Michel Santi
Comment l’Union européenne a-t-elle pu tolérer en son sein – ou à son palier – des nations ayant favorisé de telles excroissances bancaires et financières ? Et pourquoi n’a-t-elle pas cherché à endiguer – quand il était encore temps – ce développement, d’autant plus morbide que les pays concernés étaient minuscules par la taille ? L’Islande, l’Irlande et Chypre n’ont effectivement dû leur prospérité fulgurante qu’au développement tentaculaire de leur « refuge » bancaire, qui devait réaliser tant de profits qu’il finit par devenir sans commune mesure par rapport à la taille de l’économie qui l’abritait. Trop massif pour pouvoir être sauvé ou « too big to save »…
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Lisez la suite dans finyear magazine de mars 2013
Michel Santi
Economiste et Analyste Financier (indépendant)
www.gestionsuisse.com
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