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Finyear Eco | 13 janvier 2015 (n°5 - 14H30) | L’interminable chute de l’euro

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Le quotidien Finyear offre aux investisseurs et aux conseillers professionnels des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

Finyear Eco | 13 janvier 2015 (n°5 - 14H30) | L’interminable chute de l’euro
N°5 - 14H30

L’interminable chute de l’euro

Une note de Christopher Dembik, Économiste, Saxo Banque.

L’EURUSD s’échange proche de points bas qui n’ont pas été atteints depuis une décennie depuis la cassure de la borne psychologique des 1,20. Ce n’est très certainement que le point de départ d’une dépréciation plus importante et prolongée de l’euro vers les 1,15 une fois le support des 1,1640 franchi.

Les deux éléments qui expliquent la récente dégringolade de l’EURUSD sont le retour sur le devant de la scène européenne de la crise souveraine et surtout les anticipations des investisseurs à propos du lancement d’un programme d’assouplissement quantitatif de la BCE afin d’éviter un scénario déflationniste à la japonaise.

Une fois encore, la BCE n’a pas d’autre choix que prendre les choses en main pour rassurer les investisseurs. Les rachats de dette souveraine ne sont probablement pas la meilleure solution pour consolider la croissance et étoffer l’inflation mais c’est la seule option encore sur la table.

La BCE devrait dévoiler son programme dès le 22 janvier prochain. Au cours des dernières semaines, la pression s’est considérablement accentuée sur la banque centrale après la publication de données confirmant le risque croissant de déflation en zone euro. Pour la première fois depuis 2009, l’IPC pour le mois de décembre est ressorti en territoire négatif, essentiellement sous l’effet du plongeon de près de 30% du prix du baril de pétrole depuis la dernière réunion de l’OPEP datant de fin novembre 2014.

La question n’est pas de savoir si un QE va survenir mais plutôt quelle sera la taille exacte du programme et quels seront les actifs concernés. Il parait évident que les obligations grecques et chypriotes seront exclues mais est-ce que les 500 milliards d’euros évoqués par la BCE seront suffisants pour rendre ce QE crédible? On peut en douter. Il subsiste une multitude de points d’interrogation.

La politique monétaire joue avec le feu. Nous ne sommes pas en mesure encore de connaître les effets à long terme des mesures accommodantes. Cependant, il parait certain qu’un QE ne sera pas en mesure de restaurer la compétitivité perdue de la zone euro et d’apporter une solution durable au problème de la dette publique.

Le panorama économique n’est pas pour autant complètement déprimant. Beaucoup de pays européens pourraient bénéficier d’une baisse de l’euro en améliorant la compétitivité-prix. Mais ce ne sera pas suffisant. L’Union ne peut pas gagner la guerre des devises dans laquelle elle est engagée face au Japon, aux États-Unis et à une myriade de pays émergents. C’est une bataille sans fin. Pour surmonter la crise, la zone euro doit s’attaquer aux problématiques en suspens concernant la productivité-produit, les transferts de richesse des pays riches au pays de la périphérie et le dossier de l’union fiscale.

Il va apparaitre très rapidement que les attentes au sujet de l’impact macroéconomique d’un QE sont bien trop optimistes et que la politique monétaire ne peut pas se substituer encore longtemps à l’action des gouvernements. Des performances économiques encore médiocres et le risque de sortie de la Grèce de l’Union pourraient entraîner une perte de confiance des investisseurs dans l’euro. Vendre l’euro/dollar a été ces derniers mois un trade très rentable et populaire. Une dépréciation encore plus notable est certainement à venir au cours des prochains mois au fur à mesure qu’il deviendra évident que la zone euro n’est pas prête de renouer avec une croissance stable et créatrice d’emplois.


N°4 - 13H30

L’hebdo des marchés par David Ganozzi, gérant de Fidelity Patrimoine

Pas de surchauffe américaine

A trop satisfaire les marchés, on finit immanquablement par les décevoir. Alors que l’économie américaine n’a cessé depuis plusieurs trimestres de délivrer de bonnes nouvelles, les indicateurs publiés en début de semaine dernière n’ont pas suscité le même enthousiasme. A l’image de l’indice PMI (Markit) du secteur des services qui a reculé à 53,3 points en décembre contre 56,3 le mois précédent. Si ce chiffre confirme que la croissance a été moins soutenue en fin d’année, il n’en reste pas moins satisfaisant. Surtout, ce ralentissement ne remet pas en question la dynamique qui prévaut actuellement sur le marché du travail. En effet, le rapport sur l’emploi publié vendredi indique que 252.000 emplois ont été créés en décembre, faisant tomber le taux de chômage à 5,6% de la population active, soit son plus bas niveau depuis juin 2008. Parallèlement, contrairement au mois précédent, les salaires ont reculé de 0,2% sur la même période - rassurant ainsi sur le risque de surchauffe de l’économie américaine. L’absence d’inflation tend à soulager la Fed sur la nécessité d’une remontée imminente des taux et crée, pour les marchés, des conditions idéales pour la croissance.

La semaine a également été marquée par la chute continue des cours du pétrole. Après le WTI, c’est désormais le Brent qui est tombé sous la barre des 50 dollars le baril. Parallèlement, l’euro a également franchi à la baisse un seuil important puisqu’il évolue désormais sous les 1,20 dollar. Ces reculs concomitants continuent d’être des facteurs encourageants pour la zone euro. Ils préfigurent en effet une reprise, voire une accélération des investissements dans les prochains mois. Ils sont de nature à faire oublier la publication d’indicateurs quelque peu décevants. A l’instar de l’indice PMI (Markit) sur décembre ressorti à 51,4 points (contre 51,7 anticipés) ou encore de la production industrielle allemande qui s’est inscrite en baisse de 0,1 % sur novembre - là où le consensus l’attendait en hausse de 0,4 % – et une hausse de 0,6 % le mois précédent.

A surveiller cette semaine

Le calendrier de la semaine à venir s’annonce chargé. Aux États-Unis notamment où les ventes au détail sur novembre et décembre (mercredi), l’indice des prix à la production (jeudi) et à la consommation (vendredi) seront publiés. En Europe, la production industrielle sur novembre et l’indice des prix à la consommation sur décembre seront connus respectivement mercredi et vendredi.

Performances des classes d’actifs du 2 au 9 janvier 2015 (€, %)

Classes d’actifs
Une fois n’est pas coutume, ce sont les matières premières qui ont enregistré la meilleure performance sur la semaine. Une tendance qui s’apparente à un rebond technique après plusieurs mois de recul et des nouvelles qui ne sont pas de nature à favoriser les autres classes d’actifs. A l’inverse, ce sont les obligations qui affichent le seul recul du classement. De leur côté, les actions pâtissent du stress généré par le sort politique de la Grèce. Depuis le début de l’année, le fort rebond des matières premières leur permet par la même occasion de s’inscrire en tête du palmarès avec un gain de 1,57 % sur la période. Signe des temps en ce début d’année, ce sont les obligations qui sont les moins bien placées avec un gain de seulement 0,28 % sur la période.

Marchés actions
A l’exception des marchés européens, les actions ont entamé l’année 2015 sur la même dynamique qu’elles avaient traversé 2014. A commencer par les marchés émergents et notamment la zone Asie Pacifique qui enregistrent les meilleures performances sur la semaine écoulée. A l’opposé, faisant les frais des inquiétudes relatives à la Grèce, la zone euro enregistre la plus forte baisse. Le fort rebond des marchés émergents leur permet d’enregistrer la meilleure performance depuis le début de l’année.

Marchés de taux
Les obligations seraient-elles en train d’amorcer un changement de tendance ? La question peut se poser alors que le compartiment enregistre la seule baisse de la semaine et, de surcroit, en raison de la contre-performance du segment investment grade. Le haut rendement affiche par ailleurs la seule hausse du compartiment. Depuis le début de l’année, c’est l’investment grade qui est néanmoins en tête avec un gain de 0,28 %.

Taux de change
L’avenir politique de la Grèce a fortement pesé sur la monnaie unique qui est passée sous le seuil des 1,20 dollar en début de semaine. Dans ces conditions, rien d’étonnant à voir l’euro reculer face aux autres devises. Seule la livre impactée par de mauvais indicateurs de conjoncture, peine à s’apprécier face à l’euro.


N°3 - 11H30

The dollar and Asian trade

Paul Donovan daily briefing.

- Japan saw its 5 year government bond yield touch 0% today – a proud moment for any nation and a testament to the credibility of Abenomics and its 2% inflation target. The low oil price and the weaker yen did help boost the current account surplus, however.
- China's exports were stronger in December on US demand. Weaker exports to Europe need to be interpreted with care - the weaker Euro will lower the dollar value of Chinese exports to Europe, without necessarily impacting the volume of Chinese exports to Europe.
- UK BRC like for like retail sales slowed-0.4% yoy in December, paying back for a strong November and perhaps reflecting price discounting. The release of consumer and retail price data today will help understand the latter force.
- US small business sentiment is due from the NFIB, having hit a cyclical high last month. The data has quality issues, as participants understand the survey's value as a lobbying tool, but small business employment data is critical to the pace of US recovery this year.

www.ubs.com/investmentbank


N°2 - 9H00

Résultats d'entreprises, baisse du pétrole, BCE : les marchés hésitent

Marchés actions
Sur les marchés actions au milieu d’une journée faible en publications et annonces macroéconomiques, les principales bourses européennes ont engrangé du terrain hier, alors que Wall Street a été à la peine, souffrant de la dégringolade du pétrole. Après quelques rallyes au sein de la journée, enchainant entre gain et perte, le CAC 40 a fini par s’adjuger 1.18% à 4 228.24, tout comme le Dax qui a progressé de 1.38% à 9 781.90 points. De son côté le Footsie, fortement exposé aux valeurs énergétiques, s’est contenté de clôturer proche de la neutralité à 6 501.42 points. Wall Street n’a pu se maintenir comme le Footsie et a cédé du terrain, comme le Dow Jones en recul de 0.54% à 17 640.84 points, le S&P500 a concédé 0.81% à 2 028.26 points et le Nasdaq 0.84% à 4 664.71 points. Wall Street a donc subi en raison de la chute spectaculaire de plus de 5% hier du baril, suite à une note de Goldman Sachs qui estime voir le baril aller jusqu’au seuil des 40$.

Il y a quelques dizaines de minutes dans le sillage de Wall Street, la Bourse de Tokyo, qui était fermée hier, a débuté sa semaine dans le rouge cédant 0.64% à 17 087.71 points. Les valeurs exportatrices, une fois n’est pas coutume, ont été à l’honneur en perdant du terrain an raison de la hausse du Yen face au billet vert, ce qui pénalise les exportations.

Ce matin les principales places européennes sont attendues en légère baisse dans le sillage de Wall Street et de la Bourse de Tokyo. La chute du pétrole ne semble vouloir s’arrêter encore aujourd’hui, ce qui devrait à nouveau fortement pénaliser les parapétrolières.

Les investisseurs et les marchés ont d’ores et déjà les yeux tournés vers la prochaine réunion de la BCE et les spéculations vont aller bon train sur la mise en place du programme d’assouplissement quantitatif, qui semblerait nécessaire selon certains analystes pour relancer la croissance économique au sein de la zone euro. Cette réunion précédera de quelques jours, le nouveau vote en Grèce qui pourrait voir le parti anti européen et anti austérité Syriza s’imposer.

Forex
La parité recule de 0.29% sur la journée d’hier et se maintient dans un range assez serré depuis hier avec un top à 1.1870$ et un niveau bas à 1.1753$, sans variation significative, et ce matin, le cours de la paire phare du marché des devises ouvre en hausse et cote à près de 9 heures aux encablures des 1.1845$, en progression de 0.12%. L’évolution du cours devrait rester relativement stable avant les différentes publications attendues demain de l’autre côté de l’Atlantique, avec notamment le chiffre des ventes au détail mensuel attendu en baisse, ce qui pourrait entrainer une baisse du cours billet vert au profit de la monnaie unique européenne, nous permettant de nous rapprocher des 1.20$ au cours de cette semaine. Par ailleurs, la réunion de la BCE attendue la semaine prochaine entrainera davantage de volatilité et d’impact sur le marché des changes.

Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 118.28 soit une variation de 1.26% en amplitude en 24h avec un plus haut à 119.23 et un plus bas à 117.73 yens pour un dollar. Le solde de la balance des paiements japonaise est ressortie meilleure qu’attendu avec une balance positive à 433 milliards de yens en décembre 2014. Cette volatilité en intraday devrait se retrouver pour la séance d’aujourd’hui avec ce niveau de support important de 117.73 à surveiller avec en extension les 117,50 yens pour un dollar puis les 117 dans la journée. L’euro de son côté s’échange sur les 140,15 yens ce matin avec un test des 139,50 yens. Les supports sont les mêmes qu’hier : rien de net avant les 138 yens.

De son côté la livre est stable face au dollar. La paire s’échange ce matin à 1.5141 dollar pour un livre. A surveiller en intraday le franchissement à la baisse des 1.5087 pour une accélération en extension vers les 1.50. De son côté, l’euro ne fait guère mieux et consolide ce matin les 0.7819 livre pour un euro soit les mêmes niveau qu’il y a 24h. Les supports et résistances restent également identiques en intraday. On attendra le franchissement des 0.7855 pour enclencher des postions haussières et les 0.7750 en support en intraday.

Le rouble quant à lui reprend son irrésistible ascension. La liquidité de la devise est toujours réduite et les opérateurs cherchent à s’en séparer. D’autant plus dans un contexte de baisse continue du prix de baril de Brent. En effet, force est de constater que la corrélation est quasiment de 1 pour 1 entre le rouble et le baril de Brent. Le rouble s’échange ce matin à 77,37 Euro et 65.15 USD.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, le pétrole aggrave de nouveau ses pertes et le WTI passe sous les $45.

Le contrat février sur le WTI perdait $1.19 à $44.88 le baril ce matin, hier celui-ci a perdu $2.29 à $46.07 dans des volumes toujours bien supérieurs à la moyenne de 51% sur les 100 derniers jours. Le Brent sur février, lui perdait $1.31 à $46.12 à Londres et s’échangeait avec la prime la plus étroite avec son homologue depuis juillet 2013 de $1.24.

D’après son Ministre de l’énergie, les Emirats Arabes Unis, tiendront toujours leur objectif de production malgré l'instabilité des prix.

Hier le pétrole a perdu près de 5% an séance alors que Goldman Sachs a annoncé un baril de pétrole à $40 dans les prochains mois. Les analystes pensent que le rebond des prix du pétrole ne peut provenir que de l’OPEP, et en aucun cas des Etats-Unis. Le Qatar évalue le surplus de production à 2 millions de barils par jour. L’UAE a annoncé qu’ils amélioreraient leur capacité de production à 3.5 millions de barils par jour en 2017. Du côté de la demande, la Chine a atteint un nouveau pic d’importation de brut en décembre, un record pour l’année 2014.

Du côté des métaux précieux, l’or reprend des couleurs malgré un dollar fort. La longue attente autour d'une hausse des taux d’intérêts directeur américains ne fait qu’amplifier le phénomène. L’argent lui a atteint un sommet de un mois à $16.858. L’once d’or a augmenté de 0.5% à $1239.34 l’once, un plus haut depuis mi-octobre. Ce matin elle s’échangeait à $1235.76. L’or en Euro est à son plus haut depuis décembre 2013 dans un contexte d'aversion au risque.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°1 - 8H00

Croissance modérée en 2015

Au 4e trimestre 2014, l’activité devrait continuer à croître au même rythme modéré qu’au 3e trimestre 2014 (+0,2 %).
Aux 1er et 2e trimestres 2015, le PIB progresserait modestement de 0,3 %, principalement grâce à la croissance de la demande interne.
La reprise sur le marché du travail devrait être très progressive ; la consommation privée serait soutenue par une faible dynamique de salaires et une inflation très faible – grâce notamment à la récente chute du prix du pétrole –, et donc une hausse modérée du pouvoir d'achat des ménages.
L’investissement devrait recommencer à croître en 2015, stimulé par l’accélération de la demande, interne comme externe, et par des conditions de financement plus favorables. Sous l’hypothèse d’une stabilisation du prix du pétrole à 56$ par baril et d’un cours euro/dollar oscillant autour de 1,21€/$, l’inflation totale devrait atteindre un plancher au 1er trimestre 2015, avant d’augmenter faiblement au 2e trimestre.
Les aléas haussiers autour de ce scénario incluent une plus forte dépréciation de l’euro et une baisse du prix du pétrole plus marquée, ce qui stimulerait la demande interne et externe.
Les aléas baissiers sont principalement liés au résultat des élections en Grèce et ses possibles conséquences pour la stabilité de la zone euro.

INSEE




Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Les actionnaires de Cloudwatt engagent des discussions pour étudier la reprise de 100% de son capital par Orange 12/01/2015
- ureau Veritas poursuit son développement en Chine, avec l’acquisition de Ningbo Hengxin 12/01/2015
- MML Capital Partners entre au capital de Luneau Technology 12/01/2015
- Le Groupe M6 acquiert Oxygem 12/01/2015
- Etude Mergermarket: League Tables for 2014 Financial Advisors and M&A Trend Report 12/01/2015
- Ergalis annonce l’acquisition de Selexens 12/01/2015
- Fidal, conseil de Flamel Technologies pour la cession de son usine de Pessac à Recipharm AB 12/01/2015
- Compagnie des Alpes: Réalisation de la cession du Dolfinarium d’Harderwijk et mise en oeuvre de la cession du parc Walibi Sud-Ouest 12/01/2015
- I-Deal Development accompagne Walor International dans son augmentation de capital auprès de Sodero pour permettre l’acquisition d’une filiale d’Altia 12/01/2015
- Maisons France Confort rachète Maisons Partout et prend une participation majoritaie deans YTEM Aménagement 12/01/2015

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mardi 13 Janvier 2015




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