En effet, le gouvernement sous prétexte d’alléger certaines contraintes de la « loi Hamon », maintient en réalité une sanction financière lourde pour les entreprises (2% du montant de la cession). Or, ce dispositif risque de mettre en péril les projets de cession d’entreprise et donc la situation et l’emploi des salariés.
C’est pourquoi le Sénat propose de limiter l’information des salariés aux seuls cas de cessation d’activité sans repreneur, également dans une logique de sauvegarde de l’emploi.
Conforme à l’esprit initial de la « loi Hamon », ce dispositif veille à faciliter et à assurer les succès des projets de cessions et non à les contraindre avec pour seul objectif la préservation de l’emploi.
REPUBLIQUE FRANÇAISE
Paris, le 6 mai 2015
www.senat.fr
C’est pourquoi le Sénat propose de limiter l’information des salariés aux seuls cas de cessation d’activité sans repreneur, également dans une logique de sauvegarde de l’emploi.
Conforme à l’esprit initial de la « loi Hamon », ce dispositif veille à faciliter et à assurer les succès des projets de cessions et non à les contraindre avec pour seul objectif la préservation de l’emploi.
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