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FY Daily Briefings - 16 juillet 2014 (#10 - 16H00)

Économie, marchés, actions, devises, matières premières, deals du jour : Finyear, votre quotidien de l'exercice financier, vous offre, dès le matin et tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel.


Marchés, actions, forex, matières premières : commentaires du jour

FY Daily Briefings - 16 juillet 2014 (#10 - 16H00)
#10 - 16H00

Intel, BoA and BlackRock Earnings Results, Sainsbury's to Relaunch Netto

After statements that shareholders in Banco Espirito Santo are willing to inject more capital after a second affiliate failed to repay short-term debt – shares in the Portuguese lender subsequently rose. As a result of easing worries regarding BES, Portugal managed to comfortably sell EUR1.25bn of six and 12-month bills which caused the country's 10-year benchmark bond to fall by another 7 basis points to 3.71% - to many, that suggests that investors remain positive on Portugal’s outlook and are seeing this latest crisis for BES as a stumbling block, not a trigger for a sovereign default.

As the US session kicks off, traders are not only eyeing Janet Yellen’s continuing testimony to Congress but also absorbing the deluge of earnings out so far with better than anticipated results overnight from Intel. Expectations had been for 52 cents per share on $13.69 billion in revenue, but the company reported earnings of 55 cents per share on $13.83 billion in revenue.

Meanwhile, Bank of America’s second-quarter profit slumped by 43%, weighed down by legal charges and a slump in the mortgage business. However, BlackRock’s second-quarter profit and revenue jumped as assets under management surged to $4.6 trillion at the end of June. eBay’s figures are expected after the US closing bell today.

In UK consumer news, Sainsbury’s has announced plans to relaunch discount chain Netto. With the big four UK supermarket chains (Tesco, Asda, Sainsburys and Morrisons) losing market share to chains like Aldi and Lidl, Sainsbury’s will be hoping that bringing Netto back to the high street will help them to hold their own against encroachments from discount stores.

Ishaq Siddiqi
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk

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#9 - 15H00

ECB Coeure: Diverging MonPol Should Weigh On Euro Over Time

European Central Bank Executive Board member Benoit Coeure said Wednesday that diverging monetary policies between the euro area and other major central banks should weigh on the euro over time.

Presenting the ECB's annual report on the International Role of the Euro in Frankfurt, Coeure suggested that capital inflows that had been partially responsible for the currency's rise should have passed their peaks.

"Given low inflation today in Europe still being far away from our target of price stability, there is a view on the Governing Council that rates will stay low for an extended period of time," he said.

Other major central banks, such as the US Federal Reserve and the Bank of England, have entered a phase of the normalization that will lead to a divergence of monetary policy "which over time will weigh on the exchange rate," he added.

The euro's rise had been in part driven by increased capital inflows in the currency area amid an "environment of improving market sentiment towards towards the euro area," the ECB report said.

"In particular, international investors' interest in euro area securities, which are mostly denominated in euro, grew markedly over the course of the year," the ECB said adding that foreign demand for euro area portfolio investments (debt securities and equities) reached its strongest level since the onset of the financial crisis in 2007.

MNI Frankfurt Bureau
MNI is a wholly owned subsidiary of Deutsche Boerse Group
www.mni-news.com

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#8 - 14H00

Bourse Indienne : un potentiel de hausse encore important malgré les gains récents, soutenu par le premier budget du gouvernement Modi

Le nouveau gouvernement indien a présenté son premier budget la semaine dernière. Il ne s’agit pas seulement de grandes annonces, même les plus petites, qui sont généralement passées sous silence car négatives, sont cette fois positives.

Par Avinash Vazirani, gérant du fonds Jupiter India Select chez Jupiter Asset Management.

Étonnamment, même les annonces en petits caractères sont positives.

Le premier budget du nouveau gouvernement est, selon nous, extrêmement positif. Jusqu’à présent, on nous avait habitués à nous jeter de la poudre aux yeux avec de grandes annonces très séduisantes pour mieux passer sous silence les annonces un peu moins reluisantes. Cette fois, les plus petites sont elles aussi impressionnantes et nous sommes très optimistes quant à ce que le Ministre des Finances essaye de mettre en place. Selon nous, l’engagement le plus remarquable est d’avoir conserver un objectif de déficit budgétaire de 4.1%. Le gouvernement aurait pu vouloir conserver une marge de manœuvre pour le reste de l’année en abaissant cet objectif à 4.4% voire à 4.5%, mais le fait qu’il reste campé sur ses positions est une déclaration d’intention vraiment significative. Pour nous, cela veut dire que le gouvernement va continuer à brider ses émissions, ce qui est une bonne nouvelle pour les taux d’intérêts à moyen terme. Selon nous, le marché est un peu lent à réagir sur ce sujet, mais un examen plus minutieux des implications de cette annonce en temps utile révèlera à quel point cela est positif.

Les annonces relatives aux ménages sont particulièrement encourageantes, car elles démontrent une détermination à rompre avec l’habitude de dépendre du soutien financier de l’Etat. A la place, le plafond de l’exonération fiscale de l’épargne a été fortement relevé, de même que les intérêts déductibles des prêts immobiliers. La combinaison de ces deux éléments permet de réduire de 1% les taux immobiliers. Selon nous, cela devrait avoir des répercussions très positives sur les secteurs de la construction, du ciment et sur les industries connexes.

Toujours pas de calendrier pour la GST

Sans doute la plus grosse déception de ce budget est liée à l’instauration de la taxe sur les biens et services (GST pour goods and services tax) dans tous les états. Le gouvernement s’était engagé à faire passer cette loi mais nous sommes toujours en attente de clarification sur le calendrier. La question des subventions a été largement esquivée, du moins les détails de celles-ci, mais cela est peut-être dû au fait que la mousson a été faible. Le gouvernement ne peut pas se permettre d’être celui qui réduira les fonds alloués à des programmes comme celui du National Rural Employment Guarantee Act à un moment où les perspectives pour la population pauvre et rurale du pays sont potentiellement sombres.

Une hausse possible des marchés malgré les gains récents

Avec des valorisations à peine au dessus de la moyenne sur 10 ans, une économie au point bas de son cycle actuel et un arsenal impressionnant de mesures positives dues à ce nouveau gouvernement et à son budget, il y a selon nous un potentiel de hausse important sur le marché des actions indiennes à moyen et long termes et ce, en dépit des gains importants déjà réalisés cette année. Les bénéfices devraient augmenter, les fonds internationaux sont relativement sous investis sur l’Inde et une étude récemment publiée par la Bank of India montrait que les actifs financiers domestiques n’ont pas représenté depuis 1969 un aussi faible pourcentage de l’épargne totale des ménages. Nous pensons que le fonds est bien positionné pour profiter de tous les changements induits par ce budget, qui devrait soutenir efficacement l’investissement en Inde dans les mois à venir.

www.jupiteronline.com

A propos de Jupiter
Créée en 1985, Jupiter s’est imposée au Royaume-Uni comme l’une des sociétés de gestion les plus performantes. Depuis plus de 20 ans, son approche repose sur un concept simple : essayer d’offrir la meilleure performance possible aux investisseurs sur le moyen et le long terme sans les exposer à des risques inutiles. C’est sur la génération d’alpha à travers une gestion résolument active de ses fonds que Jupiter, société de gestion indépendante, a construit son succès. La société de gestion emploie 481 collaborateurs et son encours global s’élève à 39.1 Mds d’euros au 31/03/14. Jupiter est coté depuis juin 2010 à la Bourse de Londres.

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#7 - 11H15

China GDP Rises, UK Unemployment Levels Beat Drop Forecast

European stock markets rose after upbeat comments on the US economy by Federal Reserve chairwoman Janet Yellen and better than expected GDP figures out of China, hitting government growth targets. The Stoxx Europe 600 Index rose 0.5% while the FTSE100 up 0.6% and the DAX up around 0.5%.

Overnight in Asia, the Shanghai Composite fell 0.2% but Hong Kong’s Hang Seng rose after government data showed China’s economy accelerated from an annual pace of 7.4% in the first quarter to 7.5% in Q2, as policy measures take effect in the world’s second largest economy.

The 7.5% level is the target at which Chinese policy makers are comfortable with growth, which could indicate that the central bank there may refrain from adding further stimulus measures in the near-term.

Other data overnight showed Chinese bank loans and other forms of credit grew at their fastest pace for three months in June. Elsewhere, Chinese industrial output climbed from 8.8% to 9.2%, beating forecasts and hitting a 2014 high. On the downside, the pace of retail sales slowed from 12.5% to 12.4%, which fell short of market expectations.

In the US on Tuesday, Fed head Yellen kicked off her testimony to US lawmakers, keeping a generally dovish tone but stressing that "considerable uncertainty" over the outlook for the US economy would make it difficult to pinpoint the timing of future interest rate rises.

At the same time, she also warned that the performance of momentum of some tech and bio-tech stocks appear to be stretched which could cause some volatility in both sectors – today Yellen continues to give testimony on Capitol Hill.

Over in Portugal, the central bank there said shareholders in Banco Espirito Santo are willing to inject more capital after a second affiliate failed to repay short-term debt – shares in the lender rose as such. Looking ahead, we have more corporate earnings out of the US with numbers from Bank of America, BlackRock and eBay.

We also have US industrial production and MBA mortgage applications data. Out in the UK already, labour data showed the UK's headline rate of unemployment moved lower again to 6.5% in the three months ended in May, down from 6.6% for the previous three-month period – this is in line with market expectations.

Also, the number of people claiming unemployment benefits fell sharply, down by 36,000 in June versus forecasts of only a 27,000 person drop. In Europe, attention will be focussed on European Union leaders who are meeting in Brussels today to discuss the possibility of widening sanctions against Russia over its involvement in the Ukraine conflict.

Ishaq Siddiqi
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.co.uk

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#6 - 10H55

Marché en mode aversion au risque hier

Market call Saxo Banque.

L’audition de Janet Yellen devait être sans réel intérêt. C’était sans compter une phrase qui a fait flancher le Nasdaq et les autres places financières mondiales : « Les valorisations des biotechs et des réseaux sociaux semblent tendues ».

En d’autres termes, Yellen a confirmé son inquiétude à propos de la formation de bulles spéculatives du fait de la politique monétaire très accommodante menée outre-Atlantique.

Le marché a réagi comme si c’était une surprise complète alors que la Banque des Règlements Internationaux avait tenu des propos similaires il y a moins d’une semaine, dans l’indifférence quasi-complète.

Ce regain d’inquiétudes a complètement éclipsé les bons résultats trimestriels américains, notamment dans le secteur bancaire. Goldman Sachs et JPMorgan ont en effet annoncé des profits par action supérieurs à ceux attendus par le consensus.

En Europe, le dossier Banco Espirito Santo a également continué à soulever l’appréhension des opérateurs de marché bien qu’il n’y ait apparemment aucun risque systémique inhérent.

Ce matin, c’est encore une fois la prudence qui l’emporte en Europe. Les indices ont ouvert légèrement dans le vert grâce à un bon indicateur de croissance chinois mais tous les investisseurs ont en tête la deuxième partie de l’audition de Yellen devant le Congrès cet après-midi qui pourrait encore réserver des surprises. Il est donc peu probable, dans ce contexte, que le CAC 40 renoue avec le vert.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

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#5 - 10H50

Analysis: Fed Surprises Social Media, Biotech With Big Whack

By Denny Gulino.

Thirty-two reporters gathered in Room 538 of Capitol Hill's Dirksen building early Tuesday morning and when they were given the five pages of testimony of Federal Reserve Chair Janet Yellen, many found it less than exciting, new or groundbreaking.

One of those reporters, however, did not stop there. Having written the obligatory headlines about Yellen's statement to the Senate Banking Committee to be foisted on anxious trading rooms at 10:00 eastern time he then leafed through an attractively bound little booklet that was distributed to the reporters along with Yellen's testimony.

Titled the "Monetary Policy Report," it basically lays out at much greater length what Yellen or any Fed chair summarizes and it is the formal document the Fed gives Congress twice a year to satisfy the legal requirement, a requirement that has survived the expiration of the Humphrey-Hawkins Full Employment Act of 1978.

Since 1978 rarely has the report contained something that the Fed chief does not refer to with more clarity, and reporters soon learned to give the booklet very little attention. This particular day, however, it would have behooved the shareholders of a lot of different companies, to say nothing of holders of the IShares Nasdaq Biotech ETF - off 1.8% at midday - and the Global X Social Media Index - off 1% - to have anticipated what the little booklet could make happen.

Because the reporter leafing through it found a nugget on page 22, words that would rock the worlds of social media and biotech. The reporter was doing what reporters are supposed to do, or at least what Finley Peter Dunne - a vastly popular writer, humorist and social activist - said was his main goal back in the late 1800s, to afflict the comfortable.

He pointed out that the booklet - technically a product of the Fed's Board of Governors - in the third paragraph of a page 22 section titled "Developments Related to Financial Stability," had 30 words that will live in history - or infamy - and that will be remembered from now on by reporters who will be reading every word of every future Monetary Policy Report.

No, it was not Yellen who spoke the words, although many financial blogs, commentators, financial news cable channels incorrectly assumed so at first, and some even later in the day were still saying that was the case.

The words were crafted instead by the Fed minions whose job it is to turn FOMC statements and minutes and Fed research, surveys and speeches and a host of supporting documents into the little blue and white booklet Congress gets twice a year.

"Equity valuations of smaller firms as well as social media and biotechnology firms appear to be stretched, with ratios of prices to forward earnings remaining high relative to historical norms," the words read. The relevant share prices reacted immediately, heading down almost across the board.

The observation was apparently a revelation of some sort to those who doubtless had heard the same thing before many times, but not from the FOMC. Imagine, the market reaction seemed to suggest, many biotech firms with only a promise of future success - whose potential returns are many years ahead - might be overvalued.

And Twitter, with more than 50 times its price-to-sales ratio and no profits - might be overvalued. How many times have analysts surmised Facebook or LinkedIn are overvalued?

In any event, confused shareholders might be asking, what makes the Federal Reserve the sudden authority on social media and biotech stocks? That would be because they have not been paying attention to the way the financial crisis has conferred a new responsibility on central banks in general and the Fed in particular, making them guardians of financial stability as well as the purchasing power of the currency and the robustness of the labor market.

Financial stability has many pillars and so the Federal Reserve and the Financial Stability Oversight Council of which it is a member and FSOC's Office of Financial Research have a lot to keep track of, as if just gauging the effects of monetary policy were not enough.

Yellen herself was asked what she is looking at as she answered questions from the Senate Banking Committee.

"We're really trying to assess the likely path of the labor market and employment, and inflation, which are the two goals Congress told us to focus on," she said. "But in trying to make those assessments we have to look at a huge range of data. Housing, consumer spending, the strength of investment spending, what's happening in the global economy, what we expect will happen to our exports - all of that figures into what will growth be in the economy."

"Productivity growth will affect how that translates into progress in the labor market, and with respect to inflation, of course, we're looking at many different metrics," she said.

Sen. Jon Tester, a Democrat from Montana, wanted more. "And of all those things you listed, which is of the most concern?"

It's housing, she answered, "but it's not quantitatively important enough to cause us to judge that it will hold back the recovery."

What about biotech and social media? Like housing, it turns out they are not only growth factors but stability factors as well. Asset prices for real estate, the Monetary Policy Report told Congress, "have risen" as have those for equities and corporate bonds." But for them "valuations have remained generally in line with historical norms." House prices are up but "for the most part, these increases have left aggregate price-to-rent ratios." again, "within historical norms."

Private nonfinancial debt has increased only "at a moderate pace," the FOMC went on in its report to Congress. The financial strength of banking "has continued to improve."

Then, however, the good news turned to bad news for the unspecified "smaller firms" and for social media and biotech, getting the full brunt of the 30 words of FOMC negativity. Outside of stocks, the FOMC also again scowled at leveraged loans, repeating that "underwriting standards have loosened."

Of course these loans to entities that already have a lot of debt have always carried a higher risk of default and so deliver a higher yield. So for the holders of the half trillion dollars in leveraged loan paper, a Fed warning only makes them happier by highlighting the risk and raising the yield and for banks, increasing the interest charged and their profits in an already very lucrative niche.

The Fed has a direct hold on the throat of banks, as one of their key regulators, and is trying to get them to abide by the advice delivered last year, firm up lending standards. Banks being banks, a lot of their energy is being expended trying to find a way around the regulatory directive.

But the Fed has no such direct influence on those who want to speculate on social media and biotech stocks. All the Fed can do is insert 30 words in its Monetary Policy Report to Congress and then hope for the best - or for some unlucky investors on this day - trigger the day's unwelcome surprise.

MNI Washington Bureau
MNI is a wholly owned subsidiary of Deutsche Boerse Group
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#4 - 10H45

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading higher this morning as positive news out of China is giving shares an early lift. Better than expected Chinese GDP figures and industrial production data and solid retail sales have rekindled hopes that China is firmly on the path of recovery.

The data calendar in Europe is fairly sparse today. UK employment data was more or less as expected however wage growth is still lacking substantially which in light of yesterday’s much higher than expected inflation data might not fare too well with the general public while however the overall impact on the timing of the first rate rise should be rather minor.

Later today US industrial production data will be released, expected to confirm that the rebound of the economy in the Q2 is solid and firmly established.
Also Fed chief Janet Yellen will testify in front of the House Financial Services Committee this afternoon similar to yesterday it is rather unlikely that Ms. Yellen will give more detailed hints when rates will finally start to rise again in the US.
Short to mid-term sentiment remains neutral for stocks despite the upwards bias today, solid earnings news out of the US and positive data out of China are being neutralised by worries about the current slowdown seen in Europe.
In order for European indices to move back up to the recent highs good economic data especially out of Germany will be needed.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
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#3 - 10H30

Quelle France depuis dix ans ? Les deux « P »

Faisant écho au récent rapport « Quelle France dans dix ans ? » remis récemment au Président de la République, le présent flash revient sur l’évolution depuis dix ans de deux indicateurs majeurs du point de vue macroéconomique : le pouvoir d’achat des ménages et la productivité du travail.

1. Une décennie de stagnation du pouvoir d’achat ?...

Au plan macroéconomique, différents concepts sont employés pour qualifier les revenus des ménages. Le revenu disponible brut est le revenu à la disposition des ménages pour consommer et épargner. Il comprend l'ensemble des revenus d'activité, des revenus du patrimoine et les prestations sociales, auxquels sont soustraits les impôts directs et les cotisations sociales. L'évolution du pouvoir d'achat du revenu disponible brut mesure l’écart entre celle du revenu disponible brut et celle du prix des dépenses de consommation des ménages. Pour se rapprocher d’une notion plus individuelle du pouvoir d'achat, sa progression est rapportée à des variables démographiques (personne, ménage, unité de consommation)(1).

Entre 2003 et 2013, le pouvoir d’achat par ménage a stagné en moyenne, et augmenté très faiblement par personne et par unité de consommation. Ceci s’explique par la décélération du revenu disponible brut, en lien avec la dégradation de la conjoncture économique, alors même que l’évolution des paramètres démographiques (croissance de la population et du nombre de ménages) restait semblable à celle de la décennie précédente. Ainsi, le nombre de ménages augmente en moyenne chaque année de 1 % en France en raison du vieillissement de la population et de la « décohabitation » (divorces etc.). Pour progresser, le pouvoir d’achat réel (i.e. après prise en compte de l’inflation) doit donc croître à un rythme supérieur à ce taux. En 2013, le pouvoir d’achat a reculé pour la troisième année consécutive, soit une première depuis le milieu des années 1980 (années 1983 à 1985).

2. …. ainsi que de la productivité du travail ?

La productivité apparente du travail est mesurée par le ratio valeur ajoutée (en volume) / volume de travail mis en oeuvre dans le processus de production. Ce dernier peut être défini en termes d’heures travaillées (productivité « horaire ») ou en termes de personnes en emploi (productivité « par tête »). D’un point de
vue économique, une hausse de la productivité signifie, à ressources constantes, une croissance de la production par une meilleure organisation du travail, du processus de fabrication… Toutes choses égales par ailleurs, elle permet de réduire les coûts salariaux unitaires, ce qui a un effet favorable sur les marges des entreprises (voir point 3).
Source : Afep à partir d’INSEE.
Entre 2003 et 2013, la productivité du travail a faiblement progressé en France avec une croissance moyenne inférieure à 1 % par an, soit environ la moitié du rythme constaté lors de la décennie précédente. Les reculs observés en 2008 et 2009 s’expliquent par le « cycle de productivité » : en temps de crise, la production baisse plus fortement que la quantité de travail. A l’inverse, en phase de redémarrage, la productivité progresse car le facteur travail est utilisé de façon plus intensive avant de procéder à de nouvelles embauches. Dans le débat sur la productivité française, une confusion est à éviter entre son niveau (élevé en comparaison internationale)(2) et sa dynamique au cours des années récentes, en nette décélération à l’instar de la plupart des pays depuis le milieu des années 70, à certaines exceptions près (Etats-Unis et Espagne).

3. Productivité et marges des entreprises, quelles interactions ?

Traditionnellement, la comptabilité nationale décompose les variations du taux de marge en cinq facteurs : la productivité du travail, le ratio prix de la valeur ajoutée/prix à la consommation (« termes de l’échange ») et les autres éléments, ainsi que le salaire réel par tête et le taux de cotisation sociale. Si les trois premiers jouent positivement sur le taux de marge, les deux derniers ont, eux, un impact négatif sur celui-ci. En pratique, l’écart entre la croissance du salaire et celle de la productivité détermine largement l’évolution du taux de marge, même si le facteur des termes de l’échange peut également avoir une influence dans la mesure où il reflète en partie les variations du prix du pétrole. Entre le T4 2003 et le T4 2013, le taux de marge des entreprises non financières a reculé de 4 points : la productivité a contribué positivement (+ 4,5 points), alors que le salaire par tête a joué dans l’autre sens (- 6,8 points) tout comme les termes de l’échange (- 2 points) dans un contexte de relative stabilité des taux de cotisation et autres éléments (+ 0,3 au total).

***

Au cours de la décennie écoulée, les évolutions du pouvoir d’achat des ménages et de la productivité du travail traduisent l’impact de la Grande récession sur l’économie. Elles peuvent expliquer le sentiment actuel d’attentisme, disjoint mais convergent, des ménages et des entreprises. On notera en effet que le taux de marge de ces dernières est à son plus bas niveau depuis le milieu des années 1980, ce qui coïncide avec la dernière phase de baisse prolongée du pouvoir d’achat des ménages.

(1) Système de pondération attribuant un coefficient à chaque membre du ménage et permettant de comparer les niveaux de vie des ménages de tailles ou de compositions différentes (1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 pour les autres personnes de 14 ans ou plus et 0,3 pour les enfants de moins de 14 ans).

(2) Il est admis que ce niveau de productivité est en partie artificiel car il repose sur l’exclusion (totale ou partielle) de 6 millions de personnes du marché du travail.

FLASH ECO
Analyse à caractère économique ne constituant pas une prise de position.
Liste complète disponible sur www.afep.com

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#2 - 10H00

UBS daily roundup - Growth signals?

Paul Donovan daily briefing.

• Comments from US Fed Chair Yellen were boringly consistent with an October ending of quantitative policy, and broadly consistent with the idea of a Q2 2015 interest rate increase. There was some warning given of the potential for an earlier tightening if data improves.

• The US retail sales data (in the detail) will add more than expected to Q2 GDP. Today we get industrial production, and also the Fed's Beige Book. The latter is helpful in gauging the health of small businesses, as well as labour market slack and credit creation.

• Chinese second quarter growth was marginally stronger than expected (President Xi wants 7% to 7.5% growth, and funnily enough that is what he is getting). One has to have a naïve faith in the quality of Chinese data (or any GDP data) to see this as a major event for the rest of the world.

• European leaders gather together in the wake of that mighty Luxembourger, Mr Juncker, being confirmed as one of the three EU presidents. The UK releases labour market data in the wake of the stronger consumer price inflation figures yesterday.

www.ubs.com/investmentbank

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#1 - 9H45

Les indices progressent grâce à l'accélération de la croissance chinoise au deuxième trimestre

Marchés Actions : Sur les marchés actions, la séance de mardi a encore été marquée par la Banque Espirito Santo, qui a poursuivi sa chute à la Bourse de Lisbonne, en cédant 14,61% à 38 centimes d’euro. Les investisseurs s’inquiètent d’informations selon lesquelles une holding de la famille détenant la majorité des droits sur la principale banque portugaise serait en défaut de paiement. Ainsi, les marchés sont restés de marbre face aux publications encourageantes des banques étasuniennes, montrant la solidité du secteur financier américain. En effet, Goldman Sachs (+1%) a annoncé que son bénéfice a progressé de 5%, atteignant 1,95 milliard de dollars contre 1,86 milliard de dollars un an plus tôt. Parallèlement, JPMorgan, autre poids lourd de Wall Street, a affiché des résultats trimestriels supérieurs aux anticipations, ce qui lui a permis de grimper de 4% au cours de la séance de mardi.

Ces données n’ont pas su relancer l’appétit pour le risque des investisseurs, qui ont vu les principales places boursières clôturer dans le rouge. Le Cac 40 finit en baisse de 1,03% et réussit tout juste à rester au-dessus de la barre des 4 300 points, à 4.305,31. Ailleurs en Europe, le PSI 20 portugais poursuit sa chute, cette fois-ci de 1,13%. Le FTSE de Londres abandonne 0,38% à 6 710,45 points. En Allemagne, le Dax dévisse de 0,65% à 9 719,41 points. Pour cause, l’indice ZEW du sentiment des investisseurs et analystes financiers en Allemagne est tombé à son plus bas niveau depuis décembre 2012. Après 7 mois d’affilée de baisse, il ressort à 27,1 points ce mois-ci, contre 29,8 en juin.

Aux Etats-Unis, le contexte est resté plus favorable. L’indice d’activité manufacturière de la Fed de New York a atteint 25,6 points en juillet, son meilleur niveau depuis avril 2010. De leur côté, les ventes au détail ont progressé que de 0,2% en juin, et la variation de mai a été révisée de +0,3% à +0,5%. Cependant, Janet Yellen, la présidente de la Réserve fédérale américaine a déclaré que les tout premiers signes de redressement de l'inflation n'étaient pas suffisants pour accélérer le calendrier prévisionnel de relèvement des taux d'intérêt. En effet, elle juge que même si l'économie continue de s'améliorer, la reprise n'est pas encore complète. En outre, la Fed s s’est montrée inquiète de la survalorisation des réseaux sociaux et les sociétés de biotechnologie.

En conséquence, le Nasdaq Composite dévisse de 0,54% à 4 416,39 points tandis que le Dow Jones réussit à rester en territoire positif en gagnant 0,03% à 17 060,68 points.

Dans ce contexte, les bourses européennes devraient ouvrir à la hausse après leur chute de la veille. D'après les premières indications disponibles, l'indice CAC 40 pourrait gagner jusqu'à 0,3% à l'ouverture, alors que le Dax à Francfort et le FTSE à Londres seraient en mesure de prendre 0,2%. Les indices européens profitent aussi et surtout de l'accélération de la croissance chinoise au deuxième trimestre. Le PIB a progressé de 7,5%, dépassant légèrement le consensus Bloomberg de 7,4%.

Forex : Les annonces de la présidente de la FED Janet Yellen ont eu de forts impacts sur les marchés hier. La réserve fédérale américaine prévoit une reprise de la croissance économique américaine, et une éventuelle hausse des taux d’intérêt si les résultats du marché du travail américain s’améliorent une nouvelle fois. Ces prévisions ont eu des répercussions sur la parité EUR/USD. La monnaie unique s’échangeait hier à 18 heures contre 1,3580 dollars, en baisse de 0,35%

L’euro restait hier soir sous pression après les mauvais résultats publiés par l’indice allemand ZEW concernant la conjoncture économique germanique, en nouvelle baisse, à 27,1 points. Ce matin l’euro s’échangeait contre 1,3564 dollars. Le range étroit compris entre 1,3571 et 1,3561 devrait être indicateur des tendances à venir. La publication des indices des prix à la production aux Etats-Unis ainsi que les discours de Richard Fisher, président du Federal Open Market Committee, et de Janet Yellen, présidente de la FED devraient avoir un nouvel impact aujourd’hui sur la parité

Autre point à surveiller : le dollar canadien, avec la publication aujourd’hui de nombreux indicateurs. En effet les ventes industrielles canadienne, ainsi que les taux d’intérêt directeur publiés par la Banque du Canada devraient influencer la monnaie nord-américaine ce mercredi sur le marché des changes.

La livre sterling a encore chuté face à l’euro pour tomber à £0,7914 hier à 18 heures. En revanche, la monnaie britannique progressait face au dollar à $1,7158 hier à 18 heures, s’appréciant de prêt de 100 pips au plus haut de la journée de mardi, un record depuis 7 ans, dû en grande partie à l’optimisme des investisseurs concernant les indicateurs au Royaume-Uni. Il est à noter d’ailleurs, la publication des taux de chômage ce mercredi en Grande Bretagne,

Le Yen, cotait hier à 18 heures à 137,89 contre un euro. Cette nouvelle baisse de la monnaie européenne s’explique par les mauvais indicateurs venus d’Allemagne. La zone support située aux alentours de 137,85 yens sera à surveiller pour prévoir les tendances futures de la parité.

Matières premières : Au chapitre des matières premières, les deux pétroles de référence évoluent dans le vert pour commencer cette nouvelle journée. Le WTI progresse de 0.51% pour s’échanger aux alentours des 100.47$ tandis que le Brent grappille 0.17% à 106.20$. Le WTI rebondit après avoir atteint son plus bas niveau depuis le mois de mai dernier alors que la croissance économique en Chine a dépassé les attentes et que les stocks de pétrole aux Etats-Unis devraient avoir diminués la semaine dernière. En effet, le PIB chinois a progressé pour la première fois en trois trimestres alors que le gouvernement a commencé à mettre en place un plan pour contrer une possible crise immobilière en injectant des liquidités.

Du côté des métaux précieux, la journée commence en territoire positif ce matin. Le métal jaune engrange 0.37% à 1 298.83$ tandis que l’argent s’échange aux encablures des 20.76$, soit une progression de 0.35% par rapport à hier. Le discours de la présidente de la FED, Janet Yellen, hier a renforcé le dollar et a déclenché une vague de vente de l’or, investissement alternatif et valeur refuge face aux différents conflits à travers le monde et dans un contexte économique toujours tendu. En effet, cette dernière a déclaré aux parlementaires que les taux pouvaient grimper plus vite que ce que les marchés attendent, mais elle a également rappelé que la reprise économique n’était pas complète et que la Banque Centrale se devait de continuer à appuyer la relance pour lutter contre la faiblesse de l’emploi.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr

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15 juillet 2014

Marchés obligataires : « La duration et la sélectivité des titres sont des leviers essentiels pour minimiser le risque de taux »

À l’occasion de sa Convention Annuelle consacrée au thème Investir et innover dans un monde incertain, l’équipe de Rothschild & Cie Gestion a présenté ses perspectives d’investissement devant près de 300 partenaires et investisseurs professionnels.

Emmanuel Petit, Directeur de la gestion obligataire, et Delphine Laloum, Gestionnaire-Analyste chez Rothschild & Cie Gestion, ont partagé leurs convictions en matière de stratégie obligataire.

Après deux années consécutives de performances significatives sur les marchés obligataires, les investisseurs sont confrontés au risque de hausse des taux. En Europe, l’amélioration des conditions économiques, aidée par les mesures de soutien au crédit de la banque centrale européenne, devrait éloigner les craintes de déflation que les marchés pricent aujourd’hui au regard des niveaux de taux. Par ailleurs, le resserrement des conditions monétaires de la Réserve Fédérale américaine, qui pourrait se matérialiser par une première hausse des taux directeurs au deuxième trimestre 2015, est un facteur potentiel de déstabilisation pour les actifs obligataires.

Pour Emmanuel Petit « le scénario d’une hausse trop vive des taux longs obligataires n’est pas à exclure, il faudra être très attentif au rythme de remontée des taux directeurs américains. Aujourd’hui, l’écart entre le taux à 10 ans américain et son équivalent allemand est par ailleurs significatif. Le Bund reste sous-évalué, le retour de l’inflation en Europe conjugué au resserrement monétaire outre-Atlantique pourrait conduire le taux allemand à une hausse de l’ordre de 100 points de base d’ici l’année prochaine. Même si la corrélation n’est plus aussi sensible qu’il y a quelques années, la hausse des taux américains risque d’entrainer dans son sillage l’ensemble des taux obligataires européens ».

Dans ces conditions, la priorité est de réduire au maximum la sensibilité de l’allocation d’actifs au risque de taux. Choisir le bon positionnement sur la courbe des taux et la maturité des titres est un moyen efficace de protéger son portefeuille. « Il faut éviter les taux courts car le rendement est insuffisant, mais aussi la partie longue de la courbe où l’on s’expose à une forte duration pour peu de prime de risque supplémentaire. Le meilleur profil est celui des titres de maturité 3 à 5 ans, qui offrent un ratio rendement/sensibilité optimal, minimisant le risque de hausse des taux » analyse Emmanuel Petit. « Le marché du crédit est à privilégier, puisqu’historiquement, les hausses de taux n’ont eu qu’un impact très modeste sur l’évolution des spreads de crédit. Nous restons cependant prudents avec cette analyse dans la mesure où il n’est pas exclu que le crédit souffre sur la partie longue de la courbe dans un scénario de remontée des taux souverains. Il est donc judicieux de capter la prime de risque sans la maximiser en investissant sur des titres de maturité intermédiaire » ajoute-t-il.

Alors que la rémunération des actifs de taux devient rare, la sélectivité des titres est de première importance dans la construction de l’allocation obligataire. « Les investisseurs ne peuvent plus acheter l’ensemble du marché, sans distinction. Globalement, les obligations sont devenues chères, c’est pourquoi il est essentiel d’identifier quelques cas d’investissement au rendement attractif, sur des émissions corporate, plutôt que d’être investi coûte que coûte sur des emprunts souverains ou du crédit Investment Grade qui ne rapportent plus beaucoup, et qui sont sensibles à une éventuelle hausse des taux » précise Emmanuel Petit.

Delphine Laloum estime que le crédit High Yield européen permet encore de capter des primes de risque attrayantes. « Le marché High Yield est relativement sain et dynamique. Les entreprises européennes ayant restructuré leurs activités et rationalisé leur niveau d’endettement, on observe un taux de défaut historiquement bas, anticipé à environ 2% en 2015. La garantie du service de la dette reste la priorité dans l’optimisation du couple rendement/risque de cette catégorie d’émission plus volatile. »

En termes de bond-picking, les titres notés B ont la préférence de la Gestionnaire-Analyste : « sur une base historique, le gisement noté B paraît plus intéressant que celui noté BB, avec un écart de spreads d’environ 150 points sur le secondaire et de plus de 200bps sur les émissions primaires pour des profils de risque satisfaisants. Surtout, les signatures B seront plus défensives en cas de remontée des taux sans risque, avec une sensibilité inférieure à 3% contre 3,5% pour le segment BB.

Nous privilégions les obligations à faible duration. Il s’agit principalement d’obligations à fort coupon ayant des options de remboursement anticipé à moins d’un an. Nous privilégions également les thématiques ‘Event Driven’. Il s’agit de titres d’entreprises susceptibles de bénéficier d’histoires spécifiques de crédit comme par exemple des cessions d’actifs ou une offre de rachat par un concurrent. Nous avons par exemple souscrit à des émissions comme Wind, Play, TVN. »

A propos du Groupe Rothschild & Cie Gestion
Avec 24 milliards d’euros d’encours, Rothschild & Cie Gestion se situe parmi les grands noms de la gestion dite de conviction en France et en Europe. La société dispose d’expertises en gestion classique se concentrant sur les actions européennes, les obligations crédit et convertibles et la gestion diversifiée flexible.
Parallèlement, Rothschild & Cie Gestion a développé, via sa filiale Rothschild HDF Investment Solutions, une offre de solutions d’investissement en architecture ouverte. Rothschild HDF Investment Solutions assemble, de manière innovante, optimale tout en recherchant à contrôler les risques, des expertises internes et externes sélectionnées et suivies avec rigueur.

À propos de Paris Orléans, maison mère du Groupe Rothschild
Paris Orléans est centré sur les métiers suivants :
- le Conseil financier (Global Financial Advisory) - conseil en fusions et acquisitions, conseil en financement et en restructuration de dette et conseil sur les opérations de marchés de capitaux ;
- la Banque privée et la gestion d’actifs (Wealth and Asset Management) ;
- le Capital investissement (Merchant Banking)

Paris Orléans SCA est une société en commandite par actions de droit français, au capital de 142 208 216 €, inscrite au Registre du commerce et des sociétés de Paris sous le numéro 302 519 228. Siège social : 23 bis avenue de Messine, 75008 Paris, France. Paris Orléans est cotée sur le NYSE Euronext à Paris, Compartiment A – Code ISIN : FR0000031684.
www.paris-orleans.com

Corporate Finance : commentaires du jour

(NOUVEAU) L'actu Corporate Finance par FinActu :

- 21 Centrale Partners en négociations exclusives avec Qualium Investissement pour le rachat du groupe DGF 15/07/2014
- Le groupe Bull cède sa filiale égyptienne VAS Integrated Solutions à Giza Systems 15/07/2014
- Pernod Ricard devient l’actionnaire majoritaire d’Avión Spirits LLC 15/07/2014
- Dassault Systèmes met la main sur l’allemand SIMPACK 15/07/2014
- Brunswick Société d’Avocats coopte Alexandra Pottier en tant qu’associée 15/07/2014
- Pentasonic se rapproche de DRI 15/07/2014
- Fred & Farid investit dans Markelys Interactive 15/07/2014
- RivieraWaves repris par CEVA, Inc. pour 19 M$ 15/07/2014
- E4V boucle un tour de table de 3 M€ 15/07/2014
- Bpifrance entre au capital de la Société Choletaise de Fabrication 11/07/2014

Plus d'informations sur : www.finactu.fr

FinActu est notre partenaire éditorial pour :
- la lettre mensuelle LE CAPITAL INVESTISSEUR
- et la rubrique News | Fusions-acquisitions, levées de fonds, LBO, MBO

Chiffres du jour : INSEE, EUROSTAT, Banque de France, OCDE, etc...

30 juin 2014

France : à la fin du premier trimestre 2014, la dette publique s’établit à 93,6 % du PIB

La dette publique augmente de 45,5 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent…

À la fin du premier trimestre 2014, la dette publique de Maastricht s’établit à 1985,9 Md€, en augmentation de 45,5 Md€ par rapport au trimestre précédent. Exprimée en pourcentage du PIB elle se situe à 93,6 %, en hausse de 1,8 point par rapport au quatrième trimestre 2013. La dette publique nette croît plus modérément (+17,2 Md€).

Suite :
www.insee.fr/fr/themes/info-rapide.asp?id=40&date=20140630

3 juillet 2014

Structure de la dette publique dans l’UE

Dans la majorité des États membres de l’UE, les titres hors actions ont constitué le principal instrument financier en 2013.

En 2013, dans l’UE28, 81% de la dette publique a été financé par l'émission de titres (bons, obligations, etc., à l’exception des actions et produits financiers dérivés), 16% par des prêts et 4% par le numéraire et autres dépôts.

Ces informations sont extraites d’un rapport (1) publié par Eurostat, l’Office statistique de l’Union européenne. Ce rapport, issu d’une enquête sur la structure de la dette publique, fournit des informations sur la dette publique ventilée par sous-secteurs, instruments financiers, détenteurs de la dette, échéances, monnaies d’émission ainsi que les garanties accordées par l’administration publique et autres caractéristiques.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat

(1) http://epp.eurostat.ec.europa.eu/statistics_explained/index.php/Structure_of_government_debt_-_2012_survey_results

15 juillet 2014

Banque de France : Conjoncture Commerce de détail

Au deuxième trimestre, les ventes du commerce de détail incluant les ventes par internet progressent en volume
- Progression des ventes du commerce de détail au deuxième trimestre ;
- Intensification des ventes de produits alimentaires et légère amélioration des produits industriels en glissement trimestriel.

En savoir plus :
https://www.banque-france.fr/economie-et-statistiques/stats-info/detail/conjoncture-commerce-de-detail.html

DEVISES : Cotations + Taux + Convertisseur


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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 16 Juillet 2014




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