Alors qu’une grande majorité (60%) de professionnels de la finance sont satisfaits des possibilités de travail à distance offertes par leur entreprise, ils souhaitent maintenant aller plus loin et explorer de nouvelles organisations du travail comme la semaine de 4 jours. De plus, 30% des 18-34 ans quitteraient leur emploi s'ils devaient retourner au bureau à temps plein.
Spendesk, la solution de gestion des dépenses professionnelles 7 en 1 pour les entreprises, a mené une étude dans le secteur de la finance auprès de plus de 1000 salariés français, allemands et britanniques de la fonction finance sur la perception de l’évolution des modes de travail à l’aube de la crise économique.
L’option télétravail n’est plus négociable
Les professions financières investissent de plus en plus pour améliorer la qualité de vie au travail de leurs employés. Le télétravail est aujourd’hui un critère important de satisfaction interne et la majorité des professionnels de la finance (entre 60 et 70% en France, en Allemagne et au Royaume Uni) se déclarent satisfaits des possibilités offertes en la matière.
Dans le détail, le travail de digitalisation a été effectué avec succès dans la fonction finance, en effet 51% des répondants déclarent avoir accès à tout sans problème et seulement 18% notent quelques exceptions qui nécessitent un déplacement au bureau. De plus, effet positif de cette nouvelle forme de travail, 32% déclarent que la confiance s’est accrue avec la généralisation du travail à distance.
Néanmoins, seulement 5% des entreprises britanniques prévoient un budget mensuel pour aider leurs employés à mieux travailler à distance. Cette pratique est plus courante en France où 16% des entreprises le font. Lorsqu'elles le font, les entreprises françaises accordent environ 250 € par mois à leurs employés et les entreprises allemandes 100 €.
Les interactions sociales, à double tranchant
Seul motif d’inquiétude des salariés de la fonction finance en matière de travail à distance, un traitement inégal des salariés en effet, ils sont près de 39% à craindre que leurs collègues qui vont plus souvent au bureau soient mieux récompensés ou traités plus favorablement par la direction.
Malgré la généralisation du télétravail, il ne semble pas y avoir de solution miracle pour renforcer les interactions sociales. Le manque de lien entre collègues est un problème pour tiers des employés français, et 6% ressentent même de l’anxiété ou de l’isolement face à cela.
En outre, le travail à distance soulève la question de la confiance et de l’autonomie. A la question de savoir comment la confiance entre collègues a évolué, deux tendances se dégagent.
Un tiers des personnes interrogées estiment que la confiance a même augmenté grâce au télétravail. En revanche, une personne sur quatre en Allemagne et une sur trois en France et au Royaume-Uni n'ont pas remarqué de différence par rapport à avant. La proportion est particulièrement élevée en France, où une personne sur neuf fait moins confiance à ses collègues et aux employés travaillant à domicile. Il existe toutefois une forte corrélation avec l'âge, car plus les gens sont jeunes, plus la confiance est élevée.
Après le télétravail, cap sur la semaine de 4 jours
La pandémie, le télétravail et les rythmes de vie actuels ont fait changer les mentalités et le rapport au travail. Le concept de la semaine de 4 jours est approuvée à l'unanimité. Mais alors que 79% des professionnels de la finance souhaiteraient travailler sur la base d'une semaine de 4 jours, seules 11% des entreprises envisagent de l'explorer.
Ce concept est toutefois plus développé en France, où 20% des entreprises envisagent de l'explorer, pour seulement 9% en Allemagne et 5% au Royaume-Uni. On constate aussi que dans tous les pays, le pourcentage de femmes qui souhaitent vraiment passer à la une semaine de quatre jours est nettement plus élevé (52% vs 35% en France).
Zoom sur les politiques salariales face à l’inflation
Les crises successives ont entrainé avec elles une hausse du coût de la vie et l’inflation atteint aujourd’hui presque 6 % sur un an. Dans ce contexte, 80% des répondants estiment qu’un salaire plus important et/ou une prime sont nécessaires. Or, ceci n’a été mis en application que par 34% des entreprises. L’inflation n’a pas eu pour seul effet de modifier les attentes relatives au télétravail.
Elle exprime également un durcissement et une réduction de certains budgets. On recense par exemple dans cette étude que 39% des entreprises ont réduit leur budget dédié aux avantages sociaux.
« Le travail hybride s’est installé en deux ans dans le quotidien des professionnels de la finance, devenant aujourd’hui un prérequis incontournable pour fidéliser les meilleurs collaborateurs et attirer les talents les plus prometteurs. Dans ce monde du travail en profonde mutation, les employeurs les plus innovants en matière de flexibilité dans l’organisation du travail auront certainement une longueur d’avance sur leurs concurrents. Chez Spendesk, nous sommes convaincus que la digitalisation et l’automatisation combinée à une politique d’entreprise basée sur la confiance et l’autonomie participe à ce processus d’optimisation du temps des professionnels de la finance pour qu’ils puissent se concentrer sur les tâches à fortes valeurs ajoutées, les plus épanouissantes pour eux. » déclare Stéphane Baranzelli, Country Manager France chez Spendesk.
Méthodologie : Cette enquête a été réalisée en ligne par YouGov entre le 04/07/2022 et le 10/07/2022 auprès de 1050 professionnels de la finance dont 350 Français travaillant dans des départements financiers de grandes villes/zones urbaines.
A propos de Spendesk :
Fondée en 2016, Spendesk a pour mission de libérer les entreprises et les collaborateurs du processus complexe de gestion des dépenses au travail. Adoptée par plus de 140 00 utilisateurs au quotidien, sa solution complète de gestion des dépenses améliore la collaboration entre les équipes, augmente la productivité, et fournit 100% de contrôle aux équipes financières. Sa plateforme 7 en 1 comprend les cartes bancaires professionnelles physiques et virtuelles, le paiement de factures, les remboursements de frais, la budgétisation, l'approbation, le reporting et la pré-comptabilité en une solution simple et évolutive. Constituée d’une équipe de plus de 500 collaborateurs, Spendesk dispose de bureaux à Paris, Londres, San Francisco, Berlin et Hambourg.
spendesk.com
Spendesk, la solution de gestion des dépenses professionnelles 7 en 1 pour les entreprises, a mené une étude dans le secteur de la finance auprès de plus de 1000 salariés français, allemands et britanniques de la fonction finance sur la perception de l’évolution des modes de travail à l’aube de la crise économique.
L’option télétravail n’est plus négociable
Les professions financières investissent de plus en plus pour améliorer la qualité de vie au travail de leurs employés. Le télétravail est aujourd’hui un critère important de satisfaction interne et la majorité des professionnels de la finance (entre 60 et 70% en France, en Allemagne et au Royaume Uni) se déclarent satisfaits des possibilités offertes en la matière.
Dans le détail, le travail de digitalisation a été effectué avec succès dans la fonction finance, en effet 51% des répondants déclarent avoir accès à tout sans problème et seulement 18% notent quelques exceptions qui nécessitent un déplacement au bureau. De plus, effet positif de cette nouvelle forme de travail, 32% déclarent que la confiance s’est accrue avec la généralisation du travail à distance.
Néanmoins, seulement 5% des entreprises britanniques prévoient un budget mensuel pour aider leurs employés à mieux travailler à distance. Cette pratique est plus courante en France où 16% des entreprises le font. Lorsqu'elles le font, les entreprises françaises accordent environ 250 € par mois à leurs employés et les entreprises allemandes 100 €.
Les interactions sociales, à double tranchant
Seul motif d’inquiétude des salariés de la fonction finance en matière de travail à distance, un traitement inégal des salariés en effet, ils sont près de 39% à craindre que leurs collègues qui vont plus souvent au bureau soient mieux récompensés ou traités plus favorablement par la direction.
Malgré la généralisation du télétravail, il ne semble pas y avoir de solution miracle pour renforcer les interactions sociales. Le manque de lien entre collègues est un problème pour tiers des employés français, et 6% ressentent même de l’anxiété ou de l’isolement face à cela.
En outre, le travail à distance soulève la question de la confiance et de l’autonomie. A la question de savoir comment la confiance entre collègues a évolué, deux tendances se dégagent.
Un tiers des personnes interrogées estiment que la confiance a même augmenté grâce au télétravail. En revanche, une personne sur quatre en Allemagne et une sur trois en France et au Royaume-Uni n'ont pas remarqué de différence par rapport à avant. La proportion est particulièrement élevée en France, où une personne sur neuf fait moins confiance à ses collègues et aux employés travaillant à domicile. Il existe toutefois une forte corrélation avec l'âge, car plus les gens sont jeunes, plus la confiance est élevée.
Après le télétravail, cap sur la semaine de 4 jours
La pandémie, le télétravail et les rythmes de vie actuels ont fait changer les mentalités et le rapport au travail. Le concept de la semaine de 4 jours est approuvée à l'unanimité. Mais alors que 79% des professionnels de la finance souhaiteraient travailler sur la base d'une semaine de 4 jours, seules 11% des entreprises envisagent de l'explorer.
Ce concept est toutefois plus développé en France, où 20% des entreprises envisagent de l'explorer, pour seulement 9% en Allemagne et 5% au Royaume-Uni. On constate aussi que dans tous les pays, le pourcentage de femmes qui souhaitent vraiment passer à la une semaine de quatre jours est nettement plus élevé (52% vs 35% en France).
Zoom sur les politiques salariales face à l’inflation
Les crises successives ont entrainé avec elles une hausse du coût de la vie et l’inflation atteint aujourd’hui presque 6 % sur un an. Dans ce contexte, 80% des répondants estiment qu’un salaire plus important et/ou une prime sont nécessaires. Or, ceci n’a été mis en application que par 34% des entreprises. L’inflation n’a pas eu pour seul effet de modifier les attentes relatives au télétravail.
Elle exprime également un durcissement et une réduction de certains budgets. On recense par exemple dans cette étude que 39% des entreprises ont réduit leur budget dédié aux avantages sociaux.
« Le travail hybride s’est installé en deux ans dans le quotidien des professionnels de la finance, devenant aujourd’hui un prérequis incontournable pour fidéliser les meilleurs collaborateurs et attirer les talents les plus prometteurs. Dans ce monde du travail en profonde mutation, les employeurs les plus innovants en matière de flexibilité dans l’organisation du travail auront certainement une longueur d’avance sur leurs concurrents. Chez Spendesk, nous sommes convaincus que la digitalisation et l’automatisation combinée à une politique d’entreprise basée sur la confiance et l’autonomie participe à ce processus d’optimisation du temps des professionnels de la finance pour qu’ils puissent se concentrer sur les tâches à fortes valeurs ajoutées, les plus épanouissantes pour eux. » déclare Stéphane Baranzelli, Country Manager France chez Spendesk.
Méthodologie : Cette enquête a été réalisée en ligne par YouGov entre le 04/07/2022 et le 10/07/2022 auprès de 1050 professionnels de la finance dont 350 Français travaillant dans des départements financiers de grandes villes/zones urbaines.
A propos de Spendesk :
Fondée en 2016, Spendesk a pour mission de libérer les entreprises et les collaborateurs du processus complexe de gestion des dépenses au travail. Adoptée par plus de 140 00 utilisateurs au quotidien, sa solution complète de gestion des dépenses améliore la collaboration entre les équipes, augmente la productivité, et fournit 100% de contrôle aux équipes financières. Sa plateforme 7 en 1 comprend les cartes bancaires professionnelles physiques et virtuelles, le paiement de factures, les remboursements de frais, la budgétisation, l'approbation, le reporting et la pré-comptabilité en une solution simple et évolutive. Constituée d’une équipe de plus de 500 collaborateurs, Spendesk dispose de bureaux à Paris, Londres, San Francisco, Berlin et Hambourg.
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Disclaimer: The text above is a press release that was not written by Finyear.com.
The issuer is solely responsible for the content of this announcement.
Avertissement : Le texte ci-dessus est un communiqué de presse qui n'a pas été rédigé par Finyear.com.
L'émetteur est seul responsable du contenu de cette annonce.
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