- le faible taux de transmissions familiales en France (6 % contre 55 % aux Pays-Bas,58 % en Allemagne, 72 % en Italie) ;
- une préparation insuffisante des entreprises et des dirigeants pour aborder cette phase difficile ;
- un besoin de travail sur la détection, la formation et l’accompagnement des repreneurs issus de l’entreprise. Cette étude sera utilisée pour formaliser certaines dispositions de la prochaine loi de modernisation de l’économie.

De plus en plus de cessions sont dues au départ en retraite du dirigeant : 6 cessions sur 10.
11 % des cessions surviennent suite à la maladie ou au décès du dirigeant.

On observe en France une baisse des transmissions familiales, celles-ci représentant moins de 10 % des transmissions d’entreprises.

Enfin, on constate que 21 % des entreprises transmises sont en échec après 6 ans d’activité.

En Europe, l’enjeu est similaire puisqu’un tiers des entreprises devrait être transmis dans les 10 prochaines années.
Sources Conseil Economique et Social, Oséo-BDPME et Commission Européenne

Les entreprises françaises des secteurs de l’industrie, du commerce de gros et du service à l’industrie dont l’effectif est compris entre 20 et 1 000 salariés, dont les actionnaires sont des personnes physiques = entreprises « familiales », soit 25 160 entreprises.

En moyenne, en France, 62 % des entreprises ciblées ont un dirigeant de plus de 50 ans et leur effectif porte sur plus d’un million d’emplois.

Sources Diane
Une grande majorité des transmissions faisant suite à un départ en retraite du dirigeant, au cours des 10 prochaines années, l’enjeu de la transmission d’entreprises au sein de la cible étudiée porte ainsi sur plus d’un million d’emplois.

1. Etat des lieux

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Suite et lien vers l'étude
www.industrie.gouv.fr/biblioth/docu/dossiers/sect/synthese_transmission2008.pdf