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Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 19, 12 (6th update)

Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - Daily news & daily views by Finyear.


Economy, Markets, Ratings, Statistics and Rates - September 19, 12 (6th update)






MARKETS, ECONOMY & STATISTICS - Commentaries of the day

Every day our commentaries keep you updated.

09:00 AM
MARKETS - European Financial Markets Boosted By BOJ Liquidity Measures - Marcus Huber ETX Capital

European equity markets are able to extend their recovery seen in late trading yesterday afternoon on the back of unexpected news that the Bank of Japan has followed the ECB and the FED in becoming the latest major central bank in providing extra stimulus to the struggling local economy by increasing and extending their bond purchasing program.
Also Saudi Arabia has shown concerns over the sharp rise in oil prices during the past few weeks announcing a hike in production and deliveries in order to counteract any potential further price increases which are posing a considerable threat to already struggling economies across the globe potentially stifling or delaying any attempts of an economic recovery.
While the data schedule especially in Europe is fairly light today focus is already starting to shift onto important Spanish Bond auctions tomorrow expected to clarify if the sell off seen in the past two days has been due to general profit taking after the recent strong run up or indeed because of investors becoming increasingly concerned about Spain while the situation there seems to worsen the Spanish government is still no step closer in agreeing to accept an aid package.
The general opinion seems to be that it would be better for Spain to accept a limited rescue package before bond yields once again starting to spike to the upside, not only would bring this further calm into the markets as there is less uncertainty remaining also if the European financial crisis takes another turn for the worse a rescue package at a later stage could turn out much more costly than it probably would be now.
Overall while positive sentiment seems to be slowly returning into the markets on the back of good news out of Japan and Saudi Arabia and a test of the recent highs appears likely overall it remains doubtful if at this stage without any positive news out of Spain traders are confident enough to assist markets in establishing another sustained leg to the upside.

09:30 AM
STATISTICS - EUROPA - Eurostat


Le déficit commercial de l'UE27 avec la Chine en baisse à 67 mrds d'euros sur les six premiers mois de 2012.
EU27 deficit in trade in goods with China down to 67 bn euro in the first six months of 2012.
Außenhandelsdefizit der EU27 mit China sank auf 67 Mrd. Euro in der ersten Jahreshälfte 2012.

STATISTICS - CANADA - Statistics Canada

Postes vacants, moyenne de trois mois se terminant en juin 2012
Les entreprises canadiennes comptaient 263 000 postes vacants en juin, soit 20 000 de plus qu'en juin 2011. Il y avait 5,3 chômeurs pour chaque poste vacant, en baisse par rapport aux 5,8 enregistrés en juin 2011.

Job vacancies, three-month period ending in June 2012
Canadian businesses had 263,000 job vacancies in June, 20,000 more than in June 2011. There were 5.3 unemployed people for every job vacancy, down from 5.8 in June 2011.

Opérations internationales du Canada en valeurs mobilières, juillet 2012
Les investisseurs non résidents ont acquis pour 6,7 milliards de dollars de titres canadiens en juillet, après un désinvestissement de 7,8 milliards de dollars enregistré en juin. Les investissements canadiens en titres étrangers se sont raffermis pour atteindre 4,6 milliards de dollars et étaient répartis également entre des titres d'emprunt et des actions.

Canada's international transactions in securities, July 2012
Non-resident investors acquired $6.7 billion of Canadian securities in July, following a $7.8 billion divestment in June. Canadian investment in foreign securities strengthened to $4.6 billion and was equally split between debt and equity securities.

STATISTICS - GERMANY - Federal Statistical Office (Destatis)

Population with a migrant background up by 216,000 in 2011
In 2011, the number of people with a migrant background who were living in Germany increased by about 216,000 from a year earlier (+1.4%). The Federal Statistical Office (Destatis) also reports that, based on results of the 2011 microcensus, a total of just under 16.0 million people had a migrant background, which corresponds to 19.5% of Germany’s total population.

10:00 AM
ECONOMY - Chine : le problème prend de l’ampleur - Maarten-Jan Bakkum, Stratégiste Actions Marchés Emergents - ING IM


En avril, lorsque les autorités chinoises ont annoncé de nouvelles mesures de stimulation, il semblait que la croissance de la demande chinoise allait pouvoir redevenir un moteur de la croissance des marchés émergents après l’été. En juin, on a observé les premiers signes indiquant que l’accélération de l’assouplissement de la politique économique commençait à porter des fruits : la croissance des crédits et la croissance des investissements en infrastructure se sont clairement améliorées par rapport au niveau moyen des cinq premiers mois de l’année. Depuis lors, le commerce mondial a connu une forte détérioration, ce qui a eu un impact considérable sur le secteur manufacturier chinois. Ceci est la principale raison expliquant la faiblesse de la croissance chinoise au cours des derniers mois.

Le problème n’est pas que l’assouplissement de la politique ne fonctionne pas – des signes d’accélération de la croissance des investissements en infrastructure sont observés –, mais bien que ceci n’est pas suffisant pour compenser la faiblesse accrue du secteur des exportations. Et en sachant que l’on ne peut guère attendre grand-chose de la construction immobilière, la principale force motrice de la croissance chinoise durant les années 2000-2010, on ne peut que conclure que la croissance agrégée de la Chine devrait continuer à décevoir au cours des prochains mois et trimestres.

Le consensus table toujours sur une croissance du PIB de 8,0% pour l’ensemble de 2012. Ceci implique que la croissance annualisée du deuxième semestre devrait atteindre 10%, venant de 7% au cours du premier semestre! Nous prévoyons, pour notre part, une croissance annualisée de 8% pour la seconde partie de l’année, ce qui constituerait une amélioration par rapport au premier semestre, mais resterait largement inférieur aux attentes des marchés. Pour 2013, le consensus s’attend à une croissance de 8,3%, tandis que nous tablons sur un chiffre de 7,8%.

Alors que les pressions mondiales continuent à peser sur l’industrie manufacturière chinoise, on peut s’attendre à ce que les autorités stimulent davantage les projets d’investissements en infrastructure. Nous en avons eu un bon exemple cette semaine, avec l’approbation plus rapide que prévu de projets à concurrence de près de USD130 milliards. Ce type de stimulation explique pourquoi nous prévoyons toujours un redressement de la croissance à partir des niveaux actuels. La plupart des projets d’infrastructure sont cependant des projets existants qui sont avancés. Et en raison de l’endettement substantiel des gouvernements locaux et de l’endettement accru de l’ensemble du système financier depuis les mesures de stimulation de 2008/2009, les gouvernements sont désormais devenus beaucoup plus prudents. Il y aura donc une plus grande croissance des investissements en infrastructure, mais cette croissance sera inférieure à celle d’il y a quatre ans, ainsi qu’aux attentes de nombreux investisseurs.

Nos prévisions se basent essentiellement sur le fait que nous ne croyons pas que le système bancaire et les finances des gouvernements locaux puissent faire face à des injections de crédits aussi agressives qu’en 2008/2009. Le problème du financement est la principale raison empêchant une stimulation plus ambitieuse. Les banques sont confrontées à une hausse des prêts non performants et à un ralentissement de la croissance des dépôts.

Le gouvernement se trouve dans une position difficile. D’une part, il ne veut pas augmenter l’endettement au sein du système financier, mais d’autre part, il sait qu’un ralentissement de la croissance mettra les cash-flows des entreprises sous pression et limitera les capacités de celles-ci de rembourser leurs dettes. Comme la croissance continue à ralentir, les banques devraient être confrontées à une augmentation des problèmes de prêts douteux. Ceci explique pourquoi les banques privées se sont montrées plutôt prudentes, de sorte que la croissance des crédits a été décevante depuis le début de l’année. La plus grande partie des mesures de stimulation devra être financée par les grandes banques publiques ou directement à partir du budget du gouvernement central.

Globalement, les perspectives pour la Chine demeurent plutôt sombres. Il n’y a guère de marge de manoeuvre pour une reprise de la croissance au cours des prochains trimestres. Entre-temps, les banques devraient être soumises à davantage de pressions en raison des difficultés accrues des entreprises. La croissance rapide des crédits de la période 2008-2010 devrait peser largement sur les banques au cours des prochains trimestres et des prochaines années.

L’augmentation du risque dans le secteur financier en Chine et les ajustements continus des attentes de croissance pour la Chine se traduisent par une sous-performance des actions chinoises et de l’ensemble des marchés émergents. Nous avons évoqué ceci dans de précédentes éditions de l’EEMM. Récemment, nous avons toutefois aussi constaté des signes de fatigue sur les marchés des changes émergents. Alors que les actifs risqués à haut rendement ont bien performé ces derniers mois, les devises des marchés émergents sont restées quelque peu à la traîne. Selon nous, ceci est largement imputable à la Chine. Le renminbi a arrêté de s’apprécier durant le printemps dernier, lorsque le commerce mondial s’est détérioré. Ceci est visible au niveau des flux de capitaux vers la Chine (voir graphique ci-dessus). Au deuxième trimestre de l’année, la Chine a enregistré les sorties de capitaux les plus élevées de son histoire. Ceci s’explique par la faiblesse du secteur immobilier, la détérioration des perspectives de croissance et le risque accru dans le système financier. Ceci reflète également le changement des perspectives pour le renminbi. Les années précédentes, les attentes d’une appréciation du renminbi avait été l’une des principales raisons des flux de capitaux vers la Chine.

Alors que les flux de capitaux vers la Chine se sont détériorés substantiellement et que le renminbi ne devrait pas s’apprécier au cours des prochains trimestres, le potentiel de hausse pour les devises des pays émergents est limité, en particulier en Asie de l’Est, où les autorités n’autorisent guère leur taux de change à dévier de celui du renminbi.

10:30 AM
Des capitaux frileux - Par Maarten-Jan Bakkum, Stratégiste Sénior Marchés Emergents, ING Investment Management


Durant les années qui ont précédé et suivi la crise du crédit de 2008/2009, près de 500 milliards d’euros ont pris chaque année la direction du monde émergent. Ces capitaux ont été attirés par le climat d’investissement favorable, de même que par les taux d’intérêt élevés, le raffermissement des devises et une solide confiance dans les perspectives de croissance de la demande domestique. Depuis l’été 2011, on a toutefois observé un net revirement de tendance : au cours des quatre derniers trimestres, les flux de capitaux vers les marchés émergents se sont complètement taris.

Compte tenu des différentiels de croissance et de taux substantiels qui persistent entre les marchés développés et émergents, il peut paraître étrange qu’il n’y ait plus de flux de capitaux nets vers les marchés émergents. Le différentiel de croissance entre l’Europe et les États-Unis, d’une part, et le monde émergent, d’autre part, s’est peut-être contracté au cours de ces dernières années, mais il s’élève encore à plus de 4 points de pourcentage. Et alors que les taux d’intérêt sont proches de zéro en Europe et aux États-Unis, ils demeurent de 5,5% dans le monde émergent.

Néanmoins, il n’est guère difficile d’expliquer pourquoi la popularité des marchés émergents a diminué au cours de l’année écoulée. Alors que de plus en plus de capitaux sont nécessaires pour combler les ‘trous’ du système financier en Europe et aux États-Unis, les perspectives de croissance du monde émergent se sont nettement détériorées. Quatre facteurs peuvent être plus particulièrement incriminés pour le tarissement des capitaux : le repli de la croissance en Chine, la détérioration du climat d’investissement dans plusieurs grandes économies émergentes, la nécessité accrue pour les banques européennes d’assainir leur position financière dégradée et une tendance négative des marchés d’actions des pays émergents.

Le facteur négatif le plus important est la Chine. Depuis 2010, son taux de croissance s’est progressivement replié pour revenir au niveau actuel de 7,5%. En raison de développements démographiques défavorables, de l’endettement nettement plus élevé de l’économie après les mesures de stimulation ambitieuses de 2008/2009 et des surcapacités dans le secteur des exportations à la suite du ralentissement actuel de la croissance du commerce mondial, les perspectives pour la croissance chinoise ne sont pas bonnes pour les prochaines années. Alors que la croissance continuera probablement à reculer pour atteindre un niveau plus soutenable de près de 5%, les pressions s’exerçant sur le système financier continueront à augmenter. La Chine ne devrait dès lors plus constituer l’important moteur de croissance qu’il a été pour le monde émergent entre 2000 et 2010.

En dehors de la Chine, les perspectives de croissance se sont également détériorées dans les pays dont les gouvernements n’ont pas réalisé de réformes ou dont la politique a entraîné une dégradation évidente du climat d’investissement. L’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud sont les principaux pays où la tendance a été négative. Ceci explique dans une large mesure pourquoi les investisseurs en actions n’ont plus une nette préférence pour les marchés émergents. La détérioration du climat d’investissement et l’augmentation de l’intervention de l’État dans l’économie impliquent que la croissance n’entraîne pas automatiquement des rendements plus élevés pour les investisseurs privés. Une augmentation des pressions pesant sur les flux de capitaux vers les marchés émergents n’est dès lors pas à exclure.

12:30 PM
MARKETS - Mid-Morning Comment: Markets Ease Off From Highs As Spanish Blues Sap Sentiment; BOJ Inspired Rally - Ishaq Siddiqi ETX Capital


European financial markets have surrendered early gains as we head into lunch time in Europe, turning negative as the initial enthusiasm over the Bank of Japan’s new stimulus measures has been overshadowed by the persistent worries about the situation in Spain.

Cyclical stocks such as banks and resources are off session highs, although the euro currency demonstrates relative strength against the dollar and Spanish and Italian bond yields have eased from previous session highs. Spain continues to avoid going down the bailout path and it is likely to retain this stance unless its 10-year creeps back above 6.5% mark.

Given the dire economic situation in Spain, highlighted by data showing bad bank loans surged to another record high in July, it is inevitable Spanish PM Rajoy will soon have to resort to seek aid. Further delay tactics will only place additional pressure on yields and the real test will be tomorrow’s bond auction.

Yesterday’s bill auction was relatively well received however the bond auction could be another bag altogether, especially as uncertainties surrounding the country have mounted since. If we see yields on the up, it could force the hand of the Spanish government toward the bailout route.

Overnight, the BOJ said it will expand the size of its asset purchases to Y80 trillion from Y70 trillion, a week after the Fed’s announcement of QE3. September has now seen three major central banks respond with easing measures [the ECB, Fed and now BOJ] – we may now see a bit of pressure on the Chinese central bank to make a move given that the slowdown in global growth appears to be far more pronounced than expected before the start of the 3Q.

Today, we had the BOE’s meeting minutes which kept further QE prospects alive and we could see a rate cut in November. On the whole, the BOE minutes were a non-event with little or no impact across sterling, FTSE and gilts. Looking ahead, we have more housing data from the US with existing home sales and housing starts out this afternoon.

02:00 PM
ECONOMY - Les relations commerciales entre la Suisse et les pays émergents d'Asie - Secrétariat d'Etat à l'économie


Berne, 19.09.2012 - L’économie asiatique déploie irrésistiblement sa puissance, son poids lourd étant la Chine. Certes, ce pays n’incarne pas tout le continent et le plus grand potentiel de croissance se trouve actuellement dans les pays situés au sud-est de celui-ci. C’est pour cette raison que le Conseil fédéral a émis une stratégie de politique économique extérieure propre à ce continent, dont l’objectif est d’élargir les liens économiques qui l’unissent à notre pays.


Mercredi 19 Septembre 2012




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