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FY Eco (08-04-2015) n°6 - 14H00 | Que de doutes autour de la remontée des taux américains

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Chaque jour, et plusieurs fois par jour, votre quotidien Finyear vous offre (cadres financiers, investisseurs et conseillers professionnels) des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

FY Eco (08-04-2015) n°6 - 14H00 | Que de doutes autour de la remontée des taux américains
N°6 - 14H00

Que de doutes autour de la remontée des taux américains

Point de vue sur les marchés par Turgot Asset Management.

Des chiffres américains en demi-teinte laissent filer le consensus vers une hausse tardive des taux. Mais est-ce bien en ligne avec le discours de la Fed ? Notre avis.

Les chiffres aux États-Unis déçoivent, avec notamment les chiffres des créations d’emploi nettement en deçà des attentes. En effet, ces dernières s’affichent en mars à 126 000 au lieu des 245 000 prévues. Notons au passage que le secteur de l’énergie, après avoir été le plus gros contributeur aux créations d’emplois pendant de nombreux trimestres, est passé nettement destructeur d’emplois. Cependant le taux de chômage reste stable à 5,5% malgré un taux de participation à 62,7% au plus bas de trente ans. En outre, l’ISM manufacturier ressort en dessous des attentes : 51,5 en mars contre 52,9 en février et 52,5 attendu. Et ce, même si l’ISM des services résiste.

Ces chiffres se répercutent sur les anticipations de résultats des entreprises. Par exemple, pour l’ensemble de l’année 2015, Raymond James attend une progression de 1,7% des bénéfices des entreprises américaines quand elle a été de 5% en 2014. Ces résultats sont là encore plombés par le secteur de l’énergie et les exportateurs touchés par la hausse du dollar.

Dans ce contexte, on observe un glissement des anticipations de hausse de taux ― telles que mesurées par les Fed Fund Futures ― de l’été vers la fin d’année 2015. Ce qui se reflète dans la faiblesse relative du dollar. Pour autant, le discours de la Fed est loin d’être sans équivoque. Fin mars, ce ne sont pas moins de deux membres votants de la Fed, parmi les plus accommodants, qui, dans le sillage des propos de Janet Yellen du 18 mars 2015, mettent l’accent sur une probable remontée des taux dès le mois de juin. Les minutes de cette réunion, qui seront publiées cette semaine, apporteront un éclairage important.


N°5 - 13H00

L’heure de vérité se rapproche en Grèce… Les marchés ne s’en inquiètent pas

CHOLET DUPONT - Stratégie d'Investissement Vincent Guenzi, avril 2015.

Le mois de mars aura apporté de nombreuses confirmations des tendances macro-économiques en œuvre dans le Monde. Mais, les deux interventions de la BCE puis de la FED, l’une mettant en œuvre son programme d’achat d’emprunt d’Etat, l’autre repoussant son relèvement de taux, vont peut-être modifier la donne à court terme. Malgré le risque financier en Grèce, l’amélioration de la conjoncture nous incite à relever encore le potentiel de hausse des actions pour la fin d’année d’environ 5% en Europe ou au Japon

Le 9 avril, la Grèce doit rembourser 450 millions de dollar au FMI. D’autres échéances suivront en avril. Les caisses de l’Etat semblent vides. Les négociations avec le Gouvernement grec sur les réformes à mener sont tendues et progressent avec lenteur. Nul ne sait si le déblocage des fonds européens interviendrait à temps en cas de nécessité. Mais les marchés ont confiance et ne semblent guère s’en émouvoir…

Le mois de mars aura apporté de nombreuses confirmations des tendances macro-économiques en œuvre dans le Monde. Celles-ci continuent d’influencer le comportement des marchés financiers dans le même sens qu’en janvier et en février. Mais, les deux interventions de la BCE puis de la FED, l’une mettant en œuvre son programme d’achat d’emprunt d’Etat, l’autre repoussant son relèvement de taux en l’allégeant probablement, vont peut-être modifier la donne à court terme.

La BCE a poussé l’euro à son maximum de baisse à court terme (1.05 $/€) La poursuite de son repli dépend maintenant du dollar. Or, en temporisant davantage, à cause du ralentissement de la croissance, la FED a laissé l’euro remonter vers 1.10 €/$. Ainsi, l’un des moteurs de la surperformance économique et boursière de l’Europe faiblit.

Dollar trop fort ou ralentissement temporaire, dans les deux cas, nous semblent devoir brider la hausse des actions américaines. A l’inverse, la prudence de la FED protège aussi les marchés d’un repli trop prononcé.

C’est pourquoi nous pensons que les actions européennes peuvent encore bénéficier d’un court répit pour enregistrer une petite hausse supplémentaire.

Comme il est probable que le ralentissement américain ne soit que conjoncturel, le retour à la normale au cours du 2nd trimestre ne manquerait pas de raviver les craintes au sujet de la politique monétaire et d’augmenter les risques d’un repli plus prononcé pour les actions.

A moyen terme, les marchés actions devraient bénéficier des facteurs positifs. En Europe, c’est la confirmation de la reprise qui s’accompagne dorénavant de la hausse des crédits. Aux Etats-Unis et au Japon, la hausse des salaires se diffuse et c’est un nouveau facteur encourageant. Il semble même que l’écueil des valorisations ait été franchi et n’inquiète plus. C’est l’effet du retour de la confiance que nous avons maintes fois mentionné.

Tous ces éléments nous incitent à relever encore le potentiel de hausse des actions pour la fin d’année d’environ 5% en Europe ou au Japon. Nous relevons les actions japonaises à Surpondérer à moyen terme.

En revanche, le relèvement de nos objectifs à fin juin, ne fait qu’entériner les hausses du trimestre. A court terme, nous avons relevé notre position sur les actions européennes à Surpondérer et abaissé les actions américaines, privées du soutien du dollar, à Sous pondérer. Tactiquement, il faut toujours rester un peu vigilant compte tenu du risque grec et plutôt privilégier les achats sur repli.

La rotation sectorielle se poursuit. Globalement les secteurs domestiques et cycliques sont favorisés mais ils commencent à subir des prises de profits temporaires qui nous renseignent sur la maturité de la hausse.

Nous avons abaissé à Neutre la note à Court Terme de l’Immobilier et des Biens de Consommation non cycliques et la note à Moyen Terme du secteur Alimentation/Boissons.

Nous avons relevé à Surpondérer la note à Moyen Terme du secteur Banque, qui va bénéficier de la reprise du crédit, et de la Chimie.

Sur le marché des devises, si la parité €/$ devrait osciller à court terme entre 1.05 et 1.12, le potentiel de hausse à moyen terme reste non négligeable.

Alors que les taux souverains sont souvent négatifs en zone euro, la recherche de rendement devrait encore soutenir les emprunts d’Etats d’Europe du Sud, les obligations privées du secteur bancaire et les titres à haut rendement. Nous surpondérons à court terme les obligations convertibles de la zone euro. En revanche nous avons réduit les recommandations sur plusieurs autres classes de produits de taux (souverains AAA euro, obligations d’entreprises américaines et européennes).

Achevé de rédiger le 7 avril 2015


N°4 - 11H00

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European equities are trading little changed to moderately lower this morning as disappointing German factory orders are souring the overall mood a bit and consequently lessening the appetite for continental European stocks.
Despite growing optimism that QE initiated by the ECB just over a month ago will be successful in restarting growth and combatting disinflation and the weak Euro giving European exporters increasingly an edge compared to their overseas competitor today’s figures out of Germany are clearly indicating that the recovery might not be forthcoming as quickly as some had hoped.
However the main headline today is making Shell with the takeover of BG benefitting not only Shell and BG but the whole sector as today’s takeover is stirring speculations that the entire industry is in a consolidation process with more takeovers in the months ahead being likely.
The economic data calendar is on the light side today with main focus being on the FOMC minutes being released later tonight.
Even if the FOMC minutes indicate that at that time an increase in rates during their June meeting is likely recent weak US job data might have already changed this assessment.
Overall sentiment remains positive despite lingering concerns regarding Greece and the lack of progress to secure additional funds to prevent insolvency, traders are continuing to look to buy dips for now.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°3 - 9H00

Les marchés restent bien orientés avant le lancement de la saison des résultats

Marchés actions
Les principales places européennes ont gagné du terrain hier après leur fermeture lundi, tandis que Wall Street a marqué le pas. Les mauvais chiffres de l’emploi aux Etats-Unis laissent suggérer aux investisseurs que la FED pourrait patienter un peu plus avant d’envisager le début de la fameuse hausse des taux. Cette hausse pourrait ainsi n’intervenir qu’à la fin 2015 alors que le consensus tablait entre Septembre et Octobre avant ces chiffres. On notera que le secteur de l’énergie était à l’honneur profitant depuis deux jours du rebond des prix du baril. Le CAC 40 s’est adjugé 1.52% à 5 151.19 points, soit son plus haut niveau de clôture depuis 2008. Le Dax a gagné 1.30% à 12 132.52 points, tout comme le Footsie qui profite de sa forte exposition aux ressources de bases avec un gain de 1.88% à 6 961.77 points.

Wall Street était bien orienté en début de séance, avant d’observer un léger repli. Le Dow Jones a clôturé proche de la neutralité après avoir perdu 0.03% à 17 875.42 points. Le S&P500 et le Nasdaq ont souffert en cédant respectivement 0.21% et 0.14% à 2 076.33 points et 4 910.23 points. Les investisseurs attendront tout particulièrement ce soir la publication des « minutes » de la FED, avant le début du bal de la saison des résultats trimestriels aux Etats-Unis. Ces résultats commenceront en douceur avec Alcoa après la clôture avant de battre leur plein dans une semaine.

Ce matin, en dépit d’indicateurs quelques peu décevants au cours des dernières semaines, la BoJ, sans surprise, a laissé sa politique monétaire inchangée. De plus, la BoJ se montre toujours optimiste concernant les perspectives économiques du pays. La Bourse de Tokyo a clôturé ce matin sur un plus haut depuis 15 ans à 19 789.81 points après avoir gagné 0.76%.

Les principales places européennes pourraient consolider ce matin à l’ouverture et céder du terrain après les fortes progressions observées la veille.

Forex
Sur la journée d’hier, la parité EUR/USD a perdu du terrain à la suite de chiffres jugés non satisfaisants par les opérateurs de marchés principalement sur les PMI publiés en zone euro. En effet, le PMI des services sur le mois de mars en zone euro a reculé à 54.0 contre 54.1 attendu, par ailleurs, le PMI des services en France a aussi reculé à 52.4 contre 52.8 prévu. Seule l’Allemagne affiche un PMI en hausse à 55.4 contre 55.3 attendu.
L’information qui a permis au billet vert de se renforcer sur la journée d’hier est le chiffre des offres d’emploi aux Etats-Unis qui a fortement progressé en Février à un niveau de 168 000 pour atteindre 5.1 millions, son niveau le plus élevé depuis 14 ans, soit depuis Janvier 2001, indiquant donc que le marché de l’emploi américain demeure solide, avec une demande de main-d’œuvre en expansion.

Ce matin, la parité phare du marché des devises cote à près de 9 heures aux encablures des 1.0841$, soit en progression de 0.25% depuis l’ouverture, tentant d’entamer une correction à la hausse afin de revenir sur le dernier plus haut, atteint vendredi dernier à 1.1025$.

Aujourd’hui, les investisseurs resteront attentifs à la publication des ventes au détail en zone euro, un chiffre attendu à -0.2% contre 1.1% précédemment. Par ailleurs, les minutes de la Fed seront suivies à 20h ce soir.

Les paires en yen évoluent à la baisse ce matin. Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 119.90 yens, soit en baisse de 0.34%. L’euro recule de 0.10% à près de 9h face à la devise nippone et s’échange juste en-dessous du seuil technique des 130 yens, aux alentours des 129.96 yens. Le yen affiche ce matin un indice courant de veille économique qui mesure l’atmosphère des affaires en forte hausse à 52.2 contre 50.9 prévu. Un chiffre au-dessus de 50 indique un sentiment optimiste, ce qui a permis à la devise japonaise de gagner du terrain aujourd’hui.

Matières premières
Les cours du pétrole repartent à la baisse ce matin dans la perspective de la publication des stocks de pétrole brut américain attendus en hausse aujourd’hui.

Le prix du baril de « light Sweet Crude » (WTI) échéance mai est en recul de 1,85% à 52,98 usd. Le prochain support en intraday est à 52,50 usd. De son côté, le baril de Brent pour la même échéance se négocie à 58,39 usd en baisse de 1,15%. Le support surveillé par les investisseurs est à 58,15 usd.

Le département américain de l'Energie (DoE) publie à 16h30, heure de Paris, ses chiffres hebdomadaires sur l'état des réserves américaines de brut. Selon nos estimations, elles devraient avoir encore augmenté de 3,4 millions de barils la semaine finissant le 27 mars dernier. Rappelons que le niveau de réserve se situe au plus haut historique avec un total de 471,4 millions de barils.

Les fondamentaux du marché restent baissier et les prises de bénéfices ont été nombreuses ces deux derniers jours après la forte poussée des cours en raison, entre autre, l’arrivée potentielle de la production iranienne sur le marché mondial suite à l’accord sur la levée des sanctions sur l’Iran et à l’intervention de la coalition arabe au Yémen avec à sa tête l’Arabie Saoudite.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 8H45

La BCE a déjà atteint ses objectifs et pourrait réduire le rythme de ses rachats d’actifs bien avant septembre 2016 !

Un mois après son lancement, le « Quantitative Easing » de la BCE a déjà atteint plusieurs de ses objectifs et contribue à l’amorce d’une reprise économique en zone euro. Au vu de ce premier bilan, l’équipe de Quilvest Gestion estime que la BCE pourrait ralentir le rythme de ses rachats d’actifs bien avant septembre 2016, l’échéance initialement évoquée par Mario Draghi.

En un mois, la BCE est parvenue à racheter 60 milliards d’euros d’actifs obligataires, dont plus de deux-tiers en titres souverains. La clé de répartition a fait la part belle aux rachats de dette allemande, française et italienne (avec des montants respectifs de 11,1, 8,8 et 7,6 milliards d’euros). Les observateurs nourrissaient pourtant quelques interrogations légitimes, sur la profondeur du gisement des détenteurs d’obligations à qui la BCE puisse racheter des titres. Ronan Blanc, Gérant obligataire chez Quilvest Gestion explique que « l’essentiel des rachats a été réalisé auprès d’investisseurs étrangers, en particulier d’autres banques centrales - chinoise, suisse et japonaise - qui détiennent d’importants montants de dettes souveraines européennes ».

A contrario, les détenteurs domestiques et naturels d’emprunts d’Etat, tels que les assureurs, les mutuelles et les banques européens, ont cédé peu de titres à la banque centrale. « Dans un environnement de taux extrêmement bas, où les spreads continuent encore de se replier, ces catégories d’investisseurs préfèrent logiquement conserver leurs anciens papiers plutôt que de les céder, faute d’alternative plus rémunératrice. Il faut aussi considérer les contraintes prudentielles, comme Solvabilité 2, qui encouragent globalement les investisseurs institutionnels à conserver leurs emprunts d’Etat ».

La Banque centrale européenne restera pragmatique

Grâce à ses opérations de T-LTRO et de rachats d’actifs, la BCE a accompagné le redémarrage économique européen. Les premiers bénéfices sont particulièrement tangibles à l’échelle microéconomique en Europe du sud : « depuis le début de l’année, nous assistons au réveil du marché du crédit aux petites et moyennes entreprises, en particulier en Italie. Ce pays est certainement celui où le mécanisme de transmission des liquidités à l’économie réelle, via la redistribution des crédits par les banques, est le plus efficace. L’économie nationale va continuer à en tirer profit dans les mois à venir » constate Ronan Blanc.

Les initiatives de la BCE ont aussi permis de maintenir l’euro à un niveau durablement bas face au dollar, une façon de réinjecter de l’inflation dans l’économie européenne. « Le pilotage baissier de l’euro permet d’atteindre un niveau plancher proche de la parité, qui semble faire consensus de part et d’autre de l’Atlantique. Cela a permis de restaurer la compétitivité des entreprises européennes exportatrices, en témoignent les récentes publications de résultats plutôt bien orientées ».

Ces résultats positifs pourraient conduire la BCE à réviser le calendrier de son plan d’action, c’est-à-dire ralentir le rythme de ses rachats d’actifs avant septembre 2016. Cette hypothèse a déjà été évoquée il y a quelques semaines par Christian Noyer, Président de la Banque de France, puis par Yves Mersch, membre du Conseil des Gouverneurs de la BCE, hier. « Les objectifs de la BCE sont en bonne partie atteints. Si la reprise économique européenne se confirme dans les tout prochains mois, la question d’une sortie progressive du quantitative easing aura du sens. N’oublions pas que plusieurs risques potentiels peuvent naître d’excès de liquidités, comme une distorsion importante des prix des actifs ou la création de bulles sur certaines catégories d’entre eux (les actifs fonciers et immobiliers allemands sont à surveiller de près). A l’image de la Fed, la BCE sera attentive à l’ajustement de son programme d’achats, tant en volume que sur sa durée, pour que celui-ci reste en adéquation avec l’environnement économique et financier » conclut Ronan Blanc.


N°1 - 8H30

UBS daily roundup - Counting on the minutes

Paul Donovan daily briefing.

• The ECB goes through the regular process of deciding what amount of emergency cash to supply the Greek banking system with. As long as there is emergency support, the dysfunctional monetary union of the Euro area is bolstered.

• Swiss CPI inflation (likely to be negative) is on the agenda, and although not normally of much interest internationally may gather some attention with markets speculating about where the Swiss National Bank might chose to intervene in foreign exchange markets.

• US Fed minutes are due (there are also a couple of speakers). We expect the data dependent nature of Fed rate increases to be emphasised – because what else is a central bank going to be but data dependent? However, the bias to tighten should be clear. Job openings hit a cyclical high yesterday, demonstrating labour market strength.

• Japan's balance of payments was boosted by the value effect of a weaker yen – which raised exports and overseas investment income. However the export number was not boosted as much as rising global trade and the weaker yen would suggest, implying Japanese domiciled exporters continue to lose market share overseas.

www.ubs.com/investmentbank




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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 8 Avril 2015




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