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9 décembre 2014 (n°7 - 12H30) | Genève : 2,8% de croissance en 2015

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Professionnels : votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

9 décembre 2014 (n°7 - 12H30) | Genève : 2,8% de croissance en 2015
N°7 - 12H30

Genève : 2,8% de croissance en 2015

Prévisions conjoncturelles 2015. Recommandations subséquentes aux entreprises et aux particuliers – BCGE.

En 2015, l’économie genevoise devrait connaître une troisième année d’accélération de sa croissance. Les exportations et l’investissement donneront une impulsion aux entreprises alors que la consommation privée et l’investissement immobilier progresseront plus lentement. Genève conserve un avantage différentiel grâce à son exposition plus marquée dans la zone dollar. Cela devrait permettre au canton de créer un surplus de croissance par rapport à la Suisse.

Genève maintient son avantage de croissance

Dans le canton, la croissance économique devrait se renforcer avec un gain de 2.8% en 2015 (contre 2.2% en 2014). Cette progression sera réalisée sur une base plus équilibrée que celles qui ont été obtenues lors des années précédentes. Le taux de chômage devrait reculer légèrement à 5%. La répartition des exportations selon les pays et selon les branches industrielles seront déterminantes. La prépondérance de la zone dollar, qui inclut l’Asie et les Etats-Unis, distingue Genève de l’ensemble de la Suisse, plus tournée vers la zone euro. Ainsi, la récente appréciation du billet vert est plus favorable à Genève, qu’il s’agisse d’exportation ou de tourisme. En termes d’exposition sectorielle, les biens exportés depuis Genève, principalement liés à la bijouterie, à l’horlogerie et à la chimie fine, sont moins exposés au cycle économique que ceux provenant du reste du pays. La structure économique de Genève, la 13e place financière mondiale selon le classement de Z/Yen, la rend sensible aux grandes variables financières (taux d’intérêt, taux de change et performances boursières). Face au déluge réglementaire suisse et étranger, les entreprises financières de la place sauront implémenter des stratégies d’adaptation qui permettront de maintenir leurs activités transactionnelles et les emplois attachés à Genève. Ces caractéristiques diverses devraient contribuer à un Sonderfall Genf plutôt favorable l’an prochain.

Protection induite par l’innovation

La Suisse se place au premier rang de la compétitivité mondiale pour la sixième année consécutive, devant Singapour et les Etats-Unis, selon le classement du Forum économique mondial (WEF). Elle doit ce rang notamment à sa bonne position, la seconde au coude à coude avec la Finlande, dans le domaine de l’innovation. Les entreprises suisses et genevoises sont les principaux contributeurs dans le capital innovant et dans la recherche et le développement, avec des dépenses annuelles en la matière de CHF 18 milliards, en hausse de 14% entre 2008 et 2012. 117’000 emplois reviennent à ce secteur au niveau national, ce qui correspond à une croissance de 17% entre 2008 et 2012. La dynamique de créations d’entreprises soutient la croissance, en Suisse, il s’en constitue 12•000 par an, dont 25% dans des secteurs spécialisés et scientifiques. Genève y contribue, puisqu’il occupe la 4e place des plus fortes créations par canton, et le taux de survie après cinq ans y atteint 50%.

Perspectives des taux et des devises

L’inflation annuelle des prix à la consommation peine toujours à se démarquer de la ligne de flottaison de 0%. La progression des prix à la consommation dans le canton sera en 2015 en légère augmentation à 0.3% (contre 0.1% en 2014), sans être problématique. Au sein de cet agrégat, les prix des biens domestiques progressent alors que les prix des biens importés sont en repli, notamment avec la baisse marquée des prix de l’énergie (le pétrole est au plus bas) et des biens alimentaires.

Face à un euro apathique, le franc suisse reste proche du niveau pivot de 1.2 EUR/CHF et relance les interrogations sur le maintien du plancher à ce niveau. La BNS a pourtant réitéré sa détermination à soutenir ses mesures non-conventionnelles en faveur de la stabilité des changes. Dans ce contexte, et en l’absence de tout changement de la part de la politique monétaire nationale, le taux de change et les maturités courtes des taux d’intérêt ne devraient pas varier. Quant aux échéances de long terme (10 à 30 ans), les très bas niveaux (record) correspondent à l’état de crise existentielle de la zone euro de 2012. Les investisseurs sont en effet convaincus que les liquidités des banques centrales compenseront en permanence le manque de rémunération du risque encouru par leurs actifs obligataires. Ces politiques de liquidité repoussent à plus tard le processus de normalisation des plus longues échéances de la courbe des taux. Faute de normalisation partielle, l’évaluation erronée des primes de crédit et de liquidité se poursuivra avec les risques inhérents d’instabilité qui lui sont attachés.

Equilibrage sain des prix de l’immobilier

Dans le domaine immobilier, les prix s’ajustent aux perspectives de rendement dans les différents segments à Genève ; les villas reculent le plus, de 6.6% depuis leur sommet de 2012, alors que les appartements en propriété (PPE) ont cédé 3.7% depuis le pic de 2013 (1). Les fondamentaux restent sains et solides : la progression de l’offre étant encagée, la demande soutenue par le faible taux de vacance et le solde migratoire toujours positif. De leur côté, les loyers des nouveaux baux de bureaux enregistrent, au niveau national, des baisses de l’ordre de 7%.

Chocs potentiels à gérer

En termes de scénarios à gérer, le risque géopolitique pèse sur les exportations internationales et sur le pronostic de croissance mondiale, les exportations mondiales étant sur une tangente. Une réaccélération est toutefois attendue. La désynchronisation des politiques monétaires pourrait introduire une volatilité supplémentaire qui contrarierait la stabilité des variables financières, stabilité indispensable à la croissance.

Contexte opportun

Dans ce contexte, la conjoncture est favorable aux acteurs économiques sur la place de Genève, profitant d’un climat d’affaires orienté vers la croissance, un repli modéré des prix de l’immobilier, des conditions de financement attractives et des prix bas de l’énergie.

Recommandations subséquentes aux entreprises pour 2015

En réponse au scénario ci-dessus, la banque recommande aux entreprises d’exploiter les opportunités de croissance, notamment à l’exportation (Etats-Unis, Asie, pays émergents). Il est opportun de procéder à une analyse de son portefeuille de dettes et de se refinancer sur le long, voire le très long terme, afin de se protéger du risque de taux. Il est essentiel de se créer une marge de manœuvre de liquidités, notamment par le suivi de ses débiteurs. Gérer le risque de change reste prioritaire. Trouver des solutions de financement supplémentaires comme le leasing de biens d’équipement ou le prêt professionnel, est utile à capter de nouveaux marchés. Enfin, dans l’optique de capter des opportunités de croissance accélérée il peut être intéressant d’exploiter les opportunités d’acquisitions d’entreprises.

Recommandations subséquentes aux particuliers pour 2015

Du côté des particuliers, la BCGE suggère en réponse à son scénario conjoncturel, en matière de placement, d’observer de la prudence sur le portefeuille obligataire qui ne garantit plus systématiquement le capital et de privilégier les débiteurs de qualité et les maturités moyennes. La classe d’actif la plus prometteuse de performance reste de loin celle des actions, recouvrant les meilleures entreprises au plan mondial. Le private equity est aussi un champ d’opportunité d’investissements dans l’économie réelle. On peut également profiter des taux bas pour financer des travaux de rénovation et d’amélioration et fixer ses taux hypothécaires à long terme, en contractant, si nécessaire, des taux forwards pour les prêts échéant dans les 24 prochains mois. Il est recommandé d’examiner attentivement les prix, en cas d’achat de bien immobilier. Enfin, dans le cas d’un projet d’acquisition de son logement, il faut prévoir une part de fonds propres en liquidités suffisantes.

Enfin, il est souhaitable d’optimiser sa prévoyance privée par des rachats de cotisations dans sa caisse de retraite et l’ouverture de comptes 3a ou 3b. Il est recommandé de diversifier ses actifs de prévoyance avec des fonds de placement.

(1) Selon les données compilées par Wüest & Partner

La publication téléchargeable, Les perspectives conjoncturelles, contient une sélection d’indicateurs économiques.

BCGE: des solutions bancaires made in Geneva
Banque universelle depuis 1816, la BCGE propose aux particuliers, aux entreprises et aux institutions de Genève et de la région des prestations bancaires de grande qualité. La BCGE développe les métiers suivants: les services bancaires quotidiens, le private banking, l’asset management, la prévoyance, les financements hypothécaires et les crédits aux entreprises et collectivités publiques. Elle exploite une salle des marchés et offre des services d’ingénierie financière, de corporate finance et de global commodity finance. Le groupe BCGE comprend 22 agences à Genève et exerce certains de ses métiers à Lausanne, Zurich, Lyon, Annecy, Paris, Dubaï et Hong Kong. Il occupe 707 personnes (en équivalent plein temps, au 30 juin 2014). La BCGE est cotée à la bourse suisse, SIX Swiss Exchange (N° de valeur 164268).


N°6 - 12H15

Lending Club : Tout savoir sur la prochaine grosse IPO à Wall Street

Une infographie réalisée par Saxo Banque.

N°5 - 11H30

In the Spotlight: Tesco, The Shanghai Composite, Oil Prices

Tuesday News - What’s Down

Tesco - 2014 is drawing to a close, but the outlook is still grim for Tesco; perhaps unsurprisingly after the news that has hit it in recent months, the retail giant has slashed its profit forecast for the financial year, now predicting that trading profit for the year ending in February 2015 ‘would not exceed $1.4 billion’, significantly lower than the original expectations of between £1.8 - £2.2 billion. Down by 15% earlier this morning, Tesco’s stock price is currently hovering at around -10.84% and weighing on the FTSE as a whole – the index is currently down by around 1.06%. Sainsbury’s and Morrisons are also feeling the knock-on effects from the UK’s biggest Shopping Chain – Sainsbury’s stock is currently down by around 3.44% whilst Morrisons is down by more than 5%.

The Shanghai Composite – What a difference a day can make; Monday’s session saw the Shanghai Composite reach the 3,000 mark for the first time since 2011. By contrast, Tuesday saw the index plunge, falling 8% from its intraday high and closing down by 5.43% this morning. The CSDC (Chinese Securities Depository and Clearing Corporation) yesterday announced that it will henceforth be restricting the type of securities permissible for use in repo, limiting acceptable rates to AAA sold by issuers with a rating of AA and above; this move led to the rapid drop of bonds with lower rates.

Oil Prices – Oil has continued to drop, hitting a new five year low yesterday as the issue of oversupply shows no signs of abating. As in previous weeks, oil’s fall has hit both mining and energy stocks on the FTSE, with a range of shares in the sector declining by an average of 2%.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


N°4 - 10H05

S&P Drops as Oil Hits 5-Year Low, Tesco Stock Sinks Further After Profit Forecast Cut

Oil prices skidded to fresh five-year lows on Tuesday, pressuring commodity-linked currencies and most Asian shares as a bout of risk aversion rippled through world markets. The S&P 500 posted its biggest daily percentage drop since Oct. 22 on Monday. The Index lost 15.06 points, or 0.73% to close at 2,060.31. The Dow Jones Index fell 106.31 points to close at 17,852.48.

The Yen benefited as nervous speculators cut back on short positions. The Dollar faded to 120.15 Yen and away from Monday's high of 121.86, while the Euro retreated to 148.00 EURJPY. The Australian Dollar was a major loser, reflecting the country's position as a major commodity exporter, and slid a full Yen to 99.04.

Brent crude shed 70 Cents to $65.49 a barrel, while U.S. crude futures lost another 46 cents to $62.59. Both had already tumbled more than 4% on Monday on expectations that a deepening oil glut would keep prices under pressure into the new year.

Within the equity space there is further woe for Tesco’s as the troubled British retailer has warned on full year profit again. The firm said on Tuesday that on the basis of the changes and investments made to date it now anticipates group trading profit for the financial year ending February 2015 will not exceed £1.4b. The stock was down 15% in early trade at 159p per share.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°3 - 10H00

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading sharply lower this morning seeing some follow-through selling on the back of yesterday’s declines and very weak Chinese stock markets overnight.
News that China won’t accept any longer lower rated bonds as collateral for loans is causing major concern that this might be dampening economic growth and construction activity in China in the months ahead.
Any negative news out of China which raises additional concerns about economic growth doesn’t necessarily bode well for countries like Germany and Japan who rely heavily on exports.
Especially for Germany who is increasingly struggling to restart its own economy due to the negative fall-out of the sanctions imposed on Russia and the Euro-zone as a whole experiencing a slow-down, China is still gaining on importance.
There is also general concern that newly industrialised countries like Brazil and Indonesia for example might also be facing major difficulties to continue to grow in the months ahead as many have their currency tied to the strong US Dollar and are relying heavily on oil exports.
While overall short-term sentiment is negative not everybody is completely convinced that a year-end rally is absolutely off the table just yet.
A decline in volatility as we are approaching Christmas and New Year should lessen the down-side momentum and the general appetite to hold ‘Short-Positions’.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°2 - 9H00

Les marchés européens attendus en baisse plombés par les États-Unis et l'Asie

Marchés actions
Les marchés américains débutaient la semaine sur une note négative. Les indices étaient plombés par une nouvelle baisse des prix du pétrole. Ainsi, les valeurs du secteur énergétique étaient malmenées ce qui a impacté négativement la performance des indices.

Dans ce contexte, le Dow Jones perdait 0,59% à 17 852,48. De son côté, le Nasdaq lâchait 0,84% à 4 740,69 points. Enfin, l’indice élargi, S&P 500 reculait de 0,73% à 2 060,31 points.

Après une fin de semaine marquée par de nouveaux records suite à la publication d’un très bon rapport sur l’emploi, les marchés débutaient la semaine sur la défensive. A la nouvelle baisse du pétrole, on peut ajouter des statistiques moroses en Asie et en Europe. En Chine, l’excédent commercial a atteint des niveaux record sur le mois de Novembre alors que les estimations du PIB au Japon ont encore été revues à la baisse. En Allemagne, la production industrielle a déçu les investisseurs avec un chiffre en-dessous du consensus.

Du côté des valeurs, le secteur de l’énergie a été malmené à l’instar d’ExxonMobil et Chevron qui perdaient respectivement 2,26% et 3,67%. Du côté des autres valeurs, McDonalds a perdu 3,84% à 92,61 dollars.

Cette nuit, les bourses asiatiques suivaient la tendance de Wall Street. A la clôture, le Nikkei lâchait 0,68% à 17 813,38 points. Les indices chinois accusaient des pertes plus importantes. Le Hang Seng plongeait de plus de 2,5%. Le Shanghai Composite Index dégringolait de 5,43%, soit la baisse la plus importante depuis 2009. Les indices chinois réagissait à l’annonce du régulateur d’interdire les obligations les plus risquées comme collatéral.

Ce matin, les indices européens sont attendus en baisse dans la lignée des marchés américains et asiatiques. La volatilité des marchés asiatiques entrainent un certain retour de l’aversion au risque. Du côté des annonces, on notera également ce matin la contraction des importations et des exportations allemandes sur le mois d’octobre. Le reste de la journée sera en revanche pauvre en annonces.

Forex
Ce matin sur le marché des changes, le dollar reste fort, galvanisé par les chiffres parus en fin de semaine dernière outre-Atlantique. Cependant, on note ce matin un léger recul de ce dernier face à ses principales contreparties, à mesure que les investisseurs prennent leurs gains après le rallye haussier de la fin de semaine dernière. Ils pourront par ailleurs scruter en fin de semaine la publication des chiffres du chômage et des ventes au détail.

En Europe, la monnaie unique confirme son rebond entamé hier face à son principal homologue, bien que les données allemandes ne fassent pas l’unanimité. En effet, la faible progression de la production industrielle allemande, observée à +0,2% pour le mois d’Octobre, ainsi que l’augmentation de l’excédent commercial à 20,6 milliards d’euros ne semble pas impacter le cours de l’euro comme il se doit.
Les cambistes pourront suivre demain les chiffres de la production industrielle française.
La paire phare du marché des changes s’échangeait donc ce matin aux encablures des $1,2331 pour un euro, après un gain d’environ 80 pips depuis le début de la semaine.

Outre-Manche, la devise britannique évoluait sans grande tendance face à ses deux principales contreparties, s’échangeant respectivement à £0,7868 pour un euro, et à $1,5877 pour une livre. Cette dernière semble rester atone ce matin, les investisseurs attendant à 10h30 les chiffres de la production manufacturière anglaise.

En Asie, la devise nippone a gagné du terrain face à ses principales contreparties, profitant des conditions actuelles. En effet, le déclin prolongé du cours du baril de pétrole a amené les cambistes à couper leurs positions vendeuses sur la devise japonaise, et réinvestir sur cette dernière en tant que valeur refuge. De plus, l’affaiblissement des actions en Asie traduit un mouvement d’aversion au risque et permet au yen de renouer avec la hausse.
Face au dollar, le cours de la parité est donc repassé en dessous des 120 yens, signant le plus gros gain sur deux jours, des deux derniers mois. Le dollar s’échangeait donc ce matin à 119,95 yens. La monnaie unique quant à elle, oscillait autour des 148 yens, après avoir abandonné à 3h30 ce matin les 148,60 yens.
Les investisseurs devront suivre avec attention ce vendredi, à 00h50, la publication des commandes de machines et les chiffres de l’activité de l’industrie tertiaire.

En Australie, la devise locale a continué de glisser face à l’ensemble de ses contreparties, à mesure que les matières premières baissent, dans un contexte de ralentissement de l’économie mondiale. De plus, l’indice de confiance publié par la National Australia Bank a chuté à 1 pour le mois de Novembre, contre 5 durant le mois précédent.
L’Euro valait donc 1,4966 dollar australien à 8h30, un plus haut de sept mois et le dollar 1,2137 dollar australien pour un dollar US, après avoir gagné près de 340 pips depuis le début du mois et touché un plus haut de quatre ans. Il faudra suivre la publication des chiffres de l’emploi et du chômage, jeudi à 1h30, afin de confirmé cette tendance baissière à court terme pour les paires en dollar australien.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, les cours de l’or noir ne cessent de reculer pour atteindre des plus bas depuis plus de cinq ans. Un ensemble de facteurs pénalisent les cours du baril depuis maintenant plusieurs mois. Du côté de l’offre la décision récente de l’Opep de ne pas réduire sa production de barils assure l’offre sur le marché alors qu’en parallèle la demande d’or noir ne cesse de diminuer dans un contexte économique mondial morose. Hier, la Chine, deuxième plus grand consommateur de pétrole après les Etats-Unis, a annoncé une forte baisse de ses importations ainsi que de ses exportations ce qui confirme le ralentissement économique dans la région et tend à renforcer les inquiétudes des investisseurs. La hausse du dollar sur le marché des changes joue également en la défaveur des cours du baril. Ce matin, le Brent de la Mer du Nord se négocie proche des 65,34 dollars et le WTI s’affiche de son côté désormais proche des 62,50 dollars.

Du côté des métaux précieux, l’or profite du recul des marchés américains et asiatiques pour se maintenir au-dessus des 1 200 dollars. Toutefois, la tendance reste fragile sur le métal jaune. Les investisseurs resteront attentifs et prudents face à la menace d’un relèvement des taux anticipé de la FED. L’once d’or s’échange ce matin autour des 1 205 dollars.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°1 - 8H45

UBS daily roundup - Divergent economic experiences

Paul Donovan daily briefing.

• The persistent weakness of the Japanese economy (in the wake of negative revisions to Q3 data, in defiance of market expectation) has led to a political response. PM Abe is declaring it is all an illusion and everything is fine. His advisers are hinting at larger stimulus measures.

• UK consumers showed surprising strength in November, according to the British Retail Consortium data, overcoming disinflation forces from food retail. Industrial production and manufacturing output data are expected to improve.

• Trade data from France and Germany are expected, in the wake of the disappointment around import data into China yesterday. The Euro area data should be flattered by the price effects of a weaker currency.

• US Fed Speakers yesterday continued to hint (none too subtly) at a mid 2015 rate increase. Today there is the release of small business confidence from the NFIB –data to be treated with some caution, but which should establish the broader nature of the US economic recovery.

www.ubs.com/investmentbank


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Finyear Eco est exclusivement réservé aux professionnels, aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers. Ces commentaires présentent un caractère purement informatif et ne constituent ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’achat ou de vente d’instruments financiers.

A la suite nous vous proposons un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.

Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- FrogPubs accueille Amundi Private Equity Funds dans son capital 08/12/2014
- Vivien & Associés renforce la pratique corporate et M&A avec la nomination de Louise Rials 08/12/2014
- Innoveox reprend Syneo 08/12/2014
- Saint-Gobain annonce le projet d’acquisition du contrôle de Sika et de lancement d’un processus concurrentiel de mise en vente de Verallia 08/12/2014
- Alten et Akerva annoncent la création de la joint-venture Alten SIR GSS 08/12/2014
- Eurofins Scientific acquiert Boston Heart Diagnostics pour 200 M$ 08/12/2014
- Sicab passe dans le giron de La Centrale de Financement 05/12/2014
- wezzoo annonce une levée de fonds de 500k€ auprès de COVEA, Fred & Farid et de Business Angels 05/12/2014
- Sanofi acquiert l’usine de production Merck de Barceloneta à Porto Rico 05/12/2014
- Baudelet Environnement prend une participation de 49% au capital de Néo-Eco 05/12/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mardi 9 Décembre 2014




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