Les 50 premiers cabinets d'avocats d'affaire par la taille
Les 50 premiers cabinets d'avocats d'affaire par le chiffre d'affaires
« 2014 a été un exercice qui a confirmé la reprise amorcée en 2013 après cinq ans de crise. Mais une reprise mesurée et inégale suivant le type de cabinet et la taille des structures », explique Caura Barszcz, directrice de la publication et auteur du dossier.
En effet, si l'on compare famille par famille, les cabinets en région, qui affichaient l'an dernier une meilleure santé globale que leurs homologues parisiens ou internationaux, accusent le coup cette année, avec une baisse de chiffre d'affaire général (de 4 %). Quant aux internationaux qui, malgré leur nombre limité en France (une cinquantaine de structures), réalisent toujours la moitié du chiffre d'affaires de ce panel, ils confirment, de leur côté, la reprise amorcée l'an dernier avec près de 7 % de progression de leur chiffre d'affaires et du chiffre d'affaires par associé et près de 5,6 % pour le ratio chiffre d'affaires par productif, avec une très légère baisse des effectifs. L'accent a donc été mis sur le retour de la rentabilité. Ils ont bénéficié de la reprise des opérations transactionnelles internationales qui n'a pas encore eu d'effets bénéfiques sur les cabinets franco-français de taille intermédiaire. Même remarque pour les 4 cabinets dits « de Big » (à cause de leur lien avec les réseaux d'audit), qui, pour la plupart, ont décidé d'une nouvelle offensive dans le juridique, et qui affichent une hausse de leur chiffre d'affaires de 5,4 %. Les gros n'ont jamais été aussi gros, et de nouveaux acteurs à plus de 100 productifs émergent.
Une donnée intéressante à souligner : une baisse significative des statuts transitoires ou alternatifs : associé non equity (-60,27 %) et counsel en tout genre (-27 %). Signe peut-être que le marché se renforce et se sent moins en position d'attente.
« La croissance reste cependant fragile, et, comparée à l'exercice précédent, elle a ralenti : +2,5 % des effectifs contre plus de 4 % l'année précédente et 4,7 % des chiffres d'affaires contre plus de 8 %. Les acteurs restent donc prudents et continuent à revoir leur stratégie de développement et de recrutement. L'accent est plus que jamais mis sur la rentabilité », constate l'auteur de l'étude.
Côté activité : hausse du corporate et du contentieux-arbitrage mais stagnation du social et du fiscal.
En effet, si l'on compare famille par famille, les cabinets en région, qui affichaient l'an dernier une meilleure santé globale que leurs homologues parisiens ou internationaux, accusent le coup cette année, avec une baisse de chiffre d'affaire général (de 4 %). Quant aux internationaux qui, malgré leur nombre limité en France (une cinquantaine de structures), réalisent toujours la moitié du chiffre d'affaires de ce panel, ils confirment, de leur côté, la reprise amorcée l'an dernier avec près de 7 % de progression de leur chiffre d'affaires et du chiffre d'affaires par associé et près de 5,6 % pour le ratio chiffre d'affaires par productif, avec une très légère baisse des effectifs. L'accent a donc été mis sur le retour de la rentabilité. Ils ont bénéficié de la reprise des opérations transactionnelles internationales qui n'a pas encore eu d'effets bénéfiques sur les cabinets franco-français de taille intermédiaire. Même remarque pour les 4 cabinets dits « de Big » (à cause de leur lien avec les réseaux d'audit), qui, pour la plupart, ont décidé d'une nouvelle offensive dans le juridique, et qui affichent une hausse de leur chiffre d'affaires de 5,4 %. Les gros n'ont jamais été aussi gros, et de nouveaux acteurs à plus de 100 productifs émergent.
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