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Morning Briefing by Finyear Coffee - March 5, 2014

Marchés, cotations, indices et taux - Tableau de bord financier - Mises à jour quotidiennes. / Markets, quotations, indices and rates - Financial Dashboard - Daily updates. / Morning Briefing by Finyear Coffee.


Commentaires du jour

Morning Briefing by Finyear Coffee - March 5, 2014
10:00 AM

Good Morning Finyear Readers!

European markets are trading slightly higher this morning as the situation between the Ukraine and Russia hasn’t worsened overnight.
Despite plenty of economic data scheduled for release on both side of the Atlantic centre stage is expected to take two meetings where Russian foreign minister Lavrov will meet with NATO and US Secretary of State John Kerry today in Paris.
Overall everybody is aware that there isn’t a realistic quick fix what the situation on the Crimean peninsula is concerned, as there is simply too much at stake and the entire situation isn’t straightforward either due to historical and cultural issues. A huge majority of the population there speaks Russian and see themselves as Russians and the territory itself has not always belonged to the Ukraine and was given by the Soviet Union to the Ukraine about 60 years ago.
However unlike just a couple of days ago where things looked like they could quickly and easily spiral out of control, tempers have calmed down considerably and rhetoric has been scaled back resulting that both sides are at least willing to talk.
Still even with economic data continue to take a bit of a backseat for now this doesn’t mean that releases like tonight’s Beige Book by the Fed or tomorrow’s ECB and BOE meetings won’t at least have a short term impact on stocks.
Optimism that at this stage an outright armed conflict will most likely be avoided should continue to provide stocks with support while on the other hand there is still plenty of uncertainty left what the Crimean peninsula is concerned which should somewhat limit the potential to the upside for now.

Thank you.
Kind regards,

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black

www.peregrineblack.com




09:00 AM

Les marchés restent prudents malgré des signes d'apaisement en Ukraine

Marchés Actions : Sur les marchés actions, les principaux indices mondiaux ont réussi à effacer les pertes enregistrées la veille à la suite de propos rassurants du dirigeant russe, Vladimir Poutine. Rappelons que les investisseurs ont assisté à une véritable escalade des tensions en début de semaine : après la mobilisation d’une partie des troupes russes, les Etats-Unis ont immédiatement menacé le pays de sanctions économiques et d’isolement politique. Alors que la plupart des intervenants s’attendaient à une montée en puissance des représailles, Vladimir Poutine a finalement choisi de calmer le jeu en écartant toute offensive à court terme et en assurant que les soldats russes en Crimée n’avaient établi aucun siège des bases militaires ukrainiennes. Face à ces déclarations, les investisseurs ont pu aborder plus sereinement les marchés actions en cours de séance, même si cet apaisement passager n’est pas un signe de la fin de la crise. Les indices américains et européens ont ainsi retrouvé des plus hauts ce mardi, au travers d’une séance pauvre en indicateurs macroéconomiques. Seule statistique de la journée, les prix à la production industrielle en janvier ont reculé de 0,3% dans la zone euro, mais cette nouvelle n’a pas été considérée en pleine actualité russo-ukrainienne. Quelques valeurs ont toutefois réussi à s’imposer dans l’actualité boursière de la journée : nous retiendrons notamment Carmat, dont la cotation reste suspendue, depuis l’annonce du décès du patient qui avait bénéficié de la première implantation du cœur artificiel mis au point par le groupe. Dans ce contexte, aux Etats-Unis, le Dow Jones a terminé sur les 16 395,88 points en hausse de 1,41%. Le S&P500 a renoué avec ses plus hauts à 1 873,91 points en gagnant 1,53%. Le Nasdaq de son côté a progressé de 1,75% à 4 351,97 points. En zone euro, l’attrait pour le risque a prédominé au cours de cette séance : le CAC 40 a grimpé de 2,45% à 4 395,90 points. Le Dax allemand a terminé sur les 9 589,15 points en hausse de 2,46% et le FTSE de Londres s’est élevé de 1,72% sur les 6 823,77 points.

En Asie, dans le sillage des marchés européens et américains, la Bourse de Tokyo a terminé dans le vert ce mercredi. Soutenue par l’apaisement des tensions géopolitiques et par la déclaration du Premier ministre chinois qui estime une hausse de 7,5% de son PIB cette année, le Nikkei 225 a gagné 1,20% à 14 897,63 points. Le Topix, plus large, a fini sur les 1 212,90 points en progressant de 0,73% au cours de la séance.

Ce mercredi, nous attendons les principales Bourses européennes et américaines stables à l’ouverture après deux séances mouvementées. Les investisseurs pourront notamment suivre une batterie de nouveaux indicateurs : les indices PMI des services en zone euro et aux Etats-Unis, l’enquête ADP sur l’emploi privé américain pour février, ainsi que le Livre beige de la Fed.

Forex : Sur le marché des devises, l’euro se stabilisait mardi face au dollar. Alors que les opérateurs semblent prudents face aux tensions entre l’Ukraine et la Russie, la monnaie unique européenne a retrouvé un équilibre, s’adjugeant à des niveaux de fin de semaine dernière.

Les marchés semblent en effet opérer un retour à la normale suite au rappel des troupes russes effectuant des exercices militaires à la frontière de l’Ukraine. Le président Vladimir Poutine a estimé que l’envoi de troupes militaires dans le pays n’était pas nécessaire pour le moment et a également nié tout siège des bases militaires ukrainiennes par des soldats russes en Crimée, dénonçant un coup d’Etat et une prise de pouvoir par les armes. Ce ton conciliant du président russe ainsi que le retrait des troupes de la frontière ukrainienne devraient ramener de l’optimisme sur les marchés. Néanmoins, les opérateurs devraient rester extrêmement prudents car la situation en Ukraine n’est toujours pas solutionnée et que les marchés pourraient réagir violemment à tout annonce de nouvelle détérioration.
L’incertitude géopolitique en Europe reste donc de mise et pousse les investisseurs à privilégier les actifs jugés les plus sûrs comme le yen, le franc suisse ou encore l’or, au détriment de l’euro considéré comme plus risqué.

Outre-Atlantique, le billet vert a bénéficié mardi de la publication du rapport sur l’activité manufacturière pour le mois de février. Celui-ci a présenté une accélération de la progression de l’activité et laisse espérer une stabilisation de l’économie aux Etats-Unis. Les investisseurs américains devraient néanmoins rester prudents dans leur prise de positions, en attendant le rapport officiel de l’emploi qui sera publié vendredi. En effet, l’hiver rigoureux que traversent actuellement les Etats-Unis a alimenté les inquiétudes sur la vigueur de la reprise économique américaine. Les intempéries pourraient continuer d’impacter l’emploi américain, les opérateurs resteront donc vigilants sur les chiffres de l’emploi et prendront notamment connaissance aujourd’hui de l’enquête ADP sur l’emploi privé américain.

Du côté des valeurs, la monnaie unique européenne continuait ce matin de perdre quelques couleurs face au dollar, pour venir s’adjuger à 1,3733 dollar contre 1,3742 dollar mardi. Dans un contexte géopolitique toujours sous pression en Ukraine, l’euro et le dollar continuent de chuter face à la devise nippone, s’adjugeant respectivement à 140,28 yens pour un euro et 102,15 yens pour un dollar.

Quant aux autres paires de devises, la livre britannique montait face à l'euro, s’adjugeant à 82,38 pence pour un euro, et également face au dollar à 1,6668 dollar pour une livre. La devise helvétique, de son côté grimpait face à l'euro, à 1,2184 franc suisse pour un euro et se stabilisait face au dollar, à 0,8872 franc suisse pour un dollar.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, le WTI et le Brent évoluent en ordre dispersé ce matin. Le brut de référence américain progresse sensiblement de 0,04% à 103,37$ tandis que le Brent cède 0,11% à 109,18$. Le WTI a perdu près de 1,5% hier suite aux spéculations sur un assouplissement des tensions entre l’Ukraine, et donc les pays Occidentaux, et la Russie. Alors que le président des Etats-Unis a menacé la Russie de sanctions, le président Vladimir Poutine a précisé qu’il ne voyait, pour le moment, pas d’intérêt à envahir l’Ukraine. Rappelons que bien que l’Ukraine ne soit ni un producteur pétrolier majeur ni un gros consommateur, le pays occupe une position stratégique pour le transport d’hydrocarbures russes. Ainsi, près de 70% du gaz et du pétrole russes transitent par l’Ukraine et l’Europe représente 90% des achats de pétrole russe. Du côté américain, l’American Petroleum Institute a indiqué que les stocks de pétrole brut avaient augmenté de 1,17 million de barils la semaine dernière. Les stocks de produits distillés ont diminué de 270 000 barils et les stocks d’essence de 1,2 million de barils selon l’API. Au cours du mois de Février, stimulé par les conditions climatiques particulièrement rudes cette année, le WTI a progressé de 5,2%. L’écart entre le Brent et le WTI diminue pour la sixième journée consécutive pour atteindre 5,81$ ce matin.

Du côté des métaux précieux, l’or grappille 0,03% ce matin à 1 334,89$ après avoir fortement reculé hier pour les mêmes raisons que le WTI à savoir un assouplissement des tensions entre Ukraine et Russie. Depuis le début du conflit, l’or a atteint un nouveau plus haut le 3 mars depuis le 30 Octobre dernier. Il faut dire que l’or profite d’un contexte favorable depuis le début de l’année, et est redevenu une valeur refuge. L’or a tout d’abord bénéficié du soutien des acheteurs physiques asiatiques, profitant des faibles coûts pour se réapprovisionner. Puis la crise des pays émergents et une reprise économique américaine au ralenti, notamment suite à de nombreuses tempêtes de neige, ont favorisé le métal jaune qui a progressé de 11% depuis le début de l’année. Le président russe invoque la défense des russes de souche pour éventuellement intervenir militairement en Ukraine alors que la région de la Crimée a déjà été reprise. Les pays Occidentaux tentent d’éviter la faillite de Kiev et le FMI a dépêché des experts pour évaluer la situation. Dans le sillage de l’or, l’argent s’adjuge 0,11% ce matin à 21,20, tout comme le palladium en progression de 1,64% à 776,00$ et le platine de 0,11% à 1 465,38$.

SAXO BANQUE.


La zone euro a progressé mais une union bancaire solide reste nécessaire, selon M. Draghi

Les banques en difficulté ont besoin d'un système européen de prise de décisions "solide et rapide" et le superviseur de la Banque centrale européenne devrait déterminer seul le moment où ces banques risquent de ne plus être viables, a affirmé le Président de la BCE, Mario Draghi, en commission des affaires économiques et monétaires lundi. L'économie de l'UE est désormais un "verre à moitié plein" mais il est trop tôt pour crier "mission accomplie", a-t-il ajouté.

Lors de l'ouverture de sa dernière réunion avec la commission parlementaire avant les élections européennes, M. Draghi a rappelé les nombreuses mesures prises ces cinq dernières années pour lutter contre la crise. L'euro est aujourd'hui dans une meilleure position qu'en 2009, mais de nouvelles actions doivent être prises de manière urgente pour achever l'union bancaire et la mettre en œuvre, a-t-il affirmé.

Les questions des députés se sont concentrées sur le prochain système de résolution bancaire, sur les outils de la BCE qui peuvent être conçus ou appliqués pour aider l'économie réelle et en particulier les petites entreprises, et sur les prochaines étapes concernant la structure de la Troïka (BCE, Commission européenne et FMI).

En sa qualité de Président du Comité européen du risque systémique, M. Draghi a également répondu à des questions sur les tests de résistance des banques qui seront menés par la BCE et sur la manière de résoudre les effets négatifs de la faible inflation dans la zone euro.

Communiqué de presse - Affaires économiques et monétaires − 04-03-2014 - 09:00
europarl.europa.eu


Vers une poursuite inévitable de la hausse des taux obligataires

Le comportement de la courbe des marchés obligataires connaît une rupture. Le nouveau régime de convergence entre les classes d’actifs, qui évoluent de manière coordonnée depuis que les banques centrales ont piloté des achats massifs sur toutes les classes d’actifs, change la donne : les taux obligataires ont désormais de fortes chances d’augmenter quel que soit le scénario économique.

Les perspectives d’un environnement économique dynamique outre-Atlantique ont logiquement imposé le changement de cap de la politique monétaire américaine. Non sans conséquence. Annoncé dès le printemps 2013, mis en œuvre avec conviction depuis le mois de décembre dernier, le ralentissement du programme d’achat d’actifs de la Réserve Fédérale a déjà impacté les marchés obligataires souverains. Les taux core ont intégré assez tôt ce resserrement des conditions monétaires, à tel point que le 10 ans américain a subi une tension non négligeable depuis dix mois, évoluant de 1.6% à près de 2.8%. Dans son sillage, mais avec il est vrai moins d’amplitude, le taux à 10 ans allemand s’est tendu d’environ 50 pb sur la même période, pour s’établir aujourd’hui autour de 1,7%.

Et ce mouvement est loin d’être terminé. Les prochains trimestres devraient être encore synonymes de hausse soutenue des taux obligataires, avec les risques de déstabilisation que cela comporte. En atteste la rechute récente des marchés boursiers et des devises de certains pays émergents, qui après avoir bénéficié des flux de capitaux étrangers et d’un repli des taux d’intérêt quand la planche à billet américaine tournait à plein régime, subissent les dommages collatéraux du retour à la normale de la politique monétaire de la FED. Pragmatique, la banque centrale n’en modifiera pas pour autant sa ligne directrice – à condition que la croissance économique US conserve le même rythme – qui semble conduire vers l’arrêt total des injections de liquidités dès cette année, ainsi qu’à une hausse de ses taux directeurs en 2015.

Il est intéressant de constater que cette rupture est en train d’être accompagnée par un renversement significatif du comportement de la courbe des taux, qui ne réagit plus de la même façon par rapport au contexte macroéconomique. Historiquement, on observait jusqu’ici une double corrélation qui influençait sensiblement l’orientation des taux obligataires : l’inflation et la croissance économique avaient tendance à soutenir les taux à la hausse, tandis qu’en situation de désinflation et de décroissance, les taux étaient pressurisés par l’effet baissier de la relance monétaire et de l’appétence des investisseurs pour le caractère refuge des emprunts d’Etat. En résumé, la corrélation était négative entre la performance des obligations souveraines et celle des actions, mais positive entre l’orientation des taux d’intérêt et des actions.

Aujourd’hui, ce modèle n’existe plus. On assiste au contraire à une forme de convergence entre les classes d’actifs, qui évoluent de manière coordonnée depuis que les banques centrales ont piloté des achats massifs sur toutes les classes d’actifs. Résultat, les taux obligataires ont désormais de fortes chances d’augmenter quel que soit le scénario économique. En cas de retour marqué et durable de la croissance, ce qui n’est pas forcément l’hypothèse la plus convaincante pour la zone euro, les taux core vont continuer d’augmenter. En cas de déflation et de croissance très modeste, ou plus encore, de coup de frein économique, l’importance des dettes déjà accumulées par certains Etats, notamment en Europe, devraient accentuer les difficultés de ces derniers à rembourser leurs créanciers. Dans cette situation aussi, les taux longs des pays core augmenteront.

Inévitable à moyen terme, la tension des taux d’emprunt core va nécessiter une nouvelle approche pour les investisseurs, tout particulièrement dans le cadre d’allocations d’actifs diversifiées patrimoniales. Si les emprunts d’Etat américain, allemand ou français perdent de leur statut refuge, si les actions et les obligations évoluent en convergence, il sera désormais bien difficile d’amortir les chocs de certains actifs, par une diversification vers d’autres actifs censés être moins exposés !

Par Xavier Leroy, Président de Quilvest Gestion
4 Mars 2014

À propos de Quilvest Gestion : Quilvest Gestion est la société de gestion de Quilvest Wealth Management, Groupe Quilvest. Dédiée aux investisseurs institutionnels, Quilvest Gestion dispose d’une forte expertise de gestion sur les taux obligataires depuis 1993, sous formes de mandats et d’OPCVM. Quilvest Gestion compte aujourd’hui près de 3 milliards d’euros d’actifs sous gestion.



Asoka Wöhrmann, le Co-CIO de Deutsche Asset & Wealth Management, parle du yuan

Les mesures récentes de la Banque populaire de Chine (BPC) ont fait perdre 1 % de valeur au yuan en une semaine. Elles ont suscité des inquiétudes sur l’éventualité d’une appréciation structurelle de la monnaie chinoise à long terme. C’est ce qu’explique Asoka Wöhrmann, le Co-Chief Investment Officer de Deutsche Asset & Wealth Management.

« Le comportement récent de la BPC a deux causes possibles : soit il annonce un changement de politique monétaire, qui est dû aux soucis sur la croissance économique et la compétitivité. Ou bien la dépréciation s’explique par les efforts de la banque centrale visant à contenir les flux de capitaux spéculatifs vers la Chine. »

« La première explication (un changement de politique monétaire cherchant à donner un coup de fouet à la croissance) n’est toutefois pas fort probable, car la Chine n’a encore jamais utilisé la politique monétaire pour orienter sa croissance ou promouvoir ses exportations, y compris pendant la crise asiatique de 1997 ou la période 2008/2009. Il n’y a non plus de raison de stimuler les exportations, vu que, nulle part ailleurs en Asie, elles n’augmentent aussi fort qu’en Chine. »

« Il est probable qu’on a en fait cherché à contenir les flux de capitaux spéculatifs. Cet apport de capital spéculatif, également baptisé « hot money », s’est fortement accru depuis que les taux des obligations et le marché monétaire ont significativement augmenté. Vu que les taux sur le marché chinois des monnaies et des obligations resteront vraisemblablement à un niveau relativement élevé, la BPC s’inquiète d’une poursuite de l’afflux. Les taux de change sont l’instrument à court terme qui permet de contrer ces capitaux spéculatifs. Les mesures semblent couronnées de succès : les capitaux spéculatifs est actuellement en train de quitter le pays. »

« Nous nous attendons à ce que cette tendance d’appréciation à long terme reprenne graduellement et à un rythme modeste, alors que la dépréciation demeurera un instrument important pour maintenir l’équilibre de l’économie chinoise lors du passage à une croissance durable. La tendance à la hausse sera toutefois accompagnée d’une plus grande volatilité à court terme, afin de contrecarrer l’influence des spéculateurs à court terme sur les taux de change. »

« Comme signe avant-coureur d’une poursuite de la libéralisation du marché monétaire, l’amplitude du cours dollar-yuan pourra augmenter de 1 à 2 % dans les prochains mois. Le cours dollar-yuan va ainsi gagner en volatilité, avec des mouvements dans les deux directions. »

« Nous pensons que d’autres réformes seront annoncées lors du douzième Congrès national du peuple, dont la deuxième séance se tiendra le 5 mars. Il y aura vraisemblablement beaucoup d’intérêt pour la réforme des marchés financiers et d’autres mesures de libéralisation. Nous prévoyons donc que l’incertitude sur les futurs taux de change va diminuer en conséquence. »

Paris, le 27 février 2014


Ukraine tension could shock global economy

Craig Botham, Emerging Markets Economist, comments on recent events in Ukraine and the impact this could have for the global economy:

The impact of rising commodity prices, as a result of events in Ukraine, could have a knock-on effect on market sentiment and economic growth.

There are echoes of the Georgia-Russia crisis of 2008 in current events in Ukraine, with the difference being that Ukraine has greater political significance.

Ukraine and Russia are closely linked by history; after all, Kievan Rus – a federation of East Slavic tribes from the 9th to 13th century – was in many ways the birthplace of the Russian state. Vladimir Putin has the support of the populace in Crimea and parts of Eastern Ukraine, and could be hoping to force a separation as he did with South Ossetia and Abkhazia in Georgia. For a long time Putin has been trying to forge a Eurasian Customs Union, drawing in the former Soviets, and it may be that what he cannot achieve through soft power, he will be happy to take through force. Given the costs involved to Russia in doing this, it may be that the show of force is intended to wring more compromises from Kiev and the West, perhaps in the form of self-rule for Crimea and other Russian speaking regions.

However, on a rational level, it seems unlikely that Russia would want to take on the economic liability of Ukraine, trade and political sanctions, and invite claims on its own territory. Geopolitically it doesn’t appear to make sense. The show of strength could be intended, ultimately, simply to burnish Putin’s reputation within Russia as a strongman and defender of Russian values.

Some form of sanctions seems likely. It is difficult to speculate on how far the West is willing to go, but a ban on travel to the West for the Russian elite would seem likely, alongside possible trade embargoes and diplomatic expulsions. There is a slight chance we see attempts to isolate Russia in much the same way as Iran was isolated, but this seems likely to escalate the situation. If Russia presses its incursion deeper into Ukraine (i.e. beyond Crimea) however, this seems increasingly likely.

Russia’s chief exports are oil related, so any sanctions will likely drive up energy costs and could transmit a stagflationary shock to the global economy. Ukraine is a major wheat producer, so we would expect food prices to be similarly adversely affected. The impact on the supply of natural gas is unclear: it’s really in no one’s interests to turn the flow off. Russia will not want to pre-empt sanctions, Ukraine doesn’t want to anger its European allies or invite further Russian aggression, and the European Union doesn’t want higher energy costs. In a rational world the gas would stay on until trade sanctions are implemented. China will be watching closely given its dependence on energy and food imports, and we might see Chinese diplomatic pressure if the issue isn’t speedily resolved.

On the market front, concerns over a spike in energy and food costs should impact sentiment globally, but particularly assets in the region: Central and Eastern European markets and currencies will likely suffer, as will countries dependent on energy imports. Within emerging markets, India could be quite exposed on this front. Commodity markets should, broadly speaking, see price increases. Ukraine’s role as a wheat exporter will push up agricultural prices, while uncertainty over oil and gas supply will push up the energy matrix. This could all be supportive in the short-term for some commodity exporters, particularly if they are energy-independent.

04 March 2014


Chiffres du jour

Souscriptions nettes de titres d'OPCVM - France - décembre 2013

La Banque de France vous informe de la parution du Stat Info.

Cessions nettes de titres de créance à court terme et d'actions et acquisitions nettes de titres de créance à long terme

OPCVM non monétaires (encours de titres émis : 944,2 milliards d'euros) : dans un contexte de décollecte nette (-3,7 milliards au quatrième trimestre, après -7,1 milliards au trimestre précédent), les OPCVM non monétaires vendent des actions (-5,9 milliards), notamment d'entreprises résidentes (-6,5 milliards) et des titres de créance à court terme (-3,4 milliards). Ils renforcent leur position en titres de créance à long terme (+3,7 milliards), en privilégiant les titres de la zone euro hors France (+ 5,5 milliards). Sur l'ensemble de l'année 2013, les acquisitions nettes de titres de créance à long terme s'élèvent à 8,5 milliards.

OPCVM monétaires (encours de titres émis : 284,3 milliards d'euros, données consolidées(1)) : les retraits nets observés au quatrième trimestre (-8,5 milliards, après des retraits nets de -7,4 milliards au troisième trimestre) se traduisent par des cessions de titres de créance à court terme (-30,0 milliards) en grande partie émis par des établissements de crédit (-19,3 milliards, dont -10,3 milliards d'émetteurs français et -9,2 milliards d'autres résidents de la zone euro). Sur l'ensemble de l'année 2013, les OPCVM monétaires réalisent pour 58,4 milliards de cessions nettes de titres de créance à court terme. Au quatrième trimestre, ils renforcent leurs dépôts et autres placements nets (+14,3 milliards) et acquièrent des titres de créance à long terme(2) (+7,4 milliards) notamment émis par des établissements de crédit résidents (+3,5 milliards).

(1) L'encours consolidé des titres d'OPCVM monétaires exclut les titres détenus par des OPCVM monétaires.
(2) Titres de durée initiale supérieure à un an, mais dont, conformément à la réglementation, la durée résiduelle ne dépasse pas 13 mois.

Les séries associées à cette publication peuvent être consultées dans la base de données interactive WEBSTAT de la Banque de France, à l'adresse suivante :
http://webstat.banque-france.fr/fr/browse.do?node=5384318

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 5 Mars 2014




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