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GEDIA Audit : un outil de pilotage de la performance des flux ERP et non-ERP [1]

Dans les systèmes de gestion (ERP ou non-ERP [1]), le contrôle et la fiabilité de la valorisation des stocks, de la marge et du résultat constituent un des points les plus critiques dans la maîtrise des risques liés aux contrôles des activités opérationnelles et à la communication des résultats financiers.


En effet, les entreprises industrielles et commerciales connaissent toutes les difficultés pour déterminer des marges commerciales [2] exactes car la valorisation des stocks et le calcul des coûts de production sont approximatifs, voire très souvent complètement faux !

Le problème se situe, d’une part, dans la grande sensibilité à l’erreur des systèmes de valorisation générant des dérives imprévisibles et insoupçonnées [3] et, d’autre part, dans l’opacité des systèmes de gestion dans lesquels les fonctionnalités de contrôle s’avèrent défaillantes ou n’existent tout simplement pas !

La conséquence majeure : les systèmes d’information (S.I.) génèrent en permanence des plus ou moins values de marge artificielle en gestion, créent ou détruisent de la valeur d’actif au bilan c’est-à-dire des valeurs non justifiées par une entrée ou une sortie du patrimoine.

La solution ? GEDIA Audit, un logiciel sans équivalent, dont les travaux de R&D ont été finalisés par le dépôt d’un brevet (procédé pour la détermination du prix moyen d’achat des articles d’un stock) avec les interventions d’OSEO-Innovation, Alsace Création.

Concrètement, sur le plan fonctionnel, l’objectif de GEDIA Audit est double :
- détecter et quantifier les écarts entre une valeur de stock ou un coût de production par rapport à la valeur de référence comptable du stock (procédés brevetés GEDIA),
- permettre de déterminer les causes de ces écarts afin de pouvoir mettre en œuvre les procédures correctives et d’améliorer progressivement le degré de fiabilité des flux opérationnels des systèmes de gestion (ERP ou non-ERP)

GEDIA Audit s’adresse à toutes les entreprises gérant des stocks (marchandises, matières, produits semi-finis et produits finis) quelque soit leur secteur d’activité. Indépendant des logiciels de gestion utilisés, il peut s’adapter à tout système d’information via une extraction de données.

En conclusion, quels sont les "bénéfices" et la "valeur ajoutée" pour les entreprises industrielles et commerciales ?
1. retour sur investissement rapide et significatif (gains de temps et d’efficacité importants sur les opérations de contrôle en passant de la méthode par sondage à celle de l’analyse de tout le S.I.),
2. management plus efficace, plus réactif (Système d’Information sécurisé),
3. participation à l'élaboration des systèmes et des processus de gouvernance, de gestion des risques et de conformité (réponses aux normes IAS2/IFRS, SOX, LSF dans le cadre des procédures d’audit interne),
4. stratégie commerciale fiabilisée (qualité des données),
5. avantage concurrentiel (pilotage fondé sur des données cohérentes, actualisées et fiables),
6. maîtrise des facteurs risques (obtention d’indicateurs de performance fiables, précis et actualisés).

Michel HECK - Thémis Conception Informatique SAS (TCI) - Site : www.gedia.fr/audit

[1] ERP : Entreprise Ressources Planning appelé aussi PGI : Progiciel de Gestion Intégré (progiciel de gestion commerciale et de gestion de production)
Les processus opérationnels couvrent les circuits de traitement ACHAT - PRODUCTION - VENTE - STOCK & MARGE

[2] MARGE COMMERCIALE = Valeur des Ventes - Coût d’achat des Ventes
Coût d’achat des Ventes = Valeur Stock Initial + Valeur des Achats - Valeur Stock Final
Il est donc essentiel que la marge calculée sur chaque vente soit le strict reflet de la réalité financière résultant de la comptabilisation des flux financiers des achats, des opérations de production et des ventes.

[3] Les sources de dysfonctionnements sont multiples et peuvent se combiner entre-elles.
On peut les classer en 3 grandes catégories.
- Facteurs humains : erreurs de saisie (coût d’entrée, quantités ou conditionnement, code article, …), non–respect des procédures, de la chronologie des événements, stocks informatiques temporairement négatifs.
- Divergence des flux physiques et comptables : prix d’entrée imparfaitement connu à la réception, écart entre le prix commande et le prix facturé, flux financiers non imputés ou mal imputés au stock.
- Méthode de gestion : utilisation d’une méthode de gestion ne reflétant pas la réalité des coûts comme par exemple la méthode des coûts standards, du dernier prix d’achat (DPA), difficulté de la maîtrise des écarts, de leur impact et de la détermination des coûts réels.

Mardi 5 Mai 2009




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