Bien loin des projecteurs médiatiques, ce sont plusieurs Florange qui disparaissent chaque jour dans l'indifférence générale.
Les ponctions fiscales et les augmentations de charges récentes risquent d'accroître encore le mouvement, alors que 58 % des chefs d'entreprise se déclarent inquiets pour leur activité.
Ces défaillances au-delà des conséquences économiques, sont autant de drames humains tant pour les salariés que pour les entrepreneurs engagés sur leurs biens propres.
Dans un tel contexte, la CGPME souhaite attirer l'attention des pouvoirs publics sur la nécessité, à l'instar de ce qui existe dans de nombreux pays, d'offrir la possibilité aux victimes de la crise, de rebondir.
Or actuellement les chefs d'entreprise qui ont fait l'objet d'une liquidation judiciaire sont ensuite "marqués au fer rouge" par la Banque de France pendant trois ans.
La CGPME suggère que ne soient plus inscrites au fichier Banque de France que les seules liquidations ayant fait l'objet de poursuites judiciaires. Il conviendrait également que la Banque de France soit tenue d'informer les établissements financiers lorsque les informations recueillies sur le chef d'entreprise n'appellent plus de remarques particulières.
N'a-t-on le droit qu'à une seule chance ?
www.cgpme.fr
Les ponctions fiscales et les augmentations de charges récentes risquent d'accroître encore le mouvement, alors que 58 % des chefs d'entreprise se déclarent inquiets pour leur activité.
Ces défaillances au-delà des conséquences économiques, sont autant de drames humains tant pour les salariés que pour les entrepreneurs engagés sur leurs biens propres.
Dans un tel contexte, la CGPME souhaite attirer l'attention des pouvoirs publics sur la nécessité, à l'instar de ce qui existe dans de nombreux pays, d'offrir la possibilité aux victimes de la crise, de rebondir.
Or actuellement les chefs d'entreprise qui ont fait l'objet d'une liquidation judiciaire sont ensuite "marqués au fer rouge" par la Banque de France pendant trois ans.
La CGPME suggère que ne soient plus inscrites au fichier Banque de France que les seules liquidations ayant fait l'objet de poursuites judiciaires. Il conviendrait également que la Banque de France soit tenue d'informer les établissements financiers lorsque les informations recueillies sur le chef d'entreprise n'appellent plus de remarques particulières.
N'a-t-on le droit qu'à une seule chance ?
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