Des leviers de création de valeur clairement identifiés par les dirigeants
L’étude montre notamment que le renforcement de l’image et/ou de la notoriété de l’entreprise constitue le bénéfice le plus fréquemment mis en avant, par 90 % des répondants, tout comme l’optimisation du capital humain de l’entreprise (80 % des personnes interrogées). La croissance externe a également permis aux PME d’accroître leurs parts de marché (88 %) mais aussi d’améliorer leur résultat d’exploitation (78%) tout en accélérant leur croissance organique (74 %).
Les conclusions sont plus tempérées pour ce qui concerne l’atteinte d’une taille critique (57 % des personnes interrogées), l’augmentation des marges (55 %) et la diminution des coûts (52 %). Les jugements positifs sont également moins marqués concernant les moyens consacrés à l’innovation (41 %), l’internationalisation des activités (37 %) et l’accès à de nouveaux marchés à l’international (31 %).
« L’étude démontre bien que la croissance externe est devenue un acte normal et courant de la vie des PME, là où elle était considérée il y a encore peu comme une aventure assez exceptionnelle et particulièrement risquée. C’est une démarche qui s’intègre désormais complètement et naturellement dans le plan de développement des PME » précise Françoise Noël-Marquis, Associée, Directeur National Adjoint Finance Conseil chez Grant Thornton.
Des actions correctives à mettre en place le cas échéant
Les résultats montrent également que 76 % des dirigeants interrogés considèrent que des actions correctives devraient être apportées en particulier pour ce qui concerne la gestion des différences culturelles entre les équipes des deux entités et la conduite du changement organisationnel.
Françoise Méchin, Associée chez Grant Thornton analyse : « L’acceptation en interne du bien fondé de l’opération conditionne souvent la réussite du projet de croissance externe ; bien que la tendance naturelle des dirigeants soit d’allouer les ressources à la gestion des sujets externes il convient de ne pas négliger la phase de communication, de conviction et d’implication des personnels des entreprises réunies dans un même projet ».
Plus de 7 dirigeants sur 10 jugent que des modifications s’imposeraient en termes d’estimation des coûts et ressources nécessaires à la bonne intégration de la cible (75 %), mais également dans le cadre de l’élaboration du Business Plan (70 %) et de la réalisation d’un plan d’intégration post-acquisition mieux structuré (70 %).
Enfin, 53 % des répondants déclarent qu’il leur faudrait améliorer la maîtrise des questions liées au financement de l’opération de croissance externe et 63 % pensent que le cadrage des garanties d’actif et de passif devrait faire l’objet de modifications et améliorations dans le cadre de prochaines acquisitions. Pour finir, 60 % des dirigeants interrogés déclarent qu’il leur faudrait mener des actions correctives pour le choix de la cible améliorer la maîtrise des questions liées au financement de l’opération de croissance externe (53 %).
Etude complète sur demande :
benjamin.lernould@grant-thornton.fr
A propos de Grant Thornton
Grant Thornton rassemble en France plus de 1 200 associés et collaborateurs dans vingt-trois bureaux et se place parmi les leaders des groupes d'audit et de conseil en se positionnant sur 5 métiers : Audit, Expertise Conseil, Finance Conseil, Externalisation et Conseil Juridique, Fiscal et Social.
Les membres de Grant Thornton International constituent l’une des principales organisations mondiales d’audit et de conseil.
Chaque membre du réseau est indépendant aux plans financier, juridique et managérial.
www.grant-thornton.fr
L’étude montre notamment que le renforcement de l’image et/ou de la notoriété de l’entreprise constitue le bénéfice le plus fréquemment mis en avant, par 90 % des répondants, tout comme l’optimisation du capital humain de l’entreprise (80 % des personnes interrogées). La croissance externe a également permis aux PME d’accroître leurs parts de marché (88 %) mais aussi d’améliorer leur résultat d’exploitation (78%) tout en accélérant leur croissance organique (74 %).
Les conclusions sont plus tempérées pour ce qui concerne l’atteinte d’une taille critique (57 % des personnes interrogées), l’augmentation des marges (55 %) et la diminution des coûts (52 %). Les jugements positifs sont également moins marqués concernant les moyens consacrés à l’innovation (41 %), l’internationalisation des activités (37 %) et l’accès à de nouveaux marchés à l’international (31 %).
« L’étude démontre bien que la croissance externe est devenue un acte normal et courant de la vie des PME, là où elle était considérée il y a encore peu comme une aventure assez exceptionnelle et particulièrement risquée. C’est une démarche qui s’intègre désormais complètement et naturellement dans le plan de développement des PME » précise Françoise Noël-Marquis, Associée, Directeur National Adjoint Finance Conseil chez Grant Thornton.
Des actions correctives à mettre en place le cas échéant
Les résultats montrent également que 76 % des dirigeants interrogés considèrent que des actions correctives devraient être apportées en particulier pour ce qui concerne la gestion des différences culturelles entre les équipes des deux entités et la conduite du changement organisationnel.
Françoise Méchin, Associée chez Grant Thornton analyse : « L’acceptation en interne du bien fondé de l’opération conditionne souvent la réussite du projet de croissance externe ; bien que la tendance naturelle des dirigeants soit d’allouer les ressources à la gestion des sujets externes il convient de ne pas négliger la phase de communication, de conviction et d’implication des personnels des entreprises réunies dans un même projet ».
Plus de 7 dirigeants sur 10 jugent que des modifications s’imposeraient en termes d’estimation des coûts et ressources nécessaires à la bonne intégration de la cible (75 %), mais également dans le cadre de l’élaboration du Business Plan (70 %) et de la réalisation d’un plan d’intégration post-acquisition mieux structuré (70 %).
Enfin, 53 % des répondants déclarent qu’il leur faudrait améliorer la maîtrise des questions liées au financement de l’opération de croissance externe et 63 % pensent que le cadrage des garanties d’actif et de passif devrait faire l’objet de modifications et améliorations dans le cadre de prochaines acquisitions. Pour finir, 60 % des dirigeants interrogés déclarent qu’il leur faudrait mener des actions correctives pour le choix de la cible améliorer la maîtrise des questions liées au financement de l’opération de croissance externe (53 %).
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