Présentation de l’écosystème du big data, des architectures et interfaces basées sur le cloud, analyse du caractère hétéroclyte des données à structurer, le défi de l’interopérabilité sémantique et de la gouvernance des données… Sur toutes ces questions : le livre blanc publié par AFNOR apporte des réponses et identifie des opportunités de développement, par la normalisation volontaire.
Il a été élaboré au nom du Comité stratégique AFNOR information et communication numérique1, par un groupe de travail de 32 personnes impliquées dans l’écosystème big data. Ce groupe était animé par Charles Huot (Temis/Aproged), avec comme rapporteur Jean-François Legendre (AFNOR).
Le néophyte en big data appréciera ce livre blanc pour comprendre les enjeux du sujet, identifier les acteurs politico-économiques en présence et les normes volontaires déjà à sa disposition pour trouver des réponses à ses questions.
Les experts du sujet y trouveront des analyses pour orienter leurs choix de développement et identifier les opportunités de normalisation dans lesquels investir pour apporter des réponses aux nombreuses interrogations qui se posent.
En traduisant n’importe quelle donnée en bits informatiques, partageables sur des réseaux sociaux, stockables à distance avec le cloud computing, les nouvelles technologies de l’information et de la communication ont ouvert une nouvelle ère, celle du big data : la production et la gestion de « données massives » (l’équivalent français de l’expression). Par « massives », on entend de grandes quantités d’informations (exprimées en milliards d’octets), produites sur des supports variés (capteurs, téléphones, etc.), avec des outils extrêmement véloces permettant d’envisager des décisions en temps réel.
Ainsi défini, le big data constitue un enjeu fort pour tous les acteurs économiques. Pour les entreprises, le sujet est vu comme un moyen de mieux maîtriser leur marché, de conquérir de nouveaux prospects ou de mieux cerner les attentes de leurs clients actuels. L’information devient un actif stratégique. Par ailleurs, le big data est lui-même un objet de création de richesse, avec des sociétés se positionnant sur des activités de collecte, de vérification, de traitement, d’exploitation, d’archivage de données.
Le big data ne saurait exclure les acteurs publics, qui disposent là d’une opportunité pour proposer de nouveaux services aux citoyens. En particulier dans les domaines en rupture technologique, comme la ville intelligente, l’e-santé ou les smart grids. Mais rapidement, émergent plusieurs autres enjeux : celui du contrôle, de la fiabilité, de la propriété intellectuelle des données, et celui de l’interopérabilité tant au niveau du processus de collecte que de l’extraction de l’information et la restitution des résultats.
Télécharger le livre blanc « Big data : impact et attentes de normalisation volontaire » de juin 2015 :
http://www.afnor.org/afnor_formulaire/form/112673/1
Il a été élaboré au nom du Comité stratégique AFNOR information et communication numérique1, par un groupe de travail de 32 personnes impliquées dans l’écosystème big data. Ce groupe était animé par Charles Huot (Temis/Aproged), avec comme rapporteur Jean-François Legendre (AFNOR).
Le néophyte en big data appréciera ce livre blanc pour comprendre les enjeux du sujet, identifier les acteurs politico-économiques en présence et les normes volontaires déjà à sa disposition pour trouver des réponses à ses questions.
Les experts du sujet y trouveront des analyses pour orienter leurs choix de développement et identifier les opportunités de normalisation dans lesquels investir pour apporter des réponses aux nombreuses interrogations qui se posent.
En traduisant n’importe quelle donnée en bits informatiques, partageables sur des réseaux sociaux, stockables à distance avec le cloud computing, les nouvelles technologies de l’information et de la communication ont ouvert une nouvelle ère, celle du big data : la production et la gestion de « données massives » (l’équivalent français de l’expression). Par « massives », on entend de grandes quantités d’informations (exprimées en milliards d’octets), produites sur des supports variés (capteurs, téléphones, etc.), avec des outils extrêmement véloces permettant d’envisager des décisions en temps réel.
Ainsi défini, le big data constitue un enjeu fort pour tous les acteurs économiques. Pour les entreprises, le sujet est vu comme un moyen de mieux maîtriser leur marché, de conquérir de nouveaux prospects ou de mieux cerner les attentes de leurs clients actuels. L’information devient un actif stratégique. Par ailleurs, le big data est lui-même un objet de création de richesse, avec des sociétés se positionnant sur des activités de collecte, de vérification, de traitement, d’exploitation, d’archivage de données.
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