"Ils" ont été pris les doigts dans le pot de Ketchup : les banquiers américains n'ont pas surveillé suffisamment ces courtiers qui leur plaçaient des crédits immobiliers à tout-va.

"Ils" ont inoculé dans le réseau bancaire planétaire des titrisations douteuses et des fonds véreux. A telle enseigne que les banquiers européens affirment avoir été contaminés sans rapports à risque (en gros, ce que dit Jean Peyrelevade aujourd'hui).

Mais au fond, le péché originel des banquiers du monde entier n'est-il pas d'avoir pris leurs clients pour des captifs dociles ? En leur laissant croire que leurs fonds sont en sécurité (mais à hauteur de 70 000 € seulement, on l'apprend aujourd'hui) et qu'ils sont, eux, les banquiers, les meilleurs conseillers pour leurs placements (ce qui s'appelle être juge et partie).

Ces "questions que les clients des banques n'osent jamais poser", j'y réponds dans un livre à paraître en février 2009.
Je cherche des histoires vraies, des questions clés, des mésaventures instructives...
Je cherche des banquiers (ou ex-banquiers) qui aimeraient raconter (sous X ou pas) ce qui se passe dans les coulisses de leur enseigne.

Bien sûr, je suis soumis, comme les banquiers, au secret professionnel.

Voulez-vous me contacter ?
Olivier Magnan, journaliste, ancien directeur de la rédaction d'Economie Matin.

o.magnan@yahoo.fr