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Morning Briefing by Finyear Coffee - 28 mars 2014

Chaque matin Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre des commentaires sur les marchés, les actions, les devises et les matières premières ainsi que les deals du jour et les chiffres de l'économie. Vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux. Plusieurs mises à jour quotidiennes.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

Morning Briefing by Finyear Coffee - 28 mars 2014
09:00

L'anticipation de mesures de relance en Chine redonne confiance aux investisseurs

Marchés Actions : Sur les marchés actions, en dépit d’indicateurs économiques positifs aux Etats-Unis, Wall Street a subit un contrecoup hier à cause des spéculations sur une survalorisation des valeurs technologiques mais également à cause des tensions persistantes entre la Russie et l’Occident. Alors que le Dow Jones n’a cédé que 0,03% à 16 264,23 points, le S&P500 a reculé de 0,19% à 1 849,04 points et le Nasdaq de 0,54% à 4 151,23 points. Un peu plus tôt dans la journée, les Bourses européennes avaient terminé en ordre dispersé. Le CAC 40 a souffert en lâchant 0,14% à 4 379,06 points et le Footsie Ne0,26% à 6 588,32 points tandis que le Dax se maintenait proche de la neutralité en grappillant 0,03% à 9 451,21 points.

Ce matin, la bourse de Tokyo a fini en faible hausse de 0,50% à 14 696,03 points, tout comme le Topix qui a engrangé 0,82% à 1 186,52 points. En dépit des inquiétudes des investisseurs sur le conflit Russo-ukrainien et sur l’évolution économique de la Chine, les investisseurs jouent la carte de la prudence alors que l’exercice fiscal 2013-2014 touche à sa fin. Le Premier ministre Li Keqiang a promis ce matin de soutenir l’économie, ajoutant même que le gouvernement envisage d’augmenter ses investissements dans les infrastructures.

elon les premières indications disponibles, dans le sillage des Bourses asiatiques, les principales bourses européennes sont attendues en légère progression ce matin à l’ouverture. Elles devraient profiter des nouvelles mesures de soutien du gouvernement chinois pour l’économie de leur pays, ce qui devrait notamment profiter au secteur des matières premières. On devrait assister à un rebond du CAC 40 qui pourrait gagner 0,18% soit 8 points à l’ouverture, 0,14% pour le FTSE et 0,11% pour le Dax.

Au chapitre des indicateurs macro-économique, ce matin, le Royaume-Uni publiera sa croissance du PIB en données définitives pour le quatrième trimestre 2013. Puis la zone euro publiera ses indicateurs du climat des affaires et du sentiment économique de mars. Cette après-midi, les Etats-Unis publieront l’évolution des dépenses et revenus des ménages américains pour février ainsi que l’indice de confiance de l’Université du Michigan qui est attendu en légère hausse.

Forex : Sur le marché des devises, la monnaie unique perdait du terrain face au dollar jeudi. Les commentaires de plusieurs responsables de la Banque centrale européenne, laissent suggérer que l’institution pourrait mettre en place de nouvelles mesures en vue de contrer le recul de l’inflation.

La faiblesse du taux d’inflation en zone euro et les inquiétudes croissantes liées au niveau élevé de l’euro poussent les opérateurs à spéculer sur les actions à venir de la BCE. Le recul de l’euro ces derniers jours est en effet la résultante de propos tenus par divers membres de l’institution. Nous rappelons notamment que le président de la Banque centrale, Mario Draghi, a réaffirmé mardi qu’il était prêt à prendre des mesures supplémentaires si l’inflation ne retrouvait pas des niveaux plus élevés. Dans ce contexte, l’euro a perdu du terrain cette semaine. Néanmoins la monnaie unique devrait se stabiliser aujourd’hui en attendant les chiffres officiels sur l’inflation en zone euro, prévu lundi prochain. Si l’inflation se maintient à son niveau actuel de 0,7% ou au-dessous, la BCE pourrait être contraite d’abaisser son taux directeur, qui est sa principale arme pour contrer un ralentissement de la hausse des prix.

Concernant le dossier ukrainien, Kiev a obtenu hier la promesse d’une aide financière vitale du Fonds monétaire international, pouvant atteindre 18 milliards de dollars. L’Assemblée générale de l’ONU a également adopté une résolution non contraignante qui dénonce le référendum en Crimée et le rattachement de cette péninsule à la Russie. Ces nouveaux éléments devraient permettre de rassurer les opérateurs, leur permettant de reprendre goût au risque.
Outre Atlantiques, les statistiques macroéconomiques sont plutôt positives. Le Produit intérieur brut américain au quatrième trimestre est en légère hausse à 2,6%, tandis que les demandes hebdomadaires d’allocations chômage à la surprise générale reculaient. Malgré ces chiffres encourageants le billet vert ne parvenait pas hier à gagner du terrain face à ses principales devises de contreparties.

Tous ces éléments conjugués ont permis au billet vert de reprendre des couleurs face à l’euro. En fin de journée jeudi, l’euro s’adjugeait à 1,3742 dollar après avoir touché son niveau le plus faible en trois semaines à 1,3726 dollar mercredi. De son côté, la devise nippone gagnait du terrain face à l’euro et s’adjugeait à 140,41 yens pour un euro, tandis que le dollar montait légèrement face au yen à 102,17 yens.

Quant aux autres paires de devises, la livre sterling a bénéficié hier de chiffres meilleurs que prévu. Les ventes au détail au Royaume-Uni ont notamment progressé de 1,7% en février, permettant à la livre britannique de progresser face à l’euro et au dollar, s’adjugeant respectivement à 82,72 pence pour un euro et 1,6610 dollar pour une livre.

Matières premières : Sur le front des matières premières, nous noterons l’incursion de l’or en-dessous des 1,300 dollars l’once, considéré par de nombreux analystes comme un niveau de support primordial à court terme. Cette tendance baissière, entamée après un point haut à 1,393 dollars l’once, atteint le 17 Mars, s’explique notamment par l’assouplissement du conflit ukrainien d’une part, et par les anticipations quant à l’arrêt du programme de soutien à l’économie US de la part de la Fed et ce, à court terme, Janet Yellen, présidente de la Fed, ayant même laissé sous-entendre qu’une remontée des taux directeurs américains n’était pas à exclure d’ici à la fin de l’année. Ces deux facteurs conjugués ont apporté un peu d’appétit pour le risque de la part des opérateurs, ces derniers ayant donc délaissé provisoirement le métal jaune, valeur refuge par excellence. Ainsi, sur la seule journée d’hier, l’once d’or a abandonné 1%, à 1,290.98 dollars à la clôture. En ce qui concerne le pétrole, ce dernier a poursuivi sa tendance haussière entamée en début de semaine et ce, malgré une hausse des stocks de brut aux Etats-Unis pour la semaine passée. Les analystes laissent donc à penser que ce trend Bullish s’explique principalement par les incertitudes engendrées par la situation Ukrainienne, qui pourrait avoir un impact sur les exportations américaines d’or noir vers la Russie. Ainsi, sur la séance d’hier, le contrat à terme livraison Mai progressait de 1,20%, à 101,42 dollars le baril. Même tendance pour le Brent de la Mer du Nord, le Future à même échéance s’étant adjugé hier 0,65%, à 107,69 dollars le baril.

L'équipe Saxo Banque
www.saxobanque.fr

Calendrier économomique

Morning Briefing by Finyear Coffee - 28 mars 2014
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Un mois de février maussade sur fond de reprise lente

Avec une consommation assez étale depuis le début de l'année, la situation de l'emploi ne pouvait guère s'améliorer. La croissance demeure, en effet, trop faible pour générer un flux de créations d'emplois en particulier dans le secteur marchand.

Face à une demande interne étale, les entreprises françaises ne peuvent pas compenser par l'exportation du fait de leur perte de compétitivité. Elles doivent subir de front la concurrence des entreprises de l'Europe du Sud.

En outre, les mois d'hiver sont en règle générale peu favorable au BTP avec de plus des élections locales qui entraînent des différés dans l'exécution des plans d'investissement.

Entre climat conjoncturel dégradé, attentisme économique généralisé, le résultat ne pouvait guère être bon en février. La progression de 31 500 demandeurs d'emplois soit une hausse de 0,9 % traduit bien une nouvelle dégradation du marché de l'emploi après les hésitations de la fin de l'année 2013. Le nombre de demandeurs d'emploi inscrits à Pôle emploi en catégorie A s'établit à 3 347 700 en France métropolitaine fin février 2014 en hausse de 4,7 %.

Les inscriptions des jeunes qui étaient en baisse depuis plus de quatre mois sont en hausse de 1700 au mois de février et cela malgré le fait que 20 000 jeunes ont accédé à un emploi d'avenir depuis le début de l'année.

Le Gouvernement espère que l'amélioration conjoncturelle attendue pour cette fin de premier trimestre se traduira en termes d'emploi au deuxième. Il est certain qu'à compter du mois d'avril, les emplois saisonniers devraient repartir à la hausse. Pour le BTP, la reprise est, en revanche, plus incertaine.

Pour réellement enclencher un cycle de création d'emplois, il faudrait que le taux de croissance passe le cap en annualisé des 1 % voire 1,5 % ; or les prévisions sont de 0,9 % et elles sont jugées assez optimistes. Le Gouvernement pourra, certes, compter sur 100 000 emplois aidés en plus. Pour réellement créer un cycle favorable à l'emploi, il faut que les entreprises françaises reconquièrent des parts de marché à l'exportation et qu'elles recommencent à investir. Le système économique français est aujourd'hui trop dépendant des variations de la consommation.

Philippe Crevel, Economiste
Commentaire du 26 mars 2014.

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Emergents : une capitulation salutaire ?

Par Michaël Lévy, Associé - Gérant de FLEX 360 - Responsable de la Multigestion chez 360 AM.

Avec les récentes tensions qui ont pesé sur les marchés émergents, ces derniers, dont le comportement haussier amplifiait auparavant celui des pays développés, sont désormais en rupture. Cette nouvelle configuration devrait permettre un assainissement des marchés émergents, mais aussi soutenir le transfert de flux vers les marchés matures.

En début d’année, les marchés émergents ont assisté impuissants à des sorties massives de capitaux. Ce mouvement a eu un effet désastreux sur certains pays dont les comptes courants, déjà déficitaires, s’enlisent encore plus. La Turquie et l’Afrique du Sud ont, par exemple, des déficits de la balance courante proches de 6% du PIB. Corollaire immédiat, les devises émergentes sont dans la tourmente. Depuis le début de l’année, le peso argentin, le rand sud-africain, le peso chilien ou la lire turque sont également sous forte tension, même en dépit d’actions énergiques des banques centrales.

Conséquence, l’indice MSCI Emerging Market est à la peine depuis la première annonce de « tapering » de Ben Bernanke, à l’été dernier. Les flux sortants ont été massifs : selon EPFR Global, les marchés actions émergentes ont souffert d’une décollecte globale de 12,2 milliards de dollars sur le seul de janvier. Pourtant, une analyse des mouvements relatifs entre les différents indices montre que les marchés, qui ont toujours connu des crises de devises émergentes, ont récemment adopté un comportement fort intéressant pour l'avenir proche : nous devrions assister à davantage de discrimination dans les choix d'allocation.

Il y a quelques années encore, la corrélation était très forte entre l'indice des actions émergentes et celui des actions mondiales. Le régime était tel que, quels que soient les moteurs du marché, les actions émergentes offraient une exposition à fort beta aux investisseurs. Dit plus simplement, nous avions été habitués à ce qu'un investissement en actions émergentes permette d'être plus fortement exposé aux actifs risqués internationaux. Le changement de régime est perceptible depuis les plus bas atteints en septembre 2011 et s'est effectué en deux mouvements. Dans un premier temps, la corrélation est restée intacte (les indices ont continué d'évoluer dans le même sens) mais avec une forme d’asymétrie : les marchés émergents ont connu des baisses de plus forte amplitude et des hausses plus modérées, que celles de leurs homologues des pays développés. Dans un second temps, les choses se sont accentuées avec des périodes de baisse des émergents même dans des contextes de hausse mondiale (mars et décembre 2013).

L'explication la plus souvent avancée pour cette rupture est le "tapering" amorcé par Ben Bernanke : une perspective de taux plus élevés aurait un impact négatif direct sur les investissements les plus risqués. Mais la logique n'est pas évidente, puisque les taux bas permettent au contraire de s'exposer davantage à moindre coût sur des actifs risqués à meilleure visibilité, tels que les actions américaines par exemple. D'ailleurs, celles-ci ont largement surperformé l'ensemble des zones géographiques, à l'exception du Japon, pendant la période de "quantitative easing".

Il semblerait plutôt que le rôle des "BRICs" comme moteurs de l'économie mondiale se soit progressivement estompé et que les politiques des banques centrales ont eu de plus en plus d'influence sur les mouvements. Constatant le résultat de cette dé-corrélation qui s'est traduite par une baisse des émergents en 2013, année globalement positive, les investisseurs qui étaient présents sur les marchés émergents pour de mauvaises raisons, c’est-à-dire sans vision structurelle, se sont précipités vers la sortie.

Comme toujours lorsque nous sommes en présence de pertes en série, il est important de rester prudent, mais cette rotation est plutôt une bonne nouvelle. Le régime qui subsistait par habitude plutôt que pour des raisons fondamentales est en train de changer. Cela devrait avoir des effets temporaires favorables aux obligations d’états. A plus long terme, cela rend d’autant plus intéressantes les opportunités sur les actions européennes et américaines.

A propos de 360 Asset Managers :
360 Asset Managers est une société de gestion entrepreneuriale française créée en 2007 par des professionnels de la finance. A fin 2013, la société gère 125 millions d’euros pour le compte d’institutionnels, de professionnels du patrimoine et d’investisseurs privés. Son équipe pluridisciplinaire offre des solutions de gestion sur-mesure, ainsi qu’une gamme de 5 fonds gérés selon une approche fondamentale macroéconomique, de convictions et dont la maîtrise du risque est au cœur des préoccupations.
360 AM a obtenu le Prix de la Rédaction, catégorie Gestion Collective, décerné par Investissement Conseils en avril 2013.
360 AM est en cours de rapprochement avec la société de gestion Hixance Asset Management.
www.360-am.com

Commentaire du 25 mars 2014.

Corporate Finance : commentaires du jour

08H00

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

- SuperSonic Imagine lance son introduction en bourse sur le marché réglementé d’Euronext à Paris 27/03/2014
- CALAO Finance arrive au capital de Raidlight – Vertical 27/03/2014
- Résultats de la 6ème étude CMS sur les fusions-acquisitions en Europe 27/03/2014
- MGI Coutier acquiert l’équipementier suédois Autotube auprès d’Accent Equity 27/03/2014
- AwoX lance son introduction en Bourse sur Euronext à Paris 27/03/2014
- Bigben Interactive finalise la cession de 51% de l’activité de distribution de mobiles ModeLabs 27/03/2014
- Signature de l’accord entre EDF et Veolia Environnement pour Dalkia 27/03/2014
- Hybrigenics réalise une levée de fonds de 6,1 M€ dans le cadre du placement privé 27/03/2014
- Sodero Gestion investit dans Via Energica 27/03/2014
- Nouvelle levée de fonds de 4 M€ menée par CM-CIC Capital Innovation pour la start-up bretonne Hemarina 26/03/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr
FinActu est partenaire éditorial pour la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR.

Marchés : chiffres du jour

27 mars 2014

La Banque de France vous informe de la parution du Stat Info Évolutions monétaires France - Février 2014

Forte croissance des dépôts à vue et nouveau ralentissement des autres placements monétaires

Sur un an, l'accélération de la croissance des dépôts à vue (+ 5,8 % en février, après + 3,7 % en janvier) compense la contraction des titres d'OPC monétaire (- 8,7 %, après - 8,3 %) et des dépôts à terme de maturité inférieure à 2 ans (- 5,2%, après - 3,9%). La croissance des engagements nets vis-à-vis du reste de la zone euro se maintient à un niveau élevé. Le taux de croissance de la contribution des institutions financières monétaires françaises à l'agrégat M3 de la zone euro progresse légèrement (+ 1,4% en février, après + 1,0% en janvier).

Consulter ce Stat Info
https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/stats-info/detail/evolutions-monetaires-france.html

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20 mars 2014

La production dans le secteur de la construction en hausse de 1,5% dans la zone euro (Janvier 2014 comparé à décembre 2013)

Hausse de 1,3% dans l’UE28

En janvier 2014 par rapport à décembre 2013, la production dans le secteur de la construction, corrigée des variations saisonnières, a augmenté de 1,5% dans la zone euro (ZE18) et de 1,3% dans l’UE28, selon les premières estimations d’Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En décembre 2013, la production dans le secteur de la construction avait progressé respectivement de 1,3% et 1,2%.

EUROSTAT
ec.europa.eu/eurostat

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Vendredi 28 Mars 2014




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