Sommaire
- BCE : 25 pdb pour ancrer les anticipations d’inflation, est-ce suffisant ?
- Riksbank : un taux directeur à 5 % en 2009 ?
- RBA : face à des pressions inflationnistes temporaires
- BRI : riposte face à des risques contradictoires
- Fusions-acquisitions bancaires : freinage marqué
- Scénarii économique et financier
- Etats-Unis : la baisse de l'emploi tient le rythme
- UEM : les scénarios d'inflation se multiplient
- Royaume-Uni : statu quo à la BoE, “There is no alternative”
- Japon : dégradation du climat des affaires
- Pays émergents : l'actualité de la semaine
Extrait - Une hausse et puis s'en va ?
La BCE a relevé son principal taux directeur de 25 pdb à 4,25%. Cette décision vise explicitement à stabiliser les anticipations d’inflation. Mais celles-ci restent élevées et nous doutons qu’une hausse de taux suffira à les contenir. Une deuxième hausse, en septembre ou en octobre, nous semble donc toujours probable. Une hausse de taux de 25 pdb ne risque pas d’entraîner l’économie en récession. Le risque vient de ce que les conditions monétaires et financières sont déjà restrictives.
- BCE : 25 pdb pour ancrer les anticipations d’inflation, est-ce suffisant ?
- Riksbank : un taux directeur à 5 % en 2009 ?
- RBA : face à des pressions inflationnistes temporaires
- BRI : riposte face à des risques contradictoires
- Fusions-acquisitions bancaires : freinage marqué
- Scénarii économique et financier
- Etats-Unis : la baisse de l'emploi tient le rythme
- UEM : les scénarios d'inflation se multiplient
- Royaume-Uni : statu quo à la BoE, “There is no alternative”
- Japon : dégradation du climat des affaires
- Pays émergents : l'actualité de la semaine
Extrait - Une hausse et puis s'en va ?
La BCE a relevé son principal taux directeur de 25 pdb à 4,25%. Cette décision vise explicitement à stabiliser les anticipations d’inflation. Mais celles-ci restent élevées et nous doutons qu’une hausse de taux suffira à les contenir. Une deuxième hausse, en septembre ou en octobre, nous semble donc toujours probable. Une hausse de taux de 25 pdb ne risque pas d’entraîner l’économie en récession. Le risque vient de ce que les conditions monétaires et financières sont déjà restrictives.