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Morning Briefing by Finyear Coffee - March 13, 2014

Quotidien du Financier. Marchés, cotations, indices et taux - Tableau de bord financier - Mises à jour quotidiennes. Morning Briefing by Finyear Coffee.


Commentaires du jour

Morning Briefing by Finyear Coffee - March 13, 2014
11:00

Good Morning Finyear Readers!


European indices are trading little changed this morning with traders tending to stay on the side-lines for now closely watching events unfolding in the Ukraine.
There has been more bad news out of China overnight where industrial production data and retail sales came in below expectations.
However their impact on European markets so far has been minor as markets have already come off substantially over the last few days anyway and bad news out of China has become a bit of the norm in the recent weeks making it less likely that it will spook markets easily.
Furthermore support is coming out of the US where markets are trading higher ahead of the closely watched release of US retail sales later.
For now range-trading appears to be the likely scenario, attempts for markets to move higher wouldn’t be too surprising as some consider the recent down-move as somewhat excessive.
While it appears slightly early for bargain hunting some profit taking by ‘Shorts’ wouldn’t be considered as unusual especially as many just looking to re-enter their short position at higher levels later. Any intra-day advances to the upside are likely to have a hard to time being sustained into the close as many will still be shying away from keeping new ‘Long’-Positions overnight with the matters concerning the Crimea not any closer to being solved.

Thank you.
Kind regards

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black

www.peregrineblack.com


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09:00

Ouverture prudente, le CAC préserve son support des 4 290 points


Marchés Actions : Sur les marchés actions, Wall Street a clôturé dans un ordre dispersé mercredi, pendant qu’un peu plus tôt dans la journée, les différentes bourses mondiales avaient clôturé dans le rouge, subissant les pressions sur les perspectives économiques en Chine à la baisse. La situation en Ukraine reste également un facteur préoccupant pour les investisseurs alors que le secrétaire d’Etat américain John Kerry doit rencontrer demain son homologue russe Sergueï Lavrov avant le référendum Dimanche en Crimée. Rappelons que ce référendum a pour but de permettre aux habitants de choisir s’ils veulent prendre leur indépendance ou pas. Le Dow Jones reculait très légèrement en cédant 0,07% à 16 340,08 points tandis que le S&P500 et le Nasdaq grappillaient respectivement 0,03% et 0,37% à 1 838,20 points et 4 323,33 points. Du côté des Bourses européennes, le CAC cédait 1,0% à 4 306,26 points, le FTSE 0,97% à son plus bas niveau en près de un mois à 6 620,90 points et le Dax 1,28% à 9 188,69 points.

Ce matin, la Bourse de Tokyo a terminé à la baisse de 0,1% à 14 815,98 points après un chiffre inférieur aux attentes en toute fin de séance à savoir la production industrielle en Chine qui a augmenté de 8,6% contre 9,5% attendu. Les valeurs liées aux matières premières ont de nouveau été sanctionnées en raison de l’inquiétude sur la demande chinoise qui pourrait diminuer notamment en cas de ralentissement économique. Les cours du cuivre, qui sont parfois présentés comme un baromètre de l’économie chinoise, ont atteint leur plus bas niveau en près de 44 mois. Rappelons que la Chine consomme 40% du cuivre mondial. On peut s’attendre en fin de semaine à une volatilité accrue en raison de l’expiration des contrats futures et des options sur le Nikkei Vendredi

Selon les premières indications disponibles, les principales bourses européennes sont attendues dans le vert ce matin à l’ouverture, dans un contexte macro-économique tout de même toujours tendu et après l’annonce du ralentissement de la production industrielle chinoise. Le FTSE pourrait gagner 0,3%, le CAC40 0,40% et le Dax 0,50% suite à leur recul de la veille. Cet après-midi sera chargé d’annonce du côté américain avec notamment les ventes au détail et les nouvelles demandes d’allocations chômage.

Un rappel concernant le passage à l’heure d’été aux US. Cela se traduira, pendant trois semaines, par une ouverture (et donc une clôture) avancée d’une heure. Les marchés américains ouvriront donc à 14h30, heure de Paris, pour fermer leurs portes à 21h30. Toutes les statistiques, outre-Atlantique, sont également publiées avec une heure d’avance par rapport aux horaires habituels.

Forex : La parité EUR/USD progresse fortement sur la journée hier et s’adjuge une hausse de 0.32% : la parité passe d’un plus bas à 1.3843$ à un plus haut à 1.3915$. Ce matin, la parité gagne encore du terrain à hauteur de +0.30% et vient côtoyer les 1.3944$, après avoir atteint les 1.3949$ au plus haut aujourd’hui. Les investisseurs semblent laisser de côté leur aversion pour le risque et se dirigent vers la monnaie unique européenne qui se renforce au détriment du billet vert. En atteignant les 1.3949$ ce matin, la parité revient sur son plus haut qu’elle n’avait pas atteint depuis Octobre 2011 La parité a donc un potentiel à aller chercher prochainement le niveau des 1.40$, si toutefois la BCE ne déçoit pas aujourd’hui lors de son rapport mensuel. Ceci est à tempérer puisque dans l’après-midi, les investisseurs seront dans l’attente de statistiques importantes de l’autre côté de l’Atlantique, notamment les ventes au détail mensuelles qui sont attendues en hausse à 0.2% contre -0.4% précédemment et pourrait donner au dollar davantage de vigueur.

Les principales paires en yens évoluent de manière mitigée ce matin : la parité USD/JPY cède aujourd’hui de 0.18%, à 102.56 yens, après avoir déjà encaissé une baisse de 0.20% hier, alors que la parité EUR/JPY s’adjuge 0.13% de hausse après avoir gagné 0.11% hier. Il semblerait que la Chine, dont les réserves de changes sont principalement en dollars américains, serait vendeuse en masse de dollars contre euro afin d’équilibrer ses réserves.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, le WTI est tombé hier à un niveau bas mensuel. Malgré les nouvelles prévisions de l’Opep, venant nuancer les estimations de l’Agence américaine d’information sur l’énergie, les cours continuent d’être orientés à la baisse. Selon l’institution, la demande mondiale de pétrole devrait augmenter cette année en raison d’une accélération de la reprise en Europe et aux Etats-Unis. Dans le rapport publié mercredi, l’Opep prévoit une hausse de la demande mondiale en 2014 de 1,14 millions de barils par jour, soit 50 000 de plus que dans les précédentes estimations. Les cours pourraient donc à moyen ou long terme reprendre des couleurs. Néanmoins, un ralentissement économique dans les pays émergents pourrait impacter la demande mondiale de pétrole. En effet, les récents évènements tels que le resserrement du programme de rachats d’actifs aux Etats-Unis ou la situation en Ukraine, accentuent les risques pour la croissance de ces pays et pourraient également peser sur la demande mondiale.

Du côté des valeurs, les estimations annoncées en début de semaine par l’EIA, révisant à la baisse sa prévision de croissance de la demande mondiale avec une augmentation des stocks de brut, continuent de peser dans l’esprit des opérateurs. Sur la séance de mercredi le WTI a reculé de 1,17%, s’adjugeant à 97,84 dollars en fin de journée. Le Brent de la Mer du Nord, quant à lui, continue d’évoluer au gré des annonces sur le dossier ukrainien. Evoluant principalement entre 107 et 108 dollars depuis le début de semaine, le contrat à terme du Brent échéance avril a perdu du terrain hier, s’adjugeant en fin de séance à 107,57 dollars.

Concernant les métaux précieux, l’or continue de jouer son rôle de valeur refuge face aux évènements géopolitiques en Europe et à la baisse des marchés boursiers. La situation en Ukraine stagne et les pays occidentaux commencent à lever le ton. Les opérateurs restent donc positionnés à l’achat sur le métal jaune, permettant à l’once de grimper de 1,88% depuis mercredi, s’adjugeant à 1 372 dollars tôt ce matin. Par ailleurs, les craintes de la part des opérateurs sur la croissance en Chine vont de bon train. En effet, ce pays étant le plus grand consommateur du monde, un ralentissement de la croissance entrainerait une contraction de la demande d’or cette année.


L'équipe Saxo Banque
www.saxobanque.fr

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Les investisseurs cherchent la performance dans les actions en 2014

Selon un sondage mené par le groupe Schroders, la confiance des investisseurs individuels a nettement rebondi, notamment dans les économies développées où la reprise économique se confirme, les actions constituant leur classe d’actifs préférée pour l’année à venir.

Paris, le 4 mars 2014

Alors que le redressement progressif des pays développés a offert de fortes performances boursières en Europe comme aux Etats-Unis au cours des 12 derniers mois, Schroders s’est penché sur l’état d’esprit des investisseurs individuels afin d’examiner de plus près ce retour de confiance. L’étude Schroders Global Investment Trends Report 2014 a sondé plus de 15 000 investisseurs dans 23 pays du 2 au 24 janvier 2014, dont plus de 1000 Français, ayant l’intention d’investir au mois 10 000 € dans les 12 mois à venir. Elle révèle que 56% des investisseurs dans le monde se sentent plus confiants en 2014 par rapport à 2013, contre seulement 11% qui se disent moins confiants. Comme sur les autres zones géographiques, ce vent d’optimisme souffle sur l’Hexagone, où les niveaux de confiance des investisseurs montrent une hausse marquée année sur année, passant de 32% à 46%.

Globalement, les investisseurs individuels semblent avoir retrouvé une plus grande sérénité après des années de crise financière et de morosité économique. En effet, 82% d’entre eux prévoient soit d’investir en 2014 le même montant qu’en 2013, soit de l’augmenter, avec un biais marqué pour les actions. Plus précisément, ce sont 70% des sondés qui comptent investir dans cette classe d’actifs. Quant aux autres grandes classes d’actifs, seulement 18% des investisseurs se tourneront vers l’obligataire alors que 8% se contenteront d’une épargne liquide, révèle le rapport. Ce regain d’intérêt pour les classes d’actifs plus risquées semble refléter, malgré la volatilité récente des marchés, des perspectives économiques à long-terme plus souriantes.

En termes d’allocation régionale, l’étude indique que les pays développés figurent en tête des préférences des investisseurs mondiaux, car considérés comme offrant des performances potentielles plus stables et de meilleures opportunités de croissance. La confiance des investisseurs dans ces économies, en premier lieu les États-Unis et l’Europe occidentale, est en hausse depuis l’édition 2013 du sondage. En effet, 27% des investisseurs voient des relais de croissance en Europe occidentale en 2014 - contre seulement 10% en 2013 - et 31% d’entre eux s’intéressent aux États-Unis pour les mêmes raisons, contre 18% en 2013. Une tendance constatée également en France, où 43% jugent que l'Europe fournira les performances les plus attrayantes au cours des 12 prochains mois. L’Asie-Pacifique reste pourtant la région préférée des investisseurs mondiaux, 39% d’entre eux la considérant comme la zone géographique susceptible d’offrir la croissance la plus forte à l’échelle globale en 2014.

En France, l’investissement pour l’avenir semble être devenu une priorité pour une partie significative des investisseurs sondés par l’étude. L’épargne en vue de la retraite, un thème qui se trouve au cœur des débats des dernières semaines, constitue l'objectif principal d'investissement de 45 % des français, un pourcentage conforme à la moyenne globale (46%). En revanche, les résultats de l’étude illustrent un décalage entre les intentions avouées des investisseurs, désireux de prendre les devants pour préparer leur retraite, et les stratégies employées : seulement 5% visent des performances sur un horizon suffisamment long (entre 10 et 20 ans) pour atteindre cet objectif. Quant à leurs préoccupations essentielles, la plus importante pour les investisseurs hexagonaux est un éventuel alourdissement de la fiscalité, avec plus de deux personnes sondées sur cinq (41%) le citant comme un motif d’inquiétude.

Lorsqu’il est question de leur processus de prise de décision pour investir, plus d'un quart des investisseurs français (27%) avouent que les conseils d'un intermédiaire, que ce soit un conseiller indépendant en gestion de patrimoine (CGPI), un banquier ou un expert comptable, jouent un rôle important. Néanmoins, ce pourcentage est quelque peu éclipsé par ceux qui disent être davantage influencés par la conjoncture (40%), leur propre analyse des scenarii (32%) et leurs précédentes expériences d'investissement (29%).

Nuno Teixeira, directeur général de Schroders France, déclare :
« Notre sondage annuel auprès des investisseurs internationaux sert de baromètre de confiance dans l’état de l’économie et des marchés boursiers dans le monde, et cette année, nous observons une nette amélioration de leur état d’esprit, notamment en France. Les pays développés, précédemment délaissés par les investisseurs, ont retrouvé leurs faveurs et, en termes de classes d’actifs, les actions ont le vent en poupe. Autre constat intéressant qui ressort de notre étude, la retraite est un sujet dont la pertinence devient de plus en plus aigüe chez les particuliers dans un contexte de vieillissement de la population pour bon nombre de pays occidentaux. Pour en réussir la préparation, il faudra aux investisseurs un horizon d’investissement plus long, ce qui n’est malheureusement pas le cas pour tous aujourd’hui, ainsi que l’accompagnement souvent précieux d’un conseiller financier ».

Pour de plus d’informations sur l’étude, veuillez consulter :
http://www.schroders.com/sgitr2014

Chiffres du jour

La dynamique du crédit aux PME se poursuit

Les banques françaises continuent à se mobiliser pour financer les entreprises, notamment les plus petites d'entre elles, comme le montrent les chiffres publiés aujourd'hui par la Banque de France (1). Marie-Anne Barbat-Layani, directrice générale de la Fédération Bancaire française, se félicite "de cette évolution positive qui montre la mobilisation des banques françaises au service du financement de l'économie".

L'encours des crédits mobilisés pour les PME est de 362 milliards d'euros, soit une augmentation de 0,8 % pour les PME sur un an à fin janvier (+ 0,5 % à fin décembre 2013) alors que l'évolution du PIB est de 0,3 %. Comme le souligne la BdF, la tendance est encore plus marquée si l'on prend en compte crédits mobilisés et mobilisables (2) : "après une longue phase de ralentissement, les crédits mobilisés et mobilisables accordés aux PME tendent à s'affermir depuis quelques mois, avec une croissance annuelle de + 1,6 % en janvier 2014" .

Pour l'ensemble des entreprises, l'évolution des crédits mobilisés à fin janvier est de 0,5 %.

Les banques françaises concentrent en effet une part importante de leur capacité de financement sur les PME. Les plus grandes entreprises tendent à diversifier leurs sources de financement, notamment par le recours aux marchés financiers : c'est une des conséquences des nouvelles règles bancaires européennes.

(1) Banque de France, Stat Info "Crédits aux entreprises" 07/03/2014, portant sur les crédits >25.000 euros
(2) Les crédits mobilisés sont la part des crédits effectivement consommée par les entreprises, les crédits mobilisables sont la part non consommée mais disponible des lignes de crédit confirmées.

Source : Fédération Bancaire Française

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 13 Mars 2014




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