiers interrogés (92 %) récompense leurs équipes pour les efforts fournis lors de la clôture. Cela aide à faire face au manque de motivation de l’équipe en place (27 %).
En effet, pour motiver davantage leurs équipes, ils sont près de 58 % à se déclarer prêts à offrir des jours de congés en plus en guise de récompense pour les heures supplémentaires engendrées par la clôture des comptes annuels. 41 % d’entre eux rétribuent les heures supplémentaires, et un tiers (33 %) octroient une prime.
D’autres exemples d’initiatives : l’organisation d’un évènement d’équipe (13,5 %) et l’offre d’avantages non pécuniaires (4,5 %).
Ils sont seulement 8 % à ne prévoir aucun complément de rémunération pour les heures supplémentaires passées dans le cadre de la clôture des comptes annuels.

« La clôture des comptes annuels est de loin la période la plus chargée pour le département financier, qui doit absolument faire preuve de rapidité, de précision et d’efficacité », précise Valérie Sablé, Associate Director de Robert Half Finance et Comptabilité. « Pour ne pas tarder à clôturer l’exercice et assurer le bon déroulement de cette opération, les entreprises ne doivent pas hésiter à établir des plannings prévisionnels de présence des collaborateurs en CDI et en intérim. Cela permet de mieux anticiper et appréhender les missions et tâches de chacun, et surtout de passer ce cap de manière plus sereine. N’oublions pas aussi que l’appel à des intérimaires ne se fait pas forcément pour du « poste à poste ». Embaucher un intérimaire peut permettre de soulager une équipe expérimentée de certaines tâches pour que celle-ci se consacre pleinement à la clôture, mission des plus stratégiques pour l’entreprise, s’il en est. Cela permet aussi d’optimiser le temps de formation de l’intérimaire, qui peut ainsi être opérationnel quasi immédiatement. »

* Source : enquête Robert Half menée par un institut de sondage indépendant en juin 2013 auprès de 200 Directeurs/Responsables Administratifs et Financiers

Groupe Robert Half

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