Ils agissent en profondeur, s’imprègnent des processus, de la structure, de la stratégie, puis remontent lentement à la surface, induisent de nouvelles pratiques et de nouveaux comportements. Il en est souvent de même pour les innovations sociales et sociétales, quelles qu’elles soient.
Les bonnes nouvelles relatives à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) empruntent la même voie; ce ne sont pas celles que l’on croit qui marquent des avancées notables, ni celles qui font la une des médias, du web, et des réseaux sociaux.
On a connu durant de longues années un courant d’opinion – à moins qu’il ne se soit agi d’une rumeur – selon lesquels la RSE serait un effet de mode, un concept marketing, une parade des milieux d’affaires face à la contestation issue de la mondialisation et du libéralisme.
Selon ses tenants, Il appartenait aux entreprises de démontrer de par leurs actions sur le terrain que la RSE représente non pas un écran de fumée ou une stratégie de fuite ou d’évitement, mais un engagement sincère, un changement d’attitude radical, ainsi qu’une réelle opportunité visant à infléchir le cours de la mondialisation et son corolaire, la financiarisation extrême des biens et services.
Rien n’y faisait. Quels que fussent les efforts d’engagement et de transparence effectués par les entreprises, ceux-ci étaient balayés d’un revers de main. La rumeur persistait.
La RSE ? Un effet de mode vous dit-on. Telle était la rengaine qu’on n’avait de cesse d’entendre. Au risque de voir cette affirmation elle-même tomber sous cette accusation.
Or, un autre courant d’opinion semble circuler et se répandre comme une traînée de poudre, et selon lequel la RSE serait passée de mode.
Entendons par là que les entreprises ont été démasquées, voire font marche arrière. A preuve, les entreprises font profil bas. Ne sont-elles pas avares de discours, et ne communiquent-elles pas de moins en moins sur leurs objectifs, actions, et résultats RSE ?
Méfions-nous des apparences. Il se pourrait qu’il en fût autrement. Les entreprises n’ont peut-être jamais autant effectué de progrès dans l’implémentation de leur démarche RSE, ni ne se sont autant engagées, et ce pour de nombreuses raisons.
Parce que les concepts et enjeux de la RSE ont fait leur chemin, les idées germent, les résistances tombent, le leadership s’affirme, les initiatives se multiplient, la prise de conscience évolue, l’environnement international se transforme, surtout la pression des dangers inhérents au changement climatique semble faire figure d’un épouvantail, pis d’une épée de Damoclès. Parce qu’également les problématiques RSE se diffusent dans toutes les fonctions de l’entreprise.
La communication RSE va enfin pouvoir établir ses lettres de noblesse. Elle va cesser d’être déclarative pour devenir factuelle.
On n’a jamais autant peu parlé de RSE, voilà une bonne nouvelle. Les entreprises arrivent à maturité. Les acteurs se mobilisent, les projets se discutent et se construisent, les équipes se forment. Silence ! On travaille.
Les bonnes nouvelles relatives à la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) empruntent la même voie; ce ne sont pas celles que l’on croit qui marquent des avancées notables, ni celles qui font la une des médias, du web, et des réseaux sociaux.
On a connu durant de longues années un courant d’opinion – à moins qu’il ne se soit agi d’une rumeur – selon lesquels la RSE serait un effet de mode, un concept marketing, une parade des milieux d’affaires face à la contestation issue de la mondialisation et du libéralisme.
Selon ses tenants, Il appartenait aux entreprises de démontrer de par leurs actions sur le terrain que la RSE représente non pas un écran de fumée ou une stratégie de fuite ou d’évitement, mais un engagement sincère, un changement d’attitude radical, ainsi qu’une réelle opportunité visant à infléchir le cours de la mondialisation et son corolaire, la financiarisation extrême des biens et services.
Rien n’y faisait. Quels que fussent les efforts d’engagement et de transparence effectués par les entreprises, ceux-ci étaient balayés d’un revers de main. La rumeur persistait.
La RSE ? Un effet de mode vous dit-on. Telle était la rengaine qu’on n’avait de cesse d’entendre. Au risque de voir cette affirmation elle-même tomber sous cette accusation.
Or, un autre courant d’opinion semble circuler et se répandre comme une traînée de poudre, et selon lequel la RSE serait passée de mode.
Entendons par là que les entreprises ont été démasquées, voire font marche arrière. A preuve, les entreprises font profil bas. Ne sont-elles pas avares de discours, et ne communiquent-elles pas de moins en moins sur leurs objectifs, actions, et résultats RSE ?
Méfions-nous des apparences. Il se pourrait qu’il en fût autrement. Les entreprises n’ont peut-être jamais autant effectué de progrès dans l’implémentation de leur démarche RSE, ni ne se sont autant engagées, et ce pour de nombreuses raisons.
Parce que les concepts et enjeux de la RSE ont fait leur chemin, les idées germent, les résistances tombent, le leadership s’affirme, les initiatives se multiplient, la prise de conscience évolue, l’environnement international se transforme, surtout la pression des dangers inhérents au changement climatique semble faire figure d’un épouvantail, pis d’une épée de Damoclès. Parce qu’également les problématiques RSE se diffusent dans toutes les fonctions de l’entreprise.
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Constant Calvo, Directeur associé ADHERE RH
http://blog.adhere-rh.com
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