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Bulletin hebdomadaire de J.P.Morgan Asset Management (1er juin 2015)

Evolution du mois de mai : dans ce numéro, nous analysons le mois de mai — pour examiner la performance multi-actifs dans le contexte des évolutions macro-économiques et mettre à jour nos prévisions.


Bulletin hebdomadaire de J.P.Morgan Asset Management (1er juin 2015)
Le mois de mai s’est scindé en deux périodes distinctes, le thème majeur étant focalisé sur les évolutions des obligations souveraines états-uniennes, européennes et japonaises. Les rendements ont rapidement progressé entre fin avril et mi-mai puis ont commencé à reculer. Au cours de la première partie du mois, les rendements du 10 ans américain (US) ont atteint un pic de 2,3 % par rapport à leur point bas d’avril d’environ 1,86 %, et la courbe des taux des Etats-Unis s’est fortement raidie. Exprimées en pourcentage, les évolutions en Europe et au Japon ont été encore plus extrêmes, les bunds allemands progressant d’un point bas de seulement 7 points de base (pb) en avril à un pic d’environ 70 pb mi-mai. Ces hausses se sont produites en réaction à des statistiques économiques peu enthousiasmantes et ont été probablement principalement provoquées par la consolidation de positionnements massivement adoptés par les investisseurs et par un relèvement des anticipations d’inflation dans un contexte de hausse des prix du pétrole. Cependant, de concert avec une inversion des tendances pour de nombreuses classes d’actifs, les rendements obligataires ont commencé à se retourner à partir du milieu du mois. Les rendements des bons du Trésor américain et ceux des plus importants pays européens ont terminé le mois en recul de 20pb par rapport à leurs pics du mois et les courbes de taux se sont de nouveau nettement aplaties. Nous continuons à estimer que la divergence de politique monétaire entre la Réserve fédérale américaine (US) et les autres banques centrales ainsi qu’un environnement faiblement inflationniste, devraient contenir les rendements obligataires et contribuer à un nouvel aplatissement de la courbe des taux.

Les actions ont correctement absorbé les fluctuations du marché obligataire. Les indices mondiaux des actions ont terminé quasiment stables et la volatilité est demeurée contenue, bien que la répartition de la performance ait penché du côté des marchés développés au détriment des émergents. Cette performance a favorisé à la fois notre surpondération modérée sur les actifs risqués et notre préférence pour les marchés développés aux dépens des actions émergentes.

Retournement de tendances : hausse du dollar, recul des actions émergentes et des matières premières

Un grand nombre de tendances récentes sur les classes d’actifs (qui selon nous et en toute vraisemblance n’avaient pas vocation à persister) ont commencé à se retourner en mai. En plus du retournement des rendements obligataires souligné ci-dessus, le dollar U.S. a rompu avec une tendance baissière de deux mois et a progressé de près de 4 % par rapport à son point bas du milieu de mois, soit de 2,5 % sur l’ensemble du mois de mai. Cette évolution renforce notre opinion selon laquelle la hausse du dollar devrait désormais persister, bien que sous une forme plus modérée, dans la mesure où la devise américaine (US) a nettement dépassé ses fondamentaux au cours de sa précédente brutale hausse. Les actions émergentes ont également commencé à sous-performer au cours du mois, rompant avec une tendance haussière de deux mois, pour reculer d’environ 4 % par rapport aux actions des marchés développés et abandonner l’essentiel de leur surperformance depuis le début de l’année.

Cette baisse a été générale dans les pays émergents et s’est produite malgré la forte progression des actions chinoises du marché intérieur, qui a toutefois lui-même enregistré quelques soubresauts en fin de mois. Cette évolution a cependant été cohérente avec la succession continue de statistiques économiques médiocres en mai, y compris pour la Chine. Pour en terminer avec la liste des retournements de tendances, les matières premières ont commencé à abandonner une partie de leur récente fermeté, bien que les prix du pétrole, en particulier, aient montré quelques signes de rebond en fin de mois.

Les statistiques économiques américaines (US) montrent en définitive quelques signes d’amélioration

Les nouvelles économiques en provenance des Etats-Unis ont en définitive été meilleures en mai. Alors que la croissance du premier trimestre a été révisée en baisse le dernier jour de bourse du mois à – 0,7 % en variation trimestrielle annualisée, quelques signes provisoires du rebond espéré se sont manifestés dans les statistiques préliminaires du second trimestre. Dans l’ensemble des données mensuelles déterminantes sur le marché du travail, les chiffres de l’emploi ont enregistré une progression de 223 000 après le faible chiffre de mars (+ 85 000), alors que le taux de chômage est tombé en avril à son plus faible niveau du cycle. Les nouvelles inscriptions hebdomadaires au chômage ont également continué à reculer en mai vers un bas de cycle record, de bon augure pour les chiffres de l’emploi du mois de mai. Les inquiétudes déflationnistes se sont quelque peu apaisées devant de modestes signes de pression sur les salaires et de fermeté de l’inflation core en avril pour la consommation. L’amélioration des chiffres du logement en avril et une modeste augmentation des commandes de biens d’équipement ont complété les bonnes nouvelles provenant de l’économie américaine (US). Côté négatif, le mystère de la faiblesse de la consommation américaine (US) demeure entier. Malgré la stimulation des revenus réels provoquée par la baisse des prix de l’énergie, les ventes de détail du mois d’avril sont restées faibles. Les indices des directeurs d’achats (PMI) de mai n’ont pas non plus démontré une progression convaincante de la dynamique économique, tout en restant globalement à des niveaux corrects, en particulier dans le secteur des services. Dans l’ensemble, cette légère amélioration de l’évolution des statistiques américaines (US) est cohérente avec notre vision d’un rebond de la croissance aux Etats-Unis à partir du second trimestre et d’une hausse des taux en septembre par la Réserve fédérale. Cette analyse a également été corroborée par les minutes de la réunion d’avril de la Réserve fédérale, attribuant l’accès de faiblesse du premier trimestre à des “facteurs transitoires” ou au “bruit statistique”.

Grèce – bientôt la fin de la partie

Malgré des avertissements répétés selon lesquels le gouvernement grec allait se retrouver de façon imminente à court de liquidités pour honorer le remboursement des prochaines échéances de sa dette, la tragi-comédie du plan de sauvetage de ce pays s’est poursuivie tout au long du mois de mai. Désormais, les échéances dues au Fonds monétaire international au cours du mois de juin s’élèvent au total à 1,6 milliards EUR, la fin de la partie approche donc désormais à grands pas. Actuellement, les probabilités restent assez équitablement réparties entre la possibilité de trouver un compromis sur le thème “des liquidités contre des réformes économiques” et celle d’un défaut de la Grèce, tout au moins sur une partie de sa dette. Même dans le second cas, il n’est pas encore certain que le pays soit contraint de sortir de la zone euro, bien que la mise en place d’un contrôle des flux de capitaux similaire à celui qui s’est imposé à Chypre soit très vraisemblable. Les marchés sont restés relativement indifférents à ces risques, avec peu de signes de panique sur les marchés obligataires et les marchés d’actions européens périphériques pendant la plus grande partie du mois de mai, quoique la nervosité et la volatilité aient semblé reprendre de la vigueur en fin de mois. Ce calme relatif reflète probablement un certain optimisme sur la conclusion d’un compromis final et sur l’absence de canaux clairs de diffusion de la contagion grâce aux achats de la Banque centrale européenne qui soutiennent les marchés obligataires. Un défaut grec comporterait néanmoins toujours pour les marchés le risque d’une réaction négative plus importante.

La surprise des élections au Royaume-Uni : une simple péripétie

Malgré toute l’agitation engendrée à l’approche des élections au Royaume-Uni, celles-ci sont devenues pour les marchés une simple péripétie. Après des sondages d’opinion qui prédisaient les élections les plus incertaines de toutes celles jamais tenues au Royaume-Uni, la victoire nette et inattendue des conservateurs s’est traduite par un bond du sterling à 1,58 contre le dollar U.S. Mais après le rebond du dollar, la devise britannique a abandonné tous ses gains en fin de mois. De même, la réaction des actions britanniques a été modeste – un léger rebond post-électoral de 2 %, peu suivi et les actions britanniques ont terminé le mois à peine plus haut qu’elles ne l’avaient commencé.
Patrik Schöwitz

Réflexions diverses

- Le recul des actions des marchés émergents en mai a été général. Sur les cinq plus importants pays constitutifs de l’indice MSCI Emerging Market, seul Taiwan a terminé le mois légèrement en hausse, alors que le Brésil a reculé de près de 10 %, l’Afrique du Sud de 8 % et la Corée de 6 %. Le MSCI China – le composant le plus important – a reculé de près de 3,5 %. Par contraste, l’indice domestic Chinese Shanghai composite a terminé le mois en hausse de près de 4 %, mais après avoir enregistré au cours du mois une chute de 6,5 % en une seule journée. Il s’agit du dixième recul le plus important en une seule journée dans son histoire et il s’est produit dans un contexte de resserrement des conditions de marge sur prêts par les autorités chinoises. Au fait, les données EPFR ont fait état du plus important flux hebdomadaire de capitaux étrangers vers les fonds actions chinois dans la semaine précédant cette chute de 6,5 %.

- Deux exportateurs de pétrole des marchés développés, la Norvège et le Canada, semblent expérimenter le recul des prix de façon quelque peu différente. Le PIB canadien a reculé de 0,6 % en variation trimestrielle corrigée des variations saisonnières au cours du premier trimestre, alors que la Norvège a publié une croissance positive, avec un bon comportement de la demande intérieure. Cette divergence pourrait refléter le contraste entre les voisinages de ces deux pays : la Norvège bénéficie de l’accélération de la zone euro tandis que le Canada ressent les effets du calage enregistré début 2015 par les Etats-Unis. La Norges Bank a presque promis un nouvel assouplissement monétaire alors que la Banque du Canada a semblé récemment neutre, mais les évolutions des statistiques suggèrent que ces positions pourraient s’inverser.

Document produit par l’équipe Global Multi Asset Group de J.P. Morgan Asset Management.
Édité par David Shairp, Stratégiste

Ce document est à but informatif uniquement et ne constitue pas une recommandation à l’achat ou à la vente d’investissements.
Les informations contenues dans ce document ont été puisées à des sources considérées comme fiables. J.P. Morgan Asset Management ne peut cependant en garantir l’exactitude ou l’exhaustivité. Toutes prévisions ou opinions exprimées nous sont propres à la date d’édition de ce document et sont susceptibles de changer à tout moment sans préavis. Ce document ne constitue pas une recommandation à l’achat ou à la vente d’investissements. JPMorgan Asset Management (Europe) S.à.r.l.–Succursale de Paris, au capital social de 10.000.000 euros, inscrite au RCS de Paris n°492 956 693. 06/2015

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TAUX D'INTERET LEGAL & TAUX INTERBANCAIRES

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 4 Juin 2015




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