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17 décembre 2014 (n°6 - 11H15) | La croissance annuelle des coûts de la main-d’œuvre en baisse à 1,3% dans la zone euro

Économie, marchés, actions, devises, matières premières. Professionnels : votre quotidien Finyear vous offre tout au long de la journée, des commentaires et des chiffres.


Commentaires et chiffres du jour

17 décembre 2014 (n°6 - 11H15) | La croissance annuelle des coûts de la main-d’œuvre en baisse à 1,3% dans la zone euro
N°6 - 11H15

La croissance annuelle des coûts de la main-d’œuvre en baisse à 1,3% dans la zone euro

Stable à 1,4% dans l’UE28.

Les coûts horaires de la main-d’œuvre ont augmenté de 1,3% dans la zone euro (ZE18) et de 1,4% dans l’UE28 au troisième trimestre 2014, par rapport au même trimestre de l’année précédente. Au deuxième trimestre 2014, les coûts horaires de la main-d’œuvre avaient progressé de 1,4% dans les deux zones. Ces données sont publiées par Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.

Les deux principales composantes des coûts de la main-d’œuvre sont les salaires & traitements ainsi que les coûts non salariaux. Dans la zone euro, les salaires & traitements horaires ont augmenté de 1,4% et les coûts non salariaux de 1,2% au troisième trimestre 2014, par rapport au même trimestre de l’année précédente. Au deuxième trimestre 2014, les variations annuelles s’établissaient respectivement à +1,4% et +1,3%. Dans l’UE28, les salaires & traitements horaires ont progressé de 1,4% et les coûts non salariaux de 1,5% au troisième trimestre 2014, contre +1,4% pour chacune des deux composantes au deuxième trimestre 2014.

Ventilation par activité économique
Au troisième trimestre 2014 par rapport au même trimestre de l’année précédente, les coûts horaires de la main d’oeuvre dans la zone euro ont progressé de 1,7% dans l’industrie, de 1,0% tant dans la construction que dans les services et de 1,5% dans l’économie (principalement) non-marchande. Dans l'UE28, les coûts horaires de la main-d'oeuvre ont augmenté de 2,1% dans l'industrie, de 1,2% tant dans la construction que dans les services et de 1,3% dans l’économie (principalement) non-marchande.

États membres
Au troisième trimestre 2014, les hausses annuelles les plus importantes des coûts horaires de la main-d’oeuvre dans l'ensemble de l'économie ont été enregistrées en Estonie (+6,3%), en Slovaquie (+5,7%), en Lettonie (+5,4%), en Grèce et en Roumanie (+5,2%). Des baisses ont été relevées à Chypre (-2,8%), en Irlande (-0,8%) ainsi qu’en Croatie (-0,3%).

Pour aller plus loin (graphiques et tableaux)


N°5 - 11H00

Le taux d’inflation annuel de la zone euro en baisse à 0,3%

Celui de l'UE en baisse à 0,4%.

Le taux d’inflation annuel de la zone euro s’est établi à 0,3% en novembre 2014, contre 0,4% en octobre. Un an auparavant, il était de 0,9%. Le taux d’inflation annuel de l’Union européenne s’est établi à 0,4% en novembre 2014, contre 0,5% en octobre. Un an auparavant, il était de 1,0%. Ces chiffres sont publiés par Eurostat, l’office statistique de l'Union européenne.

En novembre 2014, des taux annuels négatifs ont été observés en Bulgarie (-1,9%), en Grèce (-1,2%), en Espagne (-0,5%) et en Pologne (-0,3%). Les taux annuels les plus élevés ont quant à eux été enregistrés en Roumanie et en Autriche (1,5% chacun) ainsi qu'en Finlande (1,1%). Par rapport à octobre 2014, l’inflation annuelle a baissé dans seize États membres, est restée stable dans cinq et a augmenté dans six autres.

Les plus forts impacts à la hausse sur le taux d’inflation annuel de la zone euro proviennent des restaurants & cafés (+0,09 point de pourcentage), des loyers (+0,08pp) et du tabac (+0,06pp), tandis que les carburants pour le transport (-0,22pp), les télécommunications et les combustibles liquides (-0,09pp chacun) ont eu les plus forts impacts à la baisse.

EUROSTAT
http://ec.europa.eu/eurostat


N°4 - 10H00

La tendance reste volatile avant la FED

Marchés actions
Sur les marchés actions, au sein d’une journée particulièrement volatile, les différentes places ont terminé en ordre dispersé. Ainsi, après avoir plongée en début de séance en raison notamment de la chute du rouble, les places européennes ont opéré un rebond spectaculaire pour terminer la journée sur une progression de plus de 2%. Le CAC 40 s’est notamment envolé de plus de 4%, suite à son plus bas de la séance pour clôturer à 4 093.20 points en s’adjugeant donc 2.19%. Le Footsie et le Dax ont suivi le mouvement en engrangeant respectivement 2.19% et 2.46% à 6 331.83 points et 9 563.89 points.

Après avoir semblé insensible à la chute de la Bourse de Moscou, et dans le sillage des bourse européennes en début de séance, Wall Street sortait la tête de l’eau, emmené notamment par le Dow Jones, avant un retournement en fin de séance, plongeant Wall Street dans le rouge, dans le sillage des valeurs technologiques, qui ont souffert de la très forte volatilité des marchés. Le Nasdaq abandonne ainsi pas moins de 1.24% à 4 547.83 points, le S&P500 0.85% à 1 972.74 points et le Dow Jones 0.65% à 17 068.87 points.

Les marchés ont particulièrement souffert de la chute vertigineuse du rouble hier qui a perdu plus de 20% sur la journée, en dépit de la hausse des taux de la Banque Centrale russe. De plus, le plongeon du pétrole continue de pénaliser les parapétrolières et inquiète les investisseurs. Ces derniers se tournent maintenant vers la FED, et tout particulièrement vers le « ton » employé par celle-ci pour tenter d’évaluer et de dégager le début de la hausse des taux d’intérêts aux États-Unis, maintenu proche de zéro.

Ce matin, la Bourse de Tokyo a grappillé 0.38% à 16 819.73 points, au milieu d’une séance plus calme, les investisseurs attendant avec impatience le compte rendu de la réunion de la FED. Au vue du contexte économique, de la chute de l’or noir, certains investisseurs ne semblent pas s’attendre à une anticipation de la relevée des taux.

Aujourd’hui, au lieu du rallye traditionnel de fin d’année, les investisseurs scruteront donc avec impatience deux évènements phares de cette fin d’année, à savoir le compte rendu de la réunion de la FED, et le scrutin du premier tour de l’élection présidentielle en Grèce. Selon les dernières estimations, il est peu probable qu’un accord soit trouvé pour cette élection, ce qui amènerait à un deuxième tour le 22 Décembre prochain, voir un troisième. Si aucun accord n’est trouvé à l’issu de ces deux scrutins, le parlement sera dissout et de nouvelles élections législatives seront à prévoir en début de l’année prochaine, avec le risque de voir le parti anti austérité et anti européen s’imposer.

Du côté de la FED, les investisseurs se pencheront donc sur les prévisions économiques de la Banque Centrale tout d’abord, puis tout particulièrement sur le ton employé lorsque la hausse des taux sera mentionnée. En effet, les États-Unis, contrairement au reste du monde, restent sur une bonne dynamique avec un taux de chômage au plus bas depuis plus de six ans, de nombreuses créations de postes le mois dernier et un très bon PIB. Il faut toutefois faire attention aux chiffres sur la création d’emplois alors que l’on se trouve juste avant les fêtes de fin d’année.
C’est donc une séance cruciale qui s’annonce aujourd’hui, alors que les investisseurs seront également attentifs à la situation en Russie.

Forex
Sur le marché des devises, l'euro progressait face au dollar mardi, après la publication de plusieurs chiffres positifs sur l'activité économique européenne, alors que le marché des changes restait dominé par la chute du rouble.

Grâce à des indicateurs plutôt satisfaisants, illustrés hier par une hausse de l'indice PMI manufacturier de la zone euro, qui s'est établi à son plus haut niveau en deux mois à 51,7, et un indice allemand ZEW du sentiment des investisseurs en progrès à 34,9, la monnaie unique a gagné du terrain face au billet vert.
Certains investisseurs, profitent de cette fin d’année pour ajuster leurs positions sur la parité euro-dollar, après la baisse enregistrée par la monnaie unique depuis le mois de mai dernier où la devise européenne avait enregistré un plus haut de 1,3992 dollar.

Ce mercredi, la prudence reste dans l'ensemble de mise dans l'attente des résultats du premier tour des élections présidentielles en Grèce et du communiqué que publiera le Comité de politique monétaire de la Fed à l'issue de sa réunion de mardi et mercredi et les indices qu'il donnera sur un éventuel relèvement précoce de ses taux d'intérêt, actuellement proches de zéro.

Malgré un recul surprise des mises en chantier de logements en décembre, la reprise économique aux États-Unis continue de montrer des signes d'amélioration, notamment du côté du marché du travail, alors que la Fed en fait l'élément déclencheur d'une hausse de ses taux d'intérêt.
La paire phare du Forex reprend un peu de hauteur à 1,2485 dollar pour un euro ce matin.

Outre-Manche, la devise britannique restait stable suite à un indice des prix à la consommation en-dessous des estimations, à 1%. L’euro s’échange aux alentours de 0,7935 livre et le cable GBPUSD aux encablures de 1,5713 dollar.

Du côté asiatique, les ajustements techniques des cambistes sur les paires en yen combinés à une balance commerciale moins déficitaire que prévue à 892 millions ont renforcé la devise japonaise, à 146,33 yens pour un euro et 117,25 yens pour un dollar.

Hier, le marché des devises était surtout dominé par une impressionnante baisse du rouble malgré la décision de la banque centrale de Russie de relever son taux directeur de 10,5 à 17%. La monnaie russe perd depuis le début de l'année 42% de sa valeur face à l'euro et 49% face au dollar, s’échangeant respectivement à 83,40 roubles pour un euro et 66,85 roubles pour un dollar.

Matières premières
Le pétrole était en baisse mercredi matin, le Brent restant résolument sous la barre des 60 dollars le baril, enfoncée mardi.
Le contrat WTI cotait ce matin $55.44 il se reprend légèrement ces dernières 24h, il a gagné deux centimes hier à $55.93. Le Brent, lui a vu son contrat de janvier expirer hier juste en dessous des $60 à $59.86. La prime entre les deux contrats était de $4.03.

Depuis la dernière réunion de l’OPEP tant attendue rien n’est fait pour aller dans le sens d’un rebond du pétrole. Les plus gros membres de l’OPEP avaient résisté aux appels des plus petits producteurs notamment le Venezuela et l’Equateur pour réduire leurs quotas afin d'endiguer la déroute des prix. La baisse de 46% pour cette année sur le Brent contribue à une crise monétaire en Russie, qui repose sur les exportations d'énergie pour la moitié de son budget. Les sanctions imposées par l'Union européenne et les États-Unis sur le conflit en Ukraine a également encouragé les plus grandes sorties de capitaux de la Russie en six ans alors que son économie se rapproche de la récession. Les prix des matières premières resteront volatils mercredi car le marché attend la décision de la Réserve fédérale américaine sur ses taux.

Sur les statistiques, les données de l'American Petroleum Institute ont signalé hier une hausse inattendue des stocks de 1,9 million de barils aux Etats-Unis la semaine dernière. Le département américain de l'Energie doit publier ses propres donnés sur les stocks mercredi, et les analystes attendent une baisse de 1,9 million de barils.

L’or s’échangeait ce matin à $1197.28 l’once, le plongeon record du rouble a eu paradoxalement un impact négatif sur l’or avec la forte probabilité que la Russie vide ses réserves d’or pour mener à bien la stabilité de sa monnaie. Les investisseurs suivront ce soir la décision de la Fed sur ses taux d’intérêts qui pourrait avoir un impact important.

Saxo Banque (France)
www.saxobanque.fr


N°3 - 9H45

Russia at the Edge of the Precipice, AUD hits 5-Year Lows, No Joy for Oil

An uneasy hush settled over Asian markets on Wednesday as a brewing financial crisis in Russia and the rout in oil prices sent investors scurrying for the cover of top-rated bonds. Yields on British, German and Japan sovereign debt had all hit record lows while long-dated U.S. and Australian yields reached their lowest since 2012. U.S. stocks fell for a third day in a volatile session on Tuesday, led by declines in consumer discretionary and technology shares, while another drop in the Russian rouble added to worries about the global economy. The Dow closed down 111 points at 17,068 while the S&P500 closed at 1,977.

The urge to close leveraged positions caused collateral damage to the Dollar as investors had been very long on the currency in anticipation of further gains, and helped the Euro up to $1.2510. The rush from risk tended to benefit the safe haven Yen, with the Dollar back at 116.79 having been atop 118.00 on Tuesday. The commodity linked Australian Dollar also took a dive to a five-year trough of $0.8157.

There was no respite for oil as Brent leaked another 66 cents to $59.35 a barrel in Asia on Wednesday, while U.S. crude lost $1.12 to $54.81.

British telecoms group BT's plan to buy UK mobile operator EE for 12.5 billion pounds ($19.7 billion) should be completed by the end of 2015 or early 2016, said a senior executive of French group Orange which owns half of the business. BTs stock was down 0.7% in early trade at 401p per share.

David Papier
Market Analyst
ETX Capital, One Broadgate, London EC2M 2QS
www.etxcapital.com


N°2 - 9H30

Peregrine & Black: Mid-Morning Market Comment

Good Morning Finyear Readers!

European shares are trading lower this morning failing to extend yesterday’s impressive afternoon turnaround as a sharp sell-off in late US trading is hurting sentiment early on today.
Overnight, a rise in a Chinese business sentiment indicator compared to the previous month had so far little success in dispersing the deeply negative sentiment continuing to prevail in Europe this morning.

For the first half of the trading day focus this morning will be on UK employment data, BOE minutes and Euro-zone inflation data.
No change is expected what the BOE minutes are concerned while employment data are expected to show a strong labour market.
Later today the FOMC meeting will take centre stage, with many speculating that the statement will change in regard to the phrase that interest rates won’t be going up for an extended time.
Changing the phrase and basically starting to prepare the market for a rise in rate in 2015 doesn’t necessarily has to be a bad thing instead many might just see this as a sign that despite the current market turmoil and raging global growth fears the Fed is confident that the US economy is strong enough to weather the storm and will most likely power ahead in 2015 with the same vigour as in the second half of 2014.
Overall sentiment remains negative whereby volatility is expected to moderate a bit ahead of the FOMC meeting this evening.
A confident Fed statement and an upbeat Fed chief Janet Yellen in the press conference following the announcement of the FOMC decision might just go a long way in bringing some much needed calm into markets.

Markus Huber | Senior Sales-Trader/Senior Analyst
Peregrine & Black
www.peregrineblack.com


N°1 - 9H00

UBS daily roundup - Déjà vu 1992 (the 2014 remix) Part II

Paul Donovan daily briefing.

• Whether the pledge of "no capital controls" in Russia is deemed credible by markets or not, the crisis has lasting consequences. Russian government debt is low, but corporate debt is already trading as if sub investment grade, and usable FX reserves are less than might be thought.

• Greece's presidential election (first round) with the associated risk of a general election is today. Market concerns about contagion are not direct economic links (neither economy is very important globally and Russia's influence was already diminished by sanctions), but from investors looking for parallels.

• The US Fed takes its policy decision (it is already tightening quantitative policy) against this backdrop. We think markets overestimate their importance with policy makers and that the Fed will signal interest rate increases next year on the back of strong US fundamentals.

• US consumer price inflation is forecast 0.2% core (headline is oil affected) in month on month terms. Euro headline consumer prices are expected to be 0.3% year on year – a growth inflation not growth deflation force. UK labour data is due, and Japanese exports disappointed.

www.ubs.com/investmentbank



Corporate Finance : commentaires du jour

L'actu Corporate Finance par FinActu:

- Baromètre mondial du capital investissement de Coller Capital, hiver 2014 15/12/2014
- Le Groupe Plastivaloire annonce l’acquisition du plasturgiste allemand Karl Hess 15/12/2014
- Yannick Piette devient associé du bureau parisien de Weil Gotshal & Manges LLP 15/12/2014
- L’activité du private equity et du capital investissement (01/12 – 12/12) 15/12/2014
- Fimalac : Cession de 30% de Fitch Group à Hearst pour 1.965 Mds$ 15/12/2014
- Hervé Schauer Consultants entre dans le giron de Deloitte France 15/12/2014
- Pierre-Arnoux Mayoly rejoint le bureau parisien de Curtis Mallet-Prevost, Colt & Mosle LLP, en qualité de Counsel 15/12/2014
- Récapitulatif des levées de fonds (01/12 – 12/12) 15/12/2014
- Robertet cède sa filiale en Belgique à Nactis 15/12/2014
- Icade cède un portefeuille de magasins Mr. Bricolage à Tikehau Capital 15/12/2014

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TAUX D'INTERET LEGAL

Le taux d'intérêt légal 2014 reste inchangé par rapport à 2013. Il demeure fixé à 0,04%.
Par Décret n° 2014-98 du 4 février 2014 (J.O. du 6 février) le taux de l'intérêt légal est fixé à 0,04 % pour l'année 2014.

Rappelons que :
- En 2013, il était de 0,04%
- En 2012, il était de 0,71%
- En 2011, il était de 0,38%
- En 2010, il était de 0,65%
- En 2009, il était de 3,79%
- En 2008, il était de 3,99%
- En 2007, il était de 2,95 %

Lisez notre article "Taux d'intérêt légal et taux interbancaires (définitions et historiques)" en suivant ce lien


TAUX INTERBANCAIRES

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois





Notes :

- Euro Overnight Index Average (EONIA) : taux calculé par la BCE et diffusé par la FBE (Fédération Bancaire de l'Union Européenne). Il résulte de la moyenne pondérée de toutes les transactions au jour le jour de prêts non garantis réalisées par les banques retenues pour le calcul de l'euribor.

- Euro Interbank Offered Rate (EURIBOR) : taux interbancaire offert entre banques de meilleures signatures pour la rémunération de dépôts dans la zone euro. Il est calculé en effectuant une moyenne quotidienne des taux prêteurs sur 13 échéances communiqués par un échantillon de 57 établissements bancaires les plus actifs de la zone Euro. Il est calculé sur la base de 360 jours et est diffusé à 11h le matin si au moins 50% des établissements constituant l'échantillon ont effectivement fourni une contribution. La moyenne est effectuée après élimination des 15% de cotation extrêmes (le nombre éliminé est toujours arrondi) et exprimée avec trois décimales.

Tableaux et historiques des TAUX D'INTERET DU MARCHE INTERBANCAIRE DE LA ZONE EURO édités par la Banque de France

Taux de référence des bons du Trésor et OAT

Taux quotidiens (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)
+
Moyennes mensuelles (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)
* Moyennes calculées avec le nombre de jours calendaires du mois

Tableaux et historiques des taux de référence des bons du Trésor et OAT édités par la Banque de France




INDICES OBLIGATAIRES

Indices Quotidiens TEC-N (Mise à jour quotidienne, tableau fourni par la Banque de France)

Description : L’indice quotidien CNO-TEC n, Taux de l’Echéance Constante n ans, pour n variant de 1 à 30, est le taux de rendement actuariel d’une valeur du Trésor fictive dont la durée de vie serait à chaque instant égale à n années.

Ce taux est obtenu par interpolation linéaire entre les taux de rendement actuariels annuels des 2 valeurs du Trésor qui encadrent au plus proche la maturité n.

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices Hebdomadaires (Mise à jour hebdomadaire, tableau fourni par la Banque de France)

Notice : (description et calcul)
THO : Taux hebdomadaire du marché primaire des émissions à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
THE : Taux hebdomadaire des emprunts d'Etat ayant une échéance de plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FELT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat à plus de 7 ans (TEC 10 +0,05%)
FECT : Rendement secondaire des emprunts d'Etat entre 3 et 7 ans (TEC 5 +0,05%)
PRLT : Rendement secondaire des emprunts du secteur privé à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)
PUCT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public de 3 à 7 ans (TEC 5 +0,25%)
PULT : Rendement secondaire des emprunts du secteur public à plus de 7 ans (TEC 10 +0,25%)

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.


Indices mensuels (Mise à jour mensuelle, tableau fourni par la Banque de France)

Description :
TMO : Moyenne arithmétique des THO du mois
TMB : Moyenne arithmétique des THB du mois ( THB = Taux Hebdomadaire d'adjudication des Bons du trésor à 13 semaines)
TME : Moyenne arithmétique des THE du mois

Les historiques, réunis en un seul fichier, sont accessibles ici sur le site de la Banque de France.

Tableaux et historiques des INDICES OBLIGATAIRES édités par la Banque de France


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Mercredi 17 Décembre 2014




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