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FY Eco (07-04-2015) n°4 - 13H00 | Arrière saison (Fidelity)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Chaque jour, et plusieurs fois par jour, votre quotidien Finyear vous offre (cadres financiers, investisseurs et conseillers professionnels) des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

FY Eco (07-04-2015) n°4 - 13H00 | Arrière saison (Fidelity)
N°4 - 13H00

Arrière saison

L’hebdo des marchés par David Ganozzi, gérant de Fidelity Patrimoine.

Alors que le printemps financier bat son plein en Europe, les États-Unis semblent, pour leur part, entrer dans une arrière saison. Une impression confortée la semaine dernière par la publication d’indicateurs laissant à penser que l’activité se tasse outre-Atlantique. Ainsi l’ISM manufacturier s’est inscrit en recul à 51,5 points sur mars, contre 52,9 le mois précédent, soit son ralentissement le plus marqué depuis vingt-deux mois. Par ailleurs, sur le front de l’emploi, les chiffres publiés vendredi n’ont fait ressortir que 126.000 nouvelles embauches mensuelles, là où le consensus en attendait 245.000. Cette décélération de l’activité s’explique essentiellement par un effet dollar dont l’appréciation constitue à présent un frein à l’expansion de l’économie américaine. Il convient, en outre, de souligner que la période observée pâtit d’un effet saisonnier défavorable lié, depuis deux ans maintenant, à des conditions climatiques hivernales pour le moins rigoureuses. Faut-il pour autant voir dans ces indicateurs un retournement de tendance conjoncturelle ? Loin de là. L’an dernier, malgré une contraction de 2,1% au premier trimestre, les États-Unis enregistraient une croissance de 4,6% le trimestre suivant … Du reste, contrairement à l’année dernière, l’économie américaine doit maintenant composer avec un dollar fort. Et Janet Yellen, la présidente de la Fed, également.

Preuve de la divergence des rythmes de croissance de part et d’autre de l’Atlantique, la zone euro, pendant ce temps là, continue d’engranger les bonnes nouvelles. L’indice PMI manufacturier est ainsi ressorti à 52,2 en mars - contre 51,9 attendus – soit un plus haut de dix mois. Parallèlement, l’accélération de la reprise se traduit mécaniquement par une amélioration sur le marché du travail. Selon les derniers chiffres d’Eurostat, le taux de chômage s’est établi à 11,3% sur le mois de février – contre 11,4% le mois précédent – touchant à cette occasion un plus bas depuis mai 2012. Autant de preuves – s’il en fallait – que l’économie européenne est désormais amarrée à la reprise et concentre logiquement toute l’attention des investisseurs.

A surveiller cette semaine

Le calendrier (écourté en raison du lundi de Pâques) de la semaine à venir va être une nouvelle fois l’occasion de prendre le pouls des économies américaine et européenne notamment. Après l’indice PMI des services (mars) qui est ressorti, lundi aux États-Unis à 56,5, celui concernant la zone euro sera connu aujourd’hui, mardi. A noter enfin, la publication, en fin de semaine, de l’indice des prix à la consommation (IPC) en Chine.

Performances des classes d’actifs du 27 mars au 3 avril 2015 (€, %)

Classes d'actifs
Après les prises de bénéfices de la semaine précédente, les actions ont retrouvé le chemin de la hausse. Un mouvement plus modéré que celui auquel les investisseurs ont été habitués depuis le début de l’année mais qui leur permet néanmoins d’enregistrer la plus forte hausse hebdomadaire. De leur côté, les matières premières continuent de consolider. Le palmarès sur la semaine écoulée ne change rien au classement depuis début janvier. Les actions en conservent la tête avec un gain de 14,72 %, les matières premières suivent, mais à distance, avec une hausse désormais réduite à 5,37%. Le compartiment obligataire en ferme, une fois encore, la marche avec une appréciation de 3,21%.
Actions (MSCI AC World) : 0.78
Matières premières (DJ UBS Commod.) : -0.43
Obligations (BOFA EMU Lge Cap IG) : 0.18
Liquidités (Cash €) : 0.00

Marchés actions
Une fois n’est pas coutume, ce sont les marchés émergents qui se sont distingués sur la semaine écoulée, suivis par les indices européens. A l’autre bout du classement, la zone Asie-Pacifique est celle qui a le plus souffert tandis que le marché anglais continuait de reculer après sa forte chute de la semaine précédente. Ces performances ne changent rien au palmarès depuis janvier puisque les actions japonaises continuent de caracoler en tête (24,5%), suivies de près par les actions européennes (19,62%). A l’inverse, le MSCI UK affiche la plus faible hausse (11,06%).
Amérique du Nord (MSCI N America) : 0.52
Royaume-Uni (MSCI UK) : -0.52
Europe hors R.U. (MSCI Europe ex UK) : 1.09
Japon (MSCI Japan) : 0.02
Asie Pacifique (MSCI Pac Bas) : -1.07
Pays émergents (MSCI Emerging Mkts) : 3.88
MSCI AC World : 0.78

Marchés de taux
L’accélération de la reprise en Europe a été un bon facteur de soutien pour les obligations à haut rendement qui enregistrent la meilleure performance de la semaine. A l’inverse, le court terme ne fait toujours pas recette, fermant une fois de plus le palmarès hebdomadaire. Ces performances ne changent rien au classement depuis janvier puisque l’investment grade affiche toujours la plus forte hausse (3,21%). Du reste, l’écart avec le high yield (3,16%) est désormais réduit. Le court terme continue de fermer la marche avec un gain de 0,39%
Obligations Investment grade en € (BOFA EMU Large Cap IG) : 0.18
Obligations d'État des pays de la zone Euro (BOFA EMU 1-3Y) : 0.02
Obligations à haut rendement en € (BOFA Euro HY) : 0.28

Taux de change
Sur le marché des changes, la monnaie unique a continué de s’apprécier face à la livre. Elle a, par ailleurs, regagné un peu de terrain face au yen après en avoir concédé la semaine précédente. En revanche, l’euro s’est déprécié face au dollar qui, de son côté, continue de se renforcer et peser sur la croissance américaine.
USD/1 € : -0.24
GBP/1 € : 0.25
JPY/1 € : 0.15
€ effectif : 0.12

Source : Datastream. Performances en €. Les indices de référence sont indiqués entre parenthèses.


N°3 - 11H00

Marchés actions : le « Reverse » Scénario doit être envisagé

Par Daniel Gerino, président et directeur de la gestion de Carlton Sélection. Stratégiste d'Intersélection.
Daniel Gerino est économiste et membre diplômé de l’Institut des Actuaires Français.

Les moteurs du fort rebond des bourses européennes n’ont pas tous vocation à perdurer.

Alors que les marchés financiers s’enivrent de la conjonction de trois phénomènes éphémères, l’inquiétude regagne peu à peu du terrain.

Ne gâchons cependant pas notre plaisir, nous avons connu un début d’année en fanfare :
• Mario Draghi nous offre un cadeau inespéré, une montagne d’euros pour relancer l’économie avec son énorme QE de 1,1 trilliard d’euros
• Les Etats-Unis inondent le marché de pétrole de schiste au second semestre 2014 au point de provoquer un engorgement des zones de stockage et un nombre incalculable de tankers aux cuves pleines sillonnant les mers, provoquant l’effondrement du prix du baril.
• Une chute de l’euro grâce aux effets du QE, salutaire pour les entreprises exportatrices souffrant depuis trop longtemps d’une sous-évaluation du dollar.

Début 2015, les marchés portés par la reprise de l’économie américaine en 2014, se tourne vers l’Europe. Les actions US sont au plus haut, les taux européens vont s’écrouler avec le QE de la BCE et les marchés actions européens ont été à la traine durant l’année 2014. Une aubaine ! Les marchés émergents, pour leur part, ont été délaissés, du fait du manque de potentiel de croissance de leurs économies et de leur trop forte dépendance aux matières premières pour bon nombre d’entre eux.

L’effondrement du pétrole couplé à un faible taux de croissance mondiale (3,5% prévu en 2015) provoque une forte désinflation au point de faire redouter une déflation. Conséquence, les taux s’effondrent sur toutes les maturités (1/3 des obligations souveraines européennes ont des taux actuariels négatifs). Ils s’effondrent même au-delà de tout pronostic et de toute logique, car la BCE fausse la donne avec son QE. Alors l’alchimie s’opère, les investisseurs quittent partiellement les marchés de taux, éblouis par le traditionnel graphique comparant le rendement des taux à celui des actions et négligeant le risque intrinsèque de la valorisation. Phénomène habituel en période d’emballement des marchés.

Tout concourt donc à la forte progression des marchés européens, qui trouvent un allié supplémentaire auprès des fonds de pension japonais, qui revoient leurs grilles d’allocation stratégique au profit des actions (+ 90 milliards de dollars vers les actions internationales, uniquement pour le fonds de pension gouvernemental).

Cette forte dynamique sur le marché européen est donc une aubaine pour nos réallocations dans un univers de taux ultra bas. Mais une telle progression doit néanmoins s’opérer sur des fondamentaux solides. Et c’est là que se trouve le principal risque de déception. Pour que le marché délivre ce qu’il a promis, il faut que les faits générateurs de l’espérance soient pérennes.

La consommation et l’investissement doivent repartir

Or le premier pilier, celui de la consommation, porte l’espoir d’un gain de pouvoir d’achat grâce au contre choc pétrolier. Mais la hausse des prélèvements un peu partout en Europe a amputé ce gain. En outre, le niveau actuel très élevé du chômage européen, succédant à une période 2008-2013 encore plus rude sur le plan de l’emploi, laisse des traces trop récentes qui poussent les ménages vers davantage d’épargne de précaution (13% d’épargne pour les ménages européens et 15,8% en France). La prudence s’impose donc concernant un scénario de pétrole durablement bas et de reprise de la consommation au détriment de l’épargne. N’oublions pas non plus les faibles possibilités de reprise d’activité via le secteur public, déficit budgétaire et stock de dettes obligent !

Le deuxième pilier est l’investissement. Pour l’heure rien n’est visible. L’investissement productif devrait avoir progressé de 2% en 2014, avec une estimation à +3% pour 2015. C’est une bonne nouvelle, mais les entreprises préfèrent privilégier la restauration des marges à l’investissement. Carnets de commande et taux d’utilisation des capacités de production obligent !

Troisième pilier : la dépréciation de l’euro. Cela aide les entreprises qui exportent, mais renchérit les coûts d’importation de nombreuses autres, tributaires des achats en dollar.

Et si le dollar, désormais plutôt surévalué, repartait à la baisse ? Plusieurs facteurs militent pour cette évolution :
• La balance des paiements courants de la zone euro progresse à nouveau.
• Le différentiel de taux actuellement très faible entre la zone euro et les Etats-Unis risque de rester encore quelque temps très faible, car la Fed n’a pas intérêt à propulser les taux vers le haut, dans une économie encore fragile.
• Janet Yellen a précisé être inquiète du niveau élevé du dollar ; n’oublions pas que le dollar est la monnaie banque centrale du monde.
• Un rebond des cours du pétrole, probable dès la fin de cet été, provoquerait également une baisse du dollar.

Ce scénario pourrait entraîner une violente réallocation d’actifs et donc des risques de reprise des belles performances accumulées sur les marchés actions, au cours de ces trois premiers mois de l’année. La question en suspens reste de savoir où réallouer ses actifs ? Les taux étant très bas, les grands gagnants seront les fonds d’arbitrages et les fonds d’allocations d’actifs réactifs.

Il faut espérer que l’investissement, clé de voute du système, reprenne rapidement et que les transformations indispensables de nos économies en matière sociale, fiscale et règlementaire libèrent l’envie d’investir dans notre avenir.

Carlton Sélection


N°2 - 9H00

Les marchés européens attendus en hausse après ce long week-end pascal

Marchés actions
Alors que les places européennes étaient fermées hier, Wall Street a débuté cette semaine dans le vert, en dépit de chiffres sur l’emploi particulièrement décevants Vendredi dernier. Rappelons que les places européennes et américaines étaient fermées Vendredi, jour de la publication des chiffres de l’emploi US.
Néanmoins, Wall Street a profité de bons chiffres concernant les PMI Composite et Services, ainsi que l’ISM non manufacturier. En effet, ces derniers ont montré que l’économie américaine restait solide. Le Dow Jones et le S&P500 se sont adjugés tous deux 0.66% à 17 880.85 points et 2 080.62 points. Le Nasdaq a progressé de 0.62% à 4 917.32 points. De plus, une déclaration du président de la FED de New-York a rassuré les investisseurs. Il a annoncé qu’une hausse des taux « seraient relativement superficielle » dans un premier temps. Les mauvais chiffres de l’emploi pourraient également amener la FED à reporter cette fameuse hausse des taux.

Pour leur réouverture, les principales places européennes sont attendues en légère hausse dans le sillage de Wall Street hier. La Bourse de Tokyo a gagné 1,25% à 19 640.54 points ce matin. Aujourd’hui, les investisseurs se tourneront vers les PMI Composite et des Services au sein de la zone euro. Les négociations devraient également reprendre autour du fameux dossier grec. Pour le moment, le nouveau gouvernement grec a rassuré ses principaux créanciers sur sa solvabilité dans les prochains jours.

Forex
En raison du Lundi de Pâques, les échanges ont été légèrement moins importants qu’en temps normal, car de nombreux intervenants de marchés se sont retirés sur la journée d’hier.

Hier, la parité EUR/USD a perdu du terrain à la suite de chiffres mitigés de l’autre côté de l’Atlantique : l’indice ISM non manufacturier est resté stable à 56.5 en ligne avec le consensus, l’indice PMI des services a progressé, bien au-dessus de la barre des 50 à 59.2 contre 58.6 attendu, un chiffre meilleur indiquant un secteur des services en expansion qui a permis au billet vert de se renforcer momentanément face à la monnaie unique européenne.

Ce matin, la parité phare du marché des devises cote à près de 9 heures aux encablures des 1.0935$, soit en progression de 0.48% depuis l’ouverture, tentant d’entamer une correction à la hausse afin de revenir sur le dernier plus haut, atteint vendredi dernier à 1.1025$.

Aujourd’hui, peu d’indicateurs sont attendus, nous noterons principalement l’indice des services PMI en zone euro, attendu stable à 54.3.

Les paires en yen évoluent de manière mitigée ce matin. Le dollar contre le yen s’échange ce matin à 119.55 yens, soit en baisse de 0.09% bien que la parité ait progressé sur la journée d’hier. L’euro évolue à la hausse de 0.26% à 9 heures, et s’échange juste au-dessus du seuil technique des 130 yens, aux alentours des 130.56 yens.

Matières premières
Les prix des pétroles ont fortement augmenté hier du fait de l’annonce de la compagnie pétrolière d’état, Aramco, de relever ses tarifs pour ses clients asiatiques.

Le prix du baril de pétrole de WTI « Light Sweet Crude » échéance pour une livraison en mai à gagner 3 dollars avec un plus haut à 52,14 usd hier sur le New York Mercantile Exchange. Il s’échange avec une légère consolidation ce matin à 51,56 usd en baisse de 1,19%. Le baril de Brent quant à lui pour la même échéance à 58,21 usd également en hausse de plus de 3 dollars. Une consolidation est à noter ce matin également à 57,26 en baisse de 1,56%.

Les investisseurs ont été particulièrement surpris par cette hausse et cette initiative saoudienne. En effet, le leader de l’OPEP s’est toujours montré inflexible et son positionnement a largement contribué à faire baisser les prix du brut en refusant toute baisse de la production.

En outre, l’effet « Iran » s’est estompé car le marché comprend que les réserves iraniennes vont mettre un certain temps à arriver sur le marché car les sanctions sont loin d’être concrètement levées. L'Iran et le groupe 5+1 (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie et Allemagne) se sont entendus jeudi dernier en Suisse sur les "paramètres" d'un accord au sujet du programme nucléaire de Téhéran.

Ils doivent désormais se pencher sur les détails techniques complexes d'un accord définitif qui doit intervenir avant le 30 juin. Il faudra au moins un an pour que le pétrole arrive sur le marché.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°1 - 8H30

UBS daily roundup - Life after payrolls

Paul Donovan daily briefing.

• The softer US employment report has left markets speculating about the timing of a US rate hike (again) although it is unwise to place too much emphasis on a single data item. Lockhart of the Fed was sounding confident of a Q3 rate increase.

• Euro area service sector sentiment is due and is expected to indicate an accelerated pace of economic expansion. We believe that there is a cyclical upturn underway in the Euro area, although service sector sentiment data may not be the most reliable signal of that.

• The Reserve Bank of Australia left interest rates unchanged – there had been speculation of a further easing. We think that the rate cut will be next month as the RBA assesses the full effects of the blend of policies (regulatory and monetary) that it has undertaken.

• Kocherlakota of the Fed is on the agenda today, and consumer credit numbers are also due out of the US. These may be worthy of some attention as credit is a form of dissaving, and the US consumers apparent inclination to save has been something of a focus.

www.ubs.com/investmentbank




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TAUX D'INTERET LEGAL

L'ordonnance du 20 août 2014 (n°2014-947) a introduit deux taux différents, l'un s'appliquant aux créanciers personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels, l'autre "pour tous les autres cas".

Le gouvernement a également instauré un calcul semestriel du taux légal calculé "en fonction du taux directeur de la Banque centrale européenne sur les opérations principales de refinancement et des taux pratiqués par les établissements de crédit et les sociétés de financement".

Comme prévu par l'article 2 de l'ordonnance du 20 août 2014, les deux nouveaux taux ont été fixés par arrêté pour leur entrée en vigueur dès le 1er janvier 2015.

L'arrêté du 23 décembre 2014 publié au JO le 27 décembre 2014 indique ainsi que :
"Pour le premier semestre 2015, le taux de l'intérêt légal est fixé :
1° Pour les créances des personnes physiques n'agissant pas pour des besoins professionnels : à 4,06% ;
2° Pour tous les autres cas : à 0,93%."


Rappelons que :
- En 2014, il était de 0,04%
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mardi 7 Avril 2015




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