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4 décembre 2014 (n°7 - 15H00) | Actions Européennes : La divergence des cycles économiques et monétaires, source d’opportunités d’investissement

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Professionnels : votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

4 décembre 2014 (n°7 - 15H00) | Actions Européennes : La divergence des cycles économiques et monétaires, source d’opportunités d’investissement













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N°7 - 15H00

Actions Européennes : La divergence des cycles économiques et monétaires, source d’opportunités d’investissement

UBP/Commentaire de marché | Actions Européennes.

Alors que la divergence des cycles monétaires et économiques entre les grandes zones d’investissement s’accentue, l’équipe de gestion Actions Européennes de l’Union Bancaire Privée ajuste son portefeuille en augmentant la pondération de certaines valeurs financières, ainsi que son exposition à la reprise économique américaine.

Après avoir réduit son exposition aux « mid-caps » et « aux sociétés en restructuration », des thèmes prépondérants du portefeuille du fonds UBAM - Europe Equity depuis plusieurs années, de nouvelles idées d’investissement viennent d’être mises en œuvre, afin de tenir compte de l’évolution de l’environnement économique et d’une BCE très accommodante. « Depuis quelques semaines, nous avons fait évoluer notre exposition aux valeurs cycliques européennes. Cela s’est traduit par une hausse globale de la pondération des valeurs financières, mais avec une grande sélectivité. Nous avons ainsi renforcé nos positions sur des profils défensifs du secteur, comme HSBC, ING, AXA ou encore Swedbank AB et fortement diminué l’exposition aux valeurs bancaires périphériques » détaille Jean-Luc Eyssautier, Senior Investment Specialist au sein de l’équipe actions européennes de l’UBP à Londres.

Une politique monétaire européenne favorable au secteur financier

Ce choix a notamment été encouragé à la lecture de la politique monétaire européenne, dont les mesures de plus en plus accommodantes - avec en perspective la probabilité d’un intensif programme de rachats d’actifs par la BCE dans les trimestres à venir - sont de nature à soutenir le secteur financier. « Pour autant, nous avons souhaité privilégier la qualité des sous-jacents. Au regard des incertitudes politiques et d’un essoufflement de la reprise économique dans certains pays du sud de l’Europe, nous avons réduit au maximum des valeurs financières espagnoles ou italiennes » précise Jean-Luc Eyssautier.

Une conjoncture américaine porteuse

Le second thème du moment auquel croit l’équipe de gestion est celui des sociétés européennes sensibles à la conjoncture américaine. Bien plus avancé qu’en Europe, le cycle économique américain est favorable à la consommation des ménages. Jean-Luc Eyssautier estime qu’« il existe aujourd’hui un point d’inflexion important aux Etats-Unis, avec la faiblesse des coûts énergétiques et des prix alimentaires. En plus des fondamentaux économiques robustes, ces tendances dopent naturellement la demande domestique en allégeant le coût de la vie ». Des valeurs telles que Nestlé, AB InBev, Deutsche Post, Diageo ou Wolseley répondent à cette thématique d’investissement, tirant une part importante de leurs revenus du marché nord-américain. Deutsche Post est un cas intéressant, symbolique du formidable essor du e-commerce. Principal actionnaire de l’américain DHL, Deutsche Post a vu son volume d’activité évoluer significativement ces dernières années, du courrier traditionnel vers l’envoi de colis. Qui plus est, la plupart de ces entreprises exportatrices gagnent en compétitivité grâce à l’affaiblissement de l’euro par rapport au dollar, dû à l’orientation des politiques monétaires de part et d’autre de l’Atlantique.

Un processus de gestion pragmatique

Ces stratégies s’inscrivent étroitement dans le processus de gestion active et pragmatique déployé par l’équipe Actions Européennes de l’UBP. « L’objectif de notre gestion n’est pas d’opérer constamment des rotations brutales, sans distinction, pour répondre à un momentum. Il s’agit au contraire de faire évoluer le portefeuille, via des ajustements graduels pour l’adapter aux thématiques correspondant à l'environnement économique. C’est uniquement avec ce type de philosophie que la gestion active continuera de surperformer une gestion indicielle. Dans un univers de plus de 600 fonds, la surperformance répétée chaque année du fonds UBAM - Europe Equity, est une grande fierté pour l'équipe de gestion depuis leur arrivée fin novembre 2010, juge Jean-Luc Eyssautier. Notre gestion collégiale, se focalise sur l’accumulation de surperformances de manière régulière. Cela n'est possible qu'en faisant des ajustements progressifs sur le portefeuille. Celui-ci est composé d’un maximum de 70 noms qui s’inscrivent pour la majorité d’entre eux dans une des 5-6 thématiques économiques ou financières que nous avons identifiées ».

Pour l'équipe de gestion Actions Européennes de l'UBP, une gestion qui s'inscrit sur le long terme se fonde sur une approche pragmatique des marchés financiers, une sélection rationnelle de titres bottom-up et l'identification de thèmes d'investissement. « Nous ne sommes attachés à aucun style de gestion et gardons constamment à l’esprit que nous investissons les actifs de nos clients. Notre approche nous empêche toute sentimentalité vis à vis des équipes de direction et des entreprises que nous détenons en portefeuille. Cela nous permet d'être très réactifs comme par exemple lors de la correction du premier trimestre » explique Jean-Luc Eyssautier. C’est avec cette philosophie d’investissement que les cinq membres de l’équipe de gestion actions européennes de l’UBP viennent de célébrer 4 années successives de surperformance annuelle le 30 novembre 2014.

A propos de l’Union Bancaire Privée (UBP)
L’UBP figure parmi les plus grandes banques privées de Suisse et est l’une des banques les mieux capitalisées, avec un ratio Tier 1 de 28%. La Banque est spécialisée dans la gestion d’actifs au service de clients privés et institutionnels. Basée à Genève et présente dans une vingtaine d’implantations dans le monde, l’UBP emploie 1’350 collaborateurs et dispose de CHF 95 milliards (EUR 78 milliards) d’actifs sous gestion au 30 juin 2014.

L’Union Bancaire Gestion Institutionnelle (France) a été créée en 1998. Elle est agréée et réglementée en France par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) - N° d'agrément AMF GP98041.
www.ubp.com | www.ubpperform.com


N°6 - 10H20

Le volume des ventes du commerce de détail en hausse de 0,4% dans la zone euro

En hausse de 0,7% dans l’UE28 - Octobre 2014 comparé à septembre 2014.

En octobre 2014 par rapport à septembre 2014, le volume des ventes du commerce de détail corrigé des variations saisonnières a augmenté de 0,4% dans la zone euro (ZE18) et de 0,7% dans l’UE28, selon les estimations d'Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En septembre, le commerce de détail avait reculé de 1,2% dans les deux zones.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°5 - 10H15

Schroders | Commentaire en vue de la réunion de la BCE

Vous trouverez ci-dessous un commentaire d’Azad Zangana, économiste Europe chez Schroders, en amont de la réunion de la Banque Centrale Européenne aujourd’hui.

Europe: Edging closer to QE

"Macro data from the Eurozone has been slightly better than expected in recent months, although the fall in oil prices is set to push inflation to dangerously low levels. The European Central Bank is edging closer to sovereign QE in response, but is likely to wait a little longer before pulling the trigger.

Overall, we expect the governing council not to announce any further stimulus until Q1 or possibly Q2 2015. We believe there are three conditions the ECB is hoping will materialise, which would stop sovereign QE:

The first is an improvement in bank lending. The second of six targeted long-term refinancing operation (TLTRO) auctions takes place in December which will add more liquidity to the banking sector. Taken together with the ABS and CB purchases, and importantly the end of the asset quality review, we may see bank lending begin to respond early next year.

The second is a further depreciation in the euro. If the Federal Reserve begins to sound more positive on the economy and more hawkish on rates, then this could help move the EUR lower.
The third is a pick up in economic growth and inflation in coming months. Both needed to reduce the risk of deflation.

We expect the ECB to be disappointed, probably on all three factors. On bank lending, we do expect a general improvement in 2015, but it is likely to take longer than many expect. The lags on monetary stimulus can be long, and with a system that is still sickly, attempting to grow its loan book when demand is subdued will be difficult.

With regards to the EUR, despite a reasonably depreciation against the USD this year, with JPY depreciating by more, and with other trading partners also depreciating (Russia along with neighbouring European currencies), the trade weighted EUR has actually appreciated by 1.6% since the start of October. Compared to the start of the year, the euro has depreciated by 3.6% against its main trading partners.

The euro could depreciate further in coming months, but with EM currencies looking shaky due to falling commodity prices, and with the Bank of Japan acting in a more aggressive manner, we suspect the ECB will not achieve the depreciation it desires without sovereign QE.

Finally, because of our expectations on bank lending and the currency, we also doubt the ECB will be happy with the ongoing sluggish growth we are forecasting. The recent fall in oil prices is also likely to push down inflation in the near term, which may adversely affect inflation expectations.
Why would the ECB not conduct sovereign QE? Legal challenges, Germanic inflation fears, and questions over the effectiveness of QE are some of the reasons behind the ECB's hesitancy. Indeed, we have had a number of ECB governing council members cast doubt over whether the ECB will take the step markets are looking for.

The decision is likely to be very close, but for the purpose of our forecast, we are now assuming that the ECB does eventually begin to buy sovereign debt. This is likely to come after both corporate bonds and agency debt are added to ABS and CB purchases, and will probably happen without a formal target on purchases being announced."


N°4 - 10H00

La Russie entre dans une crise de balance des paiements

Par Gabriel Stein, Oxford Economics.

« La combinaison de la crise Ukrainienne et de la forte baisse des prix du pétrole a provoqué une crise de balance des paiements et un vacillement vers la récession en Russie. Le rouble s’est déprécié de 15% en un peu plus d'une semaine et 40% depuis le début de 2014. »

« Les analyses produites par notre Modèle Macroéconomique prévoit qu’un prix du baril prolongé à 60 US$ entrainerait une baisse du PIB d’environ 3% l’année prochaine et une baisse du solde de la balance des paiements vers un déficit important. »

« La réaction orthodoxe à la situation actuelle serait un resserrement de politique monétaire et une solution diplomatique avec l’Ukraine. Des réactions moins orthodoxes telles que le contrôle de change sont également un risque. Le risque d’une inflation forte et de taux d'intérêt nominaux beaucoup plus élevés est important. Il y a bien ainsi le risque que in fine que cette crise monétaire se transforme en une crise de la dette. »

Lisez le Research Brief (PDF 4 pages en anglais)

Oxford Economics | 9 rue Huysmans 75006 Paris
www.oxfordeconomics.com


N°3 - 9H15

Les marchés attendent la BCE de pied ferme

Marchés actions
Sur les marchés actions, les principaux indices mondiaux poursuivent leur marche en avant, qui semble inéluctable. Le Dow Jones engrange 0.18% à 17 912.62 points, le S&P500 0.38% à 2 074.33 points et le Nasdaq 0.39% à 4 774.47 points. Du côté du Vieux Continent, après avoir fortement progressé la séance précédente, le Footsie a cédé du terrain en lâchant 0.38% à 6 716.63 points, tandis que le CAC 40 progressait péniblement de 0.08% à 4 391.86 points et le Dax de 0.38% à 9 971.79 points.

Les différentes données macroéconomiques publiées au cours de la journée n’ont pas aidé les indices à réellement fluctuer, dans une journée extrêmement pauvre en volatilité. L’enquête ADP sur l’emploi US est ressortie quelque peu décevante, avec la création de 208 000 emplois contre 222 000 attendu et 233 000 le mois précédent. Néanmoins, les marchés ont semblé peu réceptifs à cette information, pas plus qu’à la publication de l’ISM Non Manufacturier US qui a atteint des niveaux inattendus, bien au-dessus des prévisions à 59.3 points contre 57.1 au mois d’Octobre. La publication par la FED de son Livre Beige a également laissé les marchés dans un état atone, alors que son contenu n’a que très peu surpris les investisseurs. Les marchés ne s’attendent pas à une relevée des taux avant la fin du premier semestre 2015.

Il y a quelques dizaines de minutes, la Bourse de Tokyo poursuit son ascension pour la cinquième séance consécutive grâce à la faiblesse du Yen, qui est à son plus bas niveau depuis plus de sept ans face au billet vert. Le Nikkei s’adjuge 0.94% à 17 887.21 points, soit son plus haut niveau depuis plus de sept ans. Les élections au Japon, le 14 Décembre prochain, sont particulièrement attendues, même si selon les derniers sondages, il ne devrait pas y avoir de surprise puisque le mouvement du Premier Ministre Shinzo Abe est donné nettement en tête.

Selon les dernières indications disponibles, les principales bourses européennes sont attendues en légère hausse avant la BCE aujourd’hui, alors que les investisseurs attendent avec impatience la conférence de son président Mario Draghi. En effet, ces derniers espèrent la mise en place de nouvelles mesures alors que la situation en zone euro reste critique avec une reprise économique faible.

Forex
Sur le marché des devises, l'euro a chuté à son plus bas niveau depuis deux ans face au dollar. La monnaie unique est sous pression avant la réunion de la BCE. Les investisseurs continuent de spéculer sur un élargissement du programme d'assouplissement de la Banque centrale européenne avec des rachats de dettes souveraines notamment. Par ailleurs, les dernières publications en Zone Euro ont été décevantes à l'image des PMI du secteur privé publiés hier. En France notamment, l'activité du secteur privé au mois de novembre a été revue à la baisse à 47,9, selon l’indice Markit, signe de son effective contraction.

Dans l'ensemble de la zone euro, la croissance a ralenti en novembre à son plus bas niveau en un an et demi, ce qui plaide pour une "mise en place immédiate d'une politique de relance plus agressive" de la BCE, d’après le cabinet Markit.
Ces données s'ajoutaient aux chiffres de l'inflation en zone euro publiés vendredi et qui avaient montré un ralentissement de la hausse des prix à son niveau le plus faible depuis octobre 2009 à +0,3%. De plus, les risques de déflation en zone euro étaient accrus par la récente dégringolade des cours du pétrole.

La BCE se réunit ce jeudi pour discuter de la politique monétaire après le lancement des achats de titres adossés à des actifs et des obligations sécurisées lors des réunions précédentes. D'autres mesures non conventionnelles peuvent inclure l'achat d'obligations souveraines, d’après les déclarations du président Mario Draghi le mois dernier.
L’euro s’échange aux encablures de 1,2302 dollar ce matin.
Outre-Manche, la livre britannique reste stable face à l’euro à 0,7842 livre pour un euro avant le discours de la Bank of England ce jeudi matin sur le détail du programme de quantitative easing britannique et l’annonce des taux d’intérêt de la banque centrale pour le mois de décembre. Le cable GBPUSD restait lui aussi stable, évoluant autour de 1,5695 dollar.

Du côté asiatique, le dollar a touché un plus haut niveau de sept ans contre le yen. Le dollar a augmenté de 0,5 pour cent à ¥ 119,87 son niveau le plus élevé depuis Août 2007. L'euro stagne légèrement depuis le début de semaine face à la devise nippone, s’échangeant aux alentours de 147,52 yens.

Matières premières
Les cours du pétrole restent dans un range baissier ce jeudi avec des niveaux supports qui se dessinent sur le Brent et le WTI. En effet, le Brent janvier échéance 2015, se négocie à 70,21 USD le baril et le WTI à 67,87 USD. Les points d’entrée sur le marché deviennent plus techniques désormais avec un niveau de support autour des 66,67 USD et en extension le plus bas depuis 2010 touché le 1 décembre à 63,72 USD. Concernant le Brent, les niveaux de 69,48 puis 67,51 USD sont très regardés par les investisseurs. Il s’agira d’être très attentif en cas de cassure et d’accélération dans un marché très tendu. La relative remontée des prix du brut est à mettre en lien avec la baisse inattendue des stocks hebdomadaires de brut aux Etats-Unis (recul de 3.7 millions de barils contre une hausse de 1,75 million de barils attendus). Le marché va rester durablement volatile et toutes les informations liés au marché ou plus généralement à la macroéconomie mondiale auront un impact direct sur les cours. Tous les regards se tournent désormais vers le chiffre des non farm payrolls aux Etats-Unis (créations d’emplois non agricoles), vendredi après midi à 14h30, heure de Paris. à suivre également, la victime collatéral de la baisse du prix du pétrole : le rouble. La devise russe continue sa chute vertigineuse vis-à-vis du dollar (USDRUSD = 52,79, + 61% depuis 5 mois et + 9% depuis début novembre…). De son côté, l’or repasse au-dessus des 1200 USD l’once à 1205,80. Prochain niveau 1214 et 1191 USD.


Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 9H00

UBS daily roundup - Disagreement? What disagreement?

Paul Donovan daily briefing.

• The ECB is not expected to change policy today, so the attention is on the press conference. The divisions in the ECB council are obvious to everyone, so Mr Draghi seems set to a) deny divisions exist and b) aggressively spin his side of the divide, i.e. dovish policy.

• The Bank of England also meets, and is similarly expected not to change policy today. The Bank has to balance the temporary low inflation consequences of a supermarket price war with the possibility that complacent consumers are starting to releverage.

• The US awaits Friday's employment report with bated breath. In the meantime we have a little more Fed speak (Brainard, again). The tendency of Fed speakers has been to downplay the oil price impact and in consequence be a little more hawkish than the market.

• Japan has no economics, but it does have some politics of interest. Opinion polls suggest that Prime Minister Abe's coalition may achieve a "super majority" in the 14 December election. Markets would likely interpret that as being pro-reform.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 8H30

Hausse du taux de chômage au troisième trimestre 2014

En moyenne sur le troisième trimestre 2014, le taux de chômage au sens du BIT s’élève à 10,4 % de la population active en France, après 10,1 % au deuxième trimestre.
En France métropolitaine, avec 2,8 millions de personnes au chômage, le taux de chômage atteint 9,9 % et augmente de 0,2 point par rapport au trimestre précédent. Il retrouve son niveau du troisième trimestre 2013.

Lire la suite

Finyear Eco est exclusivement réservé aux professionnels, aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers. Ces commentaires présentent un caractère purement informatif et ne constituent ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’achat ou de vente d’instruments financiers.

A la suite nous vous proposons un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

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- Bouygues Immobilier acquiert Loticis et Le Chêne Vert 03/12/2014
- Etude Preqin: Venture Capital industry witnesses performance revival 03/12/2014
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- Cabestan Capital et Bpirfrance conduisent un MBO sur A2iA 02/12/2014
- Midi Capital accompagne la croissance du groupe iHOL 02/12/2014
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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 4 Décembre 2014




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