Corporate Finance, DeFi, Blockchain, Web3 News
Corporate Finance, DeFi, Blockchain News

Finyear Eco | 15 janvier 2015 (n°9 - 12H15) | Fin du cours plancher sur l’EURCHF, la crédibilité de la BNS est entamée

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Le quotidien Finyear offre aux investisseurs et aux conseillers professionnels des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco | 15 janvier 2015 (n°9 - 12H15) | Fin du cours plancher sur l’EURCHF, la crédibilité de la BNS est entamée
N°9 - 12H15

Fin du cours plancher sur l’EURCHF, la crédibilité de la BNS est entamée

Une note de Christopher Dembik, Economiste, Saxo Banque.

La Banque Nationale Suisse (BNS) a décidé d’abandonner ce matin le cours plancher de l’EURCHF à 1,20 qui était en place depuis le 6 septembre 2011. A la place, la banque centrale a instauré un taux d’intérêt de référence négatif à -0,75%.

Le cours plancher avait pour but de limiter l’appréciation du franc suisse dans un contexte de forte aversion au risque liée notamment à la crise souveraine européenne. En raison d’attaques spéculatives du cours plancher depuis plusieurs mois, le marché s’attendait à ce que la BNS introduise un taux de dépôt négatif pour renforcer le dispositif existant. Concrètement, cela aurait eu pour effet de réduire la proportion de positions longues sur le franc et donc de favoriser, par ricochet, l’appréciation de l’euro.

Cependant, personne ne s’attendait à l’abandon du cours du plancher sans mise en garde préalable. La réaction du marché fut immédiate : l’EURCHF est passé en quelques minutes de 1,20 à 0,9273. Il s’agit d’un mini krach. La crédibilité de la BNS est entamée. La dépréciation se poursuit encore et devrait durer, au moins, tant que la banque centrale ne se sera pas expliquée. Une conférence de presse est prévue à 13h15, heure française. Il est fort probable qu’elle annonce une nette dégradation de son bilan, ce qui pourrait justifier l’abandon du cours plancher.

Depuis plusieurs mois, la BNS était confrontée à une situation de plus en plus inextricable. En économie, on parle d’impossibilité trinité lorsqu’il est impossible de concilier simultanément à la fois un taux de change fixe, la libre circulation des capitaux et la souveraineté en matière de politique monétaire. C’est exactement la situation de la Suisse. Le problème s’est accentué depuis la fin du printemps 2014 sous l’effet des assouplissements monétaires successifs de la BCE qui ont un peu plus encore compliqué la capacité de la BNS à défendre le taux de change du CHF.

On peut clairement appréhender la décision de la Suisse comme une action préventive juste avant que la BCE ne lance son programme de rachats de dettes souveraines le 22 janvier prochain qui va encore un peu plus diluer la valeur de l’euro et faire échec à sa politique monétaire.

Toutefois, à moyen et à long terme, on voit toutefois mal comment la BNS pourrait cesser définitivement ses interventions sur les changes au regard de la nette dégradation du contexte macroéconomiques dans la Confédération caractérisé par une croissance atone et un risque important d’entrée en déflation.

N°8 - 12H00

Euro Plummets and Swiss Franc Soars as the SNB Drops Cap Against Euro

Euro Plummets and CHF Soars as Swiss National Bank Drops Cap Against Euro

The big news this morning was SNB’s surprise decision to further cut interest rates to -0.75% and to scrap the 3-year cap which kept the Swiss Franc at a minimum level of CHF1.20 against the Euro. The Swiss Franc promptly reached parity with the Euro and then subsequently went well beyond that, reaching close to CHF 0.8 against the common currency. Pressure had been building on the cap for weeks, but the decision to scrap it so abruptly had markets reeling, with the DAX dropping by 250 points in a matter of minutes. The Swiss Franc also subsequently touched a level of 1:120.53996 against the Yen, its highest for around 35 years, as well as touching multi-year highs against other major currencies. By contrast, the Euro weakened significantly, hitting multi-year lows against both USD and Sterling.

Opinions amongst economists seem to be mixed, with some seeing the SNB’s move as a capitulation - an acknowledgment that the cap was unsustainable - whilst others are suggesting that the SNB has instead simply shifted strategy, opting for the Swiss Franc to show increased vigour for the time being. Whatever the reason, the SNB’s move has led to ongoing volatility for both indices and FX pairs.

Samsung Rumours See Blackberry Stock Rocket Upwards

Blackberry’s share price soared yesterday after rumours circulated that the troubled mobile firm had received a purchase offer from Samsung – Reuters reported that executives from the two companies had met to talk about a possible link-up, sending Blackberry’s share price up by nearly 30%, its biggest gain in a decade.. However, both Samsung and Blackberry are denying that the rumours have any basis in fact, and Blackberry’s share price is currently down by 16.55% in pre-market trading.

GameStop Xmas Sales Help the Firm to Share-Price Boost

UK company Game may have slumped yesterday, but the opposite was true of US company GameStop, which released its quarterly figures in after-hours trading on Tuesday, showing a significant fall in year-on-year profits but a strong Xmas holiday season. This encouraged investors yesterday, to the tune of a 10.5% boost in the company’s share price during Wednesday trading hours. The share price rose by a further 0.25% in after-hours trading yesterday.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


N°7 - 11H45

Excédent de 20,0 mrds d’euros du commerce international de biens de la zone euro
Excédent de 10,1 mrds d’euros pour l’UE28.

D’après les premières estimations pour le mois de novembre 2014, la zone euro (ZE18) a enregistré un excédent de 20,0 milliards d’euros de son commerce international de biens avec le reste du monde, contre +16,5 mrds en novembre 2013.
Le solde enregistré au mois d’octobre 2014 s'établissait à +23,6 mrds d’euros, contre +16,5 mrds en octobre 2013.
En novembre 2014 par rapport à octobre 2014, les exportations corrigées des variations saisonnières ont augmenté de 0,2% tandis que les importations sont restées stables.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°6 - 11H30

Comment réussir un QE en zone euro ?

Une note de Christopher Dembik, Économiste, Saxo Banque.

Comment réussir un QE en zone euro ?
- Un montant d’au moins 1000 milliards pour être crédible.
- Un ciblage des actifs émis par les pays qui ont le plus besoin d’être soutenus.
- Une exposition des banques centrales en fonction de la clé de répartition du capital de la BCE.

Un QE n’est certainement pas ce qu’on peut souhaiter de mieux à la zone euro mais, quitte à le faire, autant bien le faire. On peut distinguer trois conditions de réussite : la crédibilité vis-à-vis du marché, le calibrage et la mutualisation des risques.

La BCE ne le dissimule pas, elle a une approche purement comptable. Son objectif est d’augmenter son bilan de 1000 milliards d’euros. Pour y parvenir, elle effectue déjà des rachats d’ABS. En raison de l’étroitesse de ce marché en Europe, au mieux, on peut espérer une augmentation du bilan de l’ordre de 400 à 500 milliards d’euros. Manque alors au moins 500 milliards d’euros supplémentaires. C’est justement le montant que souhaite mobiliser la BCE dans le cadre de son programme d’assouplissement quantitatif, ce qui représente seulement 7% des encours de dette publique totale dans l’Eurozone.

Le problème, c’est qu’un tel montant n’est pas crédible aux yeux du marché. Bien que la structure économique et financière de la zone euro diverge grandement de celle des Etats-Unis, les investisseurs feront intuitivement la comparaison avec les 3500 milliards de dollars (environ 3000 milliards d’euros) injectés dans l’économie américaine par la FED de 2008 à 2014 au cours des trois programmes d’assouplissement quantitatif successifs. Pour être crédible, éviter un krach des marchés financiers, et soutenir le retour de la confiance des agents économiques, la BCE devra s’émanciper de ses objectifs initiaux et oser présenter un dispositif d’ampleur suffisante, qu’on peut estimer à au moins 1000 milliards d’euros. Ce n’est toutefois pas suffisant.

L’idée dominante est que le calibrage du QE se fasse en fonction de la clé de répartition du capital de la BCE qui reflète le poids économique et démographique de chacun des pays de la zone euro. Dans ce cas de figure, l’Allemagne serait le principal bénéficiaire de l’opération puisque 18% du montant total du QE serait alloué aux rachats de Bunds. Des situations ubuesques pourraient apparaitre rapidement: des pays bénéficiant déjà de la clémence des marchés, comme l’Allemagne et même la France, pourraient voir leurs taux chuter sous zéro pour les échéances longues tandis que les pays ayant un marché obligataire étroit pourraient être confrontés à son assèchement, faute de liquidité.

Pour que l’opération soit efficace, le calibrage du QE doit se focaliser sur les segments de marché les plus défaillants. Il s’agit de se concentrer sur la nationalité d’origine des titres émis afin de cibler les pays qui ont le plus besoin d’être soutenus, essentiellement au Sud de l’Europe, et de réduire la dislocation des taux entre les membres de l’Union.

En revanche, c’est bien la clé de répartition du capital de la BCE qui doit définir l’exposition des banques centrales nationales, indépendamment de la qualité et du montant total des titres qu’elles ont rachetés. Elle garantira que ce soit les entités les plus à même d’accepter des pertes qui les assument, préservant ainsi l’unité du système européen de banques centrales (SEBC). Sans mutualisation des risques, un QE n’aurait tout simplement aucun intérêt.

Cependant, même en respectant toutes ces conditions, un succès du QE n’est pas garanti. Les mécanismes de transmission de la politique monétaire à l’économie réelle sont une véritable boîte noire que peinent à comprendre les économistes. On aurait, en tout cas, certainement tort de croire que l’expérience américaine puisse être répliquée aisément, ce serait oublier que la zone euro a pour spécificité de reposer sur un système bancaire très fragmenté. Une seule chose est certaine, la dépréciation de l’euro engendrée par ce nouvel assouplissement monétaire pourrait constituer une planche de salut pour de nombreux secteurs d’activité tournés vers l’exportation, y compris en France.


N°5 - 10H30

La production industrielle en hausse de 0,2% tant dans la zone euro que dans l’UE28

En novembre 2014 par rapport à octobre 2014, la production industrielle corrigée des variations saisonnières a augmenté de 0,2% tant dans la zone euro (ZE18) que dans l'UE28, selon les estimations d’Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.
En octobre 2014, la production industrielle avait progressé de 0,3% dans les deux zones.

Romina BRONDINO
EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°4 - 10H00

Energy Shares Rebound, US Stocks Fall for 4th Day in a Row

Asian stocks mostly edged up on Thursday after a significant rebound in oil and copper prices brought a semblance of calm, while the Dollar regained ground lost on disappointing U.S. retail sales. U.S. stocks fell for a fourth day on Wednesday as a World Bank forecast fuelled concerns about global economic weakness and Copper prices sank, although a late-day rebound in energy shares left the market well off its lows after a volatile session. The Dow closed 186 points lower at 17,427 and the S&P500 lost 11 points to close at 2,011.

The Euro fetched $1.1775, limping away from a nine-year low of $1.1728. The Dollar crawled up 0.3 percent to 117.72 Yen after going as low as 116.06 overnight, its lowest in a month.

Wednesday's 4.5% surge in Brent crude futures, the biggest percentage gain since June 2012, came as traders covered themselves on expiring options. However, the tone remains bearish because of the supply glut and on Thursday Brent had fallen back 19 cents to $48.50 a barrel by 0605 GMT. On Tuesday it hit $45.19, the lowest since March 2009. U.S. crude was down 0.9% at $48.06 a barrel after surging nearly 6% overnight. Copper skidded to a 5-1/2-year low on Wednesday as the recent decline in oil prices amplified fears about the state of the global economy. The industrial metal is generally considered a barometer of world demand. After plunging 5.3% overnight, benchmark LME copper rose 1.3% to $5,622 a tonne.

Within the equity space Associated British Foods, the owner of Primark, said on Thursday it expects a marginal decline in earnings for its 2014-15 year, with growth in its Primark discount fashion chain offset by weakness in its sugar business. The stock was up 2% in early trade at 3110p per share.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°3 - 9H30

Les marchés tentent de repartir dans un contexte toujours incertain

Marchés actions
Wall Street a enregistré une séance négative hier. En effet, dans un contexte extrêmement volatile, les marchés ont réagi à la révision à la baisse de la croissance mondiale et à un indicateur macroéconomique décevant. En effet, les ventes au détail ont reculé de 0,9% sur le mois de décembre.

Dans ce contexte, le Dow Jones perdait 1,06% à 17 427,09 points. De son côté, le Nasdaq lâchait 0,48% à 4 639,32 points. Enfin, l’indice élargi, S&P 500 reculait de 0,58% à 2 011,27 points.

D’une manière générale, c’est l’indécision qui domine sur les marchés. Aucune tendance claire ne semble se dégager. Les marchés attendent de nouveaux catalyseurs et notamment d’en savoir plus sur les intentions des Banques Centrales mais aussi sur les résultats des entreprises. De plus, la baisse des prix du pétrole est un élément pesant même si on notera hier un rebond technique malgré une nouvelle hausse des stocks aux Etats-Unis.

Du côté des valeurs, le secteur bancaire a déçu : JP Morgan perdait 3,45% à 56,81$ après l’annonce de résultats en-deçà des attentes. La banque est notamment pénalisée par des provisions de plus d’un milliard de dollars en raison de litiges en cours. De son côté, Wells Fargo lâchait 1,16% à 51,25$. Malgré des résultats conformes aux attentes, les investisseurs en attendent plus et restent ainsi sur leur faim. Par ailleurs, la forte baisse du cuivre pénalise les valeurs minières. Ainsi, Freeport-McMoRan dégringolait de 10,93% à 18,74$ après une baisse de 8% la veille. Autre valeur du secteur à la peine : Southern Copper qui perdait 3,73% à 25,56$. Enfin, on notera la baisse du titre Tesla alors que son PDG et fondateur, Elon Musk, se montrait déçu des résultats de son entreprise en Chine.

Du côté de l’Asie, le Nikkei enregistrait une séance positive. Après deux séances consécutives de baisse, la place japonaise se reprenait, bien aidée par une pause dans la hausse du yen et par le rebond du pétrole. L’indice Hang Seng chinois était lui aussi bien orienté, gagnant autour de 0,9% à quelques minutes de la clôture.

Ce matin, les indices européens sont attendus en hausse dans un contexte qui reste incertain. L’orientation des indices asiatiques et le rebond du dollar devraient profiter aux marchés à l’ouverture. Les investisseurs seront attentifs ce matin à la publication d’une première estimation du PIB allemand pour 2014. Outre Atlantique, plusieurs indicateurs sont attendus : l’indice Empire Manufacturing, les nouvelles demandes d’allocations chômage ou encore l’indice des prix à la production. Les résultats de Bank of America et Citi seront également attentivement scrutés.

Forex
Sur le marché des devises, la paire phare recule ce matin et cote aux encablures des 1.1776 $, soit en baisse de 0.12% par rapport au cours d’ouverture. Elle avait pourtant regagné du terrain hier, atteignant au plus haut les 1.1845 $ lors du discours donné par Charles Plosser, membre du FOMC, mais surtout après des mauvais chiffres qui ont été publiés de l’autre côté de l’Atlantique. En effet, les principales ventes au détail accusent une baisse de 1% contre un consensus qui tablait sur 0.1% ; de plus, les ventes au détail mensuelles sont également ressorties en baisse de 0.9% contre -0.1% attendu et 0.4% précédemment. L’EUR/USD a finalement regagné du terrain en fin de journée, repassant sous les 1.18$.

Aujourd’hui, les investisseurs se tourneront vers l’indice des prix à la production qui sera publié cet après-midi ainsi que les revendications chômage, attendues en légère baisse.

Dans la nuit, la banque centrale d’Inde a annoncé une baisse de son principal taux directeur de 25 points de base, le faisant passer de 8% à 7.75%. L’effet immédiat a été la hausse du cours de la roupie indienne. En effet, l’EUR/INR chute de 0.86% ce matin à 72.66 INR alors que la parité gagnait 0.46% sur la journée d’hier, atteignant un plus haut à 73.57 INR.

Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 117.67 yens, soit une progression de 0.41% depuis l’ouverture, après avoir encaissé une baisse de 0.60% sur le journée d’hier, atteignant au plus bas les 116.07 yens. L’euro de son côté s’échange aux alentours des 138.58 yens, en hausse de 0.30% ce matin.

Matières premières
Le pétrole tentait un rebond technique hier mais ce mouvement semble déjà fragilisé ce matin.
Le contrat WTI sur Février a perdait 63 centimes à $47.85 ce matin alors qu’il a gagné 5.6% soit $2.59 de hausse sur la séance d’hier. Les volumes enregistrés ont été trois fois supérieurs à la moyenne de 100 jours. Le Brent, lui perdait 66 centimes à $48.03 sur l’échéance février qui expire aujourd’hui. La prime entre les deux barils continue de se reduire puisque seulement 6 centimes séparent les deux produits. Le contrat Mars qui devient maintenant plus actif était à $49.16 ce matin.
Il faut toutefois relativiser ce rebond, la hausse des prix observée hier semble être davantage à attribuer à une couverture des positions vendeuses. Le rapport du département américain de l'Energie a fait apparaître une hausse bien plus marquée que prévu des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière, ce qui signale toujours une surabondance persistante de l'offre sur le marché.
La production américaine a augmenté à 9.19 millions de barils par jour la semaine dernière soit une accélération de 60 000 barils par jour. Les stocks eux, ont progressé de 5.39 millions de barils à 387.8 millions.

Du côté des métaux précieux, la banque HSBC estime que la demande d’or va rebondir en 2015 grâce à la demande asiatique en lingots. La demande mondiale pourrait augmenter de 15% à 4127 tonnes métrique cette année selon d’autres analystes. Selon les analystes de HSBC, les commandes d’or par les banques centrales devraient se poursuivre cette année. La demande avait atteint un record de 4582.3 tonnes en 2011 lorsque les prix avaient grimpé à un sommet de $1921.17. Ce matin l’once d’or s’échangeait à $1227.74 alors que celle-ci avait dépassé les $1245 hier en séance.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 9H15

UBS daily roundup - Judicial approval

Paul Donovan daily briefing.

• The European Central Bank has been given judicial permission to go forth an buy bonds – effectively. The details of the preliminary (non-binding) ECJ ruling on the ECB's OMT are as tedious as the acronyms, but basically green light quantitative policy next week.

• The US. Retail sales disappointed (they may be revised of course) but the Beige Book was pretty positive in its economic anecdotes. Even the oil industry, as source of concern to some, was seen slowing only a little.

• Spain and Ireland have CPI today – Spain's unit labour costs have topped falling and Ireland shed periphery status some time ago, so weaker CPI is likely to be oil rather than broader deflation related. US producer prices are seen falling on the headline, steady on the core.

• US regional business sentiment surveys today should be consistent with ongoing growth. Japanese machinery orders were somewhat weak, but it is a volatile series. Italy's president resigned – it is probably too soon for Mr Draghi to apply, whatever the Germans may wish.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 9H00

Peregrine & Black: Mid Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading higher this morning managing to stage a rebound after yesterday’s hefty losses on the back of very weak US retail sales data.
Sharply higher Asian markets boosted by a surprise interest rate cut from the central bank of India and rebounding oil and copper prices are giving European market an early lift.
Despite the worrying US retail figures which shouldn’t have been that much of a surprise considered that while the US economy is powering ahead strongly wages are lagging far behind and even declining, traders seem to focus instead on the upcoming ECB meeting one week from today.
Focus today will be on German GDP figures, US Philly Index and earnings reports by Citigroup, BofAML and INTC.
Overall sentiment remains neutral to positive, however it is doubtful that markets are strong enough to shake off more bad economic news out of the US should today’s economic data disappoint once again.
Volatility is expected to moderate somewhat further as we approach the ECB meeting next week, with range-trading appearing likely with a slight bias to the upside today.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Osborne Clarke reforce son équipe M&A avec l’arrivée d’un nouvel associé, David Haccoun 14/01/2015
- Teads réalise une levée de fonds de 24 M€ menée par Bpifrance, GIMV, Partech Ventures et Elaia Partners 14/01/2015
- Havas acquiert l’agence allemande Bird & Schulte 14/01/2015
- EY conseille l’acquistion des activités chaudières de Ideal Stelrad par le groupe Atlantic 14/01/2015
- Qivivo lève 900,000€ auprès de Saint-Gobain, Go Capital et BPI France 14/01/2015
- Ardian investit dans Saaswedo 14/01/2015
- Accord entre NAP et Presstalis : NAP acquiert les enseignes Maison de la Presse et Mag Presse 14/01/2015
- Alma Consulting Group et Lowendalmasaï annoncent leur projet de rapprochement 14/01/2015
- Seventure Partners investit 1 M€ dans MaaT Pharma 14/01/2015
- Vaughan Avocats accompagne Altamira Capital Partners dans la reprise de Collard & Trolart Thermique 14/01/2015

www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour la lettre digitale Le Capital Investisseur

DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


The Forex Quotes are Powered by Forexpros - The Leading Financial Portal.


ForexProsThe Exchange Rates are powered by Forexpros - The Leading Financial Portal.




The Currency Converter Powered by Forexpros - The Leading Financial Portal



BOURSE : Indices + CAC40 + MP


Live World Indices are Powered by Forexpros - The Leading Financial Portal.


The Commodity Prices Powered by Forexpros - The Leading Financial Portal.


TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


INFORMATIONS LÉGALES

Disclaimer:
Fusion Media would like to remind you that the data contained in this website is not necessarily real-time nor accurate. All CFDs (stocks, indexes, futures) and Forex prices are not provided by exchanges but rather by market makers, and so prices may not be accurate and may differ from the actual market price, meaning prices are indicative and not appropriate for trading purposes. Therefore Fusion Media doesn`t bear any responsibility for any trading losses you might incur as a result of using this data .

Fusion Media or anyone involved with Fusion Media will not accept any liability for loss or damage as a result of reliance on the information including data, quotes, charts and buy/sell signals contained within this website. Please be fully informed regarding the risks and costs associated with trading the financial markets, it is one of the riskiest investment forms possible.

AVERTISSEMENT LÉGAL CONCERNANT LES COMMENTAIRES ET AVIS D'EXPERTS:

Les commentaires et avis d'experts figurant dans cette série d'articles publiés par Finyear sont émis à titre d’information et ne doivent pas être considérés comme un conseil d’investissement.

Plus particulièrement, les contenus figurant sur ce site Internet Finyear.com ne sauraient être interprétés comme des conseils fournis ou approuvés par tout membre du Groupe Finyear, ou comme une sollicitation ou une incitation à souscrire, vendre ou acheter un quelconque instrument financier.

Les analyses et opinions exprimées sont celles des sociétés et experts référencés dans chaque article à la date indiquée et sont susceptibles de changer à tout moment. Toutes projections économiques ou prévisions figurant dans ces articles document reflètent les hypothèses et jugements subjectifs des auteurs. Des événements imprévus peuvent se produire.
Ces commentaires et avis sont fournis uniquement à des fins d’information aux prestataires de services d’investissement ou aux autres professionnels ou investisseurs qualifiés.

Le site Internet Finyear.com ne contient aucun conseil financier, fiscal ou commercial, ni aucun conseil en investissement ou autre conseil proposé ou recommandé par le Groupe Finyear (et ne doit pas être interprété comme fournissant de tels conseils), et ne doit pas être considéré comme une liste des cours de placement, ni comme une offre, une incitation ou une sollicitation, en vue de la souscription, l'achat ou la vente de tout instrument financier.

Toute personne prenant une décision d'investissement en se fondant sur des informations disponibles sur Finyear.com agit à ses propres risques, et Finyear (y compris ses filiales) ne saurait en aucun cas être tenue responsable de toute perte subie de ce fait.

Tous les efforts ont été fournis afin de s’assurer de la justesse de l’information délivrée mais aucune assurance ou garantie ne peut être donnée.

Les médias du groupe Finyear


Jeudi 15 Janvier 2015




OFFRES D'EMPLOI


OFFRES DE STAGES


NOMINATIONS


DERNIERES ACTUALITES


POPULAIRES