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FY Daily Briefings - 18 septembre 2014 (#13 - 13H15)

Daily Briefings by Finyear. Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 18 septembre 2014 (#13 - 13H15)
#13 - 13H15

France FinMin Denies Receiving Warning of Moody's Downgrade

By Jack Duffy.

France's Finance Ministry denied Thursday that it had received a warning from Moody's Investor Service that the country's sovereign credit rating would be downgraded.

"At this stage was have received nothing," a Finance Ministry spokesman told MNI. "We deny this information."

The newspaper L'Opinion reported Thursday that an email arrived earlier today in the government's offices from Moodys' warning that France's rating would be lowered to 'Aa2' from 'Aa1'.

A spokesperson for Moody's was not immediately available to comment when contacted by MNI.

MNI Paris Bureau
MNI London Bureau
www.mni-news.com


#12 - 12H15

États-Unis : les signes annonciateurs de l'inflation

Au cours de l’été, un basculement s’est opéré, ou du moins confirmé, aux États-Unis : la situation économique se redresse nettement, comme en témoignent les indicateurs avancés (mises en chantier, taux de chômage, conditions d’accès au crédit…). Avec, pour résultat, de rendre l’objectif d’une croissance à 4% atteignable. Une croissance qui pourrait s’accompagner d’une remontée de l’inflation, malgré ce que montrent aujourd’hui les « anticipations » en la matière. Pourtant, il ne faut guère s’en tenir à cela. En effet, si l’on se contente d’étudier les « anticipations financières», tirées du marché des swaps d’inflation, la stabilité prévaut. Il convient de se tourner vers d’autres indicateurs, dont la compilation, tel un faisceau d’indices, pointe bel et bien en direction d’une reprise de l’inflation aux États-Unis.

Des indicateurs à court-terme encourageants
Aux anticipations stables d’inflation s’opposent une série d’indicateurs, notamment de court-terme, plaidant en faveur d’un scenario différent. Ainsi, le déflateur de la consommation privée remonte au cours des trois derniers mois, que l’on considère l’inflation avec ou sans l’alimentation et l’énergie.
Plus révélateurs encore de cette reprise, selon Philippe Weber, Responsable Etudes et Stratégie chez CPR AM, sont le CPI (indice des prix à la consommation) écrêté et le CPI médian, ainsi que l’indice des prix rigides. Ils connaissent tous trois une inflexion non négligeable, confirmant ainsi que la gamme de produits et services dont les prix augmentent est large. Un mouvement de fond est apparu sur l’inflation américaine, confirme Philippe Weber.

La déflation écartée
La période actuelle est d’autant plus propice à une reprise de l’inflation que le risque de déflation semble enfin écarté outre Atlantique, ce qui n’était pas le cas l’année dernière encore. Les probabilités de déflation, calculées par la Réserve fédérale d’Atlanta à partir d’obligations indexées à 5 ans, sont aujourd’hui nulles.
De plus, la progression de 2,7 % en un an des loyers imputés offre un socle à l’inflation, l’empêchant de s’effriter. Ce poste, qui compte pour près de 25 % de l’indice des prix à la consommation, apporte entre 0,7 % et 0,8 % d’inflation. Un mouvement haussier qui devrait s’accentuer, grâce au recul du chômage, à la remontée des prix de l’immobilier et à celle des taux d’intérêt, hypothèse crédible à horizon un ou deux ans.

Un potentiel d’accélération
Plusieurs éléments déterminants dans la formation en amont de l’inflation devraient désormais favoriser sa prise d’ampleur. D’une part, l’écart de production (output gap), certes toujours important, se réduit graduellement. Or il est relativement corrélé à l’inflation, un écart moindre signifiant une inflation plus élevée. D’autre part, le taux d’utilisation des capacités de production remonte depuis deux ans, à tel point qu’il est même supérieur à la moyenne dans certains secteurs, comme par exemple les biens d’équipement. Une tendance normalement inflationniste, mais qui ne se reflète pour l’instant pas dans les taux.
Il est bien une composante de l’inflation dont il est aujourd’hui difficile de tirer des conclusions ; il s’agit des salaires, inversement corrélés au taux de chômage. Ils ne bénéficient pourtant pas du repli de ce dernier. Pour mieux remonter plus tard ? Les prémisses d’une instauration d’un salaire minimum dans certains États / secteurs américains pourraient le laisser espérer.
Les conditions sont donc réunies pour une reprise de l’inflation aux États-Unis. D’autant plus que la condition ultime est elle aussi présente : l’assentiment de la Réserve fédérale. La priorité accordée au plein emploi pourrait la pousser à entendre les appels en faveur d’un seuil maximum d’inflation tolérée remonté à 4%.

CPR Asset Management
www.cpr-am.fr


#11 - 12H05

18 September 2014 - ECB allots €82.6 billion in first targeted longer-term refinancing operation

- Banks take up €82.6 billion in first of eight TLTROs
- Programme supports lending to the real economy
- Part of package of ECB measures that will have sizeable impact on ECB’s balance sheet

The European Central Bank has today allotted €82.6 billion to 255 counterparties in the first of eight targeted longer-term refinancing operations (TLTROs) to be conducted between September 2014 and June 2016. The programme is designed to enhance the functioning of the monetary policy transmission mechanism by supporting bank lending to the real economy.

In order to participate in the tender that was announced on 16 September, credit institutions had to express their interest and send completed reporting templates by 28 August. A total of 382 entities were eligible to bid in the first TLTRO, representing, either directly or indirectly, 1372 credit institutions. Additional counterparties that intend to participate in the second TLTRO in December will have to send completed reporting templates by 20 November 2014, 3.30 p.m. CET.

The second TLTRO, as previously communicated, will be announced on 9 December and allotted on 11 December.

In the first two tenders, banks and groups of banks are entitled to an initial borrowing allowance equal to 7% of the total amount of their loans to the euro area non-financial private sector, excluding loans to households for house purchase, outstanding on 30 April 2014. Therefore, eligible banks who have not reached their initial allowance limit in the first TLTRO will be able to increase their initial borrowing amount up to that limit in the second TLTRO.

Thereafter, banks will be able to apply for additional funding, depending on the evolution of their lending activities against a specific benchmark.

The TLTROs, first announced on 5 June, together with measures announced on 4 September related to the purchase of non-financial private sector assets, will have a sizeable impact on the ECB’s balance sheet.

The European Central Bank


#10 - 12H00

Scotland Decides its Future, Alibaba Shares to be Priced

It’s decision time for Scotland, with today’s referendum set to determine whether the country will remain in the UK or establish (or re-establish) itself as an independent state. In the past couple of weeks as the polls have narrowed and an independent Scotland has become a real possibility, markets have had to face up to some tough questions. Will a separate Scottish state be able to keep the pound? Will an independent Scotland pay its share of UK debt? Will some of Scotland’s largest companies move their base of operations south in the event of the country leaving the UK, as they have warned?

So far today the FTSE is up by around 0.4%, whilst Sterling is up against all major currencies. Whether this will continue to be the case after the first round of exit polls remains to be seen.

In other news, Alibaba shares are due to be priced this evening, with the e-commerce titan making its debut on the New York Stock Exchange tomorrow morning. If fully subscribed, the firm will break the record for the largest IPO in history. However, despite its launch on the NYSE, as a non-USA firm Alibaba will not be subsequently added to the S&P500.

The Dow and S&P both closed up yesterday, the former by 0.15% and the latter by 0.13%, with the Federal Reserve once again announcing an intention to keep rates low ‘for a considerable time’. As things stand, the Fed is due to end its bond-buying programme next month after a further $10 billion reduction in September.

Daniel Sugarman
Market Strategist
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk


#9 - 11H30

Commerce extérieur : avec la Chine, c'est le moment de se mettre au Renminbi !

Si il existe encore des entreprises françaises qui ont des courants d'affaires avec la Chine qui n'ont pas encore réfléchi à l'utilisation du renminbi (RMB), il ne faudrait pas qu'elles tardent trop : l'utilisation de la monnaie chinoise dans les transactions franco-chinoises, à l'import comme à l'export, ne cesse de croître, et elle devrait poursuivre son expansion avec les dernières étapes que viennent de franchir Paris et Pékin.
Deux annonces ont marqué en effet la visite à Paris, cette semaine, du vice-premier ministre chinois Ma Kai, dans le cadre de la deuxième édition du "dialogue économique et financier de haut niveau" entre la France et la Chine.
La première annonce concerne les investisseurs institutionnels : les deux premiers établissements financiers français -BNP Paribas et Carmignac- ont ainsi été autorisés à investir directement en Chine en RMB sur les marchés d'actions et d'obligations dans le cadre d'un quota supérieur aux 80 milliards de RMB (10 milliards d'euros environ) accordé en mars dernier par les autorités chinoises dans le cadre de la visite en France du président Xi Jinping.
La deuxième annonce concerne le renforcement de l'installation de Bank of China à Paris, qui a été désignée comme "banque de réglement" en RMB en France. La succursale parisienne de la banque chinoise va pouvoir compter sur les 2 milliards de RMB (250 millions d'euros environ) d'emprunt obligataire levés sur le marché Euronext cet été par sa maison mère.

Lire la suite :
http://www.lemoci.com/011-73907-Commerce-exterieur-avec-la-Chine-c-est-le-moment-de-se-mettre-au-Renminbi.html

#8 - 11H20

Oxford Economics: Early,Fast Tightening Wouldn't Spark Recession

By Brai Odion-Esene.

There are numerous perils for U.S. growth and the financial markets should the Federal Reserve raise interest rates sooner and at a faster pace than many currently predict, but the economy would not slide back into a recession, according to a research paper by Oxford Economics.

While their forecast is for the Fed's policymaking Federal Open Market Committee to hold off until June 2015 before announcing the first increase in the federal funds rate, the paper sought to assess the impact of an earlier and more rapid rate lift-off.

"The Fed could engineer a 1994 re-do and start the rate lift-off earlier and faster than anticipated," Kathy Bostjancic, director of U.S. Macro Investor Services for the think-tank - and author of the report - told MNI.

"The financial markets would be very vulnerable to such moves since they have been pricing in even a slower rate adjustment than the median forecasts provided by Fed officials," she said, adding that the market performance would be reminiscent of 1994 "when the rapid pace of Fed tightening surprised the markets."

The research paper underlines the multiple minefields that the FOMC, which meets Tuesday and Wednesday, has to navigate as it ponders the appropriate time to begin tightening monetary policy - and how to effectively communicate its thinking to investors.

"Premature and rapid Fed tightening in monetary policy, including some moderate reduction in the balance sheet would have broad negative consequences on the U.S. economy and the bond and stock markets," was Oxford Economics' conclusion, although "the faster tightening would not push the U.S. economy back into recession or trigger a bear market."

The spark that would set off a faster pace of rate increases would likely be an intensifying and broadening of wage pressures which feeds into inflation, the paper opined, leading to concerns that the Fed is falling behind the curve on inflation. "Additionally, Fed officials become increasingly concerned that the pockets of asset bubbles are deepening and expanding," it said.

It highlighted data that are already show building wage pressures, such as in the National Federal of Independent Businesses Small Business Optimism survey, and Oxford Economics own unemployment rate gap measures that suggest "there is no slack remaining in the short-term unemployed cohort."

The impact on the economy from the rise in long-term rates would include less business investment, slower housing market activity, tighter credit conditions and an unemployment rate that remains stranded above 6%. The recovery would falter and remain the 2% to 2.5% growth range, it added.

Given that a faster pace of rate hikes would materially slow economic growth, which goes against the Fed's maximum employment mandate, "similar to the 1994-95 experience, it is unlikely that the FOMC would keep pushing the funds rate higher throughout 2016," the paper said.

"Instead, odds are the FOMC would stop and possibly even need to ease rates as it did in mid-1995, as the economy decelerates back to a sluggish 2% rate," the report added.

On the market side, the negative impact on long-term bond prices from unexpected rapid policy tightening would "more than offset" the positive impact from foreign capital inflows stemming from flight-to-safety investors, divergent monetary policy outlooks for Europe and Japan, and a stronger dollar, Oxford Economics said.

"We also anticipate that an early announcement and subsequently larger Fed rate hikes than expected would place renewed pressure on emerging markets as long-term borrowing rates jump and lead to further macroeconomic weakness in the most vulnerable emerging market economies," it added.

As a result, Oxford Economics sees a probability of 35% that the FOMC could start to raise rates in the first quarter of next year instead of Q2 2015, and assigns a lower 15% likelihood that the FOMC would ultimately push the funds rate up to 3% by 2016.

Throughout all this, the paper makes clear how important the Fed's communication and management of market expectations will be.

"In the near-term removing or altering even the near-term forward guidance could prompt another 'taper tantrum' if the Fed miscommunicates to the markets. A bigger risk stems from the possibility that the Fed needs to re-calibrate rates higher and faster than market expects," the think-tank said.

On the other hand, "If the FOMC finds an artful and benign way to alter the near-term guidance, there might not be further negative market reaction," it said.

This will especially be the case if the FOMC's long-tem forward guidance - the part where it says the fed funds rate will likely need to remain below normal in the longer run - is left unchanged.

"However, if the FOMC blunders or actively alters the guidance to be much more hawkish, then a repeat bond market 'taper tantrum' could result, which would send long-term rates soaring higher and equity markets lower," Oxford Economics warned.

MNI Washington Bureau
www.mni-news.com


#7 - 11H15

Commerce mondial : pas d'accélération de croissance avant 2016 (HSBC)

Après deux années de croissance molle en 2012 et 2013, le commerce mondial de marchandises (en valeur) devrait croître à un rythme soutenu pour passer de 2,5 %, taux atteint l'an dernier, à environ 8 % d'ici 2016, a rapporté la banque HSBC, le 16 septembre, dans son rapport semestriel "HSBC Global Connections" qui analyse les échanges bilatéraux de biens et de marchandises de 25 pays*.

Lire la suite :
http://www.hsbc.com/news-and-insight/2014/global-exports-to-gather-pace


#6 - 11H00

ING IM :"Braveheart" - Global Strategy - Revue hebdomadaire Houseview

Économie – par Willem Verhagen et Maarten-jan Bakkum
- Le secteur des entreprises japonaises continue de soutenir le momentum de croissance. A l’horizon : un plus grand assouplissement dans la politique de la BOJ
- Mauvais chiffres en Chine

Allocation d’actifs – Par valentijn van nieuwenhuijzen
- Le contexte fondamental reste un facteur de soutien pour les actifs risqués, mais les données comportementales et le risque « événement » à court terme mérite une certaine prudence
- Nous avons rétrogradé les matières premières et le secteur immobilier à neutre. Nous avons parallèlement réduit notre position sur les actions et sommes passés d’une surpondération moyenne à faible

Stratégie obligataire – par Koen Straetmans
- Nous surpondérons les taux locaux de la dette des marchés émergents mais sous-pondérons les devises des marchés émergents et la dette corporate des marchés émergents en devises fortes

Stratégie Actions – par Maarten-jan Bakkum
- Les mauvais chiffres en Chine et la hausse du rendement des obligations américaines justifient une position plus prudente à l’encontre des actifs des marchés émergents
- La pression exercée sur la croissance des marchés émergents fait croître la nécessité de réformes
- La thématique des réformes est présente au Mexique, en Inde, en Thaïlande, en Egypte, en Indonésie et au Brésil

Immobilier – par PATRICK MOONEN
- L’incertitude pesant sur les taux conduit à des prises de profit. Nous rétrogradons cette classe d’actifs à neutre
- Le deuxième stade de la performance devrait provenir d’une croissance des attentes sur la croissance nominale

Matières premières – par Koen Straetmans
- Un dollar US plus fort pèse sur les prix des matières premières, mais pour les investisseurs en euro, cette appréciation à la hausse du dollar US compense le déclin sur les prix

Devises – par Jaco Rouw et Thede Rust
- Incertitude sur la livre sterling à la veille du référendum écossais

Retrouvez ci-dessous en intégralité la revue hebdomadaire « Houseview Global Strategy » d’ING Investment Management (version anglaise - PDF de 13 pages).
http://www.finyear.com/docs/Houseview%2017%20septembre%202014.pdf

ING Investment Management France

#5 - 10H45

« Draghinomics »

Par Valentijn van Nieuwenhuijzen, Directeur de la Stratégie Monde, ING Investment Management.

Les événements de la semaine écoulée ont prouvé une fois de plus que les certitudes n’existent pas sur les marchés financiers mondiaux. Alors que certains investisseurs étaient en proie au doute après les commentaires de Mario Draghi lors du symposium de Jackson Hole du mois passé, la BCE est parvenue à surprendre les marchés dans le sens positif. La devise a surtout réagi vivement au nouvel assouplissement de la politique monétaire. Pour les marchés, l’essentiel est probablement que les paroles (de Draghi) ont été suivies par des actes (de la BCE).

Ce qui importe, c’est que cette intervention reflète la volonté des responsables de la BCE de “faire tout ce qui s’avérera nécessaire”, ce qui alimente les espérances tant d’une reprise cyclique que d’un assouplissement quantitatif. En outre, ceci permet de rêver à une version européenne du changement de cap politique qui a eu lieu au Japon en 2012 et que l’on surnomme l’Abenomics (d’après Shinzō Abe, le premier ministre japonais élu à l’époque). Un tel changement de cap serait susceptible d’entraîner une hausse des prix des actifs européens encore plus significative que ce à quoi nous avons assisté depuis l’apogée de la crise de l’euro.

Le discours exaltant de Mario Draghi à Jackson Hole a en effet fait allusion à un ajustement de la politique européenne de plus grande envergure. Il n’a pas seulement souligné que l’érosion des attentes inflationnistes justifiait un nouvel assouplissement de la politique monétaire, mais a aussi insisté sur la nécessité d’une politique de stimulation plus globale et d’une série de réformes visant un équilibre entre le soutien de la demande à court terme (via des mesures tant budgétaires que monétaires) et l’amélioration du potentiel de croissance à long terme de l’économie.

En soulignant par ailleurs que le risque d’en faire trop peu est plus élevé que le risque d’en faire trop, le message du président de la BCE semble très similaire à celui du premier ministre japonais Shinzō Abe au niveau tant de son urgence que de son contenu. Il reste cependant à voir si le Draghinomics aura un impact sur les prix des actifs européens comparable à celui que l’Abenomics a eu sur les prix des actifs japonais. La pensée progressive de Draghi semble en tout cas avoir déjà eu une certaine influence sur les marchés puisque les rendements obligataires et l’euro ont baissé et que les cours des actions ont augmenté ces dernières semaines.

Il convient toutefois de ne pas perdre de vue que les mouvements enregistrés jusqu’à présent sont bien plus limités que ce à quoi on a assisté au Japon au début de l’Abenomics. L’euro ne s’est ainsi déprécié que de 4% en termes pondérés par le commerce par rapport à son sommet de l’année, tandis que le yen japonais avait dégringolé de près de 25% après le changement de cap de la politique en 2013. Il est cependant encore trop tôt pour pouvoir juger de l’impact du Draghinomics étant donné qu’au Japon, il avait fallu 4 à 5 mois pour que l’effet sur les cours des obligations, des actions et de la devise se fasse pleinement sentir. Les obstacles politiques à certaines idées de Mario Draghi restent substantiels de sorte qu’une répétition du scénario japonais en Europe ne semble pas pour demain, mais des pas supplémentaires dans la direction d’une relance plus progressive ne sont pas exclus.

ING Investment Management.


#4 - 10H00

INSEE : En août 2014, le prix du pétrole baisse nettement

Prix du pétrole et des matières premières importées – Août 2014.

En août 2014, le prix du pétrole baisse nettement (-3,3 %), pour s’établir à 76,6 € en moyenne par baril de Brent. Les prix en euros des matières premières importées hors énergie augmentent (+1,1 %), portés par la hausse des cours des matières premières industrielles (+1,4 %).

Nette baisse du prix du pétrole
En août, le prix du baril de pétrole de la mer du Nord (Brent) en dollars continue de décroître (-4,7 % après –4,3 %). En euros, le prix du Brent baisse moins fortement (-3,3 % après -3,7 %). La production de pétrole non conventionnel américain continue de peser sur les cours tandis que les tensions géopolitiques semblent avoir peu d’impact sur le prix du baril.

Les prix des matières premières industrielles décélèrent
En août, les prix en euros des matières premières industrielles augmentent moins qu’en juillet (+1,4 % après +4,8 %). Les prix des matières premières agro-industrielles suivent le même profil (+2,1 % après +3,0 %), du fait des prix des bois sciés de conifères (+4,5 % après +9,2 %) ainsi que de ceux de la pâte à papier (+1,7 % après +0,9 %). Ces hausses sont pour partie compensées par la diminution des prix des bois sciés tropicaux (-0,7 % après +1,7 %).

Les prix des matières premières minérales décélèrent (+1,2 % après +5,5 %). Le cours du minerai de fer diminue nettement (-2,1 % après +4,3 %), en raison d’une hausse de l’offre du Brésil et de l’Australie et d’une demande en perte de vitesse. Les cours des métaux non ferreux ralentissent (+2,0 % après +5,8 %), du fait de la détérioration des prix du cuivre (–0,1 % après +5,0 %), et de la chute du prix du titane (-7,7 % après +3,0 %). Les prix de l’or décélèrent (+0,3 % après +3,0 %). Le cours de l’argent (-4,0 % après +6,5 %), et des métaux précieux (–0,6 % après +4,4 %) fléchissent. En revanche, les prix du palladium augmentent (+5,5 % après +4,0 %), en lien avec les tensions géopolitiques en l’Ukraine.

Les prix des matières premières alimentaires se redressent légèrement
En août, les prix en euros des matières premières alimentaires se redressent légèrement (+0,6 % après –1,6 %), du fait d’une hausse des prix des oléagineux (+4,8 % après -9,9 %). Les cours des denrées tropicales sont plus dynamiques (+4,6 % après +2,0 %), notamment ceux de l’arabica (+11,2 % après +0,4 %), en lien avec la crainte d’une chute de la production brésilienne après une sécheresse historique.

Lire la suite :
http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=79&date=20140917


#3 - 9H35

UBS daily roundup - Afore ye go?


Paul Donovan daily briefing.

• Tartan tracking – final Scottish polls showed a small margin for the unionist "no" vote; the difference is too small to be certain. Post a "yes" vote the 'Scottish sort code scramble' would be the first concern; bank depositors try to find out where their money is domiciled (and move it). The Bank of England would delay tightening.

• A clear "no" vote could impact the 2015 General Election, and through that the possibility of an EU referendum. The Bank of England would not delay tightening. A Québécois scenario of a narrow "no" / possible future referendum would add risk to the Scottish economy, which could impact BoE timing.

• In the real world, the US Fed did largely what we expected, keeping key parts of the prose of the statement intact. The point chart, the most misinterpreted use of punctuation marks in modern time, did get some investors excited about tightening. Details of how to manage the balance sheet were revealed.

• Chinese house price growth slowed again. It is worth remembering that most Chinese do not have mortgages, so the main economic consequence of this should be viewed though the impact on construction. Japan's trade deficit was still a deficit, but a smaller deficit than feared.

www.ubs.com/investmentbank


#2 - 9H30

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading little changed this morning in the aftermath of yesterday’s evening FOMC announcements which overall delivered a mix bag.

While initially the market was cheering that the Fed hadn’t removed the phrase not to raise rates ‘for a considerable time’ shares receded quickly afterwards when the announcement was made that central bankers are forecasting rates to rise at a quicker pace than their previous estimate.
Still overall not much has changed what US interest rates are concerned and with the Fed out of the way focus is expected to swiftly turn towards the Scottish independence referendum taking place today.

No doubt there has been plenty written and said by different politicians regarding the implications of a potential ‘Yes’ vote would have on Scotland and the UK.
Consequently should the ‘Yes’ win, uncertainty is likely to take hold at first which in turn should drag UK stocks lower once more.
However once the initial ‘shock’ wears off a bit the logical thing to do for the sake of Scotland and the UK as a whole would be that all sides work together to make the transition as smooth as possible. It would certainly be in the interest of Downing Street too that their ‘new’ neighbour with whom they are sharing a land border is stable and prospers in the years ahead.
Markets overall are expected to be range-bound awaiting the outcome of the referendum however should the latest opinion polls which gave the edge to the ‘No’ vote are being confirmed by snap polls taking place throughout the day of people who are coming out of the polling booths shares will like go into rally-mode rather sooner than later.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


#1 - 9H00

Les marchés rassurés par la FED avant le référendum écossais

Marchés actions
Pour la troisième séance de la semaine, l’indice phare parisien a réussi à clôturer en territoire positif. En effet, les investisseurs ont porté le CAC 40 à 4 431,41 points, soit un mieux de 0,50% dans un volume d’échanges de 2,9 milliards d’euros. Pour la journée d’hier, l’attentisme des opérateurs de marché quant à la conclusion de la réunion de la Fed, a permis aux principaux indices européens d’afficher une clôture dans le vert. Ainsi, Francfort et l’Eurostoxx gagnent respectivement 0,30% et 0,49%.Pour ce matin, les bourses européennes devraient ouvrir en hausse profitant de l’appétit pour le risque des investisseurs, suite au discours de la Fed.

Malgré la grève qui est en train de se durcir, la société Air France a réussi à terminer la séance à 8,28€ soit, + 3,60% de plus par rapport à sa clôture de la veille. On note aussi la belle appréciation de la société Eramet qui s’adjuge à sa clôture à 88,92€, soit un mieux de +10,53%.

A l’instar des marchés européens, les principaux indices américains ont également terminé dans le vert. Les investisseurs ont été notamment rassurés quant au discours très attendu de la Fed qui s’est révélé encourageant. En effet, la présidente de la Fed, Janet Yellen a maintenu le cap d’une politique monétaire accommandante et cela, pour une « durée considérable ». Cependant, lors du discours, les prévisions de croissance ont été revues à la baisse.

Hier, les investisseurs ont également porté leur attention sur des statistiques économiques américaines. Tout d’abord, l’indice de confiance des promoteurs et investisseurs, l’indice NAHB, affiche une progression à 59 points au lieu des 56 points pressentis par les analystes. Par ailleurs, pour le mois d’août, les prix à la consommation US reculent de 0,2%. L’indice Dow Jones affiche un mieux de 0,15% à sa clôture à 17 159,85 points, soit un niveau jamais connu en clôture. Le Nasdaq Composite en terminant la séance à 4 562,19 points, gagne 0,21%. Le trend haussier s’est également vérifié auprès des marchés asiatiques qui ont profité de l’optimisme des opérateurs de marché suite au compte rendu de la Fed. L’indice Nikkei s’apprécie de 1,13% à 16 067,57 points et le Topix gagne 0,99% à 1 317,91 points.

Forex
Sur le marché du Forex, le dollar est revenu à des niveaux jamais vus depuis l’effondrement de Lehman Brothers Holdings Inc., et a évolué à la hausse face à l’ensemble de ses contreparties.

La réunion du comité de politique monétaire (FOMC) a en effet annoncé hier que les taux d’intérêts américains pourraient finalement être relevés à 1,375% à la fin de l’année 2015. Janet Yellen, présidente de la FED, a par ailleurs maintenu la fin du programme de rachat d’actifs initialement prévu en Octobre. Elle s’est également engagé à maintenir les taux d’intérêts proche de zéro pour un certain temps après la fin de ce programme, jouant sur le fait que l’économie américaine est en expansion à un rythme modéré et que le niveau d’inflation est inférieur à l’objectif qu’elle s’était fixé. Le rachat mensuel d’obligations sera donc de 15 milliards de dollars.

En Europe, la monnaie unique a touché un plus bas depuis Juillet 2013 face au billet vert, marquée par la décision de la FED, et une BCE en pleine préparation de son attribution de fonds pour ses opérations de refinancement. L’Euro avait profité hier de bons chiffres en fin de matinée, ce qui lui avait permis de gagner quelques pips face au dollar en fin de matinée, mais le cours de la paire phare du marché du Forex s’est vite retourné, à mesure que l’issue de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) approchait.

La devise européenne a finalement abandonné 145 pips, venant rebondir sur le support à $1,2835 dans un marché très volatile. Le cross EUR/USD évolue en légère hausse ce matin, s’échangeant aux encablures des $1,2873 pour un euro. Les cambistes pourront suivre demain, l’indice des prix à la production en Allemagne, attendu une fois de plus en baisse. La monnaie unique pourrait donc subir une nouvelle fois les inquiétudes visant la bonne tenue de l’économie allemande. Outre-Manche, la devise britannique se maintient en hausse face à l’euro et au dollar, dans l’attente du résultat du référendum écossais. Ce dernier scellera l’avenir d’une union politique vieille de 300 ans et publiera ses résultats demain, en début de matinée. Le cross EUR/GBP s’échange ce matin aux alentours des £0,7904 pour un euro, alors que le cable côtait à $1,6289 pour une livre.

En Asie, la devise nippone continue de perdre du terrain face à ses principales contreparties. Dans un trend baissier, le cross EURJPY a continué de s’apprécier, s’échangeant ce matin aux encablures des 139,93 yens pour un euro, après avoir échoué à la cassure du niveau de résistance à 140 yens. Face au billet vert, le yen a bien évidemment pâtit des décisions de la FED hier soir, s’échangeant à 108,67 yens pour un dollar. Un dollar fort n’est cependant pas forcément mauvais pour l’économie japonaise, qui compte bien maintenir sa relance monétaire pour atteindre son objectif de 2% d’inflation. Cette mesure avait été prise par le gouverneur de la BoJ, Haruhiko Kuroda, le 16 septembre à Osaka. Les cambistes pourront suivre son intervention à la Convention nationale des valeurs mobilières de l’industrie à Tokyo.

En Amérique du Sud, le réal brésilien a abandonné hier 1,1% à 2,3579 pour un dollar. En effet, plusieurs devises des marchés émergents ont perdu du terrain face au billet vert, pâtissant du relèvement des prévisions pour les taux d’intérêt américains à la fin de l’année 2015 prononcé par la Réserve fédérale.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, le WTI souffre pour la deuxième journée suite à une publication de l’Energy Information Administration qui montre que les stocks de brut ont augmenté pour la première fois au cours des cinq dernières semaines aux Etats-Unis. En effet, les stocks de brut ont progressé de 3.67 millions de barils pour atteindre 362.3 millions la semaine dernière. La production de brut a, de son côté, atteint son plus haut niveau pour cette période de l’année. Les stocks d’essence ont reculé de 1.6 millions de barils à 210.7 millions la semaine dernière alors que les stocks de produits distillés dont font partis le diesel et le fioul domestique, ont progressé pour la quatrième semaine consécutive de 279 000 barils pour atteindre 127.8 millions.

Ce matin vers 8h, le WTI s’échangeait aux alentours des 93.90$ le baril, soit une perte de 0.55%, tout comme le Brent qui cédait 0.58% à 98.40$.

Du côté des métaux précieux, l’or a atteint son plus bas niveau depuis le début de l’année suite au discours de la FED, effaçant donc les gains engrangés suite aux différents crises et tensions géopolitiques à travers le monde notamment. La FED a une nouvelle fois diminué son programme mensuel de rachat d’obligations et devrait pour le terminer le mois prochain. Cependant les investisseurs ont semblé surpris du maintien du discours de la FED concernant sa politique monétaire qui devrait rester « ultra-accommodante pour une durée considérable », bien que le relèvement des taux d’intérêts pourrait s’accélérer un peu plus vite que prévu. Ce matin le métal jaune s’échange aux alentours des 1 223.67$. Dans le sillage de l’or, l’argent a chuté également hier de près de 1% pour atteindre 18.50$

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

14 septembre 2014

Principales tendances ressortant des statistiques internationales BRI.

En collaboration avec des banques centrales et autorités monétaires du monde entier, la BRI compile et diffuse plusieurs séries de statistiques sur l'activité financière internationale. Le présent chapitre analyse les dernières données disponibles pour le marché bancaire international, à savoir celles de fin mars 2014, et, pour le marché international des titres de dette, celles de fin juin 2014.

Le premier trimestre 2014 a vu s'achever la phase de contraction que traversait l'activité bancaire internationale depuis la fin 2011. Entre fin décembre 2013 et fin mars 2014, les créances transfrontières des banques déclarantes BRI ont en effet enregistré une hausse de 580 milliards de dollars. Si elle n'a pas suffi à compenser les baisses trimestrielles antérieures, cette progression a néanmoins fait reculer le rythme annuel de contraction, le ramenant de -4,0 % fin décembre 2013 à -2,0 % fin mars 2014.

Les créances transfrontières des banques déclarantes BRI ont augmenté tant sur les économies avancées que sur les économies de marché émergentes. Parmi les économies émergentes, ce sont les créances sur les emprunteurs de Chine qui ont le plus augmenté, dépassant 1 000 milliards de dollars à fin mars 2014. Les créances sur le reste de l'Asie, l'Amérique Latine, et l'Afrique et le Moyen-Orient ont progressé également, quoiqu'à un rythme plus modéré. Les créances sur l'Europe émergente ont, quant à elles, baissé pour le quatrième trimestre consécutif.

Les titres de dette internationaux récemment émis par les entreprises des économies émergentes ont une durée moyenne plus longue. Cette évolution atténue le risque de refinancement, mais elle a aussi pour effet de rendre le prix des obligations plus sensible aux variations des rendements. Bien que les acteurs institutionnels, comme d'autres investisseurs obligataires, recourent rarement à l'effet de levier, voire pas du tout, ils pourraient toutefois être tentés de se comporter comme si c'était le cas, face à une indexation généralisée ou à des critères de performance relative, ou encore s'ils appliquent une stratégie de couverture dynamique pour compenser les pertes sur ventes d'options, ou d'autres méthodes de stimulation des rendements. Le risque est qu'ils se trouvent contraints de vendre sur un marché orienté à la baisse, ce qui pourrait pénaliser lourdement l'économie en freinant la croissance et en durcissant les conditions financières.

Pour aller plus loin (rapport de 8 pages en français) :
www.bis.org/publ/qtrpdf/r_qt1409b_fr.pdf


Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Azulis Capital organise une opération de capital transmission sur CEME 17/09/2014
- Wizbii boucle une levée de fonds de 1,6 M€ 17/09/2014
- 1000mercis prend une participation de 20% au capital d’Albatross Global Solutions pour 4,5 M€ 17/09/2014
- Exclusive Networks s’implante en Asie-Pacifique avec l’acquisition du VAD WhiteGold Solutions 17/09/2014
- Welcome Real-time passe dans le giron du britannique Collinson Group 17/09/2014
- Bpifrance et CM-CIC Capital Innovation participent à la levée de fonds de 15 M€ de Vi TECHNOLOGY, aux côtés de l’actionnaire historique 17/09/2014
- Ecritel met la main sur Stockho Hosting 17/09/2014
- NCI Gestion soutient Terbati dans la reprise d’Eclanet 17/09/2014
- Havas se renforce en Suède et en Irlande avec l’intégration de Bizkit Wisely AB et GT Media 17/09/2014
- NiXEN annonce une prise de participation majoritaire dans le groupe weave 17/09/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR

Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

Au deuxième trimestre 2014, l’indice des loyers commerciaux est stable sur un an

Indice des loyers commerciaux - Deuxième trimestre 2014

Au deuxième trimestre 2014, l’indice des loyers commerciaux s’établit à 108,50. Sur un an, il est stable.
L’article 47 de la loi de modernisation de l’économie (n° 2008-776) du 4 août 2008 instaure l’indice des loyers commerciaux (ILC).
Le décret n° 2008-1139 du 4 novembre 2008 définit les activités concernées ainsi que les modalités de calcul et de publication de cet indice.

Selon la Loi 2014-626 du 18 juin 2014 (article 9) qui modifie l'article L145-34 du Code de commerce, deux indices peuvent être utilisés pour la révision des baux professionnels :
- l'indice des loyers commerciaux pour les activités commerciales ou artisanales ;
- l'indice des loyers des activités tertiaires pour les activités tertiaires autres que commerciales.

Suite : http://www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=104&date=20140912


DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 18 Septembre 2014




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