A partir du centre, de gauche à droite : Jean-Louis CHAMBON, Jean-Marc DANIEL, lauréat, le Ministre Bernard CAZENEUVE, Jean-Luc BUCHALET, mention d’honneur, Pierre SABATIER, Prix du Jeune talent.
Cette Edition a connu un rayonnement exceptionnel en raison d’une forte participation (500 personnes) et de la présence conjointe du Ministre du Budget, Bernard CAZENEUVE et du Président du Conseil Economique Européen, Henri MALOSSE.
Pour le Ministre « le Prix Turgot est devenu le grand rendez-vous annuel de la littérature économique, apportant une contribution essentielle au soutien des auteurs et au rayonnement de la pensée économique, française et francophone ».
Le Prix Turgot s’est en effet assigné une double mission :
- Encourager les auteurs et les reconnaître en suscitant des vocations,
- Et contribuer à la pédagogie économique en favorisant l’accès d’un large public, à l’économie.
Le palmarès a permis de distinguer en outre, et pour la première fois, le lauréat du Prix des Directeurs Financiers qui est revenu à la Revue d’Economie Financière pour son ouvrage « Système financier et création de valeur ».
Le Prix FFA Turgot de la francophonie revenait à « la finance islamique et la crise contemporaine » chez AEG et était décerné par le recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie, Bernard CERQUIGLINI.
A noter qu’une nouvelle fois cette cérémonie nationale mettait le « Bourbonnais à l’honneur », comme le faisait remarquer le Ministre, à travers l’Ecole Nationale du Verre du Lycée Jean Monnet qui a réalisé les trophées des lauréats et Imprim Repro qui a conçu les plaquettes de communication.
La conclusion revenant à Michel BON, Président du Grand Jury : « un grand cru 2013 de la littérature économique ».
A propos de Ricardo :
Théoricien classique du commerce, l’économiste anglais, David RICARDO, (1772-1823) a démontré que l’échange et la spécialisation sont toujours préférables, pour un pays, qu’il possède ou non « un avantage absolu ». Ricardo est le père de la théorie dite « de l’avantage comparatif ». Les Ricardiens proposent de s’appuyer d’abord sur l’Entrepreneur pour le soutien de la demande tandis que les keynésiens fondent leur approche sur les effets prétendus bénéfiques des déficits budgétaires dont on mesure aujourd’hui les résultats…….
(1) Bernard ESAMBERT, Economiste : ancien président de l’Ecole Polytechnique, de la Compagnie financière de Rothschild, Président des fondations pour la lutte contre les maladies du cerveau.
Pour le Ministre « le Prix Turgot est devenu le grand rendez-vous annuel de la littérature économique, apportant une contribution essentielle au soutien des auteurs et au rayonnement de la pensée économique, française et francophone ».
Le Prix Turgot s’est en effet assigné une double mission :
- Encourager les auteurs et les reconnaître en suscitant des vocations,
- Et contribuer à la pédagogie économique en favorisant l’accès d’un large public, à l’économie.
Le palmarès a permis de distinguer en outre, et pour la première fois, le lauréat du Prix des Directeurs Financiers qui est revenu à la Revue d’Economie Financière pour son ouvrage « Système financier et création de valeur ».
Le Prix FFA Turgot de la francophonie revenait à « la finance islamique et la crise contemporaine » chez AEG et était décerné par le recteur de l’Agence Universitaire de la Francophonie, Bernard CERQUIGLINI.
A noter qu’une nouvelle fois cette cérémonie nationale mettait le « Bourbonnais à l’honneur », comme le faisait remarquer le Ministre, à travers l’Ecole Nationale du Verre du Lycée Jean Monnet qui a réalisé les trophées des lauréats et Imprim Repro qui a conçu les plaquettes de communication.
La conclusion revenant à Michel BON, Président du Grand Jury : « un grand cru 2013 de la littérature économique ».
A propos de Ricardo :
Théoricien classique du commerce, l’économiste anglais, David RICARDO, (1772-1823) a démontré que l’échange et la spécialisation sont toujours préférables, pour un pays, qu’il possède ou non « un avantage absolu ». Ricardo est le père de la théorie dite « de l’avantage comparatif ». Les Ricardiens proposent de s’appuyer d’abord sur l’Entrepreneur pour le soutien de la demande tandis que les keynésiens fondent leur approche sur les effets prétendus bénéfiques des déficits budgétaires dont on mesure aujourd’hui les résultats…….
(1) Bernard ESAMBERT, Economiste : ancien président de l’Ecole Polytechnique, de la Compagnie financière de Rothschild, Président des fondations pour la lutte contre les maladies du cerveau.
Jean-Louis Chambon
Président du Prix et du Cercle TURGOT, et de la Fédération Nationale des Cadres Dirigeants
Retrouvez les chroniques de Jean-Louis Chambon sur www.canalacademie.com
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