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27 novembre 2014 (n°7 - 16H45) | Sept raisons pour lesquelles le consensus a raison d'être plus optimiste sur la zone euro en 2015

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres. A la suite vous trouverez également un tableau de bord financier avec cotations, indices et taux mis à jour en temps réel. Finyear Eco est exclusivement réservé aux investisseurs et aux conseillers financiers professionnels et n’est pas destiné aux particuliers. Ces commentaires présentent un caractère purement informatif et ne constituent ni un conseil en investissement, ni une recommandation d’achat ou de vente d’instruments financiers.


Commentaires et chiffres du jour

27 novembre 2014 (n°7 - 16H45) | Sept raisons pour lesquelles le consensus a raison d'être plus optimiste sur la zone euro en 2015
N°7 - 16H45

Sept raisons pour lesquelles le consensus a raison d'être plus optimiste sur la zone euro en 2015

Par Gabriel Stein, Oxford Economics.

« La reprise faible et inégale en Europe a fait craindre que la possibilité que la zone euro s’enfonce dans une stagnation économique à la japonaise. A contrario, nous pensons qu'il y a 7 raisons d'être plus optimistes sur les perspectives en zone euro en 2015 et prévoyons une croissance de 1,2% :

1) l’évaluation globale des banques européennes par la BCE a encouragé les banques à lever des capitaux supplémentaires ou à se désendetter et les banques européennes sont dans leur meilleure position depuis la crise financière de 2008, et ainsi mieux placées pour financer la reprise.

2) La politique budgétaire a été un frein important depuis la crise, soustrayant de façon significative de la croissance alors que les gouvernements faisaient face à un impératif de consolidation budgétaire pro-cyclique. Peu à peu, cependant, nous avons vu un basculement vers des objectifs de déficit structurel, enlevant un poids déprimant sur l’activité.

3) les réformes structurelles agressives ont également été entreprises dans certains pays de la zone euro, stimulant la compétitivité avec un effet négatif initial sur les salaires et l'emploi. Même s’il reste de nombreuses réformes à mener sur le Continent pour améliorer à la compétitivité de la zone, les politiques semblent maintenant mettre l’accent sur la flexibilité du marché du travail. Par conséquent, maintenant que le chômage s’est stabilisé, les salaires nominaux recommencent à augmenter et à soutenir la demande.

4) De la même manière, l'emploi se redresse également. La reprise des salaires et de l'emploi se nourrit d’une reprise de la croissance du revenu nominal et semble alimenter un rebond de la consommation.

5) En soutien à ce phénomène, la baisse des prix du pétrole stimule aussi le pouvoir d'achat des consommateurs, conduisant à une augmentation des revenus réels. Nous pensons que les prix du pétrole vont ajouter 0.2% à la croissance l'année prochaine.

6) La dépréciation de l’euro, elle, à rebours des années précédentes, va soutenir la compétitivité et les exportations de l’ensemble de la zone.

7) Enfin, la BCE semble avoir changé de cap et être maintenant engagée à soutenir l’activité. Nous pensons que l'expansion agressive du bilan du bilan de la BCE, ainsi que l'assouplissement des normes de crédit seront, comme les autres facteurs cités, des soutiens à la croissance de la zone euro en 2015. »

Oxford Economics | 9 rue Huysmans 75006 Paris
www.oxfordeconomics.com


N°6 - 15H15

La fuite en avant de la zone euro

Une note de Christopher Dembik, Économiste, Saxo Banque.

Commentaire sur les derniers chiffres macroéconomiques.

Les mauvaises nouvelles s’accumulent pour les marchés financiers. Le net recul des crédits au secteur privé dans la zone euro en octobre confirme, une fois encore, que la transmission de la politique monétaire n’est pas optimale. Le soutien massif octroyé par la BCE ne bénéficie pas à l’économie réelle et permet simplement d’alimenter la hausse des marchés financiers.

Pour autant, bien que tout porte à croire que de nouvelles mesures n’auront qu’un effet marginal, on demande encore à la BCE de faire plus en se lançant dans un programme de rachats de dettes souveraines. C’est une invraisemblable fuite en avant mais ce qui est certainement le plus inquiétant, c’est que Mario Draghi semble prêt à répondre aux demandes des politiques et des investisseurs. Il devrait d’ailleurs le réaffirmer aujourd’hui depuis la Finlande, sans même évoquer les nombreux écueils techniques et politiques qu’un tel programme pourrait soulever.

On oublie simplement que le défi majeur de la zone euro n’est pas lié à l’offre de crédit mais plutôt à la demande de crédit qui reflète l’absence de confiance des agents économiques. On pourrait aussi bien déverser des billets de 500 euros par hélicoptère au-dessus de toute la zone euro, le reprise économique ne s’étofferait guère davantage.

Pour assombrir un peu plus le tableau, il semble faire consensus sur le marché que le chiffre de l’inflation pour l’Union Monétaire attendu demain va confirmer le risque de déflation et conduire inexorablement au désancrage des anticipations d’inflation. Ce risque n’est pas à minimiser mais il est essentiellement lié à la chute de près de 30% depuis mi-juin des prix du baril de pétrole. En d’autres termes, il s’agit d’un facteur externe sur lequel une banque centrale n’a pas prise. Le problème, c’est que la réunion de l’OPEP qui se tient aujourd’hui à Vienne ne devrait pas aboutir à une diminution de la production pétrolière, ce qui confirmerait la tendance durable à la baisse, par rapport aux dernières années, des prix de l’énergie. Bref, une nouvelle épine dans le pied de la BCE.

L’année 2015 s’annonce difficile et il n’y a aucune solution toute prête. Il apparait, cependant, que la BCE a fait son maximum et que des rachats de dettes souveraines ne vont pas changer fondamentalement la donne. Au contraire, ils pourraient faire courir des risques élevés à la stabilité financière de la zone en alimentant les phénomènes de bulle spéculative. Les Etats doivent donc prendre le relais, accepter temporairement la vertu bénéfique de la dépense publique mais en l’orientant vers les investissements permettant d’acquérir un avantage compétitif durable. Le plan Juncker n’y répond que très imparfaitement.


N°5 - 11H15

Chronique d’un effondrement prévisible : quand le Japon se fait hara-kiri !

Les récents chiffres de la croissance au Japon sont sans appel : l’économie du pays est au bord de la falaise et les « Abenomics » (politique de soutien mise en place à partir de 2012 par Shinzo Abe, l’actuel premier ministre) sont un échec retentissant. Dans ce contexte, la Banque Centrale a annoncé récemment une intensification de sa politique monétaire. Retour en quelques lignes sur les raisons de cette fuite en avant…

Le Japon est entré dans un cercle vicieux de stagnation / récession / déflation à partir du milieu des années 90. Pour de nombreux observateurs, cela serait la conséquence d’une multiplication d’erreurs de politique économique et monétaire. C’est selon nous une appréciation inexacte de la situation : ce cycle mortifère est surtout l’expression de l’ADN démographique du pays, ayant conduit le pays à vieillir 20 ans avant l’ensemble du monde occidental.

L’erreur principale du Japon a été de ne pas adapter ses dépenses publiques à la faiblesse de ses recettes. La conséquence ? Un déficit public de -6 % à -10 % du PIB chaque année depuis 1998 (sauf en 2006 et 2007), entraînant une accumulation stratosphérique de dette publique, passée de 60 % du PIB en 1990 à… 240 % du PIB aujourd’hui. Si cela a pu se produire, c’est parce que le pays a durant toute cette période disposé d’une épargne suffisante pour financer ses déficits par de l’argent japonais.

Malheureusement, ce n’est plus le cas aujourd’hui. En théorie, le pays devrait faire appel à l’épargne internationale. Mais quel investisseur étranger serait prêt à prêter de l’argent à un État endetté à hauteur de 240 % de son PIB… contre seulement 0,5 % par an de rémunération sur 10 ans ? Aucun. Pour éviter l’arrêt cardiaque, la Banque Centrale du Japon a ainsi décidé d’acheter directement des obligations en faisant tourner sa planche à billets... ce qui permet à l’État japonais de poursuivre ses dépenses.
Un tel comportement, qui consiste à réaliser une impression massive de liquidités afin de régler des problèmes structurels (en lien avec le vieillissement de la population), ne sera pas sans conséquence : la confiance des agents privés du pays dans la valeur de leur monnaie finira inexorablement par s’effondrer, entraînant le yen dans les abîmes…

Pierre Sabatier - Article extrait de la revue Décryptage, n°16, Novembre 2014
PrimeView, cabinet indépendant de recherche économique et financière, publie chaque mois la revue Décryptage, qui vise à apporter des bases solides pour décrypter l’actualité économique et financière, à identifier les grands enjeux des entreprises dans une économie mondialisée et interdépendante et à anticiper les tendances d’un monde en mutation. Son objectif est de permettre aux décideurs et entrepreneurs de prendre de la hauteur dans un environnement économique particulièrement compliqué et incertain et de bénéficier d’un regard neuf, objectif, argumenté et transversal pour optimiser leur stratégie d’entreprises au regard des scénarios économiques.
www.primeview.fr


N°4 - 10H45

Brent Touches Four Year Low, Thanksgiving Holiday in US Today

Japanese stocks closed down on Thursday, as selling of Nikkei futures in the afternoon widened earlier losses driven by weak U.S. data and a stronger Yen. The Nikkei benchmark shed 0.8% to close at 17,248.50. Many investors stayed on the sidelines ahead of the Thanksgiving holiday in the U.S., and the trade volume was the lowest since Nov. 10. U.S. stocks rose on Wednesday boosted by tech shares, while the energy sector was once more the largest weight on the market as crude prices continued to flirt with multi-year lows. The Dow and S&P500 both closed at record highs, 17,827 and 2,072 respectively.

The Yen gained 0.3% to 117.36 per Dollar adding to a two-day 0.5% advance after indications that traders could be adjusting their end of month positions. Australia’s Dollar rose for a second day as the statistics bureau said private capital expenditure increased 0.2% in the third quarter. The Aussie gained 0.5% to 85.92 U.S. cents and the New Zealand Dollar rose 0.5 percent to 79.15 U.S. cents.

Brent crude fell to a four-year low under $76.30 a barrel on Thursday as it became increasingly unlikely that OPEC would cut output in support of prices during a meeting in Austria.

Italy's Intesa Sanpaolo's CEO Carlo Messina told the Corriere della Sera newspaper that the retail bank was interested in growing in countries such as Britain, the United States and Switzerland, as well as in Asia and when asked about Coutts International, after a source close to the matter said this week Intesa could be interested in the wealth management arm of Royal Bank of Scotland, Messina said it was a "very interesting asset", but that RBS was reluctant to sell it.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°3 - 10H30

Ouverture en ordre dispersé, faible liquidité attendue en ce jour de Thanksgiving

Marchés actions
Sur les marchés actions, les principaux indices à travers le monde ont fini en ordre dispersé. Ainsi Wall Street a gagné du terrain avec notamment le Nasdaq qui s’est adjugé 0.61% à 4 787.32 points et le S&P500 qui a progressé de 0.28% à 2 072.83 points tandis que le Dow Jones ne s’est contenté que de 0.07% à 17 827.75 points, pénalisé notamment par les pétrolières qui plongent avec l’or noir. Wall Street continue d’aligner les records, en dépit d’indicateurs macroéconomiques mitigés mais dont semblent se détourner les investisseurs. Rappelons que les marchés actions américains seront fermés aujourd’hui en raison de Thanksgiving, ce qui entraîne historiquement une baisse de la liquidité sur les marchés qui peuvent provoquer des mouvements erratiques.

De leur côté, les indices européens ont été plus à la peine avec un repli de 0.20% pour le CAC 40 à 4 373.42 points, tout comme le Footsie qui clôture proche de la neutralité en cédant 0.03% à 6 729.17 points. Seul le Dax a sorti son épingle du jeu en grappillant 0.55% à 9 915.56 points.

Du côté du pays du soleil levant, la Bourse de Tokyo accuse le coup ce matin en raison de la hausse du Yen face au billet vert et cède 0.78% à 17 248.50 points. En effet, les valeurs exportatrices ont depuis quelques mois fortement profité de la hausse du dollar face au yen, et le moindre mouvement contraire sur la paire de devise peut provoquer une prise de bénéfices surtout dans un contexte plutôt calme avec Thanksgiving aux Etats-Unis.

Ce matin, profitant toujours des spéculations sur de nouvelles mesures que pourraient prendre la BCE pour soutenir la reprise économique à peine visible et éviter les risques de déflation, les principaux indices européens sont attendus en légère hausse. La journée devrait être plutôt calme aujourd’hui, faute d’indicateurs majeurs et de la présence de nombreux opérateurs de marché aux Etats-Unis.

A noter qu’en raison de Thanksgiving, les volumes d’échanges devraient diminuer, et la volatilité augmenter, jusqu’à la fin de la semaine alors que les marchés actions américains seront notamment fermés aujourd'hui et fermeront plus tôt Vendredi : http://www.saxobank.com/prices/general/thanksgiving-trading-hours

Forex
Sur le marché des devises, le dollar a perdu du terrain hier face à la monnaie unique après une série d’indicateurs mitigés outre-Atlantique.

L’indice d’achats des ménages américains a augmenté de seulement 0,2 pour cent en Octobre, soit inférieur au consensus qui tablait sur une hausse de 0,3 pour cent. Dans le même temps, les réservations pour les biens d'équipement non militaires hors aéronautique ont chuté de façon inattendue de 1,3 pour cent hier selon le département du Commerce américain. Certains investisseurs pourraient chercher à prendre des bénéfices sur la paire EURUSD dans les jours à venir, si les données futures confirment ce léger ralentissement aux États-Unis.

Sur le vieux continent, lors de son discours d'aujourd'hui, à la veille des données prévues à montrer que l'inflation est proche de zéro coulissant et une semaine avant la décision le 4 décembre de la politique monétaire, le président de la BCE Mario Draghi peut chercher à réitérer l'urgence de la situation. Un membre de l’institution européenne a déclaré hier que les responsables envisageraient d'acheter des parts de dette souveraine au premier trimestre si nécessaire.

La BCE, basée à Francfort a essayé cette année d'améliorer l'accès des entreprises et des ménages au crédit, et plus récemment, tente de stimuler la croissance de la zone avec un programme de prêts bancaires ciblées ainsi que des achats d'obligations sécurisées et des titres adossés à des actifs. Avec peu de preuves d'une reprise auto-entretenue, Draghi fait campagne pour créer plus d'argent . La paire majeure du Forex s’échange ce matin aux alentours de 1,2515 dollar.

Outre-Manche, la livre britannique se stabilisait face à la monnaie unique européenne, à 0,7920 livre pour un euro, comme face au dollar, à 1,5794 dollar pour une livre, après l’annonce du PIB annuel estimé à 3 pour cent, et équivalent aux prévisions des économistes.

Du coté asiatique, les paires EURJPY et USDJPY restent toutes deux stables, s’échangeant respectivement à 146,73 yens pour un euro et 117,27 yens pour un dollar, avant une série d’indicateurs à paraitre au Japon vendredi matin.

Matières premières
Au chapitre des matières premières, les cours de l’or noir poursuivent leur baisse avant l’une des réunions les plus importantes depuis des années pour l’Opep dans le but de trouver un compromis entre ses membres. La seule arme réellement utile de l’organisation pour enrayer la chute des prix du baril est l’abaissement du plafond de production. Néanmoins, ses membres se montrent divisés sur la question entre les partisans d’une réduction de l’offre et les autres comme l’Arabie saoudite, qui préfèrent maintenir les quotas actuels et préserver sa part de marché. Pour rappel, en 2011 les membres de l’Opep avaient fixé à 30 millions de barils par jour sa production maximum, ce qui représente près du tiers de la production mondiale. Le contexte économique mondial actuel ne favorise pas le « cartel ». Le ralentissement économique des Etats-Unis et de la Chine pénalise la demande de pétrole alors que l’offre se montre abondante sur le marché grâce notamment au pétrole de schiste des Etats-Unis. Ce matin, le Brent de la Mer du Nord se négocie proche des 76,60 dollars et le WTI s’affiche de son côté autour des 73 dollars.

Du coté des métaux précieux, l’once d’or s’échange ce matin aux alentours de 1 192 dollars et l’once d’argent se traite autour des 16,33 dollars. Les dernières statistiques américaines ressortent contrastées avec une prévision de croissance du PIB américain révisée à la hausse tandis que les inscriptions au chômage sont reparties en hausse et les ventes de logements neufs et les commandes de biens durables progressent timidement. Enfin, le PMI de Chicago tombe à 60,8 points en novembre contre un précédent de 66,2.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°2 - 9H15

UBS daily roundup - Sic transit gloria Abenomics?

Paul Donovan daily briefing.

• In the wake of the weaker third quarter data we have revised our Japanese GDP numbers. We now see 0.4% growth this year (was 1.1%). The 2015 forecast is unchanged, but assuming a supplementary budget in response to this outcome we have revised up 2016 GDP.

• The US is of course away, giving thanks by shopping. The evidence of the US retail sector is of an improvement in hiring, and some increase in retail wages. This may add to inflation in 2015, as retailers have pent up cost pressures that have not yet been passed on to consumers.

• The Euro area has M3 money supply which is expected to show the continued absence of much of a money multiplier effect (poor bank lending). Consumer and corporate confidence is also due, and some of the national data has been a little stronger than expected this month.

• OPEC meets on oil production, but the markets are not anticipating any change in the wake of signals from the preliminary discussion.

www.ubs.com/investmentbank


N°1 - 9H00

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading little changed to moderately higher this morning receiving a lift from firm US markets having rallied strongly into the close yesterday evening ahead of the Thanksgiving holiday today.
An additional boost is coming out of China where the POBC has taken another measure to loosen monetary policy further by not having sold repurchase agreements for the first time since July.

Trading activity should be moderate at best today and will likely decline later this afternoon due to the US celebrating Thanksgiving today.
Still there are plenty of European data out this morning and it will be interesting to see if the German DAX will manage to extend its 10 day winning streak.
Overall German employment data and several Euro-zone sentiment and confidence indicators should show little change compared to the previous month reflecting a weak but stable Eurozone-economy. Should these numbers turn out substantially weaker than expected this would consequently increase pressure on the ECB to make a decision about QE rather sooner than later.
Finally the long awaited OPEC meeting in Vienna is starting today, oil has been in a bit of a ‘downward spiral’ during the past few months due to weakening demand especially in the Euro-zone and China and a shale-oil boom in the US.
Because of weak fundamentals it remains doubtful if any cut in oil output by OPEC can propel prices higher in the months to come.
Sentiment for stocks remains positive while markets remain in overbought territory for now.
Overall direction remains to the upside however intra-day sell-offs partially caused by profit-taking towards the end of the months appear likely at this stage.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Business Geografic annonce le rachat d’I²G 26/11/2014
- Egis acquiert la société d’ingénierie brésilienne Lenc 26/11/2014
- Orclass.com, le leader français du rachat d’or sur internet, entre sur le Marché Libre 26/11/2014
- Cler Verts reforce ses fonds propres avec Multicroissance, Grand Sud Ouest Capital et MPEI 26/11/2014
- OTC Agregator cède sa participation dans Eurobio 26/11/2014
- OTC Agregator entre au capital de la société réunionnaise Gaia 26/11/2014
- LYDIA Solutions réalise une levée de 3,6 M€ 25/11/2014
- Doctolib annonce une nouvelle levée de fonds de 4 M€ 25/11/2014
- Proservia souhaite acquérir l’activité «Workplace & Service Desk Services» d’Atos en France 25/11/2014
- Archers annonce l’arrivée d’un nouvel associé au sein de son pôle Corporate-Capital Investissement 25/11/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Jeudi 27 Novembre 2014




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