En effet, si 63 % des chefs d’entreprises interrogés jugent les pouvoir publics trop interventionnistes dans l’économie, 58 % considèrent que l’Etat doit les soutenir financièrement et 34 % souhaitent, au contraire, plus d’interventionnisme. Tout aussi surprenant, ils sont 56 % à considérer que l’Etat doit avoir un droit de regard sur l’acquisition des entreprises françaises par des groupes ou des investisseurs étrangers. Il y en a même 18 % qui veulent fermer les frontières pour protéger les entreprises françaises de la concurrence internationale.
On croit rêver ! Décidément, le «modèle-social-français-que-le-monde-entier-nous-envie », séduit jusque dans les rangs de ceux qui devraient pourtant réclamer avec vigueur la liberté économique, le droit d’entreprendre, la pleine responsabilité de leur action.
Car, de quoi ont besoin les entreprises pour prospérer?
- De compétitivité, synonyme de moins d’Etat, moins de charges sociales, moins de taxes,
- De liberté dans la gestion et l’adaptation à la conjoncture de leurs effectifs, d’un droit du travail cohérent,
- De financement, grâce à des marchés fluides capables d’irriguer les PME au même titre que les grandes entreprises.
Bref, tout le contraire de ce que semblent appeler de leurs vœux les chefs d’entreprise, sélectionnés pour ce panel qui préfèrent s’en remettre à l’Etat pour régler leurs problèmes.
Et pourquoi pas un RSA pour les entreprises qui ne trouvent pas de clients ou une allocation « siège social » pour celles qui ont du mal à payer leur loyer ?
On croit rêver ! Décidément, le «modèle-social-français-que-le-monde-entier-nous-envie », séduit jusque dans les rangs de ceux qui devraient pourtant réclamer avec vigueur la liberté économique, le droit d’entreprendre, la pleine responsabilité de leur action.
Car, de quoi ont besoin les entreprises pour prospérer?
- De compétitivité, synonyme de moins d’Etat, moins de charges sociales, moins de taxes,
- De liberté dans la gestion et l’adaptation à la conjoncture de leurs effectifs, d’un droit du travail cohérent,
- De financement, grâce à des marchés fluides capables d’irriguer les PME au même titre que les grandes entreprises.
Bref, tout le contraire de ce que semblent appeler de leurs vœux les chefs d’entreprise, sélectionnés pour ce panel qui préfèrent s’en remettre à l’Etat pour régler leurs problèmes.
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