Les "Distributed Ledgers" ou registres distribués ou grands livres distribués, en français, jettent un regard plus profond sur les entreprises, les implications réglementaires et pratiques des technologies qui les sous-tendent.
Le Bitcoin et la technologie blockchain ont déclenché une nouvelle ruée vers l'or technologique. Si on en croit le battage médiatique, il n'y a aucun problème qui ne puisse être résolu en le transférant sur la techno blockchain. Les propositions inondent le marché : paiements, gestion des identités, assurance, Uber killer, etc... tous alimentés par la blockchain. Tout cela semble trop beau pour être vrai, un peu comme le cloud computing lors de son lancement.
Bitcoin, Blockchain et distributed ledgers sont coincés entre les promesses et la réalité (voir le rapport "The Future of Exchanging Value: Cryptocurrencies and the trust economy publié en janvier par Deloitte.
Le problème, à notre humble avis, est que la "Bitcoin Blockchain", malgré ses grandes qualités techniques est une technologie limitée pour certaines applications. En effet, "Bitcoin Blockchain", genèse de la technologie blockchain, ne peut traiter que quelques transactions par seconde et est déjà aux prises avec des limitations de performance. Elle repose également sur une communauté de mineurs anonymes pour traiter toutes les transactions et les coûts financiers ainsi que l'impact écologique demeurent, à ce jour, très élevés.
Remplacer les mineurs (Proof-of-Work) par un consensus plus agile et rapide, tout en sécurisant les échanges pourrait aider à résoudre le problème, d'où la naissance et le développement des "Distributed Ledgers". Ne nous leurrons pas il y a bien deux sortes de technologies blockchain qui émergent aujourd'hui : la genèse avec Bitcoin-blockchain puis Ethereum, cette dernière étant très dynamique au niveau marketing et communautaire, et enfin les "Distributed Ledgers", annonciateurs de technos plus agiles aussi bien en terme de performance que de coûts associés. Il est vrai que les premières sont publiques et open source et les secondes propriétaires mais pour peu de temps car la plupart des solutions "Distributed Ledgers" s'orientent vers l'open-source.
Nous croyons que, comme le cloud computing, l'émergence de la blockchain signale quelque chose de nouveau et de disrupteur. En fait le défi est d'ignorer le battage médiatique tout en essayant de comprendre quelles nouvelles capacités sont impliquées, quelles nouvelles solutions sont activées, et quelles solutions sont hors de portée de la nouvelle technologie blockchain. Pour le dire plus succinctement, nous avons besoin de savoir ce que la techno blockchain peut et ne peut pas être.
Pour cela nous pensons que le rapport de Deloitte Australie ci-dessous peut nous éclairer.
Télécharger le rapport ci-dessous (PDF 29 pages)
Le Bitcoin et la technologie blockchain ont déclenché une nouvelle ruée vers l'or technologique. Si on en croit le battage médiatique, il n'y a aucun problème qui ne puisse être résolu en le transférant sur la techno blockchain. Les propositions inondent le marché : paiements, gestion des identités, assurance, Uber killer, etc... tous alimentés par la blockchain. Tout cela semble trop beau pour être vrai, un peu comme le cloud computing lors de son lancement.
Bitcoin, Blockchain et distributed ledgers sont coincés entre les promesses et la réalité (voir le rapport "The Future of Exchanging Value: Cryptocurrencies and the trust economy publié en janvier par Deloitte.
Le problème, à notre humble avis, est que la "Bitcoin Blockchain", malgré ses grandes qualités techniques est une technologie limitée pour certaines applications. En effet, "Bitcoin Blockchain", genèse de la technologie blockchain, ne peut traiter que quelques transactions par seconde et est déjà aux prises avec des limitations de performance. Elle repose également sur une communauté de mineurs anonymes pour traiter toutes les transactions et les coûts financiers ainsi que l'impact écologique demeurent, à ce jour, très élevés.
Remplacer les mineurs (Proof-of-Work) par un consensus plus agile et rapide, tout en sécurisant les échanges pourrait aider à résoudre le problème, d'où la naissance et le développement des "Distributed Ledgers". Ne nous leurrons pas il y a bien deux sortes de technologies blockchain qui émergent aujourd'hui : la genèse avec Bitcoin-blockchain puis Ethereum, cette dernière étant très dynamique au niveau marketing et communautaire, et enfin les "Distributed Ledgers", annonciateurs de technos plus agiles aussi bien en terme de performance que de coûts associés. Il est vrai que les premières sont publiques et open source et les secondes propriétaires mais pour peu de temps car la plupart des solutions "Distributed Ledgers" s'orientent vers l'open-source.
Nous croyons que, comme le cloud computing, l'émergence de la blockchain signale quelque chose de nouveau et de disrupteur. En fait le défi est d'ignorer le battage médiatique tout en essayant de comprendre quelles nouvelles capacités sont impliquées, quelles nouvelles solutions sont activées, et quelles solutions sont hors de portée de la nouvelle technologie blockchain. Pour le dire plus succinctement, nous avons besoin de savoir ce que la techno blockchain peut et ne peut pas être.
Pour cela nous pensons que le rapport de Deloitte Australie ci-dessous peut nous éclairer.
Télécharger le rapport ci-dessous (PDF 29 pages)
Laurent Leloup
Fondateur Finyear Group
Expert Blockchain auprès du Pôle de compétitivité mondial FINANCE INNOVATION
Président France Blocktech, association française des acteurs et de l'écosystème blockchain.
Pour lire tous les articles Finyear dédiés Blockchain rendez-vous sur www.finyear.com/search/Blockchain/
Participez aux prochaines conférences Blockchain éditées par Finyear :
Blockchain Vision #4 + Blockchain Pitch Day #1 (7 juin 2016)
Blockchain Hackathon #1 (octobre 2016)
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