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Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 24, 12 (5th update)

Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - Daily news & daily views by Finyear.


Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 24, 12 (5th update)








MARKETS, ECONOMY & STATISTICS - Commentaries of the day

Every day our commentaries keep you updated.


09:00 AM
MARKETS - Morning Call: European Markets Set To Open Lower On Weak Asian Session Overnight - Ishaq Siddiqi ETX Capital


ETX Capital calls the FTSE 100 down 58 points, the DAX down 30 points and the CAC-40 off 16 points.

Regional markets are expected to open modestly lower this morning, with a downbeat session in Asia overnight adding the pressure. Worries about faltering global growth weigh on market sentiment, while uncertainties over the situation in Spain in regards to seeking a full bailout or not threaten upside momentum. Today, the focus will be on the German IFO survey – we expect to see more signs of the country feeling the heat of the debt crisis which will add to the recent worries about Europe’s core. Aside from the IFO, the data menu is rather light however the week is shaping up to be busy with GDP figures from the UK and US on Thursday, while both Spain and France present their 2013 budgets on Thursday and Friday respectively. Additionally, markets are awaiting more details of Spain’s reported structural reform plan with EU government and Spanish bank stress test results.

09:30 AM
STATISTICS - SUISSE - Office fédéral de la statistique (OFS)


Enquête suisse sur la population active et statistiques dérivées : l’offre de travail au 2e trimestre 2012
Hausse du nombre d’actifs occupés de 0,9%; taux de chômage BIT à 3,7%

Selon les relevés de l’Office fédéral de la statistique (OFS), le nombre d’actifs occupés en Suisse progresse de 0,9% entre le 2e trimestre 2011 et le 2e trimestre 2012. Au sein de l’Union européenne (UE), il recule légèrement (-0,2 %). Sur la même période, le taux de chômage selon la définition du Bureau international du Travail (BIT) augmente très légèrement en Suisse, passant de 3,6 à 3,7%. L’UE voit son taux de chômage au sens du BIT augmenter, passant de 9,4 à 10,2%.

11:00 AM
MARKETS - La zone euro à nouveau dans des eaux plus calmes - ING IM


“Dans le cadre de son mandat, la BCE est prête à faire tout ce qu’il faudra pour préserver l’euro et, croyez-moi, ce sera suffisant”. C’est en ces mots que Mario Draghi s’est exprimé fin juillet lors d’une conférence à Londres. Ces paroles ont été suivies d’actes le 6 septembre. La BCE a présenté un programme de rachat d’obli-gations lui permettant d’acheter des montants illimités d’obligations d’État de la zone euro à des conditions strictes. Les marchés ont réagi positivement : les taux du papier d’État des pays périphéri-ques se sont repliés et les investisseurs ont vendu des obligations d’État allemandes sûres. Les marchés d’actions ont également rebondi. De plus, le 12 septembre, la cour constitutionnelle allemande a approuvé la création du fond de secours permanent européen, le MES. Les récents événements impliquent une nette diminution du risque de crise systémique dans la zone euro. La Fed a elle aussi annoncé de nouvelles mesures de stimulation.

Maintenant que les banques centrales ont agi, les gouvernements doivent prendre le relais. L’Espagne devrait faire une demande officielle d’aide plus tard dans l’année. Cela signifie qu’elle devra remplir des conditions strictes et sera placée sous la supervision de la BCE, de la Commission européenne et du FMI. Cette troïka visite actuellement la Grèce qui veut plus de temps pour atteindre ses objectifs budgétaires et pourrait nécessiter une nouvelle aide. Les problèmes de la zone euro sont loin d’être résolus, mais les pays disposent de davantage de temps pour mettre de l’ordre.

Suite dans le PDF "Marketscope sept 2012 FR" - (5 pages en Français) - téléchargeable ci-dessous.

12:30 PM
MARKETS - Mid Morning Comment: European Markets Under Pressure On Slowing Growth And Euro Debt fears - Ishaq Siddiqi ETX Capital


European financial markets dropped on fears about faltering global growth, highlighted by a weaker than expected German IFO survey which reminded investors that the euro area’s strongest and largest economies are feeling the heat of the debt crisis. The data also raised fears that Germany could enter a recession by early next year, pressuring the euro currency against the dollar. On top of that, the uncertain situation in Spain rattles nerves with the country expected to present a new structural reform programme at the end of this week and announce results of its bank stress tests.

But Spain continues to assess its options other than the ECB’s bond buying programme which prompts doubts over the immediate action by policymakers. Over the weekend, Spanish Finance Minister Luis de Guindos repeated that government is in no hurry to seek assistance. The country’s bond yields were calm today but the IBEX-35 index dropped over 1% as investors fretted that there appears to be no early solution to the crisis there.

Elsewhere, Greek officials have denied weekend reports that the gap will be as large as EUR20 billion, but the reports have dented sentiment enough today with markets again concerned that Greece will just continue needing money by international lenders until it finally heads for a default, again. French President Hollande and German Chancellor Angela Merkel met over the weekend but the meeting only served to reinforce the differences between the two with both odds on the implementation of a Euro Zone banking system. Looking ahead, we may struggle to find direction given that we have no major data from the US session. However tomorrow we have French business confidence and German GfK consumer confidence early in the session.

03:00 PM
MARKETS - Les événements des dernières semaines ont quelque peu soulagé la zone euro - Richard Pease HENDERSON


Les actions européennes ont atteint leurs plus hauts niveaux de ces derniers mois, et les traders qui étaient short sur l’Euro ont été pris de court par le récent rallye qui a poussé l’euro-dollar à son plus haut niveau ces 4 derniers mois avec un cours à 1.30€.

Ce sentiment positif a permis à certaines pressions de retomber, centrées notamment sur les problèmes de liquidité à court-terme de la dette publique des pays périphériques. Cependant, le principal problème, à savoir la croissance économique, reste inchangé. Le problème de la dette publique reste important, les Etats ont besoin de réduire leurs ratios d’endettement ainsi que leurs déficits, une tâche rendue plus ardue par les différentes mesures d’austérité qui viennent freiner la croissance économique.

La situation macro-économique actuelle en Europe n’est pas idéale mais elle n’est pas non plus insurmontable. S’il est vrai que l’OCDE a revu ses prévisions de croissance à courtterme à la baisse pour l’Allemagne et la France, ces dernières devraient toutefois atteindre dans l’ensemble une croissance positive pour 2012 supérieure à celle du Royaume-Uni. La reprise inopinée de la production industrielle dans la zone Euro au cours du mois de juillet témoigne également d’une certaine résilience.

Cependant, les nouvelles macro-économiques au cours des prochains mois devraient apparaître comme un vrai défi. L’indice PMI Composite de la zone Euro, calculé par Markit, qui mesure l’activité dans le secteur des biens et des services, reste encore en phase de contraction au mois d’août pour le septième mois consécutif. Ceci semble conforter les prévisions d’une baisse d’environ 0.5% du produit intérieur brut pour les pays de la zone Euro au troisième trimestre. Le taux de chômage reste élevé et toute aide extérieure sera la bienvenue pour l’économie de la zone Euro. Il est bon de noter toutefois que la Chine et les Etats-Unis ont désormais une politique monétaire plus accommodante.

A court-terme, le marché pourrait faire les frais de prises de bénéfices mais d’un autre côté il est possible que les décisions prises par les banques centrales soient suffisantes pour éviter une correction cet automne. Il est cependant nécessaire, en ces périodes de volatilité, de ne jamais rien prendre pour acquis et il se pourrait que l’élection présidentielle américaine et les incertitudes liées au « plafond budgétaire » américain viennent secouer les marchés.

L’annonce, tant attendue, du lancement du programme de rachat d’obligations par la Banque Centrale Européenne (BCE) le 6 septembre dernier, suivie le 12 septembre par la décision du Tribunal Constitutionnel allemand de ne pas bloquer la mise en vigueur du Mécanisme européen de stabilité, ont été bien accueilli.

Les investisseurs ayant une vue plus long terme pourront profiter des valorisations actuelles du marché actions, relativement bon marché, en particulier en Europe. Le MSCI Europe hors Royaume-Uni s’échange à tout juste 10.7 fois les prévisions de bénéfices à 12 mois, bien en dessous de sa moyenne sur 20 ans de 15 fois et bien meilleur marché que l’indice des Etats-Unis, qui s’échange à 12.7 fois les bénéfices.*

Si l’on s’intéresse aux titres en particulier, de nombreuses sociétés européennes bien établies ont assaini leurs bilans au cours des dernières années et sont dans une situation bien meilleure que celle de leurs Etats respectifs, enregistrant une croissance de leurs bénéfices importante qui n’est pas reflétée dans leurs valorisations.

Nous sommes donc toujours convaincus qu’il est important de sélectionner des sociétés de qualité, génératrices de liquidités et disposant d’une équipe dirigeante fiable. Nous serons ainsi en bien meilleure position pour faire face à une baisse éventuelle des marchés tout en continuant de bénéficier de l’appréciation du cours des actions en période de reprise.

*Source: Datastream au 31 août 2012

Richard Pease est le gérant des fonds Henderson Horizon European Growth Fund et le Henderson European Special Situations Fund.


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Lundi 24 Septembre 2012




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